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EAN : 9782013233484
128 pages
Hachette Jeunesse (04/04/2012)
3.45/5   97 notes
Résumé :
Voir le monde à travers les yeux d'Elsa, c'est croire qu'à force de tout compter, le coeur peut devenir sec.

May est architecte de la maison du bonheur. Si seulement, la nuit de Noël, ses rêves devenaient réalité.

Gaston, lui, regarde en arrière les jours de pluie et s'imagine un monde où tout est encore possible... au moins le temps d'un dernier tour de manège.

Trois auteurs contemporains, trois regards réalistes et hu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (28) Voir plus Ajouter une critique
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Delphine de Vigan
Comptes de Noël
C'est l'histoire d'une petite fille très intelligente. « Je donnerais tous les livres pour être comme les autres, dans cette innocence, […] je donnerais tous les livres pour croire encore au Père Noël. » (p. 10) Oui, c'est Noël. Mais papa n'est plus là.

Le style de cette nouvelle peut agacer : c'est une enfant qui parle et le trait est parfois un peu forcé. Mais c'est une jolie histoire sur un petit miracle de Noël.

*****

Timothée de Fombelle
Ces chapitres sont si courts qu'ils passent en un souffle, que ce soit l'auteur qui se raconte ou qu'il raconte les autres. Toujours une émotion à portée de ligne et une sagesse très actuelle. « le don n'est pas un geste du coeur, c'est l'affirmation d'une dignité. » (p. 32)

J'ai été très émue par ces textes, comme devant des esquisses, des promesses qui laissent l'esprit vagabonder vers des horizons infinis.

*****

Caroline Vermalle
Il y a d'abord un manège sous la pluie et deux hommes qui ont une discussion qui semble infinie, éternelle. le portrait d'une vieillesse émouvante dissimule souvent l'image d'un enfant avide d'amour.

Il y a ensuite ce déménageur si émouvant dans ses maladresses de père, si avide de bien faire. « Pour connaître les goûts de Cindy Kpop, il fallait être son ami. Hélas, il n'était que son père. » (p. 82) Ce père-là, il prend à bras le corps ce qui lui faisait peur et il se donne à fond pour sa fille.

Deux textes d'une grande finesse et d'une profonde justesse qui parlent de familles simples, puissantes et belles dans leurs douleurs.

Un grand merci à Caroline Vermalle qui m'a proposé de recevoir cet ouvrage.


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Cette lecture, au départ studieuse, en vue des nouveaux programmes de la rentrée,m'a émue et ravie.Ces textes, a priori réservés à de plus jeunes lecteurs, sont pour moi tous publics.

Trois auteurs contemporains ont contribué à ce recueil de nouvelles.Tout d'abord la très connue Delphine de Vigan, pour " Comptes de Noël" où la narratrice, Elsa, en manque de père,a l'obsession des chiffres mais son coeur, comme elle le redoute, ne deviendra pas sec pour autant...

J'ai découvert avec grand plaisir et intérêt les deux autres auteurs:Timothée de Fombelle, qui a été professeur de lettres, dont j'ai beaucoup aimé l'écriture, claire et tout en finesse.Il a l'art de saisir, à travers ses sept textes très courts ,des instants de vie révélateurs, émouvants et témoignant souvent des travers de notre société moderne.J'ai particulièrement aimé " Un peu de lenteur", qui nous fait rêver à cette " slowlife" prônée par certains et " Scène de comptoir" où un SDF retrouve sa dignité en offrant un café à des inconnus. Dans ce cas, " le don n'est pas un geste du coeur, c'est l' affirmation dune dignité".Quelle juste remarque ! Une autre belle nouvelle aussi, qui exalte la notion de solidarité, c'est " Jardin inconnu"...

Mais la nouvelle que j'ai préférée, c'est la plus longue et la dernière, celle de Caroline Vermalle.Une merveille de délicatesse, de dévoilement de sentiments qui peinent à s'exprimer.Vincent , père maladroit et peu présent, veut accueillir chez lui sa fille Cindy, jeune fille fragile qui vient de faire une tentative de suicide.Les choses ne se dérouleront pas exactement comme prévu mais permettront au père de retrouver le contact avec sa fille.Et ce sera un road-movie tendre vers ( petit clin d'oeil à Rabanne...) la Corée du Sud, dont Cindy est fan.

Je conseille vraiment ce recueil de nouvelles, plein de douceur amère , qui nous présente un regard sensible et lucide sur notre monde actuel.

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Ce recueil s'ouvre avec "Comptes de Noël" de Delphine de Vigan
Elsa, petite fille précoce adore les chiffres. Et en ce réveillon de Noël, elle va être servie : sa souris Balthazar vient de donner naissance à neuf souriceaux. Sachant qu'une souris à une espérance de vie de deux ans, que sa gestation varie entre dix-huit et vingt-et-un jours et qu'en une année une souris peut avoir huit portées de cinq à dix petits, dans combien de temps sa maman s'apercevra-t-elle que Balthazar n'est PAS un mâle ?

