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3.42/5 (sur 178 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paimpol, Bretagne , le 01/04/1971
Biographie :

Frédéric Ciriez un écrivain français.

Il a d'abord été satiriste pendant ses études à La Presse d'Armor, le journal hebdomadaire de Paimpol et de la côte du Goëlo, en Bretagne.

Des études de lettres et de linguistique à l'Université Rennes-2 l'ont conduit à faire un passage express dans l'enseignement puis à devenir un temps chroniqueur littéraire.

Après plusieurs collaborations littéraires en France et en Europe, "Des néons sous la mer" (2008), son premier roman, trouva d'emblée son public.

Une novella a paru dans la NRF, "Femmes fumigènes" (2010). Il publie ensuite un deuxième roman "Mélo" (Verticales 2013; prix Franz Hessel; Folio 2016), beau succès critique, traduit en allemand, et mis en scène par David Bobée (Lyon, Rouen...), puis un troisième, "Je suis capable de tout" (Verticales, 2016). "BettieBook" (2018) est son quatrième livre publié aux éditions Verticales.

En 2015, il a bénéficié d’une résidence d’auteur de la région Ile-de-France à l’Université de Paris X-Nanterre, où il s’est interrogé, avec les étudiants en master 2 métiers du livre, sur la critique littéraire comme écriture de création à part entière.

Avec le réalisateur Antonin Peretjatko, il a également scénarisé le film "La Loi de la jungle" (2016).
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Entretien avec Frédéric Ciriez, à propos de son ouvrage BettieBook


12/02/2018

Vous avez été critique littéraire pendant plusieurs années. Comment avez-vous fait pour ensuite endosser vos habits d`auteur ? Est-ce que vous évitez dans votre écriture ce que vous pouviez reprocher ailleurs ?

J`ai cessé toute activité de chroniqueur littéraire sur le web depuis 2009. Comme j`ai un grand respect pour la critique, vous voyez que j`ai utilisé le terme, plus modeste, de chroniqueur... De manière générale, un critique littéraire est un écrivain qui écrit à partir du texte d`un autre. Un écrivain est quant à lui nécessairement un critique qui exerce ses jugements sur ses propres textes – et parfois celui des autres, songez à Charles Baudelaire. Donc l`opposition mérite d`être nuancée et de prendre en compte le constat suivant : pas de littérature sans critique interne (par l`écrivain) et externe (par le critique) des oeuvres.

En ce qui concerne le deuxième volet de votre question, écrire, c`est quand même toujours être un peu apprenti sorcier : donc, ce n`est pas parce qu`il y a des choses qu`on veut éviter qu`on y parvient... La maladresse et l`inconscience font partie du processus de création. Un livre original est toujours un petit accident, et parfois même une catastrophe involontaire.


D`ailleurs, dans votre dernier roman BettieBook, vous traitez de ce milieu professionnel. Pourquoi cette envie d`écrire sur ce domaine que vous connaissez si bien ? Une envie d`imaginer ce qui pourrait être ? De faire l`étalage de ce qui est ?

Ni l`un ni l`autre. Je voulais surtout explorer, par le biais des genres fait divers et dystopie, la reconfiguration de l`espace critique que nous sommes en train de vivre, avec l`entrée de nouveaux acteurs, notamment sur la Toile, et les difficultés socioprofessionnelles d`une critique plus classique, attaquée par les bouleversements industriels du secteur de la presse. C`est un moment passionnant, avec beaucoup de vitalité et de conflit pour le contrôle ou le gain de l`influence. Dans mon livre, à la fin, l`un triomphe, mais l`autre ne perd pas... Simplement, les positions changent.


Dans BettieBook, vous imaginez la rencontre entre un critique littéraire « à l`ancienne » et une célèbre booktubeuse, tout cela sur fond de thriller érotico-judiciaire. Comme dans vos précédents ouvrages, vous mêlez plusieurs genres, plusieurs thèmes dans des rencontres improbables mais captivantes. Comment vous est venue cette envie d`opposition permanente ?

C`est tout simplement que j`aime les mélodrames, qui fonctionnent souvent à partir d`antithèses, comme chez Alexandre Dumas ou Victor Hugo pour prendre des exemples classiques. Mon deuxième livre s`intitule d`ailleurs Mélo. C`est aussi le monde comme je le vois et le désire. J`aime l`idée que tout le monde puisse rencontrer tout le monde, puissant ou misérable. Après, on voit ce qui se passe... C`est mon côté Grands Boulevards et Jugement dernier : on est tous pris sur le tapis roulant du temps et de la vie. On se frôle... et moi je facilite les rencontre.


