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EAN : 9782365774208
240 pages
Urban Comics Editions (23/01/2015)
3.65/5   81 notes
Résumé :
Après leur première collaboration sur American Vampire Legacy, les deux plus grands talents actuels de l’industrie des comics, Scott SNYDER et Sean MURPHY, se retrouvent sur un récit complet mêlant révélations scientifiques et horreur sous-marine.

Lorsqu’elle est arrachée à ses recherches pour rejoindre une expédition secrète gouvernementale en plein Arctique, la biologiste marine Lee Archer ne se doute pas une seconde de ce qu’elle s’apprête à découv... >Voir plus
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Il s'agit d'un récit complet et indépendant de tout autre initialement paru sous la forme de 10 épisodes de juillet 2013 à septembre 2014. le scénario est de Scott Snyder, les dessins et l'encrage de Sean Murphy, et la mise en couleurs de Matt Hollingsworth.

La première séquence se déroule dans le futur, Leeward (une jeune femme) survole les flots qui ont envahi une ville américaine, avec une aile delta disposant de moyen de propulsion. Elle est suivie par un dauphin dans l'eau. 200 ans dans le passé (de nos jours), Lee Archer (mère de Parker, un garçon) suit une baleine en zodiac. Elle est interrompue par Astor Cruz, un représentant du gouvernement qui vient la recruter pour une mission secrète d'une semaine. Lee Archer se retrouve dans une base sous-marine clandestine (dédiée au forage pétrolier) au large de l'Alaska, à la tête d'une équipe de 4 personnes : le docteur Marin (expert universitaire en mythologie et folklore), Meeks (chasseur professionnel, spécialisé dans les espèces dangereuses en voie de disparition), Bob Wrainwright (son ancien patron), et Cruz lui-même. Sur place elle découvre une créature agressive, mi-homme mi-poisson (une sorte de sirène mâle) et Cruz lui fait écouter son cri.

En 2013, cette histoire bénéficie de l'aura de ses créateurs. Scott Snyder pilote la série Batman depuis sa relance dans le cadre du redémarrage à zéro de l'univers partagé DC (à commencer par La cour des hiboux). Sean Murphy a marqué les esprits avec Punk Rock Jesus et Joe l'aventure intérieure (ce dernier avec Grant Morrison).

Le début du récit indique clairement qu'il se déroule à 2 époques différentes (et même un peu plus puisque des mammouths apparaissent dans une courte scène) et qu'il comprend une composante horrifique (la dentition et l'agressivité de la créature poisson ne laissent planer aucun doute).

Dès la première page, la qualité des dessins de Sean Murphy transporte le lecteur dans un environnement très concret présentant une grande capacité évocatrice. Les personnages sont aisément reconnaissables et un peu typés du fait de la présence d'angles obtus discrets dans leur physionomie. Chaque personnage dispose de sa tenue vestimentaire propre, avec une mention spéciale pour la veste rayée de l'agent Cruz.

Murphy dose avec intelligence et pertinence la présence des décors en arrière plan, de manière à ce que les cases ne paraissent jamais vides, ni trop surchargées. Il réalise régulièrement de magnifiques décors, comme par exemple l'intérieur du sous-marin, ou l'avion qui sert d'habitation à Leeward. Qu'il s'agisse de l'époque actuelle ou du futur, les personnages évoluent dans des endroits spécifiques, ne donnant jamais l'impression de carton-pâte. Lorsque le lecteur pénètre avec les personnages dans la cabine du navire de Lee Archer, il peut en examiner le plancher, les équipements électriques et électroniques et le niveau de bazar.

Snyder a pris le parti de montrer la grosse bébête qui fait peur dès le premier épisode du récit. Murphy s'est montré à la hauteur de la tâche, en lui donnant des dents bien acérées, un visage dépourvu d'humanité et une silhouette gracile et allongée, raccord avec son statut de poisson capable d'une grande agilité dans l'eau.

Côté scénario, Snyder présente avec grâce ses personnages et attaque rapidement dans le vif du sujet puisqu'à l'issue du premier épisode tout est en place. Il consacre la première moitié du récit au temps présent pour l'affrontement contre le monstre, avec une prise de conscience progressive de l'ampleur des dégâts et de la menace. 200 ans plus tard, le lecteur retrouve l'humanité et ce qu'il reste de sa civilisation pour un nouvel affrontement à la forme très inattendue.

