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Bernard Sigaud (Traducteur)
EAN : 9782253123682
473 pages
Le Livre de Poche (06/05/2009)
3.79/5   73 notes
Résumé :
On vous a menti sur toute l'histoire contemporaine. Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont failli l'emporter grâce à leurs sacrifices humains et leurs évocations des puissances ténébreuses qui rôdent derrière la porte d'autres univers. L'informaticien Bob Howard (dont le nom semble inspiré du premier prénom de H. P. Lovecraft) a été engagé de force au Bureau des Atrocités, dit aussi la Laverie Centrale, parce qu'il a eu le malheur d'explorer des archives q... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Bienvenue à la Laverie, messieurs ‘dames, le service secret de lutte contre l'occulte de Sa très gracieuse Majesté !

Vous vous souvenez de vos cours de maths au collège, votre conviction que votre prof était un démon dont l'existence était vouée à la torture de votre fragile petite âme ? Vous aviez peut-être bien raison. Les maths, voyez-vous, en tout cas une certaine branche de la discipline répondant au doux nom de Théorème Turing-Lovecraft (oui, le livre est comme il se doit truffé à raz les pages de références, soyez préparés), ont la fâcheuse tendance à résonner à travers le multivers et à attirer vers nous les habitants tentaculaires et non-euclidiens de réalités autrement plus flippantes que la notre. Oui, on appelait ça de la magie, avant, du temps où les amateurs faisaient leur trigonométrie en dessinant des cercles et des pentacles avec le sang de chevreaux noirs sacrifiés, en baragouinant des invocations impies par une nuit de pleine lune. Ca marche en réalité aussi bien en faisant une simulation sur un ordinateur ou un circuit électronique moderne, autrement plus communs de nos jours. On fait pas attention, une équation un peu tordue et hop ! Nyarlathothep, Yog-Sothoth ou un de leurs potes va se faire un sandwich avec votre cerveau avant de tenter de déclencher la fin du monde. La prolifération nucléaire, en comparaison, c'est de la gnognote.

La Laverie, donc, est l'agence clandestine qui protège le monde en général et le Royaume-Uni en particulier. Pas de James Bond musclé et macho agitant un volumineux flingue sous le museau d'atrocités d'outre-espace, notre héro Bob Howard, lorsqu'on le rencontre, est un gentil geek qui a eu le malheur d'explorer avec un peu trop d'enthousiasme certaines de ces équations. Ayant survécu à l'expérience, le recrutement dans les services secrets était la moins mauvaise solution parmi celles qui s'offraient à lui. Lorsqu'on le rencontre au début de cette première aventure, (ces deux premières aventures, en fait, le bouquin comporte deux histoires indépendantes, la seconde étant un chouïa plus courte mais encore meilleure selon moi) lassé de son poste de technicien informatique, il cajole, supplie, réclame jusqu'à ce qu'on lui refile enfin une mission de terrain. Pour le coup, il va pas être déçu. Nazis sur le retour, terroristes moyen-orientaux, créatures cthulhoïdes et tentaculaires, demoiselle occasionnellement en détresse, et surtout, surtout, la bureaucratie aussi labyrinthique qu'absolument inepte de son propre service, gangrenée de guéguerres internes, qui lui met au moins autant de bâtons dans les roues que tous les démons du multivers. T'es peut-être occupé à sauver le monde, Bob, mais si tu veux te faire rembourser ton sandwich-canette de la pause déjeuner, n'oublie pas de ramener le formulaire DF-357/A en triplicata. Et ton rapport de mission, c'est pour hier, la certification ISO 9001, elle pousse pas sur les arbres. Situation d'autant plus absurde que personne n'est certain qu'il y aura encore qui que ce soit sur Terre la semaine prochaine pour lire le moindre de ces rapports.

Stross mélange donc un beau paquet de références diverses dans son Bureau des Atrocités, et jongle avec brio avec deux influences dont le mariage relève du numéro d'équilibriste : les histoires lovecraftiennes pétries d'écrasante horreur cosmique et de mystère caché dans les recoins sombres du monde, et le techno-thriller moderne à l'ère d'internet et de la communication pour tous. Ajoutez à cela une bonne pincée d'humour britannique pince-sans-rire, secouez, servez. On pourrait s'imaginer que cette dose d'humour se marie mal au thème général, et je suis certain que plus d'un resteront froids devant le ton décalé léger du livre, voire même rétif devant le techno jargon pas toujours digeste si ce n'est pas votre tasse de thé, dont Stross peut tartiner des pages. Mais pour moi le contraste marche parfaitement. Quand Bob arrête de blaguer et que le ton du récit se fait lourd, on ressent d'autant plus le dramatique de la situation.