Les sept très courtes nouvelles de Timothée de Fombelle qui suivent disent son attachement aux gens à la marge, aux accidentés de la vie. Certaines sont aussi très personnelles, on sent l'envie de partager un souvenir, une émotion, une réflexion.

Comment et de quoi rêver quand on subit la promiscuité d'une vue à six dans une chambre d'hôtel de treize mètres carrés ? Timothée de Fombelle apporte une réponse avec "Un parfum de rose et de sapin sec" : trois pages et un espoir immense.

"J'ai attendu" est la réflexion d'un (ancien) prof sur ce moment si particulier qu'est la rentrée.
"Dans ces deux ou trois heures d'un matin mouillé de septembre, toute la vie est déjà là : quitter les siens, en rencontrer d'autres, grandir, franchir des caps, faire des pas dans l'inconnu, créer tout seul du familier à partir de ce qui ne l'était pas, accepter la loi, se résoudre à ne pas tout choisir, partir seul..." et voir une rencontre faire vaciller ses habitudes.

Dans "Il était une fois", Timothée de Fombelle raconte ce qui habite ses histoires, l'équilibre délicat à trouver entre merveilleux er réel. "Divertir ou parler du monde ?" s'interroge-t-il. Ceux qui le lisent savent qu'il trouve le juste équilibre, chaque fois. N'est-ce pas là ce qui est réellement merveilleux

En découvrant "Un peu de lenteur" je ne peux m'empêcher de penser à la dernière publication de Timothée de Fombelle, "Esther Andersen". Éloge du temps infini des grandes vacances, et les aléas d'une panne qui obligent à ralentir, écouter, rencontrer.

Ce sont les leçons de vie inattendues du quotidien qui animent "Scène de comptoir". Et une réflexion sur le don particulièrement pertinente.

"Mon jardin inconnu" parle de jardins familiaux fantasmés, "îlots de civilisation qui se louent à l'année de saison en saison", "modèles réduits d'un monde un peu plus doux", rêve inaccessible pour quelqu'un capable de laisser mourir un cactus !

C'est à "Victoria rêve" que m'a fait penser "Il travaille". Ou la place délicate du chômeur de longue durée dans la société, ses effets sur l'estime de soi et sur le regard des proches.

Suivent deux nouvelles de Caroline Vermalle, que je découvre à cette occasion.
La première, intitulée "Le dernier tour" relate une discussion entre deux hommes, une nuit pluvieuse d'automne. Un manège, un vieil homme ayant précieusement conservé son âme d'enfant, un boxer, et une petite serveuse. Très touchant.

"La fille du déménageur" m'a moins convaincue. C'est mignon, plein de bons sentiments, de provinciaux généreux et de clichés. le souci c'est que c'est écrit comme parlent les personnages, pour "faire vrai" sans doute, lourdeurs et répétitions comprises. Ça m'a fait penser à du Barbara Constantine. Pour parler comme le déménageur du titre : y'en a qui aiment, moi j'aime pas.

Dommage de terminer sur cette fausse note, car dans l'ensemble ce recueil est une belle découverte.
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Lorsque j'ai découvert ce petit recueil exposé sur les tables de ma librairie préférée, j'ai directement été attirée par la couverture: cette attraction d'un autre âge sur un ciel d'un bleu limpide m'a fait l'effet d'une petite madeleine de Proust en puissance, d'un aller-retour nostalgie express vers l'enfance...

Ensuite, j'ai été interpellée par le nom des auteurs. Qui n'a pas entendu parler de Delphine de Vigan et de Timothée de Fombelle? Pour la troisième, elle m'était jusque-là inconnue... Mais 2/3, je ne prenais pas beaucoup de risques...

Enfin, professionnellement, je suis toujours à la recherche de textes courts à chute pour mes élèves. J'allais pouvoir ainsi allier le travail et le plaisir!

Et le plaisir fut au rendez-vous!

Le recueil qui, d'après la 4e de couverture, s'adresse aux jeunes adultes, comporte 10 nouvelles: 1 seule de Delphine de Vigan (petite frustration qu'elle n'en ait pas fourni davantage), 7 de Timothée de Fombelle (moins convaincantes mais néanmoins intéressantes) et 2 de Caroline Vermaele (deux petits bijoux).

C'est Delphine de Vigan qui ouvre le feu avec son "Comptes de Noël", l'histoire pleine d'optimisme d'une enfant différente, surdouée qui pense ne plus avoir de place pour son coeur avec tous ces chiffres qui occupent le terrain. Sa petite Elsa vous fera fondre de tendresse...

