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EAN : 9791021340664
19 pages
Editions la Bibliothèque Digitale (22/07/2013)
3.8/5   27 notes
Résumé :
Trois Morts. Léon Tolstoï, écrivain russe (1828-1910). Ce livre numérique présente «Trois Morts», de Léon Tolstoï, édité en texte intégral. Une table des matières dynamique permet d'accéder directement aux différentes sections.Table des Matières-01- Présentation-02- -03- -04- -05-

Cette très courte nouvelle raconte trois morts. A travers ces morts, Tolstoï semble reprendre des thèmes qui lui sont chers : le mensonge face à la mort, l'hypocrisie de la ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Chez Tolstoï, l'angoisse face à de la mort est peut-être venue de son enfance de jeune orphelin. Il écrit, alors qu'il n'a que trente-deux ans : " Quand on réfléchit que la mort est la fin de tout, il n'y a rien de pire que le vie ".

Trois morts, une oeuvre où pointe la critique sociale, illustre parfaitement cette anxiété existentielle à travers la mort d'une vieille dame, d'un cocher et d'un arbre. La première meurt comme elle a vécu, acariâtre et tyrannique. L'arbre mort laisse sa place à d'autres arbres, et devient une croix sur la tombe du vieux cocher, disparu simplement, à l'image de sa vie.

Des vies qui s'achèvent, dans le mensonge pour la vieille dame, paisiblement pour le moujik, utilement pour l'arbre. La mort de trois êtres magnifiquement imaginée par Léon Tolstoï comme une suite logique de leur passage sur terre.
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Oeuvre de jeunesse de Tolstoï, écrit vingt-cinq ans avant la Mort d'Ivan Ilitch, ce récit « Trois mort », fort court, présage de la pensée angoissée que l'auteur a de la mort- lui qui a vu mourir sa mère quand il avait deux ans- avec l'ébauche d'une sorte de résurrection, d'une joie, d'une acceptation lorsqu'elle advient.
Elle advient, et ce ne sont ni les prêtres ni les médecins qui peuvent l'en empêcher, inutile de se mentir, sa survenue est inéluctable.
La mort de Madame, aigrie malgré l'amour de son mari, les attentions nombreuses dont elle fait l'objet, est presque devinée par un détail, le blanc de la raie des cheveux blonds de la malade.
Le paysan Khviodor accepte sa mort, l'on sait combien Tolstoï insiste sur les qualités humaines des paysans russes.
Il donne ses bottes à un cocher, à la condition que celui-ci paye une pierre tombale, ce qu'il ne fait pas : il coupe un arbre pour en faire une croix.

C'est la troisième mort, celle de l'arbre, qui est racontée avec force détails : il fait partie de la nature comme les deux précédents morts qui terminent dans la terre, et lui en est arraché.
« L'arbre trembla de tout son corps, s'inclina pour aussitôt se redresser, oscillant avec effroi sur sa racine. Il y eut un instant de silence, mais de nouveau l'arbre s'inclina, de nouveau un craquement se fit entendre dans son tronc et, cassant ses branches sèches, laissant tomber ses branches feuillues, il s'écroula de toute sa hauteur sur la terre humide. »

La mort dans les trois cas libère ceux qui restent :
Madame était devenue impossible, regrettant ce que son mari n'avait pas voulu qu'elle fasse : le voyage en Italie qui selon elle la guérirait, voyage fantasmé, puisqu'elle est déjà malade;
le paysan libérant l'isba où les habitants dormaient par terre, et se réjouissant d'une certains façon de le faire ; il n'a plus besoin de ses belles bottes neuves , en signe d'abandon des biens de ce monde .
enfin l'arbre, dont la mort est si longuement décrite, laisse l'espace libre pour que les autres arbres puissent se déployer « encore plus allégrement ».

Même Madame, qui s'isole pour mourir ressent tout de même ses péchés et aussi une certaine joie à l'idée de ne plus souffrir, une sorte de délivrance.
Khviodor, lui, sait qu'il fait partie de la grande nature, comme Nikita de Maitre et serviteur ( à qui la mort du maitre, n'ayant peur de rien, possédant tout, paraissait plus injuste que la sienne propre ). Sa mort comme celle des êtres proches de la nature entre dans le cycle normal des choses. Elle est pour lui comme pour ceux qui l'entourent un passage vers un autre monde sans souffrances.

