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Critiques de Dean Koontz (1040)
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Tic Tac

Tommy Phan est un jeune écrivain américain, d'origine vietnamienne, et adapté aux valeurs américaines, ce qui n'est pas sans causer des conflits avec sa famille plus traditionnelle. Il découvre une poupée sur son porche et la ramène à la maison. Et puis... tout bascule. La poupée s'anime et cherche à le tuer. Après avoir essayé de la combattre, il prend la fuite. Puis, il rencontre une jeune femme qui ne semble être celle qu'elle parait. Ils sont maintenant deux à fuir. Et...et...et.



Un roman de thriller fantastique avec de l'humour et des légendes vietnamiennes, mais cela a fonctionné pour moi.



Un petit roman qui m'a bien plu, mais ce n'est pas du meilleur cru de Koontz.
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Lune froide

Un policier blessé dans une fusillade; un semi ermite témoin d'un événement extraordinaire, et ce, à une grande distance l'un de l'autre. Or, quelque chose les rattache, sans qu'ils s'en rendent compte.



Un thriller avec un zeste de science-fiction et quelques scènes d'horreur.



Même si l'histoire est assez mince, Koontz réussit à maintenir la tension et ses personnages viennent nous chercher.



Mon impression : J'ai beaucoup aimé, ce qui est souvent le cas avec les lectures que je lis rapidement.
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La chambre des murmures

La chambre des murmures est la suite directe de Dark Web, difficile de lire cet opus sans avoir lu le précédent, pour ne pas dire impossible. Jane continue à chercher les responsables de la mort de son mari. Mais on découvre ici que le réseau est bien plus complexe que prévu.

J'apprécie toujours autant ma lecture, avec ce tome tout aussi difficile à lâcher. Le rythme est rapide, soutenu par un découpage en chapitres très courts, qui incite le lecteur à poursuivre sa lecture.

Jane reste déterminée. Elle continue à croiser sur sa route des alliés imprévus qui l'aide à avancer dans sa quête. Luther est l'un d'eux et va se retrouver pris dans un engrenage dont il ne pourra pas s'échapper.

Si l'on peut reprocher à l'intrigue d'enchainer les situations dans lesquelles Jane est un peu trop chanceuse, difficile de lâcher le roman avant d'arriver à la dernière page, tellement l'écriture de Dean Koontz nous captive.

J'ai hâte de lire la suite.
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La chambre des murmures

Pour mon plus grand plaisir, je viens de faire connaissance avec Dean Koontz avec "la chambre des murmures", 2ème tome des aventures de Jane Hawk, après "Dark web". Je précise que je n'ai pas lu "Dark web". Ça ne m'a pas gêné du tout dans la compréhension de ce second volet.



Nous sommes aux Etats-Unis, essentiellement en Californie et pour une bonne partie du récit dans le Minnesota avant de parcourir quelques autres Etats. Jane Hawk, 27 ans, veuve, un petit garçon de 5 ans, est une inspectrice du FBI en cavale depuis la mort de son mari. Elle tente, par tous les moyens, de faire éclater au grand jour ce que certaines personnes trament dans l'ombre pour "changer le monde afin de le dominer comme personne avant eux" en essayant de démasquer et en traquant les personnes impliquées. A travers les nanotechnologies, des êtres malveillants ont mis au point des nanomachines qu'ils injectent dans le système sanguin d'un individu. Une fois franchi les barrières du cerveau, elles en prennent le contrôle à l'insu de la victime. Dans le Minnesota, une de ces victimes, Cora Gundersun, 41 ans, institutrice sans histoire, va jusqu'à commettre un attentat suicide faisant 46 morts dont un gouverneur et un parlementaire. Ces implants permettent de contrôler les personnes de n'importe quelle façon en effaçant une bonne partie de leur mémoire.



