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2,85

sur 223 notes
Une lecture dans laquelle je me suis jeté avec envie et dont je ressors avec un sale goût dans la bouche...
Soyons clair, Flashback est un livre politique, mais pas dans le bon sens du terme.
L'idée de base est pourtant excellente, et laissait présager un grand roman dystopique. Las... cette extraordinaire idée est massacrée par un Simmons dont leur seul but ne semble être que de faire passer ses idées néo-conservatrices et réactionnaires.
On peut avoir des idées bien arrêtées et s'en servir pour construire une histoire. Encore faut-il le fait avec subtilité et respect. Deux mots qui ne trouvent aucun écho dans ce bouquin.
Le début du roman est pourtant captivant, mais très vite j'ai ressenti un malaise grandissant devant les attaques répétées et au raz des pâquerettes de l'auteur.
Pour résumer (et Simmons ne fait jamais aucun effort pour construire un semblant d'argumentaire avec ses idées) :
- la politique sociale d'Obama est responsable de l'effondrement du monde. Arrêtons de donner de l'argent aux pauvres
- le réchauffement climatique est un mythe et les écologistes ne sont que des drogués
- l'islam est barbare et les arabes des tueurs d'un autre temps
- les européens et les canadiens sont des lâches et des idiots
- les russes sont des trafiquants de drogues
- les mexicains mangent le pain des vrais américains
- les instances internationales ne font qu'affaiblir l'Amérique qui se doit de gouverner le monde
- en dehors du libéralisme à outrance, point de salut
- le monde était mieux avant, vive les années 50 et 60, constamment et nostalgiquement pris sans cesse en exemple.
S'en est tellement caricatural que ça en devient risible. Point d'orgue, ce camionneur qui fait la leçon au professeur d'université "socialiste" à coup de citations de Shakespeare et des penseurs grecs, sans que ledit professeur ne trouve rien à répondre...
Simmons ne fait même pas d'effort pour travailler sa prose, qui est plate et sans saveur, lui qui est pourtant un grand écrivain.
Il se désintéresse plus d'une fois de son récit, pour se lancer dans ses digressions.
Quel dommage, l'histoire en elle même aurait pu donner un fantastique roman, même teinté de politique, si cela avait été présenté intelligemment (on est pas obligé d'être du même avis).
Pour moi : un gâchis nauséabond.
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Un avis mitigé pour cette dystopie américaine, comme un dérapage dans l'univers complexe mais rigoureusement cohérent de cet auteur.

C'est une histoire qui se passe en 2035 et qui fait souvent référence aux événements de la première décennie de ce siècle, à l'élection d'un président démocrate dont les réformes auraient coulé l'économie américaine. Il y a des alliés, les Japonais qui aident à gouverner le pays et il y a aussi des méchants, les Islamistes qui se sont emparés subrepticement de l'Europe et du Canada. Les Américains se sont réfugiés dans la drogue, le flashback, qui leur permet de revivre inlassablement leurs bons moments.

Il y a des personnages intéressants, de l'action, des émotions, tout ce qu'il faut pour faire un bon roman… mais quelques ingrédients superflus viennent gâter la sauce.

On est dans la fiction, l'auteur a le droit de dire que les charges sociales ont coulé l'Amérique comme il pourrait nous dire que les Martiens ont atterri. Comme lecteur, je sais que c'est de la pure fiction, car je sais qu'aux USA, il n'y a même pas de régime de congé maternité, ni de garderies subventionnées, que l'université coûte les yeux de la tête et que les problèmes du budget américain, ce sont les dépenses militaires (ou les sommes données aux banques pour les sauver de la faillite par exemple…)

Même si je trouve ses propos farfelus, j'accepterais une explication fictive dans le cadre d'une intrigue, il y a plein de choses incroyables en sf. Ce qui m'agace dans ce roman, c'est plutôt une impression de manque de cohérence dramatique pour pouvoir y insérer des « sermons » politiques. Par exemple, on nous dit qu'un homme doit subir une opération chirurgicale, mais qu'à cause des réformes de la santé, il y a maintenant une liste d'attente de deux ans. C'est un discours plaqué là sans cohérence puisque quelques pages avant on a dit que la société est complètement désorganisée, que les services essentiels sont déficients avec des pannes d'électricité et des employés drogués et absents. Alors seuls les hôpitaux fonctionneraient ? Comment l'auteur peut-il affirmer que le problème c'est la liste d'attente causée par l'assurance maladie ? Ce n'est pas cohérent.

Je quitte cette critique et pour demeurer positive, je vais faire un flashback et oublier que Dan Simmons a écrit celui-là.
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Moment difficile, je viens de perdre un de mes héros ...