Enfin l'arbre , lui aussi, dont Tolstoï ne nous livre pas les pensées, entre dans le cycle de la nature qui meurt et se régénère sans cesse.
Selon moi, et là encore je ne connais pas suffisamment Tolstoï pour l'affirmer, la mort de l'arbre donne la clef, le sens de deux précédentes morts : que vous soyez puissant ou misérable, inutile de vouloir y échapper comme Madame dans un voyage/fuite en Italie.
Mieux vaut avoir la sagesse paysanne de donner ce qui ne vous servira plus, et d'accepter la loi générale de toutes les espèces y compris végétales.
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J'ai lu ce récit de Léon Tolstoï, Trois morts, il y a quelques jours au moment où l'actualité évoquait le sujet de la fin de vie. Jean-Luc Godard venait de tirer sa révérence dans ce choix qui lui appartenait. Ce n'était que pure coïncidence. Cependant...
Il m'était alors intéressant de croiser le sujet de la fin de vie qui s'invitait dans le débat public et dans nos consciences tiraillées, avec ce texte écrit en 1858 par Léon Tolstoï, alors qu'il n'avait que trente ans. C'est ainsi et à ce moment-là que ce texte est venu me prendre par la main, me titiller, me séduire dans sa justesse et son acuité.
Ici, c'est tout le contraire, les morts en sursis, les morts en devenir, les êtres qui s'apprêtent à mourir ne le veulent surtout pas.
Cette nouvelle raconte successivement trois récits de morts. À travers ces morts, Léon Tolstoï semble reprendre des thèmes qui lui sont chers : le mensonge face à la mort, l'hypocrisie de la vie et des vivants, ainsi que leur dureté.
Léon Tolstoï avait donc trente ans. Parler ainsi de la mort à cet âge-là, celle-ci aurait-elle donc été présente avec autant d'intensité dès sa jeunesse ? En regardant de près sa biographie, on se rend compte que la mort des siens l'a éprouvé fortement et très jeune.
La mort, - on la voit ici sous trois aspects, peut susciter toutes les nuances du sujet.
Trois morts, ou plutôt la mort qui vient, qui rôde, qui va venir, qui happe, qui emporte dans sa nasse. Lorsqu'elle advient, certains qui vont mourir se révoltent, d'autres l'acceptent par fatalité. Et puis il y a la mort qui fauche sans prévenir, injuste, ignoble.
Il y a cette femme bourgeoise, acariâtre, tyrannique, aigrie, n'en finit pas de mourir au cours d'un voyage vers l'Italie. Elle agace et empoisonne son entourage. On voudrait presque qu'elle se dépêche de mourir et qu'on en finisse... Oui, je reconnais volontiers que je souhaitais ardemment qu'elle meurt le plus vite possible, non pas pour abréger ses souffrances, mais plutôt celles de ses proches. C'est là tout le talent d'un écrivain que de savoir nous projeter vers nos instincts les plus enfouis, terrés au plus profond de nous et être capable de les remonter à la surface de l'onde.
Puis il y a ce postillon qui se meurt et qui offre ses bottes toutes neuves à celui qui saura poser une pierre sur sa future tombe. Il meurt, ses bottes lui sont aussitôt arrachées ; malgré la promesse qui lui fut faite, sa tombe demeure pour un temps un simple tas de terre informe figurant un tertre...
Et puis il y a la dernière mort, le dernier récit, celui que je préfère, cette mort insensée, injuste, ignoble. Elle est presque déjà annoncée par ce détail presque innocent :
« le bruit s'éleva derechef et se répéta à intervalles égaux ; il partait du pied d'un des arbres immobiles. Une des cimes frissonna subitement, ses feuilles gonflées de sève murmurèrent quelque chose ; une fauvette, perchée sur une des branches, siffla, voleta à deux reprises et se posa sur un autre arbre, la queue éployée. »
Un oiseau qui se déplace d'un arbre vers un autre, comme s'il savait que la mort venait, c'est peut-être cette image qu'il me faut retenir... J'aurais aimé être cet oiseau, se déplaçant d'un texte à l'autre et pourquoi pas d'un livre à l'autre...
Peut-être le suis-je quand même à ma façon...
Oui, cette troisième mort est celle d'un arbre fauché par la main de l'homme dans la force de l'âge et qui ne demandait rien à personne. Cet arbre est abattu pour le seul but de fabriquer une croix à un mort. Quelle ironie absurde !
Dans ces trois récits où le propos est traité parfois de manière poétique, Léon Tolstoï observe le moindre détail, le moindre mouvement avec une acuité minérale.
Trois morts, trois récits, trois façons d'aborder peut-être la mort selon Tolstoï, dans une écriture d'orfèvre, ciselée à merveille...
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Tentée par @afriqueah je viens de faire un petit tour chez Lev Nikolaïevitch Tolstoï.
Trois façons de mourir tiré de Contes et nouvelles ainsi titré dans les oeuvres complètes de Tolstoï en numérique.
Il s'agit d'une courte nouvelle de 19 pages. Une oeuvre de jeunesse qui traite de la mort, de la religion, de la foi et du matérialisme à travers trois exemples de mort.
Une femme fuit la mort au point de tourner le dos à ses enfants, à sa famille, au peu de vie qu'il lui reste en somme. C'est aussi une vision bien pathétique de la foi puisqu'à part les derniers sacrements, la religion ne lui a apporté aucun réconfort. J'ai pensé à la mort de son frère Nicolas atteint de tuberculose.
Un paysan qui se meurt donne ses bottes toutes neuves en échange d'une pierre sur sa tombe. C'est la foi du petit peuple, il part sans bruit comme il a vécu. On est très proche du livre « le pèlerin russe» avec cette foi toute simple sans artifice.
Finalement un arbre est abattu pour faire une croix au paysan. Une mort qui transforme, rendue utile, presque une « résurrection ». le chapitre se clos sur cette phrase :
« Les oiseaux volaient dans le fourré et gazouillaient des chants de bonheur ; les feuilles pleines de sève, se murmurant de joyeux secrets, et les branches des arbres vivants se balançaient lentement et majestueusement au-dessus de l'arbre mort, de l'arbre tombé… »
Pour les deux dernières la mort ce n'est rien (nitchévo), c'est naturel.
Tolstoï n'avait pas la foi et cherchait des raisons à la religion. Ce n'est certainement pas sa meilleure nouvelle mais on y retrouve ses thèmes récurrents. Et à chacun d'en tirer une leçon ou tout du moins quelques idées.
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On connaît Léon Tolstoï pour ses magnifiques fresques romanesques, moins pour ses nouvelles. J'ai pu récemment rencontrer l'auteur russe dans « La mort d'Ivan Illitch », un texte profond, sombre et sans complaisance sur la vie et la mort, l'angoisse et la souffrance, le bonheur et la superficialité, l'hypocrisie et le mensonge des hommes.
J'ai voulu prolonger cette lecture par une nouvelle écrite dans sa jeunesse, « Trois morts », dont l'idée centrale est la même, la mort et son inéluctabilité.