C'est un roman d'anticipation avec beaucoup d'actions. Notre Jane est une super héroïne, un peu le pendant féminin de Jack Reacher, le super héros de Lee Child. Tous les coups sont permis et elle a la gâchette facile mais elle reste humaine et très attachante. Les seconds personnages sont également intéressants notamment Luther Tillman, shérif dans le Minnesota qui croisera le chemin de Jane. J'ai bien aimé le sujet de ce thriller ; outre la manipulation par la technologie de centaines d'individus, les autres sont également repérables, traçables, surveillés, épiés à tout moment. Il y a de quoi devenir parano. Les avancées technologiques, scientifiques pour le pire. C'est effrayant, cauchemardesque. L'écriture est fluide, "visuelle" et la fin laisse présager une suite aux aventures de Jane. Merci à Mylène éditions de l'Archipel pour ce très bon moment de lecture.

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Prison de glace

C’est toujours sympa lorsqu’un auteur nous expose quelques lignes pour expliquer son roman. C’est le cas ici avec le titre « Prison de glace » qui fut initialement écrit sous le pseudonyme de David Axton en 1976 (la même année que le bon roman « La peste grise » et cette couverture mémorable de pocket terreur – certains la jugent ignoble, moi, elle me fait bien marrer). En 1994, Dean Koontz retravaille son texte pour le rendre plus réaliste, surtout plus contemporain. Il en profite pour changer de nom en VO, ainsi Prison of Ice qui était édité en 1976 (non traduit) se voit renommer Icebound.

David Axton est l’un des dix noms d’emprunt de l’auteur. « Prison de glace » est le seul roman écrit sous ce pseudonyme.



Après une introduction signée Dean Koontz où l’on assiste à son humour très particulier, le roman débute enfin dans le vif du sujet. L’action se déroule au large du Groenland sur un Iceberg où une communauté de scientifique est envoyé pour prélever un très gros morceau de glace qui servirait de réservoir d’eau douce pour l’agriculture. Seulement voilà, les conditions climatiques vont rendre l’opération plus délicate et l’ensemble de l’équipage (sauf une personne) vont se retrouver coincé. Un compte à rebours commence.



Ce roman est un produit typiquement Koontz, l'homme qui a une réputation surfaite d’auteur de livres d’horreur, mais qui n’écrit principalement que des thrillers. Quand je pense au gâchis de cet écrivain qui se focalise sur les histoires presque romanesques sur fond de tension. Cet homme qui aura tout de même réussit ses plus belles proses grâce au Fantastique (« La maison interdite », « Les yeux foudroyés », « Au clair de lune ») et à la Science-Fiction (« Le temps paralysé », « La dernière porte », « Le monstre et l'enfant »).

L’équipage est composé de sept hommes et une femme (qui est l’épouse d’un des scientifiques). Dean Koontz s’amuse à nous rappeler, sous le biais de souvenirs, leur passé. Ainsi nous avons le droit à la romance tant appréciée par l’auteur. Ces événements prennent une place trop importante de l’histoire et j’ai trouvé que ça cassait complètement le rythme. Malgré ces portraits complets, je n’ai pas spécialement été touché par les protagonistes. En fait ce roman, je ne l’ai pas particulièrement apprécié ni détesté. J’ai juste eu entre mes mains un thriller banal.

Le problème vient peut-être de l’immersion. Je n’ai pas eu la sensation d’être moi-même sur ce gros glaçon. Je pense que l’auteur n’a pas suffisamment décrit le paysage. On pourrait dire qu’un iceberg c’est juste blanc, mais non. Je trouve ça joli ces reflets bleutés et autres effets visuels du soleil sur la glace.



Parmi les personnages du roman, on trouve le fils d'un Président des États-Unis assassiné devenu millionnaire (vous avez dit Kennedy ?), un français sexagénaire du nom de Claude, un psychopathe pour rajouter une dose de tension supplémentaire, un asiatique qui a fui son pays… On rajoute à la bande (à Basile) un commandant soviétique de sous-marin espion devenu soudainement humain, et voilà le tableau des principaux acteurs de l’histoire.



