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EAN : 9782867465840
329 pages
Liana Lévi (05/01/2012)
3.62/5   116 notes
Résumé :
Le rouble soviétique, le premier Spoutnik, Nikita Khrouchtchev... Pour Igor, trente ans, tout ça, c'est de l'histoire ancienne. Le passé pourtant vient toquer à sa porte sous les traits d'un vagabond qui, en échange d'un toit, propose de s'acquitter des travaux de jardinage. Commence alors pour Igor une folle aventure. Dans les valises de cet homme étrange, il trouve un vieil uniforme de milicien. Sitôt enfilé, celui-ci lui permet de franchir l'espace et le temps po... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (32) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 116 notes
Un bien étrange livre que ce roman d'un écrivain russe contemporain , Andreï Kourkov est né en 1961 , son roman se situe en Ukraine .
Son héros , un jeune homme un peu desoeuvré qui vit avec sa mère dans une petite maison à la campagne trouve un ancien uniforme de la police du temps des communistes , il le met pour se rendre à une Rétro-Party , c'est ainsi que l'on appelle ces soirées nostalgiques de l'ancien régime et là , oh miracle , il se retouve à l'époque de 1957 .
L'auteur va utiliser ce procédé original pour nous faire faire des va et vient de 1957 à 2010 .
On ressent la tendresse qu'il a pour ses personnages , qui essayent comme ils le peuvent de s'échapper de leur quotidien monotone , ou essayent de s'enrichir .
Ah ces billets du temps du communisme qui n'ont plus de valeur sauf pour les touristes , ces billets qui étaient bien plus grands que les billets actuels car le pays était plus grand aussi , voilà un aperçu de l'humour de l'auteur , ces fameux billets qui ne peuvent plus rien acheter dans un pays qui n'existe même plus .
Le thème récurrrent est bien sûr la disparition du régime communiste mais pas certain que c'était mieux avant sauf dans les souvenirs idéalisés .
Car dès qu'Igor se retrouve en 1957 , il retrouve une ville avec où il n'y a quasiment pas d'éclairage , où les différents se soldent par des coups de couteaux mais il y a aussi la belle poissonnière rousse dont Igor tombe amoureux .
Dans cette fable des temps modernes , le chômage , l'ennui , la banalisation de la consommation d'alcool sont présents , les deux amis sont se mettre dans des situations bien difficiles mais l'espoir est au bout du chemin malgré tout .
J'ai bien aimé la comparaison passé-présent représentée par la photographie noir et blanc et celle en couleurs .
En résumé , un livre qui m'a beaucoup plu même s'il m'a un peu déroutée , l'auteur a du talent , on a l'impression de faire un voyage dans le temps avec Igor et son ami Kolia , deux êtres vulnérables qui parviendront à triompher des épreuves grâce à leur amitié .
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Emprunté à la bibliothèque Buffon- Paris- début avril 2022

En plus du retard que j'ai concernant cette lecture , datant déjà de plusieurs mois, j'ai hésité à laisser une trace de cette lecture, qui m'a laissée fort dubitative... Toutefois, je ne dois m'en prendre qu'à moi seule, car j'ai emprunté cette fiction ancienne, après un avoir ressenti un immense enthousiasme pour le dernier roman de Kourkov, "Les Abeilles grises" !
Après cela, tout texte suivant, ne pouvait apparaître que "fade ", plat...!!

Ce jardinier d'Otchakov, Stepan, arrive dans la banlieue de Kiev, propose ses services de "jardinier et d'homme à tout faire" à une femme seule et à son fils,Igor, trentenaire et chômeur...
Stepan est courageux, bienveillant, efficace, mais très mystérieux... Son passé semble être une vaste nébuleuse !

Et puis un comportement, parfois étrange, qui intrigue Igor : "Il pensa à Stepan.Il se rappela ses "conseils pratiques" sur le maniement du couteau. Curieux tout de même qu'un jardinier eût de l'expérience en ce domaine. Un truc clochait ! Un jardinier doit s'y connaître en matière de profondeur de trous où l'on plante arbres et fleurs et autres subtilités des soins qu'il prodigue à la nature,soucieux de la beauté du monde.Un coup de couteau ne rendra jamais le monde plus beau ! "

En dehors de "tatouages" dont il aimerait connaître l'origine et peut-être ainsi en apprendre plus sur son passé...il semble perdu et avoir peu d'éléments de son passé et encore moins de sa famille !!

Igor va solliciter un de ses amis, afin de tenter de décrypter ces obscurs tatouages , et en savoir plus sur l'histoire de ce jardinier bien spécial... et bien sûr l'aider , par la même occasion, car les rapports entre les deux hommes sont cordiaux....!

S'ensuivent un enchaînement d'aventures , totalement rocambolesques !