Suivent les nouvelles de Timothée de Fombelle où il nous livre quelques-uns de ses souvenirs et quelques-une de ses réflexions sur le monde qui l'entoure.
Dans "J'ai attendu", il nous parle de sa "fugitive carrière de prof" et de la difficulté d'enseigner dans les zones où "l'école est un refuge, un sanctuaire au mileu de leur quartier". Comme lui, prochaine rentrée scolaire, je réfléchirai à deux fois avant de demander à mes élèves de raconter leurs vacances...
Dans "Un parfum de rose et de sapin sec" et "Il travaille", l'auteur s'inspire davantage des faits divers et dénonce les drames liés à la pauvreté. En les lisant, je me suis retrouvée, l'espace de quelques pages, dans "La petite fille aux allumettes" d'Andersen. Dans "Scène de comptoir", il nous pose cette question existentielle: "La générosité est-elle le privilège des riches?" C'est également le thème de la solidarité et du partage qui est au coeur de "Mon jardin inconnu".
Dans "Il était une fois", il nous confie son penchant d'écrivain pour le noir et le fait que ce soit sa petite-fille de 2 ans et demi qui le rappelle à l'ordre:

"La seule règle qu'elle me donne, c'est de laisser une échappée, un espoir, un trait de lumière.
"Tu laisses la porte un peu ouverte. D'accord?""

Et, pour finir, "Un peu de lenteur", où avec lui, on savoure le bonheur d'arrêter notre course folle et de rendre au temps sa lenteur...

Ces nouvelles étaient certes intéressantes mais elles m'ont moins touchée! Trop courtes, trop personnelles pour que je puisse m'y plonger à coeur perdu peut-être...

Il n'en est pas de même pour les deux dernières nouvelles, celles de Caroline Vermalle, une véritable découverte, la cerise sur le gâteau de ce recueil! "Dernier tour" et "La fille du déménageur" m'ont réellement touchée en plein coeur. Toutes deux traitent des relations père-fils/fille, des chances qu'on laisse filer en taisant les choses qu'on devrait se dire, des raisons qui font que la vie vaut la peine d'être vécue... Ce sont les nouvelles dont les chutes m'ont le plus surprise...

En conclusion, même si vous êtes adeptes des histoires plus longues, n'hésitez pas, si vous en avez l'occasion, à parcourir ce recueil... Certaines de ces histoires de quelques pages pourraient vous étonner et vous toucher... plus qu'il n'y parait!
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
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Mon avis:
Je me suis procuré ce recueil de nouvelles lors de la séance de dédicaces de Caroline Vermalle non loin de chez moi.
Si je dois faire un classement, je dirai que j'ai préféré (une fois n'est pas coutume) les deux nouvelles de Caroline Vermalle, puis ce serait celle de Delphine de Vigan et pour finir les nouvelles de Timothée de Fombelle.

"Comptes de Noël" écrit par Delphine de Vigan
Informations:
"Comptes de Noël" est une nouvelle contemporaine de 8 pages.
Le personnage principal est Elsa
Les personnages secondaires sont Mathilde (la soeur d'Elsa), la maman des filles, Pocus (la souris blanche de Mathilde), Balthazar (la souris d'Elsa), entre autres ...

Mes ressentis:
Je ne fais pas un grand résumé pour cette nouvelle sinon vous n'aurez plus d'intérêt à la lire. Huit pages, c'est tellement vite expliqué ! Je passe donc directement à mes ressentis. J'avoue que j'étais très cureuse de lire cette nouvelle. Je ne connais pas encore la plume de Delphine de Vigan, j'ai son roman dans ma pile à lire, mais je n'ai pas encore plongé mon petit nez dedans. En ce qui concerne "Comptes de Noël", j'ai été agréablement surprise.

L'auteure met en avant la relation entre deux soeurs. La plus jeune fait une bêtise (elle est tellement innocente que c'en est touchant). Mathilde, sa grande soeur, prend les devants et lui donne la solution pour que leur maman ne s'aperçoive de rien, seulement cette solution est difficile à mettre en oeuvre, il faut du sang-froid et de l'indifférence.

Cette nouvelle est agréable à lire. La froideur des paroles de Mathilde envers Elsa et ses mots sont quand même assez durs, ce qui donne de la profondeur à l'histoire.
J'ai apprécié cette petite lecture.

* * *

"Un parfum de rose et de sapin" ; "J'ai attendu" ; "Il était une fois" ; "Un peu de lenteur" ; "Scène de comptoir" ; "Mon jardin inconnu" ; "Il travaille" écrit par Timothée de Fombelle
Informations:
Timothée de Fombelle a écrit 7 nouvelles pour ce recueil, elles font toutes 3 pages.

