Parce qu’elle a caressé d’une main distraite les chats d’André Malraux, celle qui écrit ces pages pourrait être une héroïne de Louise de Vilmorin. Intrépide, elle promène avec grâce sa tête blonde sous les climats les plus extrêmes. En chemin, elle rencontre des éléphants mélancoliques, une vache sacrée mais caractérielle, des singes farceurs, quelques moines volants, des yogis et des commissaires. Et un certain lama à l’humour bienveillant. Le tout forme le journal... >Voir plus