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Enquêtes de Anna Kronenberg et She... tome 2 sur 3
EAN : 9782258144330
320 pages
Presses de la Cité (26/04/2018)
3.71/5   21 notes
Résumé :
Anna Kronberg revient... enceinte et traquée.
Enceinte de son pire ennemi, Anna Kronberg a repris espoir quand elle est parvenue, épaulée par Sherlock Holmes, à empoisonner Moriarty. Mais le redoutable professeur a tout mis en œuvre pour pouvoir continuer, même après sa mort, à torturer la mère de son enfant à naître : il a demandé au colonel Moran, son homme de main et grand chasseur de gibier, de mettre la main sur Anna et Holmes, puis d'attendre la naissan... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Troisième tome de la saga Anna Kronberg & Sherlock Holmes.🚂

Une semaine après les événements du précédent tome, La dernière expérience, Sherlock Holmes et Anna Kronberg sont en fuite. Ils sont traqués comme du gibier par le bras droit du professeur Moriarty qui est bien décidé à venger la mort de son ami, associé et source financière... le Colonel Moran. Cette fuite est compliquée par l'état d'Anna, enceinte de 5 mois. Sherlock Holmes met donc en place des dispositions afin de berner son poursuivant d'une part ; et faire main basse sur la fortune de Moriarty afin d'assécher les sources de financements des activités criminelles.
Les mois passants, le ventre d'Anna Kronberg ne cesse de s'étoffer et l'ultimatum annoncé par Moran, de la cueillir après la naissance se fait de plus en plus précis...


Après la lecture du précédent tome, La dernière expérience, je craignais énormément de lire ce troisième opus. Au final, je reste un peu sur ma faim comme je m'en doutais.😓


L'intrigue reprend l'histoire commencée depuis le premier tome de cette série, le diable de la Tamise et se poursuit une semaine après la fin du second volet. Nos personnages sont en fuite avec un chasseur bien décidé à les retrouver et se venger. Les stratagèmes mis en place par Sherlock Holmes afin de berner le Colonel Moran sont ingénieux et parfois sinistres, mais ils apportent une tension et un dynamisme à l'ensemble. Cependant, ce récit semble stagner par moment voire partir dans des invraisemblances qui m'ont quelque peu gênée. Par exemple, Sherlock Holmes et Anna Kronberg rencontrent le notaire de la famille Moriarty afin qu'il constate sa grossesse et lui octroie l'héritage. le temps que les fonds soient débloqués, nous apprenons que Anna Kronberg se rend tous les jours à la banque afin de s'informer de l'avancement du transfert.... Pourquoi Moran n'intervient pas à ce moment alors que nos deux fugueurs sont à découvert ???


La relation entre nos deux héros contraints de se supporter n'avance pas énormément, mais permet de dévoiler une partie du passé de Holmes. Son asexualité est mise en avant et l'auteur insiste dessus à maintes reprises. le lecteur comprend rapidement que cette relation amoureuse est vouée à l'échec.
👉J'espère de tout coeur pour le futur de cette série voir ces deux héros se séparer pour de bon. La fin de ce troisième volet permet de mettre un océan entre les deux et je suis curieuse de découvrir le prochain tome avec une nouvelle énigme loin de Sherlock, Moriarty et Moran. Ce personnage d'Anna Kronberg a pris suffisamment de consistance pour voler de ses propres ailes sans être rattaché à un personnage au nom célèbre.


Un des aspects les plus intéressants de ce récit est la condition de la femme. Cet élément était déjà présent lors des précédentes aventures, mais il est ici plus prégnant. Annelie Wendeberg nous relate les limites de cette société victorienne où la femme n'est qu'un être de seconde zone condamné à enfanter. La scène chez le notaire qui malgré l'état de grossesse d'Anna Kronberg doute .... le médecin de la morgue, choqué de voir une femme enceinte... l'hypocrisie latente concernant la négation de la grossesse puisqu'elle équivaut à reconnaître que la femme a eu des rapports sexuels. Annelie Wendeberg nous décrit tout cela avec humour et permet d'exprimer les choses au travers la voix de son personnage.


Les allusions à l'oeuvre de Conan Doyle sont encore énormément présentes. L'épisode relaté dans ce roman s'inspire énormément de la Maison vide, enquête où Sherlock Holmes revient et arrête le colonel. L'héritier de Moriarty se place chronologiquement entre le dernier problème où Sherlock est déclaré mort et La maison vide où il réapparait. Annelie Wendeberg s'inspire d'ailleurs énormément de l'intrigue de cette enquête en reprenant des éléments clefs comme la scène de la fenêtre aux rideaux fermés et le tir avec le fusil à air comprimé. Je n'en dis pas plus afin de ne pas trop en dévoiler.