Que signifie mourir ?
Ce thème est récurrent chez Léon Tolstoï. Marqué très tôt par le décès de ses parents, puis de ses frères, Dimitri et Nicolas dont il était très proche, son oeuvre est fortement imprégnée par la mort et témoigne d'une quête profonde pour s'affranchir de son anxiété. Les mots, à la fois simples et sobres, mais aussi pénétrés d'une force douloureuse m'ont touchée par leur authenticité et leur justesse.

Dans ce texte au format très court, environ 19 pages, Léon Tolstoï raconte la mort de trois êtres, la façon dont les proches et eux-mêmes l'appréhendent et la vivent. Chaque parcours est à la fois semblable et très différent par leurs réactions face à l'approche de la mort : l'auteur analyse les sentiments d'angoisse, de déni, de peur, de refus ou simplement d'acceptation de chacun.

*
La force du récit réside dans la concision et le réalisme du texte, dans la fin inexorable pour chacun des trois personnages, une femme noble, un vieux cocher et un arbre.

Une voiture et une calèche traversent la campagne dans la grisaille humide de l'automne. A son bord, une femme mourante, persuadée d'échapper à la mort en allant vivre dans un pays plus chaud. Jusqu'au bout dans le déni, elle refuse de voir la déchéance de son corps et sa mort toute proche. A regret, elle meurt comme elle a vécu et son agonie est pesante.

Alors que la vieille dame meurt malgré elle, le vieux cocher malade accepte son sort avec sérénité et s'éteint doucement, silencieusement dans la nuit, enveloppé de peaux de mouton, près de la chaleur réconfortante du poêle.

Enfin la dernière mort, celle de l'arbre, est celle qui m'a le plus touchée, une mort invisible, inaudible, arbitraire dont l'homme meurtrier ne prend même pas conscience. Cette fin a quelque chose d'ironique mais s'inscrit également dans le cycle de la vie.

