A la suite d'un hold-up raté, un braqueur est abatu par la police,
San-Antonio que le hasard et sa libido placaient sur les lieux se voit confier par le voleur agonisant une petite boite contenant...
Bon, je vous résume le début de l'enquête, mais comme souvent dans cettte série elle n'est que secondaire et prétexte à caser des situations loufoques et volontiers scabreuses !
Ce roman, est le cent-quatorzième de la série et date de 1983.
Nombre d'amateurs, dont je suis, situent la meilleure période dans les années 60/70, cependant ici Dard est bien inspiré et très en verve.
J'ai donc passé un bon moment de détente, et pour tout dire, je me suis même doublement amusé.
Je m'explique :
J'ai imaginé que ce livre tombait entre les crochets d'un.e "sensitiviti-rideur" !
I.el ferait un malaise vagal confronté.e à toutes ces images et termes qu'i.el considérerait comme grossophobes, sexistes, homophobes etc...
Assistance médicale et cellule psychologique requises !
Raison de plus pour lire et relire les
San-Antonio, peut-être pas ce que la littérature francophone a produit de meilleur, mais ultime rempart à la bien pensance des néo-censeurs !