Bon, d'accord, Dan Simmons ne me doit rien, même si moi je lui dois beaucoup. Après ses derniers romans type Stephen King dont l'intérêt premier ou second n'est pas évident, je retrouvais avec un pu délice Dan Simmons qui se remettait à la SF. Génial ! je rappelle aux lecteurs distraits que les cycles d'Hypérion et d'Endymion, sa suite, sont pour moi les chefs d'oeuvre absolus de cette littérature que j'aime tant.

L'action se déroule en 2035, c'est-à-dire pas très loin de nous. Depuis la Grande Débâcle, tout est chaos dans ce qui fut les nations mondiales globalement, les Etats-Unis particulièrement. Une drogue, le Flashback, permet de revivre avec exactitude des tranches de son passé, des souvenirs parfaits, et c'est vers un accro au Flashback que se tourne un milliardaire japonais pour enquêter sur le meurtre de son fils. C'est de l'inspecteur Bottom qu'il s'agit, qui avait enquêté il y a 6 ans sur ce meurtre, mais suite au décès accidentel de sa femme il s'est tourné vers la drogue pour revivre dans le passé, et ne plus affronter ni le présent, ni le futur.
Bon roman policier, une enquête qui défile, etc., bref tout ça colle parfaitement, se lit bien, jusqu'au milieu du livre.

Et là ça dérape. Violemment. Quand l'auteur se sert de son roman pour critiquer le président Obama, l'accusant d'être à l'origine de la débâcle à cause de son programme de santé qui a ruiné le pays; que les écologistes se sont fourvoyés à vouloir absolument accuser l'homme d'être à l'origine du réchauffement climatique, et que ça a créé des dettes monumentales ; que les nations arabes, caressées dans le sens du poil par Obama depuis son discours du Caire, en ont profité pour se radicaliser et ont envahi toute l'Europe, qu'elle a soumis à la charria, ainsi que le Canada –c'est ce qui vous menace, pauvres lecteurs, semble nous mettre en garde Dan Simmons… Et la mise en garde est sévère : elle transparait presqu'à toutes les pages, par la radio d'un vieux routier qui écoute un programme très conservateur, par la discussion autour d'un jeu d'échecs, par les réflexions perdues au coin d'une rue, Nick Bottom, l'inspecteur, finit même par se dire que tous ces gens ont forcément raison…

Oui, c'est ce qui nous menace, et on ne remerciera jamais assez Dans Simmons de nous avoir violés, pauvres lecteurs qui bêtement voulions lire un roman de SF, pour nous ensemencer de ses idées politiques les plus profondes, et de façon aussi grossière, même pas voilées, même pas subtiles. Un peu comme du Ron Hubbard, quoi.
Non pas que ces idées soient bonnes ou mauvaises, là n'est pas le problème et je pense qu'on peut débattre fortement sur nos économies, le mondialisme, le sens vers lequel sont trainées nos sociétés, et je suis intimement persuadé qu'il ne peut exister de manichéisme sur la question, mais là, tel que c'est fait, la stupidité du récit est manifeste. Pire qu'un blockbuster US… on peut s'attendre aux prochains romans de Dans Simmons : « Fureur Communiste à Cuba », « les Arabes sont méchants », « le Jap nous tenait par les couilles », « Invasion Alien en Iran », « Bigraphie de georges W.Bush, ce grand humaniste. »

Ah oui, j'oubliais de préciser, devinez ce qui nous sauve à la fin ? La République du Texas, si si , qui est vieux jeu j'adore cet extrait : « On est un peu vieux jeu, par ici. On vous laisse presque tout l'argent que vous gagnez, et on vous laisse payer quand vous avez besoin de quelque chose » Ah, libéralisme quand tu nous tiens ! Ces bons vieux Bush, qui n'ont pas dépensé l'argent public en faisant des guerres au Proche-Orient…. Pardon, c'était pour éviter l'Invasion, sans doute…