Du début jusqu'à la fin, l'intrigue tient bien la route, avec de nombreuses surprises et une résolution évitant les stéréotypes. du côté narration proprement dite, Snyder se montre un peu moins habile. Pour la première partie, il commence par intégrer des informations scientifiques sur la faune marine, tirant ainsi son récit vers le haut, au dessus des approximations et généralités en la matière. Mais lorsque que les personnages doivent sortir de la base sous-marine, ils n'éprouvent aucune gêne du fait de la pression (en contradiction avec les précisions apportées par l'agent Cruz lors de la descente). de même lorsque qu'une bébête vraiment beaucoup plus grosse sort de sa cachette, il n'y a pas d'explication à sa taille démesurée par rapport à celle des autres.

De la même manière, le développement de la technologie 200 ans dans le futur laisse rêveur. Il est difficile de réconcilier le recul de la civilisation humaine, avec des progrès scientifiques qui permettrait de faire voler une forteresse d'une telle ampleur (Murphy n'améliore pas les choses en rajoutant un biplan de la première guerre mondiale dans le même espace aérien).

De son côté, Sean Murphy intègre également quelques éléments visuels qui apportent un coté ludique aux images, aux dépends de la cohérence interne du récit. Sa conception graphique des sirènes est tellement convaincante, que le lecteur a bien du mal à croire que les êtres humains puissent disposer de la moindre chance contre eux dans leur élément naturel. Avec un tel corps fait pour le milieu aquatique et leur rapidité, aucun être humain ne peut rivaliser, ou même leur tenir tête plus de 10 secondes. le corps de ces créatures présente de petits cercles lumineux, dont le lecteur est bien en peine de pouvoir déterminer leur fonction, ou même l'évolution de l'espèce qui a pu conduire à leur apparition.

Dans la deuxième partie (200 ans après), Sean Murphy concocte une monde post apocalyptique des plus séduisants, avec des images attestant de la récupération des réalisations du passé, par les vivants (un superbe paquebot avec des rangées de rame, la récupération de la carlingue d'un avion, etc.). Mais dans le même temps il montre des réalisations technologiques qui attestent d'une civilisation industrielle et technologique plus avancée que la nôtre, ce qui est en décalage avec le récit. Quand il montre ce même paquebot s'abîmer dans les flots, il ne prend pas en compte l'effet des remous sur les individus présents dans l'eau à proximité. Lorsque les protagonistes se retrouvent sur la banquise, leurs tenues vestimentaires ne sont pas adaptées à la température.

Ces incohérences narratives internes finissent par nuire au charme et à l'intelligence du récit. Si le lecteur se laisse emporter par l'ampleur du récit et les 2 héroïnes pleine d'entrain et de ressources, il est possible qu'il ne les remarque pas. Dans ce cas, cette histoire mérite ses 5 étoiles pour une intrigue retorse et singulière, des scènes d'action spectaculaires et des dessins créant un environnement très étoffé. S'il ne pas passer outre ces maladresses, son plaisir de lecteur s'en trouvera un peu diminué, 4 étoiles.
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Un scénario signé Scott Snyder est très souvent gage de qualité, c'est encore une fois le cas avec un scénario original modernisant le thème des sirènes (dernièrement il a revu le mythe des sorcières avec Wytches).
L'histoire est découpée en deux grandes parties distinctes. Premièrement la découverte, l'aventure, la peur, puis en deuxième moitié de récit on passe dans un futur plus lointain avec les conséquences et le chemin que l'humanité a prise après les découvertes du début.
Bien maîtrisée, l'histoire est complexe et bien compréhensible à la fois, pas une minute d'ennui en 240 pages.

Pour la partie visuelle, Sean Murphy a su donner un très bon design aux créatures, profilées et agressives voir aérodynamiques, j'ai beaucoup aimé cette partie des dessins, le reste est assez classique mais pas désagréable à l'oeil. La colorisation est assez vive, cela pourra plaire mais je n'ai personnellement pas trop accroché aux couleurs, ce n'est qu'un détail au vu du reste.

Les amateurs de monstres marins et/ou de sirènes doivent absolument lire ce comicsbook, pour les autres, tout dépendra de votre sensibilité à un monde sous-marin et aux fins extravagantes.

Voir la chronique sur mon blog :