Stepan entraîne son compère, Igor à Otchakov où il semble avoir une maison, ayant appartenu à sa famille. Ils rentrent par effraction, trouvent trois vieilles valises contenant des papiers, des archives et un trésor ( montres en or, un uniforme militaire, bijoux, argent, etc).

En plus des aventures toutes plus loufoques, les unes que les autres, on est fichtrement "brinquebalé" en sautant fréquemment dans des "espaces-temps" différents, des années 1950 aux années 2010... !

Igor se prend au jeu de l'enquête de son camarade, jardinier... et l'accompagne partout dans ses recherches...

Il me faudra, sans doute le relire, j'ai l'impression d'être restée dans un épais brouillard...et de n'avoir rien "pigé" à l'intrigue de cette fiction déjantée...!!!

"Les êtres humains, selon leur rapport naturel au monde et à la nourriture, se partagent en deux catégories : les jardiniers et les forestiers. Les jardiniers conçoivent initialement le monde comme un jardin dans lequel il convient de se comporter de manière appropriée, de relever ce qui est ruiné, d'orner ce qui est construit, et de tout maintenir en ordre. Les forestiers, quant à eux, aiment tout ce qui est sauvage, et sont plus aptes à détruire, et à vivre au milieu des ruines, qu'à construire et restaurer. Les forestiers sont plus brutaux, physiquement plus forts et plus endurants. Ils considèrent qu'il est impossible de changer le monde, alors que les jardiniers aspirent sans cesse à l'améliorer. Les forestiers sont plus nombreux parmi les hommes, les jardiniers parmi les femmes."


P.S: je "serai écroulée de rire" si ce n'était si affligeant de n'avoir rien compris , à ce point-là, à ce roman... Je viens seulement de parcourir les critiques intéressantes des camarades, après avoir "posé ma copie"... qui dirait, est "gigantesquement" Hors-sujet !...
Je suis restée, inconsciemment, avec les deux attachants "compères" des "Abeilles grises"... Cette fois, c'est sûr, il me faudra reprendre totalement ce livre, pour l'apprécier à sa juste qualité !!!
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2010, banlieue de Kiev.

Igor est un jeune homme insouciant qui vit avec sa mère.
Surgit Stepan, jardinier « itinérant » qui propose ses services pour entretenir le terrain de la maison contre gîte et couvert.
Lors d'un voyage à Otchakov à la recherche des origines de Stepan, ils découvrent un uniforme de milicien et des liasses d'une monnaie qui n'a plus cours. Quand Igor enfile le costume, c'est un pan de l'histoire qui s'ouvre à lui. le voici à la découverte de l'année 1957, sous le régime soviétique.
Il n'est pas question ici de politique mais du quotidien des personnages, des petits détails qui sont le reflet d'une époque violente et de terreur.
Pourtant, c'est avec humour et naïveté que les aventures d'Igor se déroulent sous les yeux du lecteur.
Les personnages sont particulièrement attachants et j'ai suivi ces péripéties avec un demi-sourire aux lèvres.
Tragédie, cynisme, désenchantement, tout cela est présent en fond de toile. de ce point de vue, c'est assez déroutant car l'approche de l'auteur n'est pas dans la dénonciation d'un passé douloureux. Ce roman est davantage un roman d'apprentissage centré sur Igor qui apprend du passé pour trouver sa voie dans le présent.
La fin est désopilante, à l'image du reste. J'ai l'impression que je me suis fait balader et j'aime ça.
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C'est sûr, vous ne regarderez plus les jardiniers de la même manière après avoir connu celui d'Otchakov. Encore une fois, Kourkov dresse le portrait cynique et désenchantée de l'ex-URSS, en plaçant cette fois-ci son intrigue à Irpen, en périphérie de Kiev.

"Notre pays est passionnant, notre époque est passionnante, nous sommes passionnants".

Igor, jeune adulte désoeuvré, s'associe à l'étrange Stepan, jardinier pour le compte de son père, dont il décrypte le tatouage à demi-effacé. Les voilà sur la piste du père de Stepan, à Otchakov sur le rivage de la mer Noire, et de son associé, dans la maison duquel ils découvrent des valises anciennes, remplies de billets, de bijoux ... et d'un uniforme ancien de la milice soviétique. Igor enfile l'uniforme qui est tombé dans son escarcelle lors du partage du prodigieux butin ... et le voilà propulsé dans l'Otchakov de 1957, une aventure qui ne le laissera pas indemne.

"Igor accéléra le pas. Sur ses lèvres, un sourire tendu ; dans son esprit et dans son coeur : l'impatience. Impatience de se trouver dans un autre monde, un monde derrière les fenêtres et les visages desquels se devinait une autre manière de penser. Les gestes et les mouvements de ce monde laissaient transparaître une énergie différente, tandis que dans les yeux de ses habitants brillaient un entrain, une joie, ou une gravité qui n'avaient rien de commun avec le présent".