Un deuxième tome est traduit en français qui vaut la lecture si vous accrochez au premier, plus quelques autres pour ceux à qui la langue de Shakespeare ne flanque pas des nausées. Stross change de style et joue avec différents thèmes d'une histoire à la suivante, le contraste m'a choqué la première fois (avec Jennifer Morgue) mais ça rafraichi la série à chaque nouvelle aventure, où l'ont prend plaisir à retrouver Bob avec un peu plus de bouteille et un peu moins d'illusions sur notre destin de casse croute cosmique.
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OVER BOFF !!! ...

Très absurde et tellement que l'on peine à ne pas abandonner .

Le problème avec l'absurde c'est que à force de faire de l'absurde et de l'absurde et bien cela finit par être : vraiment absurde . Malheureusement toujours des clichés et des stéréotypes avec un style très inégal ( très ! )
Le point fort de l'intrigue : et bien : la théorie du complot pour la théorie du complot : oui ...

Cela fait de surcroît penser à " mémoires trouvées dans une baignoire "
de Stanislas Lem qui pour le coup est un exemple d'absurde vraiment absurde et vraiment réussi .

C'est comment dire : absurde ?

OVER BOF ...
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Le croisement entre le monde du policier et de la science-fiction ne vous fait pas peur. Alors vous tomberez sous le charme de Charles Stross qui mélange les genre pour surprendre le lecteur et l'emmener au delà du temps et de l'espace. Prêt pour une aventure qui vous surprendra?

La quatrième de couverture l'annonce Charles Stross propose un mélange entre James Bond, l'oeuvre de Lovecraf avec une pointe de X-Files et de Men in Black. Notre héros Bob Howard est un informaticien très doué. Pour la peine, il va se faire recruter par les services secrets anglais plus exactement dans le bureau des atrocités plus gentiment nommé La Laverie. Ben oui, grâce à ces supers héros de l'ombre les tâches du panorama quotidien sont nettoyer. Par exemple, quand les nazis récupèrent la souffrance qu'ils infligent pour créer un monde parallèle pour revenir un jour et prendre leur revanche, c'est eux qui interviennent.

Ici, Bob qui devait faire une simple première mission a mis le nez dans un dossier plus gros. Tombé sous le charme d'une belle femme intelligente, il va faire une entorse aux milliers de régles pour sauver la jeune femme en danger. Et heureusement qu'il l'a fait car c'est une clé dans la résolution de cette énigme tarabiscotée. L'auteur nous prend par la main pour nous mener dans des univers bien particulier.

J'avoue avoir trouver assez inégale dans la première histoire, le bureau des atrocités entre les périodes des récits d'aventures et l'autre partie où les neurones cogitent à 200% à l'heure. Je lis peu de SF alors quand on parle d'Alan Turing, de théorie mathématique, scientifique que l'on rajoute des clins d'oeil à Lovecraft et autres auteurs, google est devenu un ami. Beaucoup de recherches de mieux comprendre les éléments vrais pour mieux les différencier des choses de l'imagination. Pour que l'irréel face vrai, il faut le mélanger à la vérité. Il me manquait des bases que j'ai acquis pendant la lecture. Alors grâce à ce roman, j'ai complété mon petit cerveau de savoir.
Le travail d'écriture est vraiment remarquable même dans la deuxième histoire La jungle de béton, qui est une suite de la très longue première histoire. On retrouve les même personnages qui ont évolué. Bob est en couple avec l'ancienne prof, ces colocs sont partis habiter ailleurs ensemble, le dictat des règles trop strictes de l'entreprise qui a eu raison de l'équilibre mental de certains responsables.... Bref, une écriture subtile et drôle qui surprendra plus d'un lecteur.

Le bonus se fait par la postface sur la réflexion sur le genre de la science-fiction, sur la typologie d'écriture, les thématiques abordées.... Très intéressant à lire qui a changé mon regard sur les histoires lues. Et tout à la fin, un glossaire pour mieux comprendre les sigles utilisés dans le roman. Dommage que je ne m'en sois aperçu qu'en arrivant à la fin.

Envie de voyage, d'être surpris, d'aller à la rencontre d'un mec à l'apparence basique qui se trouve être un geek passionné coincé par un boulot qu'il n'a pas vraiment rêvé. Un livre qui permet d'ouvrir les portes du genre sf qui montre sa très grande richesse.