« Un instant, tout demeura calme, mais l'arbre se pencha de nouveau, de nouveau un craquement se fit entendre dans le tronc et l'arbre laissa tomber sa couronne sur le sol humide en écrasant le taillis et brisant ses branches. le bruit de la hache et celui des pas se turent. La fauvette fit entendre un gazouillement et s'envola plus haut. le rameau sur lequel elle se posa se balança un instant, puis se raidit avec ses feuilles, comme tous les autres. Les arbres se dressèrent orgueilleusement et plus joyeux, avec leurs branches immobiles au-dessus du nouvel espace libre. »

*
Si chaque personnage, au seuil de la mort, endure, refuse, subit ou accepte sa mort, il est intéressent de porter aussi son attention sur les comportements de l'entourage, le mari et la servante de la dame, le jeune cocher indifférent à l'agonie du vieil homme, la cuisinière affairée mais prenant le temps de s'occuper du malade, l'oiseau qui accompagne les derniers instants de l'arbre, les arbres alentours qui vont profiter du nouvel espace laissé par l'arbre mort pour se développer.

*
Pour conclure, si la nouvelle de Léon Tolstoï n'a pas la puissance et la charge émotionnelle de « La mort d'Ivan Illitch », j'ai vraiment passé un agréable moment à la lire.
La dernière partie du récit est de toute beauté et vaut largement le détour.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Le printemps était venu. Par les rues humides de la ville, entre les tas de glaçons boueux, de petits ruisseaux se précipitaient en murmurant ; tout était clair, la couleur des habits et le son des voix, dans la foule en mouvement. Dans les jardinets, derrière les haies, les bourgeons des arbrisseaux crevaient ; d’un bruit à peine distinct, les branches frémissaient au vent du nord. De partout suintaient et tombaient des gouttes transparentes. Les moineaux pépiaient et voletaient sur leurs petites ailes. Du côté du soleil, sur les maisons, les arbres et les haies, tout scintillait et remuait. Il y avait jeunesse et gaîté au ciel, sur la terre et dans le cœur de l’homme.
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Les mains croisées sur les genoux, les yeux fermés, la dame ballottait faiblement sur les coussins amoncelés derrière son dos : des quintes de toux fréquentes amenaient une légère contraction sur ses traits. Elle était coiffée d’un bonnet blanc, un fichu bleu était noué sur sa gorge fluette et pâle. Une raie droite, visible sous le bonnet, partageait des cheveux blonds, lissés à plat ; la blancheur de la peau, sur cette large raie, avait quelque chose de mort et de desséché. Des chairs flétries et plombées, rougies sur les pommettes des joues, s’adaptaient mal à l’ossature élégante et fine du visage. Les lèvres étaient sèches et inquiètes, les cils rares et droits ; une capote de voyage en drap dessinait ses plis réguliers sur la poitrine affaissée. Bien que ses yeux fussent clos, le visage de la voyageuse gardait une expression de fatigue, d’énervement et de souffrance habituelle.
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— Ne pleure pas, tu te tourmentes et tu me tourmentes, dit la malade ; cela m’enlève le peu de calme qui me reste.
— Tu es un ange ! s’écria la cousine en lui baisant la main.
— Non, embrasse-moi ici, ce sont les morts à qui l’on baise la main.
Le soir de ce même jour, la malade n’était plus qu’un cadavre, couché dans une bière au milieu de la grande salle de l’hôtel. Dans cette vaste pièce, les portes closes, un diacre était assis, seul, récitant les psaumes de David d’une voix nasillarde et monotone.
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— Bon Dieu ! dit la fille du maître de poste en s’écartant vivement ; elle qui était si belle, voilà ce qu’il en reste : c’est à faire peur ! Tu as vu, tu as vu, Aksioucha ?
— Oui, et comme elle est maigre ! Allons regarder encore, comme si nous allions au puits. Elle s’est retournée, j’ai encore vu ! Quelle pitié, Macha !
— Oui, et quelle crotte ! repartit Macha. Toutes deux revinrent en courant vers la porte.
— Je dois être bien effrayante, pensa la malade. Ah ! passer la frontière, plus vite, plus vite ! je me rétablirai promptement là-bas...
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Le malade inclina sa tête fatiguée sur la cruche de terre. Il but avidement en trempant dans l’eau trouble ses moustaches rares et pendantes, sa barbe malpropre, embroussaillée. Ses paupières éteintes, affaissées, se soulevaient avec peine vers le postillon. Quand il eut fini de boire, il voulut élever la main pour essuyer ses lèvres humides, mais il n’y parvint pas et les sécha à la manche de son caftan. Il respira péniblement par le nez, rassembla ses forces et regarda fixement le jeune homme sans ouvrir la bouche.
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