Belle maquette toujours (pensez aussi aux chouettes poches les Piccolo, comme Surprises de Noël, du même auteur chez le même éditeur), et beaux choix éditoriaux toujours, la marque de fabrique de Liana Levi est bien là.

Certes, il y a toujours le talent de Kourkov, qui parvient à mettre de la banalité dans l'étrangeté (et inversement), ces personnages attachants (Igor, Kolian le hacker, Valia la rousse poissonnière), et ce ton mi-grinçant mi-désespéré qui n'est qu'à lui. Pourtant j'avoue avoir été un peu déçue par ce dernier opus de Kourkov - surtout par une première moitié qui se fatigue (et fatigue vite), tandis que le roman retrouve du souffle sur la deuxième partie. Peut-être en attendais-je trop ? Une lecture qui me rapproche néanmoins un peu plus de mon Objectif lune.

"Les êtres humains, selon leur rapport naturel au monde et à la nourriture, se partagent en deux catégories : les jardiniers, et les forestiers".

http://le-mange-livres.blogspot.fr/2012/03/le-jardinier-dotchakov-andrei-kourkov.html
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Certaines personnes le voient comme un Boulgakov des derniers jours ; pour d'autres, c'est un Murakami ukrainien. Andrey Kurkov est surtout connu pour le tragi-comique le Pingouin. Les livres qui ont suivi étaient souvent inégaux, mais toujours populaires. le jardinier d'Ochakov ravira les fans, même s'il ne parvient pas à convertir les sceptiques.
Dans cette joyeuse aventure de voyage dans le temps, Igor – jeune, sans emploi, vivant avec sa mère – aide un mystérieux jardinier à déchiffrer un vieux tatouage. La chasse au trésor qui en résulte met au jour un uniforme de policier soviétique, qui transporte le porteur en 1957 et dans la ville d'Ochakov sur la mer Noire. Igor commence à faire la navette la nuit, sans se soucier des paradoxes possibles, pour goûter le vin, flirter avec une marchande de poisson aux cheveux flamboyants et rapporter des limandes pour le petit déjeuner. Les femmes de Kourkov, bien que "espiègles", sont sommaires par rapport à ses vagabonds masculins sympathiques.
Kourkov fait la satire de la nostalgie post-soviétique d'un pays qui n'existait plus et de l'époque où l'on pouvait obtenir du bortsch, de l'escalope panée et du sarrasin pour sept roubles. le meilleur ami d'Igor, Kolyan, l'invite à une soirée déguisée au Petrovich au thème rétro (un véritable club rempli de souvenirs vintage) et pense que des prix comme un voyage en Corée du Nord et une nuit dans le mausolée de Lénine sonnent "cool".
Comme d'habitude, Kourkov combine des détails banals de la vie dans l'Ukraine moderne (taxis minibus, boîtes de sprats et bouteilles de clair de lune) avec des éléments surréalistes de thrillers et de science-fiction : des gangsters armés de couteaux ou des sauts quantiques dans la banlieue de minuit. L'intrigue se déroule comme un train de banlieue de Kiev, s'arrêtant régulièrement pour de la vodka, du salami et des concombres salés.
Les comparaisons avec Dostoïevski sont trop lourdes pour les aventures absurdes de Kourkov. D'étranges aperçus du Maître et Marguerite (photos de filles nues sur des balais) et de Tchekhov ("leur voisin attaquait un vieux cerisier avec une tronçonneuse") sont des gags jetables plutôt que des tropes littéraires, bien qu'il y ait quelque chose de tchékhovien dans l'humour mélancolique de passé et futur interconnectés. Il pourrait aussi y avoir des allusions à Gogol dans les bottes du policier qui s'adaptent au porteur, mais Kurkov n'hésite pas à dégonfler son propre sérieux. Quand Igor philosophe : « le passé change de forme et de taille pour s'adapter à celui qui l'essaie », Kolyan répond: « Peu importe !
Des allusions contemporaines et une sous-intrigue de piratage informatique enracinent le roman dans le présent. Igor se demande à un moment donné si ses expériences seront "comme ce film américain, où le même jour se répète à l'infini, rendant fou le personnage principal". L'idée que le présent est « tissé » à partir de l'histoire récente est centrale : « tant que les gens se souviendront du passé, il restera vivant… vous regarde et vous dit quoi faire ».
Des spectres politiques se cachent derrière la comédie dans la fiction de Kourkov. Ochakov d'après-guerre est plein de "bandits", mais Igor prophétise: "il y en aura plus dans environ 50 ans". La corruption contemporaine crée l'arrière-plan kafkaïen des histoires humaines de Kourkov. le Jardinier d'Ochakov ne traite pas vraiment de l'histoire soviétique, pas plus que le Pingouin ne concernait la mafia ; les deux romans parlent d'individus faisant face à des circonstances qu'ils ne peuvent pas entièrement contrôler ou comprendre.
