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Léon Stéphanie (Autre)
EAN : 9782374083094
56 pages
Little Urban (22/09/2023)
4.55/5   22 notes
Résumé :
Paris, 1920. Des gloussements derrière les rideaux. Un grincement dans la salle des machines. Un chuchotement parmi les costumes. Et si des fantômes avaient envahi l'Opéra ? Sur les airs les plus connus, Jeanne mène l'enquête.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Incontournable Album Janvier 2024




D'un simple coup d'oeil, on peut être charmé par ce magnifique album jeunesse, dont le sympathique binôme Pog et Léon nous ont déjà produit un livre dans un cadre similaire: Zhinü, dont le ballet des ombres aborde l'importance de la complémentarité, de l'apprivoisement des peurs infantiles et de l'importance de l'imaginaire dans les vie des enfants. Tout comme ce dernier, on joue avec la lumière et les créatures surnaturelles, dans le cadre enchanteur de l'Opéra de Paris.


La petite Jeanne s'apprête à monter dans un bus, direction l'Opéra de Paris. le poinçonneurs chargé de valider sont ticket ne voulait pas le croire, mais Jeanne vit entre les murs de l'Opéra, car son père y est concierge. Dans le joyeux brouhaha urbain, Jeanne rentre chez elle, où l'attend un chat espiègle, Pantoufle, et un papa à l'humeur bien morose. Heureusement, quand il n'est pas sur ses pointes, son meilleur ami Paul est une oreille attentive. Sur les toits de l'Opéra, il lui partage ses espoirs malgré son trac, tandis qu'elle lui partage ses airs de saxophones, dont le très américain blues. Un jour, une pluie s'abat sur la ville, un orage gronde et un éclair s'abat sur la cheminée du logis de Jeanne. le lendemain, Jeanne découvre que la plaque de la cheminée est fendue et dans le trou se cache deux amphores , l'un contenant un un gramophone superbe, qui a l'étonnante singularité de faire jouer les pistes à l'envers, et l'autre des disques . Croyant le gramophone cassé, elle propose à Paul D écouter les disques sur celui de son père. Paul ne peut hélas pas rester avec Jeanne pour les écouter, une répétition l'attend. Jeanne entame une première lecture, celle de Carmen, de Goerge Bizet. Sans la voir, un fantôme de Carmen émerge du gramophone. Et chaque nouveau disque laisse émerger une nouvelle entité, dont les formes fantomatiques investissent bientôt tout l'Opéra...




Attention, entre deux entrechats, il y a aura des divulgâches.




Ainsi prennent vie Turandot, Carmen, les personnages de la "flûte enchantée", le dragon de "L'anneau du Nibelung", les artistes de "La Bohème", Figaro dit "Le barbier de Séville", Davy Jones le capitaine du Hollandais volant et bien d"autres. S'ils effraient d'abord les deux enfants, ceux-ci doivent faire face à la musique. Heureusement, Jeanne découvre dans l'une des pochette une coupure du journal "Le Petit rapporteur" sur laquelle se trouve la fonction du gramophone inversé: Il s'agit d'une machine qui permet d'enregistrer l'âme des opéras. Jeanne sort de sa lecture avec une idée. Elle fera jouer le gramophone à l'envers pour capturer les fantômes! Bientôt, les deux enfants se transforment en chasseurs de spectre à travers tout l'Opéra, avec pour dernière capture celle de Carmen. Mais la disparition des fantômes rend l'Opéra soudain bien tranquille et les enfants se demandent s'ils n'ont pas fait une erreur...Une semaine plus tard, il est temps pour Paul de monter sur scène, mais le mécanisme de la plate-forme sur laquelle il est supposé se faire hisser sur scène est grippé. Lorsque le fantôme du Capitaine du Hollandais volant vient défaire le noeud qui bloquait le mécanisme, Paul se retrouve alors propulser en pleine lumière. le trac le gagne. D'un coup, tous les fantômes de l'Opéra viennent lui insuffler du courage. Comment? les fantômes? Et oui, comme nous le révèle Pantoufle le chat, les enfants ont changé d'avis et fait réintégrer les âmes des personnages au sein de l'Opéra.


"La magie n'est pas faite pour dormir derrière une cheminée, mais bel et bien pour nous émerveiller!" ajoute-t-il.


Sur scène, Paul vit sa prestation et son coeur, ainsi que celui du public, des rats, des fantômes battent à l'unisson. Jeanne se joint à l'ovation et au triomphe de son ami.