Pour résumer : Ce troisième volet s'intègre totalement dans la suite des deux premiers. L'intrigue relatée reprend les mêmes éléments que les précédentes aventures et cela lasse un peu. le personnage d'Anna Kronberg est un peu trop étouffé par la présence de Sherlock Holmes puisque l'auteur tente de créer une relation amoureuse impossible.
J'espère découvrir dans le prochain tome une émancipation définitive d'Anna Kronberg d'avec Sherlock Holmes et la découvrir dans une atmosphère plus saine et plus indépendante. de même pour l'auteur à qui je souhaite de se détacher de Conan Doyle et de permettre à son personnage de voler de ses propres ailes.
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C'est avec un polichinelle dans le tiroir que nous retrouvons Anna Kronberg, pataugeant dans la lande humide en compagnie de Sherlock Holmes.

Dans son ventre, l'enfant de Moriarty grandi et, suivant la haute silhouette de Holmes, elle fuit le colonel Sebastian Moran.

Ce troisième épisode, je l'attendais et le craignais à la fois car il fallait rebondir sur un tome 2 très huis clos où Holmes était peu présent et où Anna avait affronté Moriarty.

Enceinte et en fuite, cela pouvait vite tourner en eau de boudin ou en guerre larvée avec un Holmes excédé par une femme en cloque qui, soyez certain, n'a pas envie de mettre sur l'mur, au-dessus du berceau, une photo d'Arthur Rimbaud !

Et puis, avec un Holmes aux p'tits soins, qui s'défonce en huit pour qu'elle manque de rien la p'tite… Et bien, ça la fout en rogne, Anna, qu'on lui fasse preuve de sollicitude ou qu'on la croie en porcelaine.

L'auteur a bien tiré son épingle hors du jeu, sans tomber dans les pièges d'une pareille histoire, évitant tous les écueils guimauviens et nos amis avaient beau être à pied et trempé, on s'est vite retrouvé à la moitié du récit qu'on n'y avait rien vu.

Le couple Holmes-Kronberg marche du tonnerre sans jamais sombrer dans la mièvrerie. Il est composé de respect, de sentiments amoureux (pour Anna), d'amitié, de cerveaux connectés et d'un Holmes qui a envie de faire un pas en avant tout en faisant trois pas en arrière.

Accorder leurs violons semble être une tâche pour le moins difficile, surtout que Holmes ne montre jamais ses sentiments et que s'il se dévoile un peu, c'est pour mieux se refermer, tel une huitre à qui on voudrait voler sa perle.

Un passage que j'ai bien aimé, ce sont les réflexions d'Anna sur les prostituées et sur le carcan dans lequel la société victorienne se réfugie, regardant ailleurs. le fait d'avoir visionnéé des reportages sur Jack The Ripper m'a ouvert une fenêtre en plus dans le récit.

Anna n'a pas sa langue en poche et elle ne se prive pas de fustiger cette société qui refuse des droits aux femmes, qui les empêche d'accéder à certaines professions, sur le fait que cette société bien-pensante évite de parler de sexe et qu'elle fasse comme si les femmes tombaient enceinte de par l'opération du Saint-Esprit ! Savoureux !

Niveau rythme et suspense, on n'est pas volé. L'ombre de Moran et de son sbire plane sur le récit et si l'homme était un animal, on sentirait son haleine fétide sur nos talons. D'ailleurs, tout comme Holmes et Anna, on n'est jamais trop sûr d'avoir réussi à le berner.

L'ennemi est à la hauteur, c'est un chasseur de grands fauves et si Holmes est traqué aussi, c'est Anna qui fait souvent figure de chèvre pour appâter le chasseur transformé en tigre.

Le récit se veut réaliste au niveau des douleurs ressentie par une femme enceinte ainsi que dans la scène d'accouchement. le fait qu'Anna soit médecin donne aussi plus de corps à ce genre de détails puisqu'elle connait bien l'anatomie humaine.

Dommage que le récit n'ait pas été un peu plus long ce qui l'aurait étoffé. C'est bien joli de nous reparler de la menace bactériologique des tomes 1 et 2, mais l'auteure ne pousse pas assez loin cette menace et cela donne un sentiment inachevé, comme si on avait mis des épices sur le plat principal mais oublié de saler un des accompagnement.

Le final est comme il devait être, dans la logique. J'aurais aimé un autre, mais ce que mon coeur désirait mon esprit ne pouvait le valider car il aurait été à l'encontre de ce que les trois tomes nous avaient montré.

Une belle trilogie politico-historique avec, en toile de fond, les prémices de ce qui deviendra La Grande Guerre avec son cortèges d'horreurs dont on aura un bref aperçu dans l'annexe.