Lien : https://unbouquinsinonrien.b..
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Dans un monde envahi par les océans, une jeune femme tente de survivre en compagnie de son dauphin apprivoisé. Elle semble avoir trouver ce qu'elle cherche quand une immense vague apparaît à l'horizon. 200 ans plus tôt, Lee Archer, biologiste marine et ancienne employée d'une organisation gouvernementale, est en train de négocier la venue de son fils pour les vacances sur la côte nord-ouest des Etats-Unis quand un bateau de la Sécurité Intérieure vient l'aborder. A bord, l'agent Cruz lui demande de le suivre jusqu'à une base secrète située à une grande profondeur dans l'océan au large des côtes de l'Alaska. Elle est chargée d'étudier des sons étranges provenant d'une créature mystérieuse capturée il y a peu. Avec elle, plusieurs scientifiques se penchent sur le cas de cet être mi-humain, mi-poisson et très violent …
J'ai déjà lu des albums de ces auteurs et je n'avais pas été déçue et c'est donc confiante que j'ai attaqué celui-ci. Encore une fois, ils ont fait mouche ! Mais bon, avec un thème mêlant science, mythologie, fantastique, action, réflexion sur l'évolution de la Terre et de l'être humain, je ne pouvais que me régaler. Les dessins sont assez typiques des comics, avec des traits anguleux, nerveux, un graphisme dynamique et assez coloré sans pour autant être agressif. Par contre, la surprise vient du découpage qui peut être un peu perturbant au départ. Les cases ne se lisent pas forcément toujours dans le même sens : des pages se lisent de façon traditionnelle, en se déplaçant du haut vers le bas sur la page et d'autres se lisent de gauche à droite sur une double page (j'espère que je suis assez claire !). Il y a même une page pour laquelle il faut basculer l'album sur le côté. Mais étonnamment, je ne me suis jamais perdue dans ma lecture car la façon de lire s'impose d'elle-même sans avoir besoin de vraiment chercher. Là où la lecture est un peu plus difficile, c'est sur la chronologie. On commence dans le futur, pour basculer rapidement dans le passé puis dans un passé encore plus lointain (du genre préhistoire) et ces sauts dans le temps dans un sens ou dans l'autre émaillent l'album. C'est pourquoi je conseillerais à tout lecteur de le lire si possible d'une traite, pour se faciliter la vie (un pause dans la lecture peut mélanger toutes ces différentes époques). Comme je l'ai lu dans une après-midi, je n'ai pas vraiment eu de problème mais j'ai quand même du revenir quelques fois en arrière pour me remémorer certaines scènes. Mais comme l'histoire est passionnante, je n'en ai pas été gênée. L'ensemble ressemble à une réflexion sur l'origine de la vie sur Terre et sur les possibles différentes évolutions de l'Homme. Mais comme il y a de l'action, du suspense, une théorie bien troussée sur l'existence des sirènes et des personnages hauts en couleurs, je n'avais pas envie de lâcher cette lecture. J'ai trouvé l'ensemble original, bien mené et pouvant être crédible (j'entends par là que je n'y crois pas mais ça reste cohérent dans le raisonnement). Pour moi, ces auteurs risquent de devenir une valeur sûre s'ils continuent dans la même lignée !
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Publiée en 2013, The Wake est une bande-dessinée écrite par Scott Snyder (American Vampire, Batman), dessinée par Sean Murphy (le génial Punk Rock Jesus bientôt en chronique sur le MdR) et colorisée par Matt Hollingsworth (remarqué pour la série Preacher). Un trio qui a travaillé en bonne symbiose pour un résultat plutôt génial. Un scénario solide, un dessin sec et incisif et des couleurs splendides malgré une histoire tout en noirceur. le bleu des profondeurs, bien réussi, est oppressant. D'ailleurs, inspirez profondément, c'est l'heure de plonger dans les abysses. Ou dans vos propres chimères.

L'histoire débute avec la biologiste marine Lee Archer, recrutée par le gouvernement pour une expédition secrète en plein Arctique. Une étrange créature a été capturée dans les fonds sous-marins. Lee Archer, spécialiste de la faune sous-marine, découvre avec stupeur une réelle chimère marine. Sirène impressionnante, imposante, rapide, et pour le moins, agressive. L'équipe de recherche est constituée d'un professeur de folklore et mythologie, d'un mercenaire, d'un agent du gouvernement et d'un autre professeur des fonds marins. La base, située sous la mer et accessible par un petit submersible, est un hommage certain aux deux films cultes, The Abyss et The Thing.

D'ailleurs, la première partie est un huis-clos stressant, nerveux et oppressant, servi par une histoire rythmée, intéressante, dans laquelle se mêlent des mythes et légendes chers à Scott Snyder. Quelle est cette chimère ? D'où vient-elle ? Que recherche-t-elle ? Beaucoup de questions, et des réponses qui viendront ingénieusement dans la deuxième partie. Il faut également noter l'originalité de certaines idées : la base sous-marine, un catamaran sous-marin de combat et d'autres surprises... A souligner aussi l'effet hallucinogène du poison émis par la créature marine qui instille en nous nos propres peurs et souvenirs. La chimère s'infiltre dans notre esprit. Sonde notre âme. L'abysse s'analyse ici comme métaphore de notre inconscient qui ressurgit par une descente en profondeur. Une première partie abyssale, sombre et glaçante.