Connaissiez-vous également avec précision le monde des booktubeurs et des booktubeuses ou bien avez-vous mené des recherches spécifiques ? De quelle manière avez-vous mené ces investigations ? Auprès de qui ?

Il vaut mieux connaître ce dont on parle ! Alors oui, outre les vidéos que j`ai regardées avec plaisir, j`ai effectivement bénéficié des lumières de quelques exégètes 2.0 et singulièrement d`une booktubeuse qui m`a expliqué des choses que je n`avais pas spontanément perçues, notamment en ce qui concerne les valeurs et les rituels de ses consoeurs. Une fois qu`on a les bonnes infos, on peut se lancer dans le travail d`imagination.


Votre personnage central Stéphane Sorge semble, dans un premier temps, farouchement opposé à ce Nouveau Monde de la critique littéraire qui émerge sur Internet. Doit-on y voir une transcription de votre propre avis ? Comment considérez-vous ces nouveaux acteurs 2.0 de la critique littéraire ?

Non, ce n`est pas mon avis personnel. Il faut éviter de réduire ce livre à une lecture idéologique pour/contre la critique 2.0. Mon roman n`est pas un roman à thèse. C`est avant tout une histoire entre deux personnages : un critique adulte en voie de déclassement snobé par une jeune femme qui voit en lui « l`ancien monde ». Dans un premier temps, c`est elle qui le juge, pas lui – lui serait plutôt méprisant. Bref, c`est la lutte des classes au coeur de la fonction critique ! De manière générale, je suis pour que les gens s`expriment - s`ils ne s`expriment pas trop mal bien sûr. Donc, les critiques, ou du moins les lecteurs qui s`autorisent à parler sur le web ou ailleurs, c`est bien. Après, évidemment, le meilleur côtoie le pire, que ce soit chez les booktubeuses ou chez les blogueurs. En tout cas, la démocratie culturelle à l`ère numérique fonctionne ainsi, on n`y reviendra pas. La vraie question, c`est la formation de jeunes lecteurs dans et en dehors de l`école : si on a une génération de bons lecteurs, on aura une génération de lecteurs 2.0 de bon niveau. Pas de déclinisme chez moi, la littérature a 2500 ans, elle survivra au numérique.


L`avant-dernière partie de votre ouvrage est pleine d`inventivité dans sa conception. Nous n`allons pas en dire plus pour ne pas « spoiler » le plaisir de vos futurs lecteurs, mais pourquoi ce choix d`une partie si originalement constituée ?

Il s`agit de la reconstitution d`une procédure judiciaire pour une lamentable histoire à caractère sexuel, de la plainte au procès. J`ai fait le choix de mettre en scène les pièces du dossier, où chacune vaut pour elle-même et dans la progression dramatique du tout. Je n`ai pas voulu être spécifiquement original, même si j`ai voulu éviter la linéarité d`un récit omniscient... je dirai sobrement que les romans traditionnels manquent souvent d`imagination.


Frédéric Ciriez et ses lectures



Quel est le livre qui vous a donné envie d`écrire ?

Je ne sais pas. Mais je me souviens de la première lecture qui m`a plu : Les ratons laveurs dans la Lune, d`Alain Grée (éditions de poche à couverture rigide Les Deux coqs d`Or).


Quel est l`auteur qui vous a donné envie d`arrêter d`écrire (par ses qualités exceptionnelles...) ?

Quelques-uns m`ont sidéré, aucun ne m`a découragé : la lecture suscite par elle-même le désir d`écrire, et donc de dire autrement...


Quelle est votre première grande découverte littéraire ?

Le Roman de Renart.

Quel est le livre que vous avez relu le plus souvent ?

Je dirai qu`il y a des pages d`auteurs que j`ai beaucoup fréquentées et ce jour j`ai envie de vous citer La Chevelure de Bérénice, de Claude Simon, et toute la poésie d`Arthur Rimbaud.


Quel est le livre que vous avez honte de ne pas avoir lu ?

Pourquoi honte ? Guerre et Paix, de Léon Tolstoï.


Quelle est la perle méconnue que vous souhaiteriez faire découvrir à nos lecteurs ?

Le bateau-usine, de Takiji Kobayashi (1929, traduit chez Allia). Un bref et fulgurant roman sur les conditions de vie des pêcheurs lors des campagnes de pêche aux crabes entre les eaux japonaises et russes. A l`horizon, la mutinerie... Un livre d`une intensité exceptionnelle.


Quel est le classique de la littérature dont vous trouvez la réputation surfaite ?

Aurélien, d`Louis Aragon – avec beaucoup de malhonnêteté.


Avez-vous une citation fétiche issue de la littérature ?

