Bien mais
Au départ j'ai bien aimé l'histoire qui est très bien écrite, mais hélas très vite on tombe dans les clichés habituels sur le handicap ainsi que sur les jeunes en difficulté. Après le deuxième accident d'Andrea tous devient beaucoup trop facile pour le couple et la suite de leur aventure devient prévisible on devine très vite la fin, dommage car l'idée de départ été très bien.
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Un très beau roman qui prouve que tous le monde a une seconde chance Vraiment passionnant qui redonnera du courage a beaucoup de lecteurs
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Il aurait pu être bien, ce livre, si l'auteure avait un tant soit peu fréquenté les ados à la dérive, et surtout les avait un poil écouté…parce qu'ils ne parlent pas comme ça…pas du tout, jamais.
Dommage, il est passé à peu d'être bon.
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une super histoire que tous le monde devrait lire au moins une fois dans sa vie
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Histoire beaucoup trop prévisible et bourrée de clichés
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— Tu as eu une bonne journée ? s’enquit tout de même Amos. C’était comment, cette reprise ? — Naze. Un con-nard avait garé sa pu-tain de ba-gnole pile à l’em-placement ré-servé au phonebus. Le chauf-feur a galéré tout à l’heure pour sor-tir la rampe et me faire mon-ter. — Oh, les gens sont tellement irrespectueux ! — Je ne te le fais pas di-re. Il fallait toujours que les valides oublient ceux qui étaient moins chanceux qu’eux en les empêchant de se déplacer sans encombre. Le phonebus était pratique à condition de le respecter. Les personnes âgées, à mobilité réduite ou habitant loin, là où aucune ligne ne les desservait, bénéficiaient de petits bus. Il suffisait d’appeler et de réserver avant puis de payer à la montée. Rien de plus simple. Sauf quand des abrutis empêchaient Andrea de se sentir autonome en lui rappelant que plein d’obstacles se dressaient devant son fauteuil.
— Eh bien, à un certain moment, j’ai su que les actes de mon père étaient immondes. En même temps, je me disais que c’était sa façon à lui de m’aimer et que je ne pouvais pas le condamner entièrement. Tu comprends ? Je détestais ce qu’il me faisait mais je voulais être un bon fils et ne pas le trahir en le dénonçant. Je ne voyais pas comment arrêter tout ça. Ce qui était normal pour lui était anormal pour la société. Du coup, plus rien n’a eu de sens parce que je ne voyais pas de solution au problème essentiel de mon existence.