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Valérie Malfoy (Traducteur)
EAN : 9782253158561
512 pages
Le Livre de Poche (02/03/2011)
3.55/5   59 notes
Résumé :
Un cadavre est découvert pendu dans un bois près d’Eastvale. L’homme, rapidement identifié comme Mark Hardcastle, était le populaire et flamboyant décorateur de l’Othello donné par la troupe de théâtre locale. Pour l’inspecteur Annie Cabbot, tout indique un suicide. Mais quand on retrouve son riche amant baignant dans son sang, Annie s’interroge.

Un crime passionnel aurait-il pu conduire Mark, désespéré, à se supprimer ? Prise de doute, elle appelle ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Je ne suis pas emballée.
Un homme retrouvé mort, par des enfants, pendu dans une forêt.
Son amoureux découvert massacré dans son hôtel particulier.
Meurtre suivi d'un suicide ? Est-ce aussi simple que cela ?
L'inspectrice Annie Cabbot et l'inspecteur en chef, Alan Banks sont chargés de l'affaire.
Secrets d'État, attentat, espionnage, trafic de drogue, délinquance ; tout cela va s'entremêler.
Malheureusement, je n'ai trouvé aucun rythme et finalement très peu de suspense dans ce polar.
C'est bien écrit mais 500 pages, des longueurs et une lecture laborieuse.
C'était mon premier Peter Robinson. Je ne suis pas sûre de renouveler l'expérience.
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Un homme est retrouvé pendu et quelques heures après, son compagnon est découvert battu à mort chez lui.
Un crime suivi d'un suicide semble donc la piste la plus probable.
Pendant qu'Annie Cabot mène l'enquête, Alan Banks profite de quelques jours de repos en amoureux.
J'ai beaucoup aimé cette enquête qui est à la fois simple et terriblement compliquée, car à trop chercher la petite bête, on finit souvent par la trouver.
Cette enquête nous emmène dans l'intimité d'un couple d'homosexuels, mais aussi dans le milieu du théâtre et dans celui des agents secrets.
Mais où la vérité se cache t-elle ?
Banks va une fois encore faire preuve de beaucoup de perspicacité et surtout de ténacité pour faire la lumière sur cette affaire particulièrement tordue.
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Les aventures de l'inspecteur Banks demeurent une sorte de quintessence du polar anglais.
Ici une nous raconte une histoire bien étrange. On part une nouvelle fois à Eastvale. Là un décorateur de théâtre est retrouvé pendu à un arbre. La thèse du suicide est écartée lorsque son riche compagnon est découvert, le crâne en bouillie. Appelé en renfort, Banks s'aperçoit rapidement que ce dernier est un ancien agent du MI6.
Avec ce roman, Peter Robinson bâtit des intrigues subtiles et prenantes, mais le plus frappant reste son art de créer une atmosphère...

Lien : https://collectifpolar.com/
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J'ai beaucoup aimé ce livre, le style d'enquête me fait penser à Colombo. le suspense reste au rendez-vous, les personnages sont bien travaillés, l'enquête progresse lentement mais sûrement (ce n'est pas gênant) . On rentre tout de suite dans l'histoire.

Donc il y a tout pour faire un bon livre. J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur. Je tiens à préciser que c'est mon premier livre de l'auteur, et je pense à en lire d'autres.

De plus, ce livre m'a donné envie de lire Shakespeare. :)

Je vous le recommande vivement.
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Un roman très anglais. Normal l'écrivain est anglais mais dans son intrigue le lecteur est plongé dans l'angleterre contemporaine.
La réussite d'un roman est lié au plaisir pris par le lecteur.
ALL THE COLOR OF DARKNESS est une réussite. Une intrigue bien menée par des policiers et des policières anglaises attachants. L'histoire est originale. le volet sur les services de renseignement anglais MI6 et MI5 doit être très proche de la réalité (pour autant que je puisse en juger comme lecteur car cette popultation m'est étrangère).
Pas très gai mais réaliste.
Peter ROBINSON est à classer parmi les bons auteurs de romans policiers.
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Citations et extraits (51) Voir plus Ajouter une citation
Tous les homos ne couchent pas avec n’importe qui, tu sais… C’est comme chez les hétéros…
– La plupart des types que je connais se sentent attirés par un tas d’autres femmes en dehors de leur épouse.
– Cela ne prouve rien. Sinon que la plupart des hommes sont des salauds et que tes copains sont immatures.
– Que mal y a-t-il à regarder une autre femme ?
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La plupart des cas de pendaison étaient des suicides, et non des assassinats, pour l’évidente raison qu’il est très difficile de pendre un homme en vie qui se débat. Sauf si c’est l’œuvre d’une bande de lyncheurs, bien sûr, ou si on l’a drogué d’abord.
Si c’était un suicide, pourquoi choisir précisément cet endroit pour mettre fin à ses jours – cet arbre ? Était-ce simplement plus pratique ou en raison de puissantes associations personnelles ? Avait-il réalisé que des enfants pourraient le retrouver, pensé à l’effet sur eux ? Sans doute pas, se dit-elle. Quand on en est à ce point, on ne pense pas beaucoup aux autres. Les suicidés sont de grands égoïstes.
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Certains croient vivre dans une société tolérante – ce n’est qu’en surface. Les gens connaissent les réponses et attitudes « politiquement correctes » et savent en faire étalage à la demande, mais cela ne signifie pas qu’ils y croient, pas plus qu’aller à l’église signifie qu’on croit sincèrement en Dieu…
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Depuis l’invention du courriel, l’art épistolaire était en voie d’extinction. On ne s’écrivait plus. Elle se rappela son correspondant australien, dans son enfance. Comme c’était excitant de recevoir du courrier par avion avec le tampon SYDNEY et les timbres exotiques, de lire toutes ces nouvelles sur Bondi Beach et Le Rocher. Elle se demanda si les enfants d’aujourd’hui avaient encore des correspondants. Et ce qu’était devenu le sien.
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Depuis l’invention du courriel, l’art épistolaire était en voie d’extinction. On ne s’écrivait plus. Elle se rappela son correspondant australien, dans son enfance. Comme c’était excitant de recevoir du courrier par avion avec le tampon SYDNEY et les timbres exotiques, de lire toutes ces nouvelles sur Bondi Beach et Le Rocher. Elle se demanda si les enfants d’aujourd’hui avaient encore des correspondants. Et ce qu’était devenu le sien.
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