Rideau!


Que dire, sinon que c'est magnifique. Il se dégage de cet album une grande chaleur, un effet d'autant plus perceptible par le choix de couleurs de la palette de l'album. Alors que "Zhinü" était un heureux mariage du mauve, du rose et du noir, "Les fantômes de l'Opéra" est une ode aux couleurs chaudes, du brun onctueux au délicat blanc jaunit. Certaines scènes plus "tristes' sont restées lavande et grises, mais restent dans les tons chauds. Les détails sont époustouflants, rondelets et mignons, véritable éventail d'angles et de lieux. Certaines scènes sont très chargées, mais sans lourdeur et pleine de fantaisie. Il se dégage de tout ça quelque chose d'heureux, d'artistique et bien sur, de magique. Il y a une double page en pleins centre qu'on déploie et qui laisse exploser les fantômes en pleine incursion dans l'Opéra.




Je suis évidemment ravie de voir ces trois jeunes garçons danseurs de ballet, dont Paul tient la vedette avec grâce. On y verra quelques filles aussi, mais quand a-t-on la chance de voir les garçons? Ils ne sont certainement pas dénués de talent, au contraire, alors ils devraient être bien plus présents en littérature jeunesse. Jeanne, en protagoniste, à le rôle de la meneuse, de la courageuse et de la musicienne. J'adore qu'elle ait un saxophone et s'essaie au blues. Et vous ne la verrez pas en robe, mais en pantalon taille haute à rayure. Pantoufle aussi détonne avec son tutu, sa petite moustache grise et ses mini-chaussons roses. Et que dire de tout le travail des costumes des personnages, nombreux, de formes variés, presque tous des références au monde du ballet.




L'émancipation de l'imaginaire, l'importance du rêve et la magie à travers les arts sont autant de thèmes présents ici. Les arts ont la même magie les uns les autres qui font rêver les gens, bousculent les conventions, se rit des rigidités ou encore donne vie à toute une palette d'émotion. Cette "résonance" avec les gens, qui en connait ni frontières ni limites, est un point commun à travers le monde et à travers le temps. La danse, les pièces, le chant, les arts plastiques, tous sont importants. À travers eux, c'est une culture qui s"exprime, des histoires qui ne sombrent pas l'oublie, des thèmes complexes qui sont vulgarisés et des moments de partage entre les gens. On ne répétera jamais assez combien les arts sont importants dans une société, que ce soit pour la santé mentale, la cohésion sociale ou encore le développement culturel. Les arts ont leur "magie", une magie qui nécessite d'être partagée et qu'on doit vivre pour la comprendre. En ce sens, je comprend les enfants d'avoir relâché les fantômes: Ils sont l'expression même de l'essence de l'Opéra, des âmes qu'on a imaginée et aimée à travers le temps, alors même que certains de ces personnages n'existent même pas. Des personnages qui nous ont émus, fait grandir et divertis, et qui habiteront nos mémoires.




Dans la danse comme dans plusieurs autres domaines artistique, enfin, il faut du courage, de l'audace et des liens solides avec les gens autours de soi, notamment de l'entraide et de l'unité. Derrière les rideaux se cachent de nombreuses autres personnes, c'est un vaste travail d'Équipe.




C'est album bienveillant et chaleureux, presque onirique, dans lequel le fantômes ont un rôle rafraichissant, loin des êtres effrayants et mesquins. Au contraire, ils font parti de l'Opéra comme l'Opéra fait parti d'eux.




Pour un lectorat du premier cycle primaire, 6-7 ans +
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Il y a deux ans, je découvrais le bel univers poétique nocturne de Pog et Léon, le temps d'une nuit avec la charmante veilleuse Zhinü qui combattait déjà les monstres. Les voilà de retour pour nous faire frissonner derrière les rideaux de l'Opéra.

J'avais eu un coup de coeur pour Zhinü, c'en est un également pour Les Fantômes de l'Opéra que les auteurs ont pris le temps d'écrire afin de nous livrer un travail beau et poétique dans l'Opéra Garnier du début du XXe siècle. Un dessin tout en rondeur magnifique avec une utilisation de la lumière lumineuse et magique, une imagination folle et un décor soigné, voici les ingrédients de cette réussite. Les auteurs m'avaient charmée la première fois, ils récidivent ici.