Comme je l’ai dit, j'aime Koontz l'auteur de l’imaginaire. Dans le style thriller, d’autres auteurs sont plus jouissifs à lire. Il s’agit d’un texte assez long, mais plutôt facile d’accès. Un bon moment de lecture, mais inoubliable. On notera l’originalité, je n’ai pas souvenir ni de connaissance sur des thrillers se déroulant exclusivement sur un iceberg.
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La voix des ténèbres

Écrit sous le pseudo de Brian Coffey, raconte l'arrivée d'un adolescent de 14 ans dans une ville côtière du nom de Santa Leona. Vivant chez sa mère divorcé depuis peu, Colin a toujours eu peu d'ami. Il rencontre alors, un garçon du nom de Roy, que tout le monde respecte et envie. Il devient alors son idole. Mais Roy tient un terrible secret et manipule Colin. Roy tient pour fascination la mort.

Ce que je pense : Heureusement que je n'ai pas lu la couverture, sinon, je me serai spoiler. Merci donc à l'éditeur qui une fois de plus en raconte largement plus et tue l'intérêt du livre. Le fait de voir cette complicité des deux adolescents m'a rappelé quelques souvenirs d'enfances. j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire et, se lit vraiment avec beaucoup d'aisance. Sans être un roman exceptionnel, l'histoire bien.
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Midnight

Bien avant la mode des loups-garous et des vampires à toutes les sauces (tomate) ; romans édulcorés, Koontz sortait un brillant roman horrifique mâtiné de science.

De la vraie horreur "à l'ancienne", travail "fait main", travaillé aux petits oignons (à l'ail ?) pour faire frissonner.

Dans les années 90, Koontz était un maître en la matière et donnerait encore des leçons à bien des scribouillards actuels.

Amateurs du King de cette période, vous pouvez y aller les yeux fermés (mais pas trop, ça pourrait être dangereux).

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Chasse à mort

Je découvre cet auteur avec ce livre et quelle découverte, c'est simple, j'ai adoré ce roman qui si il n'était pas si gros se lirait d'une traite.

D'un côté, nous suivons Travis, ancien militaire de la Delta, qui n'a malheureusement pas été très chanceux dans sa vie, beaucoup de ses proches sont morts prématurément, le laissant dans une profonde solitude, ensuite vient Nora, femme toute aussi seule, mais pour des raisons diverses, qui manque cruellement de confiance en soi, nous suivons également Vince, tueur à gages, sans scrupules, qui pense que chaque personne morte sous ses coups renforce son immortalité et pour finir nous avons Lem Johnson, enquêteur pour la NSA, qui traque deux créatures échappées d'un laboratoire, l'une est un chien Golden Retreiver, presque aussi intelligent que l'homme et surtout d'une gentillesse incroyable et l'autre, une créature monstrueuse, qui ne laisse que cadavres et sang sur son passage.

J'aime beaucoup les livres construits de cette façon, des chapitres courts mettant en place l'histoire au travers de différents personnages et évènements qui vont bien évidemment avoir un lien au fur et à mesure de l'avancée de ladite histoire.

J'ai tout d'abord été un peu réticente au côté fantastique, qui n'est pas toujours ma tasse de thé et surtout le titre qui laissait présager une course poursuite de presque 500 pages et qui auraint très certainement eu le chic de m'ennuyer et bien c'est avec une agréable surprise que j'ai lu ce livre, l'auteur a su mettre en place une histoire passionnante qui donne envie au lecteur de connaître vite le dénouement et surtout aucune longueur tout au long du récit, pas de combat de 30 pages, pas de descriptions indigestes, pas de personnages invraisemblables, bref un livre qui se lit tout seul et qui surtout donne envie au lecteur de connaître le reste des oeuvres de cet auteur que je découvre avec ravissement.
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Chasse à mort

Dean Koontz est un auteur de fictions à suspense que j’ai pu découvrir à travers ses romans fantastiques : Dark Web ou La chambre des murmures. Pour cette nouvelle découverte, le titre « Chasse à mort » donne déjà le ton du récit : l’histoire sera noire et sanguinolente.