Allez on termine en toute beauté, avec les remerciements de l'auteur : « L'auteur aimerait remercier son agent et ses éditeurs d'avoir compris ce dont parle réellement le roman Flashback ».
Ce remerciement aurait dû être posté en préface : « l'Auteur tient à remercier ces cons de lecteurs qui comprendront ce dont parle réellement ce roman : un brûlot anti-Obama, pro-libéralisme, un concentré de programme électoral maquillé à la sauce roman, avec une pointe de fascisme qui se devine plus que ne se lit, je m'excuse d'imposer de façon aussi mauvaise mes idées, merci pour vos dons. »
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Avec un certain soulagement j'ai refermé ce roman de Dan Simmons, avec qui je faisais connaissance. L'ambiance y est irrespirable, anxiogène, sans doute parce que l'époque décrite par l'auteur est très proche de nous (et qu'il s'appuie sur des éléments de contexte réels. En 2035, les Etats Unis sont devenus un territoire morcelé, en guerre perpétuelle, où s'affrontent les hispaniques, les islamistes, les nazis, etc. Les attentats sont quotidiens ; la population est clochardisée ; les institutions défaites.
La Grande Débâcle est ici associée par Simmons à plusieurs facteurs : l'endettement du fait de l'extension à tous les américains d'une couverture maladie universelle (Obama n'est jamais cité mais il en prend pour son grade), une politique de pacification et de désarmement qui a conduit à la dissolution d'Israël et fait à nouveau 6 millions de morts et permis la constitution d'un Califat Global sur une partie du territoire américain – la France et l'Allemagne sont du reste gouvernées depuis par la charia…
Cette diatribe ouvertement anti-Obama m'a un peu perturbée, je dois le dire, et gâchée en quelque sorte le plaisir de suivre les aventures de Nick Bottom, le héros accro au flashback – drogue qui lui permet de revivre les doux moments passés avec sa défunte épouse Dara - qui m'ont tenue en haleine.
L'ancien flic, renvoyé en raison de son addiction, est sollicité par Hiroshi Nakamura, vieux milliardaire japonais – ah oui ! j'ai oublié de dire qu'en 2035, ce sont les japonais les maîtres des Etats Unis et d'une partie du monde qu'ils disputent à la chine – pour enquêter à nouveau sur le meurtre de son fils, assassiné 6 ans plus tôt. Nick, totalement accro au flashback, en perdition tant socialement que familialement, accepte la mission contre des doses de produits. Accompagné de Sato, garde du corps du feu Keigo Nakamura, il se lance dans une course contre la montre pour découvrir le meurtrier alors qu'il avait échoué à l'époque.
Dans le même temps, son fils Val, qui vit avec son grand-père dans un autre état, et qu'il a beaucoup négligé depuis le décès de Dara, accumule les problèmes et doit disparaître : l'aide de son père apparaît alors indispensable mais il doit traverser la moitié de l'Amérique pour le rejoindre, dans un environnement plus qu'hostile.
C'est bien mené, on ne s'ennuie pas une seconde et les personnages sont plutôt attachants. Pour autant, encore une fois, je suis déroutée par le positionnement de l'auteur. Quand je lis un thriller, je n'ai pas forcément envie de lire un traité pro-Trump avant l'heure…
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Selon un vieil adage...Il ne faut pas mélanger les torchons avec les serviettes...Discours politique et thriller dystopique, cela ne fait pas une bonne lessive.

Dommage, car original ces flashback servant d'outils à ce policier "déchu" et accro à cette nouvelle drogue, dont l'effet pourrait se résumer au sempiternel " c'était mieux avant" surtout lorsque l'on peut en sélectionner les meilleurs passages.

Des longueurs, trop de longueurs sur des souvenirs prétextes à nous assener les théories réac de l'auteur. Son racisme et sa haine sociale pour ceux qu'il juge anti-américain: les laisser pour compte du rêve américain; les futurs bénéficiaires de l'aide sociale voulu par Barak Obama ...les latinos et basanés de toutes les couleurs....Le 11 septembre n'arrangeant en rien...voir élément déclencheur de toute cette logorrhée apocalyptique...

En ôtant la moitié de ce livre consacrée à cette bile indigeste...c'est un bon polar dystopique. Si vous aimez le bleu...marine, ce livre est pour vous.

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"Flashback" a déplu aux Grandes Consciences Progressistes qui ont trouvé des "relents" néo-conservateurs dans son tableau horrifique d'une Amérique balkanisée et écrasée par la revanche des "peuples opprimés victimes de l'impérialisme". Pourtant Dan Simmons se contente de faire ce que tout romancier de SF a toujours fait : isoler des éléments du présent, les grossir, les caricaturer en imaginant leurs conséquences et leur action dans l'avenir. Quand Shepard ou d'autres romanciers acceptés se livrent à cet exercice, mais "dans le bon sens", personne n'y trouve à redire, puisque l'auteur politiquement correct obtiendra nécessairement le soutien de ses lecteurs politiquement corrects. Donc, ces protestations bien-pensantes m'ont fait sourire et donné envie de lire le roman, qui finalement m'a déçu, mais pas pour cause de dissentiment politique, moral ou social. La satire que fait Dan Simmons des islamobéats et autres obamophiles m'a amusé et elle pimente le roman. Mais sous l'apparence assez trompeuse de science-fiction dystopique, 'Flashback" est en fait un roman policier, une enquête sur un crime, même si l'enquêteur est depuis longtemps exclu de la police officielle et le crime ce qu'on appelle un "cold case". Hélas, rien ne m'ennuie tant que le genre policier. J'aurai eu malgré tout, grâce à cette lecture, l'occasion de mesurer le talent multiforme de l'auteur, capable des plus beaux space-opéras, des plus fines réécritures et reprises littéraires ("Flashback" renvoie à Shakespeare comme "Hypérion" à Keats, "Ilium à "La Tempête", etc). L'auteur est donc aussi un maître du genre policier.