Mes ressentis:
Les nouvelles de Timothée de Fombelle ne m'ont malheureusement pas plu plus que ça. J'ai bien aimé la dernière, mais les autres ont à peine retenu mon attention.
Il raconte quelques petites anecdotes, quelques passages dans la vie. C'est simple, bien écrit.
Peut-être que ces nouvelles ont manqué de sensibilité à mon goût... En tout cas, j'ai terminé le livre hier et j'ai déjà oublié la plupart, c'est dommage !

* * *
"Le dernier tour" ; "La fille du déménageur" écrit par Caroline Vermalle
Informations:
"Le dernier tour" fait 13 pages et "La fille du déménageur" fait 39 pages.

Mes ressentis:
Caroline Vermalle a écrit deux nouvelles assez longues (par rapport aux deux autres auteurs) et plutôt complètes. Une fois ma lecture achevée, il ne me manquait aucun élément.
Une fois de plus, j'ai été conquise par sa plume et par ses mots. La sensibilité qu'elle intègre dans ses textes me touche beaucoup.
Dans sa première histoire, elle parle d'un vieil homme, Gaston, qui tient un carrousel. À première vue, on pourrait penser qu'il parle seul et perd la tête, mais ce n'est pas le cas ...
Dans la seconde histoire, on est plus tournée dans les relations père/fille. Voir jusqu'où un papa est capable d'aller pour réaliser les rêves de son enfant. Cette nouvelle est très jolie.


* * *

Pour conclure:
Apparemment, ce petit livre est très réputé du côté des enseignants, car les élèves de troisième l'étudieraient. Moi, j'ai passé un bon moment avec les nouvelles de Caroline Vermalle et de Delphine de Vigan. J'ai été moins séduite par celles de Timothée de Fombelle, mais cela n'enlève en rien la qualité de sa plume. Ce recueil de nouvelles est parfait pour passer un bon moment de lecture, c'est joli, agréable. Cependant, ne vous attendez pas à quelque chose d'inoubliable.
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Dans les histoire que je raconte à ma fille , je vois bien qu'elle est à l'affût de ce qui se rapproche de sa vie , sans en gommer les difficultés et les épreuves. Au sein de ce royaume qui ne manque de rien , au bord du torrent majestueux , il y a souvent quelqu'un qui pleure. La seule règle qu'elle me donne , c'est de laisser une échappée , un espoir , un trait de lumière.
P27
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Au début, je demandais aux élèves de raconter leurs vacances. Je me souviens d'une réponse qui m'a fait regretter cette habitude. J'interroge une fille de cinqiuième, arrivée depuis deux ans en France. Elle répond : " En juillet, j'ai préparé mon cartable..." "Et après?" Elle baisse les yeux et murmure : "Après, j'ai attendu."
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De quelle honte parle-t-il ? Celle de s’abaisser à recevoir ? La générosité est-elle le privilège des riches ? Qui a le droit de donner ? Je reste dans mon coin à me poser ces questions, frappé des leçons inattendues qu’offre le quotidien. 
Deux jours plus tard, en écrivant ces mots aujourd’hui, c’est une autre dimension qui m’apparaît soudainement : le don n’est pas un geste du cœur, c’est l’affirmation d’une dignité.

Scène de comptoir - Timothée de Fontbelle
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Dans ces deux ou trois heures d'un matin mouillé de septembre, toute la vie est déjà là: quitter les siens, en rencontrer d'autres, grandir, franchir des caps, faire des pas dans l'inconnu, créer tout seul du familier à partir de ce qui ne l'était pas, accepter la loi, se résoudre à ne pas tout choisir, partir seul... Oui, en vidant devant moi, comme un écolier sur le pupitre, cette trousse mystérieuse de la rentrée des classes, je réalise qu'on y retrouve en condensé toute l'aventure humaine. Il n'y a rien de jauni dans ces clichés de la rentrée, rien de nostalgique, il y a seulement le saut périlleux de l'existence.

"J'ai attendu", Timothée de Fombelle
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Quand vous avez avec les gens des entretiens bâclés à toute vitesse dans des salles bondées , vous empêchez toute discussion libre et franche.
P26-27
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Vidéo de Delphine de Vigan
Elle est l'éditrice attitrée de plusieurs écrivains contemporains qui comptent dans le paysage littéraire français, tels que Hervé le Tellier, Delphine de Vigan ou encore Monica Sabolo. Depuis 2019, elle s'évertue à faire briller le talent des écrivains de la prestigieuse maison d'édition Gallimard, dont elle est secrétaire générale. Elle y a rapidement porté de grands succès, comme par exemple le livre L'anomalie de Hervé le Tellier, prix Goncourt 2020. Rencontre.
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