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Non mais quelle histoire (ou plutôt quelles histoires) !Dans les deux récits de cet ouvrage, on suit Bob Howard, agent de la Laverie (une agence d'état luttant contre les menaces occultes), dans sa lutte contre les forces du Maâal. Des forces du mal bien curieuses, d'ailleurs, puisqu'elles ressemblent furieusement à de grands anciens tentant de rentrer dans notre monde physique par le biais de portails créés grâce à l'utilisation de mathématiques plutôt sophistiquées et d'informatique encore plus tordue. le meilleur, dans tout ça, étant bien sûr que Bob n'est pas un agent de terrain expérimenté, mais un authentique débutant, ayant d'ailleurs toujours un poste officiel d'admin pour cette même Laverie. Ce qui ne l'empêche pas d'ailleurs, grâce à un flair certain, de se retrouver presque à chaque page dans des ennuis encore plus indépatouillables qu'à la page précédente, le moindre n'étant pas le terrifiant audit sur l'utilisation des trombones ...J'utiliserais bien une phrase typique pour commencer à commenter ce roman (comme par exemple "pour parler franchement, j'ai bien aimé ce roman"), mais je ne suis pas sûr qu'elle rende complètement justesse à cette histoire invraisemblable.Pour commencer, disons simplement que ce roman surfe, en quelque sorte, sur une espèce d'état d'esprit assez prometteur, mêlant le monde d'espionnage aux grands anciens typiquement lovecraftiens, en y ajoutant une couche de hacking bien sentie. Cet état d'esprit, c'est par exemple celui qu'on peut trouver, différents degrés, dans des films comme Men in Black, [b:Hellboy|102458|Hellboy Volume 1 Seed of Destruction|Mike Mignola|http://photo.goodreads.com/books/1171485412s/102458.jpg|98784] ou encore [b:les puissances de l'invisible|190554|Declare|Tim Powers|http://photo.goodreads.com/books/1172552376s/190554.jpg|937379], avec toutefois une nuance d'importance. En effet, si dans les oeuvres mentionnées, les personnages sont d'authentiques héros, le personnage principal de ce roman ressemble plus (et même beaucoup plus) au Randy Waterhouse du [b:Cryptonomicon|816|Cryptonomicon|Neal Stephenson|http://photo.goodreads.com/books/1157396454s/816.jpg|1166797] : c'est un hacker, un bon, même, qui a pour emploi officiel l'administration système dans la branche bureaucratique de cette laverie. Naturellement, je n'ai pu qu'entrer en empathie avec un tel personnage, assez proche de mon style de vie (même si sa collocation est pour le moins étrange). Et je n'ai aussi pu que compatir quand il est soudainement passé du terrifiant monde de l'administration à celui encore plus délirant de l'action. Monde de l'action dans lequel, hélas, la mort n'est pas un terme bureaucratique signifiant la mise au placard, mais plutôt la réalité d'une diminution substantielle du métabolisme. Ce changement plonge d'ailleurs notre personnage principal dans une déprime tenace et très touchante, car loin de tous ces récits de surhommes voyant mourir des milliers de personnes sans frémir (tiens, au hasard, [b:Honor Harrington|35921|On Basilisk Station (Honor Harrington, Book 1)|David Weber|http://photo.goodreads.com/books/1168651292s/35921.jpg|965345]).Pour résumer, nous avons donc un changement sympathique d'environnement, un personnage que j'ai trouvé vraiment sympa, et en bonus, de l'horreur. de l'horreur Cthulienne, mêlée en bonus à un peu d'horreur conspirationniste (RIAA et MPAA font ainsi un passage remarqué dans le second récit). Ce qu'il faut pour faire un bon bouquin.Le bonus caché (et c'est là que je me tire dans le pied), c'est que l'auteur a livré avec ce roman une postface longue et très documentée expliquant précisément pourquoi c'est si bien *et* pourquoi il n'y a aucun rapport avec Les puissances de l'invisible - mis à part l'horreur invisible et le SOE anglais. Je dis que je me tire dans le pied, car les raisons qui font que ce roman est interpelant sont expliquées avec un lxue de détails dans cette postface. Et ces raisons sont précisément ce que j'ai paraphrasé dans cette chronique.Bref, c'est un excellent bouquin, dont l'auteur démonte dans sa postface toute la brillante mécanique, ce qui en est en soi une raison supplémentaire de le lire.
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(lu en VO)

Charles Stross reste un auteur à part, dans un sous-sous genre clairement niche de la SF, mélant fantastique (inspiration H.P. Lovercradt); bureaucratie à la Kafka, Informatique, jeux de rôles et jeux vidéos (Castle Wolfensein), ...
Il faut ajouter à cela que c'est un auteur Britisch jusqu'au bout de la plume, maniant un humour plus que décalé tout en maniant une langue anglaise très riche et rès précise.
Bref c'est un auteur ancré dans son époque et quelque peu difficile d'accès.

