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EAN : 9782867465826
400 pages
Liana Lévi (04/11/2011)
3.64/5   79 notes
Résumé :
Résumé:
Jusque-là sa vie était routinière, prévisible et rassurante.
Un bon job, un modeste pavillon de banlieue, une gentille famille. Mais la mondialisation frappe à Los Angeles comme ailleurs et Marcus refuse d'assumer la direction de Wazoo Toys en Chine. Son compte en banque vire au rouge cramoisi tandis que la bar mitsvah de son fils approche. Sans compter les petits bobos d'une belle-mère à demeure. C'est alors que la mort de son frère mal-aimé ... >Voir plus
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Pour combien tu deviens Mac ?

C'est un peu le dilemme qui se pose à Marcus, cadre moyen de L.A. quand son frère lui lègue sa blanchisserie qui, manifestement, ne fait pas reluire que le linge. Pas vraiment téméraire le Marcus, et tous ses principes s'opposent à conserver cette activité qu'il découvre. Sauf que…

Sauf que les dettes s'accumulent, qu'il vient de se faire virer de son poste de directeur d'usine, que le commerce de sa femme Jan bat de l'aile, qu'il faut opérer sa belle-mère Lénore mais qu'elle n'a pas de couverture santé et que leur fils Nathan rêve d'une grande fête pour sa bar-mitzvah.

Alors lassé de manger son pain noir, Marcus saute le pas et opte alors pour le pain de fesses, tout en essayant de mettre un peu de paternalisme social dans son univers de filles à louer : mutuelle, plan de retraite, club de lecture où l'on échange sur Anna Karénine entre deux passes. Marcus est mort, vive Papa Mac !

Un patron modèle de Seth Greenland – traduit par Jean Esch – est ma deuxième incursion chez l'auteur et j'y ai retrouvé ce qui m'avait enchanté dans le génial Mécanique de la chute : un roman drôle, enlevé et sans morale, mais enrobé dans une sous-couche à peine cachée satirique et politique.

Car au milieu de sa grosse poilade, Greenland décortique cette Amérique moyenne qui regarde vers le haut en craignant d'être absorbée par le bas, prête à s'asseoir sur ses principes moraux, religieux ou sexuels pour s'éviter la dégradation sociale.

Faussement naïfs, ses personnages sont immédiatement empathiques, probablement car ils sont parfois un peu de vous, et peut-être même un peu de moi. de la littérature barrée et déjantée qui fait réfléchir, c'est précieux.

Et on me murmure dans l'oreillette qu'un nouveau Greenland débarquerait en France à l'automne…
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Marcus Ripps est un homme assez terne, sans beaucoup de caractère. Il occupe néanmoins un bon poste dans l'entreprise Wazoo Toys (qui a connu un grand succès grâce au concept des « présidents en prières », figurines parlantes de présidents américains déclamant des passages de la Bible) fondée par Roon, un de ses amis d'enfance, et possède une jolie maison dans un quartier plutôt cossu. Mais sa petite vie de routine banlieusarde touche à sa fin le jour où Roon lui donne le choix : émigrer en Chine où va être relocalisée son usine, ou perdre son job.
Son épouse refusant de quitter Los Angeles, Marcus pointe donc rapidement au chômage et s'endette. le salut arrive quelques mois plus tard lorsque Marcus apprend que son frère, Julian, avec lequel il n'avait plus de contact depuis plusieurs années, est mort en lui léguant sa blanchisserie. Une blanchisserie qui, Marcus le comprend vite, n'est qu'une façade pour un autre type de commerce, bien plus rentable et bien moins légal : Julian était un mac. Et Marcus, financièrement acculé, décide donc de reprendre le flambeau en injectant tout de même dans l'entreprise un peu de déontologie.

« Chez Wazoo, Roon s'était montré cupide dans ses rapports avec le personnel : salaires bas, avantages minimums, conditions de travail médiocres. Marcus, lui, serait bienveillant. Roon considérait ses employés comme des éléments interchangeables dans une machine économique. Marcus les considérerait comme des individus et les traiterait avec dignité. le style de management de Roon était tyrannique, dénué de compassion. Marcus serait attentionné. Il essaierait de comprendre sa main-d'oeuvre et de travailler avec elle. Il fit le serment d'être un potentat éclairé, qui dirige son entreprise en fonction des critères les plus exigeants du management à l'américaine, et non pas comme Roon, qui dirigeait Wazoo avec des méthodes de mac ».