Lien : http://holophernes.over-blog..
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critiques presse (1)
LeMonde
27 janvier 2012
Andreï Kourkov se pose la question : qui sont les Slaves ? Si l'écrivain n'y répond pas, il montre combien ils ont traversé de tempêtes et combien leur passé occupe leur présent.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Les êtres humains, selon leur rapport naturel au monde et à la nourriture, se partagent en deux catégories : les jardiniers et les forestiers. Les jardiniers conçoivent initialement le monde comme un jardin dans lequel il convient de se comporter de manière appropriée, de relever ce qui est ruiné, d'orner ce qui est construit, et de tout maintenir en ordre. Les forestiers, quant à eux, aiment tout ce qui est sauvage, et sont plus aptes à détruire, et à vivre au milieu des ruines, qu'à construire et restaurer. Les forestiers sont plus brutaux, physiquement plus forts et plus endurants. Ils considèrent qu'il est impossible de changer le monde, alors que les jardiniers aspirent sans cesse à l'améliorer. Les forestiers sont plus nombreux parmi les hommes, les jardiniers parmi les femmes.
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- Eh quoi, ils sont si nombreux que ça?
- Qui donc?
- Les bandits.
Valia le regardait droit dans les yeux.
Igor se rappela l'histoire de Fima, ca que Vania lui avait dit de ses rapports avec la marchande de poisson. Il haussa les épaules. Il ne parvenait pas à les imaginer en couple.Valia et ce criminel.
- Dans cinquante ans, ils seront encore plus nombreux, déclara-t-il, songeur, après un silence.
- Dans cinquante ans?! (les yeux de Valia s'arrondirent.) Mais les journaux disent que dans vingt ans, il n'y en aura plus du tout! On les rééduque tous pour en faire des professeurs, des ingénieurs, des gens utiles au pays.
-Il ne faut pas croire les journaux...commença Igor, mais il se tut brusquement. Non. Non, il faut bien sûr croire les journaux. Mais il faut aussi comprendre par soi-même...
- Moi, je préfère les livres. Dans les journaux, il n'y a que des faits, alors que dans les livres il y a des faits et des sentiments. J'ai lu Vladi Sobko...
-Qui est-ce? demanda Igor, surpris.
- Comment! Vous ne le connaissez pas! Mais c'est un écrivain mondialement connu. Il a reçu deux prix Staline, et quand Staline était encore en vie!
-Non, je ne l'ai jamais lu...
- Dommage, je l'ai déjà rendu à la bibliothèque...Mais vous devriez vous y inscrire. Autrement, vous serez comme le milicien de l'histoire!
- De quelle histoire parlez vous?
Igor avait pris une mine fâchée.
- Excusez-moi... Eh bien, vous savez, celle des deux miliciens qui se demandent ce qu'ils pourraient offrir à un de leur collègue, pour son anniversaire. L'un dit: "Achetons-lui un livre!" et l'autre répond: "Inutile, il en a déjà un!"
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Les vitrines du studio photo de la rue Proreznaïa offraient à la vue des passants de grandes et luxueuses photographies en noir et blanc. Igor s'absorba un moment dans leur contemplation, admiratif : chaque menu détail y était clairement observable. Les gens, les maisons,tout ce qui était représenté sur les clichés était contemporain, mais le noir et blanc soulignait le caractère intemporel de la scène photographiée, et forçait Igor à chercher un autre sens à l'image, complémentaire ou principal, mais en partie dissimulé. Les photos couleurs distraient ou bien réjouissent.Elles invitent rarement à réfléchir. Le noir et blanc, c'est le contraire.(p.157)
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Tous les trois vendredis , nous organisons une Retro Party .
Les participants pourront gagner des vacances en Corée du Nord ,
un voyage à Cuba ou une excursion à Moscou
avec une visite nocturne du mausolée de Lénine .
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Igor sentit soudain comme un poids sur son cœur.Il avait l'impression que Stephan le regardait à présent à la dérobée, de manière peu amicale.A l'évidence, ils avaient découvert à Otchkov de véritable objets précieux, valant très cher. Posséder beaucoup d'or,ou simplement s'en trouver à proximité, représentait un danger mortel quelle que soit l'époque, en 1957 ou en 2010. (p.52)
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« le Pingouin », d'Andreï Kourkov. C'est à lire en poche chez Liana Levi.
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