Deux bêtes se sont échappées du laboratoire d’expérimentations Banodyne. L’une est un retriever affectueux, doté d’une intelligence supérieure qui le place presque au même niveau qu’un humain. Il est capable de comprendre ce qu’on lui dit et d’y répondre. L’autre est surnommé L’Autre justement, c’est une créature monstrueuse, assoiffée de sang et surtout jalouse de la beauté et de l’intelligence du chien. L’Autre part à la recherche du retriever, dans l’espoir de le tuer. Mais le chien est accueilli par Travis Cornell, un ex-membre de la Delta Force, terrassé par son quotidien monotone et déprimant. Par l’intermédiaire du chien, il va faire la rencontre de Nora, une jolie jeune femme solitaire, avec qui il va se lier rapidement. Ensemble, ils vont découvrir progressivement les capacités intellectuelles du chien, renommé Einstein. Mais le chien est en danger, puisque le gouvernement, financeur secret des recherches, sont prêts à tout pour remettre la main sur les deux créatures.



Comme dans ses précédents titres, les chapitres sont courts, ce qui donne un certain rythme au récit, avec une tension palpable et constamment croissante. Cette tension est accentuée par l’alternance des narrations, partagées entre Travis, le tueur à gage et Lemuel Johnson, parti à la recherche des deux bêtes. La course poursuite est lancée, chacun ayant en vue la même cible – le chien – mais pour des raisons différentes : la vengeance, le pouvoir et l’argent.



J’ai beaucoup aimé le trio Travis – Nora – Einstein, tout en simplicité et en émotions. Ils sont émouvants dans leur façon de vivre, de se comporter, de s’attendrir, de s’attacher et de se protéger les uns les autres. Ils forment une véritable famille, solide, sincère, chaleureuse et aimante. Ils se sont sauvés les uns des autres et c’est ce qui fait véritablement leur lien. Einstein a été recueilli par Travis alors qu’il s’enfuyait du laboratoire et tentait d’échapper aux griffes de l’Autre ; Travis a été sauvé par Einstein alors qu’il broyait du noir et souhaitait mettre fin à ses jours ; Nora a été révélée au monde par Travis et Einstein, alors qu’elle vivait recluse, en marge de la société, de surcroît victime de harcèlement et de viol par un énergumène tout à fait ignoble.



L’histoire est prenante, elle mélange polar, science-fiction et fantastique, mais elle n’est pas que fictive, puisqu’on peut y voir des réflexions plus poussées sur la science en général et les expériences réalisées sur les animaux et leurs conséquences. Si on pousse encore plus loin la réflexion, on peut se questionner sur la conscience des animaux, leur capacité d’absorption et d’intelligence.



Un polar fantastique sombre à la tension constante, qui raconte l'aventure originale et surprenante d'un chien doté de capacités intellectuelles égales à celles de l'homme. Improbable, mais bien amené.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Dans l'ombre des bois

Dans l'ombre des bois... premier livre de Dean Koontz sorti en France. Comment l'oublier ? Rien que pour ça, il vaudrait le coup d'être lu, mais pas que. Ce roman nous prouve déjà qu'un monument va bouleverser la face du monde (mais non j'exagère pas) et qu'un auteur va rapidement devenir incontournable pour les fans du genre et rejoindre Stephen King et Masterton tout en haut de la pyramide.

Bon, de quoi ça parle ? Un humain rencontre l'habitante d'une planète nommée Démos et la sauve d'une attaque de loups. Bien entendu, ils tombent amoureux, mais le mélange d'espèces est fortement proscrit sur Démos. Donc, l'humain devient Démosien.

C'est court (130 pages), mais le ton est donné et le rythme haletant. La qualité de la plume fait passer les quelques coquilles qui se sont glissées dans le récit.

Je ne suis pas vraiment fan de science-fiction, mais j'ai néanmoins beaucoup aimé ce roman. Probablement parce que toutes les conditions étaient réunies pour que ce soit le cas, en plus du fait que la lecture en a été agréable.Et puis, c'est l'un des seuls récits de SF de Koontz qui ait été traduit.
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La Nuit du forain

La mère d'Ellen, bigote, la terrorise toute son enfance avec ses histoires d'enfer et de punitions divines. À 20 ans, elle s'enfuit avec un beau forain qui se révèle vite brutal. Elle donne naissance à un bébé difforme et monstrueux et sombrera dans l'alcoolisme, jusqu'au soir fatal où elle tuera, non sans mal, son enfant, qu'elle appelait "la chose".