On le voit, c'est un objectif ambitieux que se fixe Marcus, qui mettra petit à petit en place pour ses employées un plan d'épargne-retraite, une couverture santé et même un club de lecture. Et c'est bien là la facette la plus intéressante de ce roman : comment un employé timide, heureux de son confort, décide finalement, après avoir subi la loi du marché, de se relancer grâce à une entreprise a priori amorale en moralisant son rôle de patron. Bien entendu, cela a des répercussions sur sa vie de famille et en particulier sur ses relations avec sa belle-mère (qui soigne son glaucome en fumant de la marijuana et qui prend des cours de pole-dance) et, surtout, son épouse qui savoure son ascension sociale.
On suit donc les péripéties de Marcus et de sa petite famille avec un regard d'autant plus amusé que Seth Greenland dispose d'un bon sens de la formule et mène plutôt bien sa barque même si le récit tend parfois à trop s'étirer et à pencher peut-être un peu trop par certains aspects (en particulier les efforts de Jan, la femme de Marcus, pour faire vivre sa propre entreprise et pour se faire accepter par les rupins du quartier) du côté des Desperate Housewives. Reste que, dans l'ensemble, Un patron modèle est un roman à la lecture agréable, au ton léger et détaché mais pas bête, et l'on est curieux de jeter un oeil aux autres ouvrages de Seth Greenland.

Lien : http://encoredunoir.over-blo..
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Un Patron modèle… Vous ne pouvez avoir une petite idée de ce dont parle le roman de Seth Greenland qu'en en voyant la couverture. Couverture qui attire l'oeil de tout le monde, même des récalcitrants à la lecture. Il faut dire qu'une couverture montrant une fille en mini-robe rose pailletée avec un décolleté plongeant et des bas résilles… Si ce n'est pas vendeur auprès d'un certain lectorat masculin…

Pour faire bref, c'est l'histoire d'un Américain, un certain Marcus Ripps, qui commence à avoir des problèmes d'argent. Son entreprise délocalise en Chine, mais il ne veut pas suivre. Il parvient tant bien que mal à faire vivre sa famille, mais cela oblige tout le monde à se serrer la ceinture. Arrive par-dessus tout cela la mort de son frère Julian, qu'il n'avait pas vu depuis des années. Il lègue à Marcus une blanchisserie qui, espère ce dernier, parviendra à lui faire redresser la barre. Seulement il s'avère que la blanchisserie n'est pas une blanchisserie… et Marcus se retrouve ainsi, sans l'avoir voulu, à la tête d'un réseau de prostitution, monté par son frère quelques années plus tôt. D'abord réticent à l'idée d'exercer une activité illicite, Marcus voit cependant dans ce business l'opportunité de se refaire une santé financière. Il décide alors de relever le défi en quelque sorte lancé par son frère, mais se jure de mettre la clef sous la porte dès qu'il aura suffisamment renfloué ses caisses. Seulement les choses se compliquent lorsque l'un des clients de l'agence décède d'une crise cardiaque lors d'un rendez-vous avec une des filles…

Vous allez me dire, c'est bien gentil tout ça, mais où est l'intérêt ? Eh bien il se trouve dans cette écriture franche grâce à laquelle Seth Greenland croque avec dérision et jubilation la société consommatrice américaine, consommatrice de tout, même de sexe. Mais cette histoire qui se déroule chez nos amis de l'autre côté de l'Atlantique aurait tout aussi bien pu se passer chez nous.

La justesse de l'écriture de Greenland réside dans l'usage d'un vocabulaire très varié, aussi bien précis et choisi avec soin dans les passages narratifs que d'une vulgarité nécessaire dans la bouche de certains personnages. Un roman se déroulant dans le milieu de la prostitution sans employer de langage vulgaire ne présenterait pas le moindre intérêt, car il serait totalement irréaliste. Ici, la trivialité n'est pas déplacée ni excessive, au contraire. Les mots font mouche, et le lecteur n'est pas choqué car il ne peut que s'y attendre.

