Florent Véniel/5
2 notes
Résumé :
Quelle que soit l’époque, la façon de s’habiller constitue un reflet de la place que l’individu occupe dans la société. Le XVIIIe siècle, si « éclairé », si proche et pourtant si éloigné du nôtre, voit la continuité d’une certaine recherche de l’élégance, dans une évolution qui augure notre époque. Même si la mode qui influence l’habillement prend de plus en plus d’ampleur, l’homme cherche aussi le confort ; le costume se doit d’être à présent aussi élégant que fonc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Un livret très intéressant pour ceux qui s'intéressent aux vêtements du XVIIIe siècle.
Florent Véniel, enseignant, fait partie de la troupe "Les Menus Plaisirs, consacrée au XVIIIe siècle Historien de formation, il s'est rapidement passionné pour les petites histoires qui ont le quotidien des gens du passé. C'est pour des recherches assidues et grâce à son activité de reconstitution qu'il trouve matière à écrire de nombreux ouvrages sur le costume et sur la vie quotidienne.
A travers quelques personnages issus de diverses classes sociales ( paysan, prévôt, laquais, veneur, bourgeois, journaliste...), l'auteur nous livre ici un bel échantillon de la tenue vestimentaire de l'homme du XVIIIe siècle. de 1715 à 1789, de la mort de Louis XIV à la Révolution française.
De belles photos, des explications claires et précises, sur les tissus, les diverses sortes d'habits, de chaussures et aussi les cannes, chapeaux, épées et autres pipes.
On sent dans la précision des descriptions, le passionné d'histoire et de reconstitution historique.
La vie quotidienne est aussi décrite, comme l'appartenance aux jurandes, la vie aux champs, à la ville, les innovations politiques et sociétales.
Plusieurs articles viennent compléter cet ouvrage sur une séquence d'habillage, sur le livre et la diffusion du savoir ainsi que les sciences et techniques.
Un glossaire et une bibliographie donnent deux éléments supplémentaires à ce livre complet.
Florent Véniel, enseignant, fait partie de la troupe "Les Menus Plaisirs, consacrée au XVIIIe siècle Historien de formation, il s'est rapidement passionné pour les petites histoires qui ont le quotidien des gens du passé. C'est pour des recherches assidues et grâce à son activité de reconstitution qu'il trouve matière à écrire de nombreux ouvrages sur le costume et sur la vie quotidienne.
A travers quelques personnages issus de diverses classes sociales ( paysan, prévôt, laquais, veneur, bourgeois, journaliste...), l'auteur nous livre ici un bel échantillon de la tenue vestimentaire de l'homme du XVIIIe siècle. de 1715 à 1789, de la mort de Louis XIV à la Révolution française.
De belles photos, des explications claires et précises, sur les tissus, les diverses sortes d'habits, de chaussures et aussi les cannes, chapeaux, épées et autres pipes.
On sent dans la précision des descriptions, le passionné d'histoire et de reconstitution historique.
La vie quotidienne est aussi décrite, comme l'appartenance aux jurandes, la vie aux champs, à la ville, les innovations politiques et sociétales.
Plusieurs articles viennent compléter cet ouvrage sur une séquence d'habillage, sur le livre et la diffusion du savoir ainsi que les sciences et techniques.
Un glossaire et une bibliographie donnent deux éléments supplémentaires à ce livre complet.
Citations et extraits (3)
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Le terme de village désigne, au XVIIIe siècle, un ensemble cohérent qui comprends aussi bien les manses, c'est-à-dire les maisons, avec leur cour et leur jardin, que les labours et le saltus, représenté par les bois.
Si la toilette est sommaire, François essaie dans la mesure du possible de changer de chemise plusieurs fois par jour. C'est le linge blanc qui garanti de la saleté, alors que l'eau est encore considérée comme un vecteur possible de maladies.
Au XVIIIe siècle, l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert nous informe qu'il s'agit le plus souvent d'une simple feuille de papier que l'on applique ordinairement au coin des rues pour annoncer quelque chose avec publicité. Elle précise qu'il peut aussi s'agir de jugements rendus, d'effets à vendre, de meubles perdus, de livres nouvellement imprimés ou réimprimés. Dès 1722, des placards aux gravures et aux textes alléchants informent également des enrôlements.
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