Une trilogie holmésienne où Holmes n'est pas le personnage principal mais qui se retrouve tout de même aux avants-postes avec une compagne d'enquête qui n'a pas démérité sa place.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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3eme tome des aventures d'Anna Kronberg qui a enfin réussi à se sortir des griffes de Moriarty mais à quel prix ! Elle se retrouve traquée par le dangereux Colonel Sebastian Moran, l'acolyte de Moriarty.
J'attendais beaucoup de ce roman car j'ai bien aimé le 1er tome et j'ai été extrêmement déçue par le 2eme. Au final, je suis plutôt contente de cette lecture même si je reste un peu sur ma faim. L'intrigue reprend celle du tome précédent mais il n'y a pas de grande nouveauté, c'est dommage, j'aurais préféré une nouvelle enquête, espérons que ce soit le cas dans le prochain (il me semble qu'il existe 2 autres livres mettant en scène Anna Kronberg qui n'ont pas encore été traduits). Cependant, si Sherlock était peu présent dans le tome précédent, il accompagne Anna tout le long, et j'ai aimé les interactions entre ces deux personnages.
J'ai également apprécié que l'auteur respecte en quelque sorte la chronologie des aventures de Sherlock Holmes pour coller à son histoire ainsi que les références à l'oeuvre originelle de Conan Doyle.
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Nous retrouvons dans ce troisième tome le docteur Anna Kronberg dans une situation plus que périlleuse, puisqu'elle est ici enceinte et en fuite. Fragilisée par les événements vécus dans le deuxième tome de cette série, elle semble plus vulnérable que jamais, rongée par la culpabilité, le doute et le dégoût d'elle-même et de son enfant, symbole des horreurs infligées par Moriarty. Anna garde malgré tout son caractère bien trempé, comme le prouvent ses discussions à bâtons rompus avec Holmes et leurs joutes verbales toujours savoureuses. Anna ne se prive pas non plus de dénoncer l'hypocrisie du monde victorien concernant les femmes, en rappelant qu'elle a dû se travestir en homme pour devenir médecin, mais aussi en ironisant sur la prostitution, ou le déni des hommes concernant la sexualité des femmes.
L'histoire elle-même est prenante, et on tremble pour Anna et Holmes, traqués par des ennemis dangereux et déterminés. Les rebondissements ne manquent pas, et on tourne les pages avec impatience mais aussi appréhension en se demandant ce qui les attend.
Un troisième tome très réussi, donc, et qui clôt magistralement cette trilogie passionnante, inventive et pleine d'humour, mais aussi de noirceur, dans un Londres victorien particulièrement bien décrit.
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J'ai retrouvé avec grand plaisir Anna Kronberg dans ce troisième tome car le personnage, haut en couleurs et plein de caractère, ne s'oublie pas facilement.

Après avoir été dans une situation bien compliquée dans le second volume, notre héroïne se retrouve dans une situation non moins difficile… En somme, les choses ne s'arrangent pas vraiment pour elle dans la suite de son aventure. Ou du moins, elles tournent différemment. Disons que sa grossesse lui complique légèrement la vie et que sa condition de fuyarde n'est pas forcément très confortable…

Dans ce tome, Anna reste évidemment la narratrice et l'héroïne n°1. Autour d'elle gravitent des personnages bien connus des lecteurs tels que Sherlock Holmes (nous sommes évidemment dans son monde à lui, bien qu'il ne soit qu'au second plan), Mycroft Holmes, qui fait ce qu'il peut pour arranger les affaires d'Anna ou encore le colonel Moran, le grand méchant à fuir.

Bien sûr, vous vous doutez bien que les deux esprits vifs que sont Anna et Sherlock ne vont pas se contenter de fuir bêtement. de tactique en stratégie, ils jouent avec leur chasseur… mais Moran tombe-t-il vraiment dans le panneau ? Avoir un coup d'avance ne veut pas forcément dire qu'ils gagneront la partie…
Difficile, vraiment, de parler d'un 3ème tome sans trop en dire.

Si je suis trop bavarde, vous n'aurez pas envie de commencer la trilogie et en même temps, si je reste trop évasive, vous n'aurez aucune idée de ce que contient vraiment ce roman, ni s'il vaut le coup…

Ce que je peux vous dire, sans craindre d'aller trop loin, c'est que…

le style de l'auteur est toujours aussi agréable à lire, vraiment !
Anna est toujours Anna et Sherlock, toujours Sherlock : donc entre eux, c'est parfois plus que compliqué malgré des atomes crochus plus qu'évidents.
Il y a beaucoup d'action, de rebondissements : tout comme les héros, nous lecteurs, sommes toujours en mouvement. En cela, j'ai presque préféré ce tome au second car il est plus rythmé à mes yeux et l'intrigue est d'autant plus captivante.
le décor a toute son importance, qu'il s'agisse des landes désertes ou des bas-fonds de Londres, il est merveilleusement bien décrit et apporte beaucoup à l'histoire. le contexte historique/politique (avec la guerre prochaine en toile de fond) est aussi un atout de taille et donne vraiment un plus à cette histoire qui est plus qu'une course poursuite en Europe.