Je ne suis pas fétichiste. Je n`ai donc aucune citation fétiche, mais je choisirai ce jour, parmi mille choses possibles, ceci : On n`est pas sérieux, quand a dix sept-ans. (Arthur Rimbaud, Roman). Car trop d`écrivains n`auront malheureusement plus jamais dix-sept ans, ni dans leur corps biologique, ni dans leur tête. L`esprit de sérieux pèse sur la littérature, et singulièrement sur le roman.

Et en ce moment que lisez-vous ?

Rabot, d`Adrien Girault. Un premier roman publié aux éditions de L`Ogre.


Découvrez BettieBook de Frédéric Ciriez aux éditions Verticales :










Entretien réalisé par Rémy Watremez

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FRÉDÉRIC CIRIEZRÉCITS B Rencontre animée par Alain Nicolas Paimpol, Paris, Alger … La dérive de deux anciens amis se retrouvant sur une voie ferrée ; l'arrivée de supportrices au charme explosif décidées à illuminer le Stade de France ; la bande-annonce d'un film fantastique sur fond de black metal algérois ; un apéritif au champagne sur le toit de la porte Saint-Denis ; le surgissement théâtral de Frantz Fanon ; l'éternel retour d'une auto-stoppeuse dans un virage, la nuit, jusqu'aux appels téléphoniques intempestifs parasitant l'auteur en train de concevoir ce recueil résolument beau et bizarre. Treize nouvelles à découvrir comme autant de récits BFrédéric Ciriez multiplie les pistes de son imaginaire : la fantaisie, l'humour et le mélo, aux accents noirs et parfois érotiques. Treize ans après Des néons sous la mer, il invente une forme saisissante et circulaire qui nous plonge dans les confins oniriques de la réalité. À lire – Frédéric Ciriez, Récits B, coll. « Verticales », Gallimard, 2021.
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Citations et extraits (60) Voir plus Ajouter une citation
C’est le jour des funérailles de Norman, suivies en direct dans le monde francophone, à la télévision et sur le web, à l’égal de celles des plus grands chefs d’État. La vidéo funéraire, manière de web-testament ou de manifeste artistique posthume, tourne en boucle sur sa propre chaîne YouTube, atteignant les 120 millions de vues en quelques heures. C’est le jour des funérailles de Norman et le peuple numérique de France se réunit autour de son incinération vidéo, près de cent quarante ans après les obsèques nationales de Victor Hugo, qu’avait suivies en un long et extatique cortège le peuple de Paris, aux trois quarts analphabète. C’est le jour des « Funérailles de Norman », son sketch le plus abouti, avant que son visage soudain recomposé par un océan de pixels ne reprenne les couleurs de la vie, souriant, si lointain, si proche, avant que les lèvres du jeune homme ne s’ouvrent et disent : « Bonjour les gens, je suis ressuscité d’entre les morts, on a bien ri tous ensemble, à bientôt pour une nouvelle vidéo.
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La désaliénation de l’individu passe par la prise en considération de son univers social et culturel de référence.
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Tout le monde ne pouvait avoir sa volonté et son abnégation à elle, Barbara; tout le monde ne pouvait être une pionnière, avoir une double vie d'étudiante et de vendeuse expérimentale - question d'image, de tempérament, d'histoire et de trajectoire familiale, certainement.
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... je respecte ce que je possède, parce que j'ai souffert pour le posséder. C'est pour ça que je veux qu'on me respecte.
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Les gens achètent de l'imitation parce qu'ils n'ont pas de personnalité et ne sont pas prêts aux sacrifices nécessaires pour recevoir des offrandes de la vie comme Berlutti ou Weston. Ca donne des esclaves qui vont travailler propres mais ne se rendent pas compte qu'ils vont travailler laids.
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J'ai pensé très fort au livre de coaching mental lu dans la matinée pour aborder idéalement une rencontre sur laquelle je misais beaucoup. J'avais connu trop d'échecs, souvent à cause de prises de contact ratées - les premières secondes sont décisives. J'ai répété en silence la formule pour l'autovalorisation quotidienne, JE SUIS CAPABLE DE TOUT, JE SUIS CAPABLE DE TOUT, JE SUIS CAPABLE DE TOUT, et je me suis lancée.
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Les consommateurs américains sont ainsi habitués à se voir abreuver de propositions commerciales pour améliorer tous les aspects de leur vie privée et sociale. Ce phénomène arrive en Europe, comme toujours avec un temps de retard : déco-coach, vesti-coach, culi-coach, éco-coach, sexo-coach, édu-caoch, coach de vie, coach de fin de vie, méfiez vous du néant coachal. Le véritable coaching est celui du mental, et l’ultime mental coaching est le coaching M, que j'ai appris d'Elle, et qu'ici je vous donne comme Elle me l'a donné à moi, nu et misérable, alors que la tempête se levait et menaçait les fondations du plus éblouissant palace du monde.
Ma méthode MC a pour horizon votre autonomie face aux projets que vous souhaitez développer, et donc ma disparition. Un bon coaching est un coaching qui permet de se passer de son coach. Aujourd'hui, vous êtes dépendant de moi. Demain, vous ne le serez plus. Pour reprendre le mot simple des sportifs quand on les interroge sur leur état de forme avant une compétition difficile, vous serez : bien.
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Julie ne put s'empêcher de feuilleter de nouveau son livre. Comme un deuxième repas - discret, immatériel, psycho-nutritif. Des formules et des sentences resurgirent, aux vertus apéritives indéniables, euphorisantes et sans alcool, sans danger pour la santé.
JE CROIS EN VOTRE DÉVELOPPEMENT MENTAL. SI VOUS TENEZ MA MÉTHODE ENTRE LES MAINS, CE N'EST PAS UN HASARD.
Elle eut faim de sens, faim d'elle-même.
Grisée, e peut-être prévoyante, déjà dans l'à-venir, elle se plut à consulter les autres titres de la collection "Les clés de la réussite", telle la carte d’un restaurant parallèle - des recettes magnétiques, mystérieuse, donnant accès à un autre festin, intime et essentiel.