J'ai fait cette lecture avec en-tête tout du long la chanson de Vanessa Paradis et M sur Paris et La Seine, tellement j'étais émerveillée par ce que je découvrais sous mes yeux. Après la peur des monstres lorsqu'on s'endort, Pog & Leon nous mettent dans les pas d'une petite fille, Jeanne, qui elle n'en a pas peur et ne craint pas une seconde les histoires de fantômes dans l'Opéra où elle vit. C'est donc à ses côtés que l'on s'y rend et découvre ce lieu de tous les fantasmes. Les auteurs mettent en scène avec énergie la vie dans le Paris des années 20 et ce qui se passe dans un grand Opéra comme celui de Jeanne. L'occasion de mettre le nez dans les coulisses, les répétitions des petits rats, le temps de suivre le chat fort en bêtises de Jeanne. C'est mignon, c'est truculent et ludique en même temps.

Les auteurs ont vraiment une belle science de la narration pour nous faire voyager dans ce lieu fascinant, d'abord en nous mettant avec humour dans les pattes d'un chat, puis comme le titre l'indique en faisant surgir d'un vieux gramophone des fantômes des plus grands succès de l'opéra que furent Carmen, la Flûte enchantée ou encore La Bohème et l'Anneau du Nibelung. Entre poésie et découverte, ce sera l'occasion pour le lecteur de s'amuser à suivre ces derniers faire peur à tout le monde, ou presque, dans l'Opéra mais également de découvrir ses pièces et ses personnages et peut-être donner envie de les écouter.

Les dessins de Stéphanie Leon sont d'une poésie incroyable. Les créatures auxquelles elle donne vie sont charmantes et virevoltent d'une page à l'autre, à l'image de cette double page dépliante incroyable quand les fantômes sont lâchés où elle nous offre l'opéra en découpe. C'est extrêmement beau, avec un incroyable jeu sur les ombres et lumières dans ce décor d'un autre temps. Mais les décors sont aussi très bien détaillés le reste du temps et jusque dans les tenues des personnages croisés, je pense notamment aux petits rats et aux fantômes. Les quelques paysages qu'on a de Paris où cela respire la bonhommie, en mode village de Belle au début de la Belle et la Bête, a aussi eu son petit effet sur moi. Vous l'aurez compris, je suis très très fan des dessins de la demoiselle.

L'histoire aussi a un charme certain car Olivier Pog, cette fois, s'empare d'un mythe : les fantômes, pour faire un jeu de mots avec une oeuvre littéraire connue : Les fantômes de l'Opéra, et faire basculer ce lieu dans un fantastique doux et charmant, un peu comme avec les fantômes de Poudlard, qui sont juste gentiment effrayants mais pas trop. Et l'utilisation de la musique comme vecteur est une fort jolie trouvaille à la fois pour le lieu et l'époque. A nouveau une franche réussite pour moi !

Pas la peine de se le cacher, cet album est pour l'instant mon petit coup de coeur de la rentrée littéraire jeunesse. J'ai tout adoré des dessins clairs-obscurs à la touche gentiment fantastique de l'aventure, jusqu'au décor historique si joliment rendu et ce duo d'enfants attachants. Si à chaque fois qu'ils partent à la chasse de nos peurs nocturnes, ce duo d'auteurs fait de l'aussi bon travail, il va vite devenir une référence pour moi !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Grâce à messieurs Pog et Leon, le frisson hanté va se transformer en merveilleux.
La petite Jeanne qui vit dans le théâtre d'un opéra cherchera son chat après l'école.
Et tandis que le rideau est sur le point de se lever, l'orage s'abattra au dehors, la foudre s'immiscera par la cheminée, apportant avec elle un étrange gramophone et des disques de vinyls.

Nous ne gâcherons pas à tout vous dévoiler, mais les personnages des opéras de ces disques classiques prendront vie et se prendront à hanter les loges, les couloirs, la scène...
Imaginez les walkyries, le diable, les elfes, fantômes illuminant le lieu comme des feux-follets...
L'explication viendra rapidement.

On le remarquera déja sur la 1ère de couverture, Jeanne et son ami Paul, qui prend des cours de danse à l'opéra, sembleront paniquer, tenant les fantômes à distance avec un ...gramophone!?!
La musique adoucit les moeurs dit-on pourtant, ces personnages d'opéra n'aiment-ils pas la musique?
La panique ambiante sera amusante renversant la situation initiale, avec des acteurs et des chanteurs qui se mettront à fuir les héros et héroïnes des opéras qu'ils devaient interpréter.
Nous pourrons revoir ensemble les classiques que nous connaissons avant de les chasser.
L'image sera néanmoins amusante, nous permettant par culture populaire partagée, d'y superposer l'image de chasseurs de fantômes munis, eux, d'aspirateurs hautement technologiques.