Enfin, des traits d'humour, présents de diverses manières, ponctuent le roman d'un fond agréable et le lecteur se prend à sourire, parfois même à rire, devant un détail insolite, et l'incongruité de certaines situations ou personnages, par exemple la belle-mère de Marcus qui pratique le pole dancing et demande à faire partie du business de la « blanchisserie »…

Cependant, si la lecture du récit est une partie de plaisir pour le lecteur, le personnage, lui, se débat dans les fils inextricables de sa conscience. Et si l'on peut par moments regretter que la narration ne se fasse pas à la première personne, on a tout de même accès à une bonne partie de la psychologie de Marcus, ce qui nous fait réfléchir nous aussi. Jusqu'où est-on prêt à aller pour faire vivre ceux qu'on aime ? Car si Marcus décide de reprendre l'affaire de son frère, c'est avant tout pour faire vivre sa femme et son fils, ainsi que sa belle-mère, qui loge sous leur toit, et qui commence à avoir des problèmes de santé qui nécessitent de l'argent.

Autre question qui se pose : peut-on gérer de manière altruiste une entreprise illégale ? Car Marcus, ce « patron modèle », propose entre autres à ses salariées (lui-même ne sait pas s'il peut les nommer ainsi) un plan d'épargne-retraite, ce qui paraît totalement incongru pour un proxénète… C'est aussi cela qui fait le délice de la lecture de Seth Greenland : le goût du détail qui montre le décalage entre la vie bien rangée dont vient Marcus et ce monde aux frontières floues dans lequel il pénètre en acceptant de devenir un mac.

La conclusion se tire d'elle-même : un livre délicieux et plaisant, sans faux-semblants, d'une finesse mordante qui fait parfois frissonner mais qui est la juste transcription du monde réel.
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Première incursion chez Seth Greenland. Certainement pas la dernière. Chaudement recommandé par mon libraire préféré, et très emballée par la couverture haute en couleur, j'ai dévoré les péripéties de ce brave Marcus.
Cadre intermédiaire effacé, menant une vie plate, tant d'un point de vue personnel que professionnel, Marcus se retrouve coup sur coup licencié, sur le point de perdre sa maison, de voir son couple finir de se déliter. Bref, une très bonne année de galère... La mort de son frère qu'il ne voit plus depuis des années le met à la tête d'une blanchisserie. Surpris notre Marcus car au vu du caractère de son frère , il ne s'attendait pas à une telle activité. C'est en se rendant sur les lieux que la couverture (du livre comme de la réalité de la boutique) prend tout son sens.
S'ensuivent des atermoiements sur la moralité de reprendre ou non l'affaire. Puis la réorganisation de la blanchisserie commence. Marcus se révèle en définitive un patron modèle.
Seth Greenland dépeint dans ce roman savoureux toute une galerie de personnages, des scènes très drôles(le club lecture avec ses employées autour d'Anna Karénine m'a énormément plu). Il procure un moment de lecture très jouissif. On suit avec plaisir l'évolution de la société et de la petite famille. La belle - mère adepte du joint et du pole dance est particulièrement attachante.
Je ne peux que conseiller ce roman à l'écriture fluide, vive et pleine d'ironie. L'auteur n'oublie pas non plus d'égratigner au passage certains traits de l'Amérique contemporaine tels les dérives du capitalisme, l'hypocrisie du conformisme, etc. Une lecture distrayante et rondement menée.
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Humour garanti avec les gros problèmes financiers de Marcus Ripps dans "Un patron modèle", désopilante pochade dont la légèreté n'est cependant pas la qualité première. Cette réserve faite, on rit beaucoup au long de 400 pages abracadabrantes dont je tirerai quelques pépites en fin d'article.
Marcus n'a pas envie de lâcher la Californie pour la Chine où son patron veut l'envoyer. Ça tombe bien, son frère pourtant détesté meurt, lui léguant sa prospère blanchisserie. Ou plutôt sa Prosper blanchisserie car l'activité y est certes florissante mais peu légale. Marcus va donc être amené à de curieuses rencontres, par exemple Kostya, un homme de main russe de deux mètres, intimidateur de son métier mais qui rêve d'ouvrir un restau barbecue. Ou Tommy, Samoan à la carrure de rugbyman pris d'amitié pour le judaïsme par amour pour une jeune femme juive. Ce qui sauvera Marcus à plusieurs reprises. Ce Marcus qui n'est d'ailleurs "même pas" juif mais qui tient cependant à organiser une bar mitsvah d'anthologie pour son fils Nathan.

