Le pire restait à venir
Il est de bon ton aujourd'hui de ne voir dans Mai 68 qu'un embrasement des utopies qui, à terme, aurait permis de libéraliser les moeurs d'une société figée. Pourtant, n'en déplaise à certains, la répression policière et politique fut violente, enragée même, pendants les événements.
Mais – et ce jusqu'en mars 1974 –, le pire restait à venir, sous la férule d'un ministre de l'Intérieur, Raymond Marcellin, persuadé de prot...
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