La période est sombre : conflits et catastrophes déferlent dans les médias, débordés par ce flot recouvrant le réel d’un voile inquiétant.
Le coupable idéal est néanmoins trouvé : l’individualisme triomphant et son principal représentant, le Moi (l’ego), dont Pascal affirmait qu’il était haïssable.
Un tel verdict n’est pas suffisant. En effet, comme c’est le cas pour tout condamné, il est utile d’en avoir une claire compréhension si l’on veut en saisir...
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