Je dois dire que ma lecture de ce recueil de nouvelles fut des plus ennuyeuses comme scandaleuses. J'ai pourtant lu jusqu'au bout, pensant retrouver le talent de l'auteur au moins dans un texte, mais non !
En fait, on pourrait diviser les nouvelles en deux : celles très prometteuses qui se terminent si brutalement qu'on attend encore des réponses, une action, bref, quelque chose qui boucle l'histoire plutôt de nous la claquer au nez au beau milieu. Et celles qui reflètent une misogynie certes peut-être d'époque mais proprement scandaleuse, en particulier dans l'une des nouvelles qui traite le sujet du viol d'une façon qui m'a autant révoltée que mise très mal à l'aise.
Bref, j'ai clairement eu l'impression de voir là un ramassis des fonds de tiroir de van Vogt.
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Le mariage, dit parfois Terry Maynard quand il est d'humeur expansive, est une institution sacrée. je suis bien placé pour le savoir. J'ai été marié deux fois, la première en 1905, la seconde en 1967. Ce genre de laps de temps offre une perspective permettant d'exprimer un jugement juste.
Frédéric Beigbeder vous dit pourquoi il aime Le monde des non-A de A.E. Van Vogt et San-Antonio de Frédéric Dard