Faisant écho au célèbre roman " le Fantôme de l'opéra" de Gaston Leroux, les auteurs Pog et Leon offriront leur propre mystère magique et envoûtant dans une salle d'opéra.
Nous reconnaitrons le 19ème siècle dans les décors et l'objet du gramophone permettra même de préciser le début du 19ème siècle et la fin du 20 ème. Dans cette aventure pas de triangle amoureux et il y aura surtout cette fois des enfants.
La danse et la musique habiteront un peu plus que le lieu, les chats seront en tutu et nous auront pour les entrechats de vrais petits rats de l'opéra, qui vont se faufiler à tous les étages d'activité du théâtre.
Le théâtre de l'opéra sera vraiment hanté par sa musique et sa passion.

Les illustrations sont sublimes, réchauffées d'un âtre flamboyant hors champ que l'on ne verra pas et qui rappellera les néons d'un théâtre qui irradient par le sol et progressent vers la pénombre jusqu'aux rideaux hauts du plafond.
Le lieu en lui-même apportera sa dose de magie, avec ses poulies, ses cordages, ses moulures antiques décorées de masques et de feuillages.
Un chouette album qui pourra même être ressorti pour les fêtes de Noël.
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C'est encore une fois une magnifique collaboration que nous offrent les deux auteurs ! L'univers est inspirant, emblématique et mystérieux à souhait. les illustrations foisonnantes de détails favorisent une immersion complète dans les coulisses de l'Opéra. le texte étant assez long et l'écriture travaillée, je recommande cet album en lecture accompagnée avec des enfants de plus de 5 ans.
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Avec Les fantômes de l'Opéra, poussez les portes d'une institution prestigieuse et d'un monde fabuleux, celui de l'Opéra de Paris. Les enfants peuvent découvrir l'opéra de Charles Garnier sous toutes les coutures, des coulisses à la scène.

Jeanne, qui vit à l'Opéra où son père est gardien depuis son retour de la grande guerre n'a pas peur des fantômes. C'est à ses côtés que l'on parcourt ce lieu emblématique de Paris. L'occasion pour les lecteurs de déambuler dans l'Opéra, suivre les répétitions des petits rats et les bêtises de Pantoufle, le chat de Jeanne !

Olivier Pog au scénario et Nathalie Léon aux illustrations nous proposent une aventure pleine de magie et de mystères qui met en avant l'amitié entre Jeanne et Paul, en compagnie de Carmen, La Traviata et autres Figaro.

Les sublimes illustrations, à la fois sombres et douces, avec un incroyable jeu sur les ombres et lumières, nous plongent avec délice au coeur de l'Opéra, où Jeanne va faire la découverte d'un gramophone aux pouvoirs étranges.

Cet objet magique permet aux fantômes d'envahir tous les étages de l'institution, c'est la panique parmi les petits rats. Mais heureusement, Jeanne et Paul vont prendre les choses en main !

Quelle belle idée d'entraîner les enfants à la découverte des fantômes de l'Opéra avec des héros emblématiques, l'occasion pour les jeunes lecteurs de découvrir une histoire fantastique mais qui ne fait pas peur, magnifiée par les dessins tout en rondeurs de Nathalie Léon.

Lire la suite...
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
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critiques presse (2)
MadmoizellePresse
25 octobre 2023
Alerte coup de cœur pour ce sublime album de Pog & Leon.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
Ricochet
18 octobre 2023
Une lecture qui enchantera petits et grands amateurs de ce lieu fabuleux, et finalement magique, l’Opéra de Paris.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Là-haut, les empreintes se sont estompées. Il n'y a plus aucun signe du passage de Pantoufle. Juste des sons étranges, des grattements et des grincements inquiétants. les machinistes disent souvent en rigolant que ce sont les fantômes de l’Opéra, mais Jeanne sait bien que l'Opéra est un vieux bâtiment. il est tout à fait normal que ses articulations craquent de temps en temps.
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La magie n’est pas faite pour dormir derrière une cheminée, mais bel et bien pour nous émerveiller !
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Tous ces bruits se superposent et se mélangent. D'ailleurs, pour Jeanne, ce ne sont pas des bruits, mais une musique. Celle de la ville.
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