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Je suis un grand fan de Dann Simmons, je préfère le dire dès le début. Hormis ses romans d'horreur, j'ai tout dévoré de lui avec bonheur.

Mais les aventures de Nick Bottom, ancien flic drogué incontinent, dans un monde effondré, embauché pour enquêter sur la mort d'un jeune japonais rebel ne m'a pas plu, pire j'ai beaucoup souffert en lisant.

Souffert ? Oui, car le livre est un condensé de xénophobie primaire, d'anti islamise basique et une grossière critique de la politique du président Obama.
Dan Simmons nous offre sa vision d'un futur très proche peu convainquant, sombre, violent, le tout porté par un polar noir assez mal ficelé, ennuyeux où les névroses et phobies de l'auteur s'étalent pitoyablement.

Ne perdez pas votre temps avec ce livre.
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Dan Simmons est très réac et ne porte pas les démocrates dans son coeur. Et surtout, il le fait savoir. Certes, je n'ai pas besoin de partager les opinions d'un auteur pour apprécier son oeuvre. Mais là, c'est fait avec la finesse d'un éléphant, le récit étant le prétexte à un pamphlet à la fois simpliste (les aides sociales à l'origine d'une débâcle financière apocalyptique), aberrante (dans le futur selon Simmons, qui se veut un futur crédible puisque découlant de la politique actuelle, la Chine n'est pas une superpuissance) et de mauvaise foi crasse (hé Dan, va dire aux ours polaires que le réchauffement climatique n'est qu'une invention des vilains écolos).

Je dois cependant reconnaître que Simmons sait y faire, il a du talent. le récit est très bien mené. L'intrigue avance tambour battant, presque sans temps morts. L'enquête est palpitante et trépidante (pendant quasiment tout le livre), tient en haleine le lecteur qui attend la résolution avec impatience. Les passages d'action pure sont très efficaces, dignes de films à gros budget.

L'idée de départ est géniale : une drogue qui permet de revivre son passé. A cela vient s'ajouter le mythe, autre idée géniale, d'une nouvelle version de cette drogue qui permettrait de vivre une vie alternative. Mais ces idées sont sous-exploitée. Nick Bottom n'utilise finalement que très peu le Flashback dans ses investigations. du coup, l'enquête prend finalement un aspect plus classique que ce qu'on pouvait espérer, le Flashback remplaçant juste le traditionnel whisky du privé d'antan.

A se laisser aveugler par ses opinions, obsédé par l'idée d'écrire un pamphlet, Simmons en a oublié son idée de départ. Et ce qui aurait pu être un grand thriller nostalgique aux accents Dickien, n'est finalement qu'un déballage de rancoeur et de colère.

Je redonnerai sans doute une chance à Simmons (c'était ici le premier livre que je lisais de cet auteur) mais je veillerai à choisir un roman non politisé.
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Dans l'impossible impossibilité de le terminer... Dire que ce roman me navre serait un doux euphémisme.. Un livre qui doit faire plaisir aux Républicains.....
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J'ai eu beaucoup de mal a rentrer dans ce livre. J'ai trouvé les 100 premières pages longues et ennuyeuses. Mais passé ce cap je me suis prise a l'intrigue, non pas de savoir qui avait tué le fils d'un grand ponte japonais mais de savoir ce que Dara, la femme décédée de l'ex inspecteur Nick avait avoir dans cette histoire. Dan Simmons place son histoire dans un futur proche 2028 ou les grands pays de notre époque se sont tous effondrés . La politique et l'économie actuelle n'y étant pas étrangère.Les musulmans dominent sur cette terre et a travers cette histoire c'est une lutte incessante pour le pouvoir et la domination du monde. J'ai trouvé que ce roman était limite de l'anticipation parce que ce que nous raconte l'auteur peut malheureusement arriver.. la crise actuelle pourrait être le déclencheur. J'ai aussi trouvé qu'il retraçait bien le fait que ce que l'on nous enseigne (surtout en histoire) n'est pas forcement la réalité mais surtout l'avis de certaine personnes.La domination se fait aussi au travers d'une drogue appelée flashback qui permet de revivre des moments heureux de sa vie. Cette drogue abruti les gens et les conditionnent dans un bonheur malsain qui les empèchent de voir la réalité. Au final on retiendra que la douleur nous fait nous sentir vivant et que l'on se bat jusqu'au bout pour notre liberté.
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