Accessoirement ce bon Marcus finance aussi les fumettes de sa belle-mère et ses cours de strip-tease. Quant à son épouse elle est associée avec une amie chercheuse d'ovules qui sous le doux pseudo de Verlaine deviendra dominatrice S. M. avec beaucoup d'allure. Bien que s'égarant parfois un peu trop à mon goût dans les fantasmes de la clientèle "Un patron modèle" est souvent hilarant. C'est que Marcus est un mac très social qui fait lire "Anna Karénine" à ses protégées et leur assure une bonne couverture mutuelle. Finalement elles l'ont lu, "Anna Karénine", ça se passe en Russie. Woody Allen n'est pas si loin. Mais ici c'est plus golf et cocktails que Times Square et Tchékhov 42ème Rue.

Critique très californienne d'un mode de vie très californien, "Shining City" (c'est le titre original et le nom de cette blanchisserie à sexe plutôt qu'à sec) fait mouche et se lit très vite. Quelques perles?
"Je vais ouvrir un restau Jésus aime le barbecue sur Crenshaw Boulevard, à mi-chemin entre Koreatown et South Central, avec une putain de croix immense, faite avec deux travers de porc géants, sur le toit. "

"Kostya assisterait à la rencontre de loin, aussi discret que peut l'être un Russe de presque deux mètres avec des dreadlocks".

"Jetant un coup d'oeil dans le salon, Marcus découvrit Tommy le Samoan affalé dans le canapé à deux places, avec Bertrand Russell (c'est le nom du chien) sur les genoux. Il caressait le cou du chien en pinçant la peau entre ses doigts pareils à des francforts. Bertrand Russell semblait aimer ça."


Seth Greenland vit en Californie, cela va de soi, et est aussi l'auteur de "Mister Bones", et scénariste surtout pour la télé. "Un patron modèle" serait en préparation au cinéma.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
;la cuisine initiale avait été détruite, puis reconstruite il y avait plus de trente ans, dans un style que l'on pouvait qualifier uniquement de regrettable. Entièrement vert olive, les plans de travail, le four, la cuisinière et le réfrigérateur s'étaient plus ou moins décolorés. Résultat, on avait l'impression de pénétrer à l'intérieur d' un immense avocat. Le linoléum craquelé, d'un joyeux jaune éclatant jadis, avait pris la couleur des dents cariées.
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Chez Wazoo, Roon s’était montré cupide dans ses rapports avec le personnel : salaires bas, avantages minimums, conditions de travail médiocres. Marcus, lui, serait bienveillant. Roon considérait ses employés comme des éléments interchangeables dans une machine économique. Marcus les considérerait comme des individus et les traiterait avec dignité. Le style de management de Roon était tyrannique, dénué de compassion. Marcus serait attentionné. Il essaierait de comprendre sa main-d’œuvre et de travailler avec elle. Il fit le serment d’être un potentat éclairé, qui dirige son entreprise en fonction des critères les plus exigeants du management à l’américaine, et non pas comme Roon, qui dirigeait Wazoo avec des méthodes de mac.
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Jan, laisse moi te poser une question. Je ne veux pas que tu le prennes mal surtout...
- Quoi ?
- Est-ce qu'un jour on refera l'amour ?
- Evidemment
- Tu ne peux pas me dire quand ?
- Je m'inquiète pour les yeux de ma mère, Marcus. Elle croit qu'elle est en train de devenir aveugle.

[...]

Quelle doit être la stratégie d'un homme marié quand sa vie sexuelle a été kidnappée par l'état de santé de sa belle mère ?

[...]

Je peux te poser une question ? dit-elle
- Tu crois que tu pourrais mettre ma mère sur ta mutuelle ?
Cette question sonna le glas de la soirée.
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C'était Memo qui allait le tuer. Marcus se prépara ; il vivait son ultime instant de conscience, la limite épistémologique, l'unification avec l'univers.
La détonation assourdissante du coup de feu résonna contre les montagnes et dans le ciel infini.

Marcus RIPPS était mort...
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[I]ls n’avaient jamais exprimé quoi que ce soit qui ressemble aux sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre, en dehors de ce mépris discret qui est la lingua franca de tant de relations entre frères.
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Vidéo de Seth Greenland
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