Lawrence, le personnage principal de cette série est toujours en mission dans une Angleterre dévastée. Il doit retrouver une jeune fille de son village qui a disparu. On apprend plein de choses sur ce qu'est devenu le monde depuis 50 ans et on découvre des secrets d'Etat.
Un deuxième tome avec plus d'actions que le premier, qui servait surtout à présenter cet univers post-apocalyptique.
De nouveaux personnages apparaissent et donnent un peu plus de poids au récit. Ce second opus tient donc ses promesses.
2067. Dans une Grande-Bretagne post apocalyptique, Lawrence part à la recherche de la jeune Kéria, qui, avec d'autres femmes, a été enlevée par la société Winch pour tester leur valeur. Débute alors une chasse à l'homme prenante qui, contrairement au premier tome, donne de suite de l'épaisseur à l'histoire. L'ambiance y est remarquablement mise en valeur. Les décors réalistes offrent la part belle à la luxuriance de la végétation. Les scènes, les dialogues, les personnages, l'univers ravagé, nous plongent sans réserve dans la vie semi-sauvage dans laquelle vivent les survivants. La violence, très présente, est tout autant un appel à l'aide qu'une défense indispensable à la survie.
Eric Stalner nous offre un second tome réussi.
Lawrence qui a été chassé de sa demeure, part à la poursuite de son élève, Keira, qui lui a dérobé un plan de Londres. En traversant les territoires, il va découvrir que de sombres desseins se trament, qui affectent tous les clans, sauvages ou plus civilisés, contanminés ou non.
Après concertation avec le professeur de la Grande Bibliothèque d'Edimburg, il va chercher à déjouer les plans de la Winch Company.
Rien d'extraordinaire dans la suite de cette histoire.
On y apprend ce qu'il faut savoir sur le personnage principal, et sur la vie dans ce monde effondré.
On identifie les méchants, et les gentils.
Et l'histoire peut maintenant se dérouler.
Qui a écrit 1984