Son gros défaut est d'en faire toujours un peu trop et de parfois dérouter son meilleur public, au risque de le lasser. C'est un des rares auteurs qui me pousse à consulter régulièrement les sources en ligne ou un dico pour le suivre.

Après un Charles Stross, je m'enfile généralement un ou deux romans qui ne demandent pas plus d'intelligence que celui d'une amibe....

Revenons au Bureau des Atrocités.
Le Principe est simple : pour provoquer un passge entre plusieurs mondes, point besoin d'invocation : il suffit d'un peu de vie et d'un but de code informatique. le problème provient bien entendu que tout programmeur un peu sophistiqué peut tomber par hasard sur un tel bout de code "maléfique" et de des gens mals intentionnés veulent évidemmment s'en servir pour des objectifs tout aussi abjects.
Un bureau, dépendant des services secrets, est créé protéger le bon peuple.
Qui dit bureau, dit administration tatillonne, rivalité, problèmes diplomatiques...
Voici les ingédients qui vont servir de toile de fond aux aventures de notre héro.
Ambiance, action, romance au rendez-vous.

Du dense, du bon, mais pour lecteur prévenu ;-)


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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Nous vivons dans une ère d'incertitude, de complexité et de paranoïa. D'incertitude, parce que, depuis quelques siècles, il y a carrément bien trop de connaissances disponibles pour qu'un seul être humain puisse les embrasser; nous sommes tous ignorants, si l'on va jusqu'au bout de ce raisonnement. La complexité multiplie cet effet parce que nos zones d'ignorance et nos points faibles interfèrent de manière imprévisible : les projets les plus innocents ont des effets secondaires imprévus. Et la paranoïa est le produit émergent de ces effets secondaires : le monde n'est pas tel qu'il paraît, et, de fait, il se peut que nous n'arrivions jamais à appréhender le monde tel qu'il est sans le filtrage réconfortant de nos opinions préconçues et de nos médias.
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Voyez-vous, tout ce que vous savez sur la manière dont fonctionne l’univers est correct – seulement il y a un petit problème : ce n’est pas le seul univers dont nous ayons à nous soucier. De l’information peut s’infiltrer d’un univers à un autre. Il y a des choses qui écoutent, et qui répondent : voir Al-Hazred, Nietzsche, Lovecraft, Poe, etc. Ceux-aux-nombreux-angles, comme on dit, vivent au fond de l’ensemble de Mandelbrot, sauf lorsqu’une incantation convenable dans le domaine platonique des mathématiques – informatisées ou non – les attire. (Et vous qui croyiez que cet économiseur d’écran fractal faisait du bien à votre ordinateur…)
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Merde, j'ai besoin de mettre un peu d'ordre dans ma tête. Je ne suis pas James Bond, il n'y a pas de créature sexy du KGB qui essaie de me séduire dans chaque chambre d'hôtel. C'est la première chose qu'ils vous inculquent à la Laverie Centrale (celle qui "lave plus propre"): la vie n'est pas un film d'espionnage, le travail n'a rien de romantique et la profession n'a rien de particulièrement excitant. Surtout quand ça implique de vous les geler dans un bosquet industriel sous la pluie à onze heures du soir.
Je regrette parfois de ne pas avoir saisi l'occasion d'étudier la comptabilité.
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ciel vert la nuit le hackeur réjouit
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Videos de Charles Stross (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Charles Stross
Entrez au c?ur de la démesure techniciste ! Prix Locus du meilleur roman de science-fiction 2006. En ce début de XXIe siècle, être courtier en idées de technologies de pointe n?est pas sans risque. L?idéaliste Manfred Macx en sait quelque chose : depuis qu?il milite pour l?open-source et pour les droits civiques de tout humain numérisé ou des non-humains, il est harcelé par un agent du fisc ? son ex-petite amie ? et par la Mafiya. Des années plus tard, sa fille Amber et quelques amis font route, à bord d?un micro-vaisseau, vers une naine brune, lieu d?un signal extraterrestre. Premier contact ou piège alien ?
Dans un Système solaire méconnaissable, Sirhan, le fils qu?Amber n?a jamais connu, convoque le clan Macx sur Saturne alors que le débat politique entre les humains et les posthumains fait rage. L?humanité est-elle en danger ? Une troisième voie est-elle possible ? Entre ressentiments et non-dits, il est temps que chacun s?explique. Et si Aineko, le cyber-chat des Macx, tirait les ficelles ? Sur fond d?économie et démocratie 2.0, Accelerando est un roman sur l?avenir de notre civilisation et la difficulté des relations familiales face à l?accélération technologique. Se situant entre Gibson et Egan, Charles Stross interroge le posthumanisme avec intelligence et humour.
"Acceleando", un roman de Charles Stross chez Piranha (www.piranha.fr)
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