En quelques mots,

L'auteur termine sa trilogie avec brio. Bien sûr, la fin n'est pas vraiment celle que j'espérais, au fond de moi mais elle est également plus crédible, plus logique et donc, supérieure à celle que mon petit esprit avait échaffaudé durant le temps de ma lecture. Pour terminer, donc, je ne pourrais que conseiller ces 3 romans aux amateurs de polars victoriens, aux fans de Sherlock Holmes (tout en gardant à l'esprit qu'il n'est pas le héros de l'histoire) ou tout simplement à ceux et celles qui recherchent un personnage féminin fort et moderne pour son époque !
Lien : http://cellardoor.fr/critiqu..
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Depuis le premier jour de notre fuite, nous suivions scrupuleusement le même rituel tous les soirs. Efficace à défaut d’être agréable. Quant à moi, j’étais moins pressée d’échapper à la pluie qu’à la dure réalité et à cette lutte constante contre les éléments. Je n’aspirais qu’à retrouver les quelques minutes de tranquillité dont je jouissais entre l’instant où je fermais les yeux et celui où je commençais à rêver.
Cette fois encore, en moins de trois minutes nous eûmes enlevé nos vêtements détrempés, restant sous la pluie afin de nous laver de la boue malodorante qui nous recouvrait. Nous accrochâmes dehors chemises, pantalon, jupe et sous-vêtements, car ils n’auraient de toute façon eu aucune chance de sécher dans notre abri de fortune. Nous essorâmes nos cheveux pour en chasser le plus d’eau possible avant de plonger sous les couvertures. Holmes ouvrit mon sac à dos et en tira le seul rechange de vêtements secs dont nous disposions chacun. Nous les enfilâmes sur nos membres tremblants, puis nous nous serrâmes dans les bras l’un de l’autre, partageant les couvertures et le peu de chaleur que diffusaient encore nos corps.
Si la nécessité nous imposait cette proximité, nous évitions de nous regarder et de parler. Collée à Holmes, j’avais l’impression d’être un objet si détestable que ma chair menaçait de se détacher de mes os. Holmes s’obligeait à passer une heure tous les soirs dans les bras d’une femme qui avait couché avec son pire ennemi. Je me doutais qu’il devait être extrêmement gêné, mais je préférais ne pas trop y penser.
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— Vous avez parlé de votre déménagement à la campagne ?
[...]
— Je sais pas trop, Anna. Garret, ça lui dit pas trop. Comment dire… quand une femme paie tout pour un homme – si tout est à elle, la maison, l’argent, tout –, il a l’impression qu’on lui coupe les couilles. C’est plus vraiment un homme.
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Vint ensuite le tour des couvertures, que je tâtai avec inquiétude à la recherche d’une éventuelle humidité, les doigts trop engourdis par le froid pour sentir grand-chose. Notre épuisement était tel qu’une seule nuit passée sous des couvertures mouillées nous aurait condamnés à une pneumonie. Or la première ville assez importante pour accueillir une pharmacie et un médecin était à six bonnes heures de marche. Seuls les renards et les corbeaux nous soigneraient.
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- Là, vous parlez de théories et d'hypothèses.
- Que voulez vous, ce sont mes origines populaires qui s'expriment, répondis-je en lui souriant. Les péquenauds devinent, les gens de la haute émettent des hypothèses.
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Un esprit gravement paranoïaque aurait pu en conclure que le monde entier conspirait pour dévorer l'Empire britannique. Mais l'Europe n'était-elle pas en train de se rassembler et de s'ouvrir? Les trains et les bateaux à vapeur rendaient toutes les régions du monde accessibles, même les plus éloignées, que ce soit en Europe ou en Amérique. Le télégraphe permettait à tout un chacun d'envoyer des messages de Londres à New York et de recevoir en l'espace de quelques heures. Sans parler du téléphone! Une invention extraordinaire qui permettait de communiquer de vive voix malgré la distance. En ces temps modernes, tout le monde pensait que les peuples étaient trop étroitement liés, trop progressistes et trop civilisés pour régler leurs conflits par la force. L'Europe, à coup sûr, ne reverrait plus jamais de guerre sur son sol.
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