La deuxième partie de The Wake change assez radicalement. Les couleurs sont plus chaudes, on y observe un ton jaune orange qui accompagne très bien l'univers post-apocalyptique que l'on découvre dès les premières pages. Notons encore une fois l'excellent travail de Matt Hollingsworth qui a d'ailleurs colorisé toute la bande-dessinée en une seule fois. Pour ce travail, il s'est inspiré du fameux peintre d'estampe sur bois japonais, Hiroshi Yoshida.

L'histoire n'est plus confinée, l'action se passe géographiquement sur plusieurs fronts et s'élargit vers d'autres horizons insoupçonnés. Pour converger vers une fin habile, surprenante et maîtrisée. Les idées et théories proposés par Scott Snyder ne sont ni hasardeuses, ni à mettre au placard. Elles nous poussent même à réfléchir aux questions métaphysiques qui traversent notre esprit et ont traversé l'esprit de bons nombres de nos ancêtres. Qui sommes-nous ? D'où vient-on ? Où allons-nous ?

Conclusion

Pari réussi pour The Wake qui revisite magistralement les origines de l'espèce humaine et l'évolution de l'humanité, tout en nous emmenant dans les tréfonds des abysses pour exorciser nos propres démons.


Lien : http://lemontdesreves.fr/the..
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Après le très bon Punk Rock Jesus, l'excellent Joe l'aventure, il nous revient, avec Snyder au scénar, avec The Wake, un album à mi-chemin entre la SF et l'épouvante à la Carpenter (The Thing...). Waouh. Quelle baffe monumentale ! Non seulement les amateurs de comics vont adorer, mais les lecteurs amateurs de SF/thriller vont eux aussi devoir se laisser happer, parce qu'on tient sans doute déjà un des albums phare de l'année dans le genre ! On suit plusieurs trames temporelles (parfois très courtes, d'une page ou deux), mais deux en particulier : notre présent et 200 ans dans le futur. Tout commence par la découverte d'un son étrange, proche de celui émis par les baleines. La sécurité intérieure des Sates rappelle une cétologue casse-bonbon bannie des organisations nationales pour percer ce mystère. Aurait-on découvert un peuple marin... proche des sirènes ?
En tout cas, préparez-vous, l'apocalypse n'est peut-être pas très loin !
Voilà un album ÉBLOUISSANT, plein de suspense, de personnages forts. Une mise en scène parfaite, dynamique, ajoute à la qualité du récit. Un bijou qu'on vous dit !
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critiques presse (5)
Bedeo
27 juillet 2015
Le rendu visuel sauve littéralement de la noyade The Wake. Un trait précis et un jeu sur les noirs très efficaces servent parfaitement l’ambiance oppressante de la première partie de l’histoire.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Sceneario
17 février 2015
The Wake a vraiment tout du très bon album dont je conseille vivement la lecture. Toutefois, Snyder désamorce ses effets dans le tout dernier chapitre en collant un vernis sentencieux inutile au scénario. Il le fait rebondir sur de nouvelles bases en revisitant ses propres explications et c'est dommage, car ça casse un peu l'atmosphère qui régnait depuis le début.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
17 février 2015
L’ambivalence des personnages assure un huis clos infernal, même si, comme à son habitude, Snyder propose des héros un poil caricaturaux et une intrigue parfois un peu trop alambiquée. L'histoire est magnifiée par le coup de crayon de Sean Murphy, l’un des dessinateurs les plus populaires du moment. Son trait clair, qui pourrait paraître brouillon aux yeux de certains, alors qu'il est en réalité d’une précision chirurgicale, sert un univers riche et cohérent.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
12 février 2015
The Wake a vraiment tout du très bon album dont je conseille vivement la lecture.
Toutefois, Snyder désamorce ses effets dans le tout dernier chapitre en collant un vernis sentencieux inutile au scénario. Il le fait rebondir sur de nouvelles bases en revisitant ses propres explications et c'est dommage, car ça casse un peu l'atmosphère qui régnait depuis le début.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BulledEncre
28 janvier 2015
Récemment primé par l’Eisner Award du meilleur dessinateur et de la meilleure mini-série, autant le dire tout de suite, ce récit est passionnant.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
J'ai connu des scientifiques qui étudiaient les réflexes de l'œil de humain, mais aucun ne s'était attardé sur la fonction lacrymale. Ils voyaient ça comme un de ces inexplicables et inutiles vestiges de l'évolution.
Or, il s'agit bien d'un vestige, mais il n'a pas toujours été inutile, les larmes étaient l'oubli.
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- Meeks ! Qu'allez v ... ?
- Lâche-moi la grappe, hippie. On n'a pas tous les jours l'occasion de se battre contre le dernier spécimen d'une espèce.
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Son visage est comme une mer paisible, dont personne ne pourrait soupçonner les abysses.
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Fait n°1: l'aigle est un cannibale. Il se nourrit des siens.
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