Pierrick Bayou, Un, deux, trois : succès !
Jean-Christophe Boudat, La septuple loi du facteur chance
Nicole Bouissex, Les portes du bonheur

Elle but un verre d’eau fraîche.

Thomas Clark, Intérieur, mon ameublement mental
Bruno Giberte, Gagnante-gagnante

Bruno Giberte… Elle avait lu son ouvrage l’an passé, en avait tiré bénéfice lors d’une négociation à plusieurs millions d’euros avec une société écossaise. Ce livre était connu des amateurs de DP. Un classique.


Anatole Istriu, L’écologie libertaire de la destinée
Noël Marengo, Prendre son pied sans se prendre la tête
Pierre-Yves Tarzin, Le succès, ça se cuisine ! (quinze nouvelles recettes)

Pierre-Yves Tarzin !
Elle avait également lu son ouvrage, très bon - une somme de conseils pratiques pour améliorer son relationnel global et impacter la positivité de ses projets. mais sa référence demeurait sans nul doute Génération G, la victoire des gentils, de Hervé Lafève, chez Tonik Éditions. Car elle-même appartenait ) la génération. Elle se savait gentille. Trop. L’avait toujours été. Sans savoir transformer son handicap en atout. Ce manifeste pro-gentils l’avait accompagnée dans ses épreuves récentes. Enfin un livre qui rétablissait l’honneur des gentils, dont le règne avait du mal à advenir !
Mais aujourd’hui elle ne parvenait pas à quitter la méthode MC. Elle revint au texte, à ses assertions les plus décisives.
AU-DELÀ DE MA PEUR ET AU PÉRIL DE MA VIE, J’AVAIS COUCHÉ AVEC LA MORT.
Face à insupportable intensité des mots, elle eut besoin de se détourner de l’ouvrage, de fixer l’horizon obstrué de baigneurs.
C’était à elle de jouer maintenant ; à elle d’effacer l’auteur comme on tue le père. De refermer le livre. Et d’agir.
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« La mondialisation viendrait à elle toute seule, sur son ventre, dans son panier, sous la forme de produits de trois sous fabriqués en Asie, dans la stimulation de l’achat d’impulsion des passants. » (p. 271)
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C’est le jour des funérailles de Norman, suivies en direct dans le monde francophone, à la télévision et sur le web, à l’égal de celles des plus grands chefs d’Etat. La vidéo funéraire, manière de web-testament ou de manifeste artistique posthume, tourne en boucle sur sa propre chaîne YouTube, atteignant les 120 millions de vues en quelques heures
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On est tellement forts que non seulement on est une beauté à soi tout seul et aussi une composition à trois. Le public a les yeux ébahis sur nous tellement on est au top. C'est une chorégraphie qu'on n'a pas eu besoin de répéter, moi et mes collègues, on se connait par coeur, chacun sait les options de ses confrères pour l'offensive vestimentaire à mener. Pas de quartier, on est là pour briller, pas pour se cacher comme des taupes type Quasimodo sous les cloches de Notre Dame, avec une bosse sur le dos et des guenilles pour emballer la nudité. Moi je dirai pour les historiens et les chroniqueurs mondains : on additionne parade et combat. On combat en paradant et on parade en combattant. On est le syndicat du Beau au Chic Club de Montrouge me 1er Mai 2013.
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