Le forain (Conrad pour les intimes) la laisse partir après l'avoir violemment tabassée et lui avoir jeté un sort, selon lequel elle rencontrera quelqu'un qui lui donnera un autre bébé.

Nous suivons ensuite Amy, douce et gentille, mais éprise d'un sombre crétin.duquel elle va tomber enceinte. Ami redoute plus que tout la réaction de sa mère, Ellen.

Les histoires se recoupent, vous l'aurez deviné, et la terreur est poussée à son paroxysme, parce que Koontz réussit à rendre les scènes très réelles. Très bon thriller qui laisse des traces.

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Spectres

Après la mort de leur mère, Jenny qui est Dr dans une station de montagne Snowfield, prend en charge sa petite sœur Lisa.

Arrivées à la maison de Jenny, un calme pas ordinaire s'empare des lieux et la surprise prend place à l'effroi quand elles découvrent le corps boursouflé de la gouvernante dans la cuisine.

Cherchant de l'aide, d'abord chez les voisins, ensuite de partout, elles se rendent compte que le mal qui a touché la gouvernante c'est emparé de la totalité de la station.



Amateur de fantastique et d'horreur, il y a quelques noms qui sortent du lot, qui sont King, Masterton, Straub, Lovecraft et un peu plus loin Koontz.

Pour combler ce manque, je me suis lancé dans Spectres, sans que soit satisfaisant. Un manque d'originalité, de la redondance, des dialogues de bas étages, bref l'ennui m'est venu aussi rapidement que la mort des villageois de ce livre.



Il arrive que je reprenne plus tard un livre que j'abandonne pour le lire dans de meilleure condition, mais dans ce cas-là je n'en ferai rien.
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Les yeux des ténèbres

Un grand merci à Mylène des Editions Archipel et Netgalley pour ce livre.



Christina n'arrive pas à oublier le décès de son fils Danny, divorcée et seule, elle met en place un spectacle qui lui fait rencontrer Elliot. Le coup de foudre est immédiat mais comment pourra t'elle dire à Elliot que son fils décédé se manifeste en écrivant sur son tableau "PAS MORT". ? Tout s'enchaîne très vite, Elliot est agressé, Tina reçoit la visite d'un chauffagiste un jour férié. Ils doivent fuir, mais Christina arrive à convaincre Elliot que son fils n'est pas mort. Et c'est lui seul qui va les aider à le retrouver.

Entre grands secrets d'Etat et actions, Dean Koontz nous emporte dans les arcanes nébuleuses des gouvernements. La série sur Netflix "STRANGER THINGS" a bien du lire ce livre car j'avais l'impression de la revoir.
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Dark Web

Décidément, Dean Koontz a la fâcheuse habitude d’écrire des thrillers à rallonge. Déjà avec Regard oblique, découvert il y a plusieurs années maintenant, il m’avait fait frémir durant de longues heures, au grès d’aventures plus horrifiques les unes que les autres. Il revient en force avec Dark Web, un polar moderne, futuriste, plus glaçant que jamais.



Suite au suicide inattendu de son mari Nick, Jane Hawk est déboussolée : Nick était un mari et père très heureux, qui n’aurait jamais mis sciemment fin à ses jours. Après quelques recherches, Jane s’aperçoit que le taux de suicides est en constante augmentation. Chose encore plus étrange, les profils des suicidés ressemblent à celui de son mari : des citoyens sans histoire, épanouis, qui n’ont jamais manifesté de désir d’attenter à leur vie. Jane va mener une enquête personnelle, qui va s’avérer très dangereuse. En effet, les personnes qu’elles traquent sont puissantes, riches, et prêtes à l’éliminer, elle et son petit garçon Travis, pour qu’elle arrête de fouiner dans leurs affaires.



Dans Dark Web, je retrouve le suspense que j’avais tant apprécié dans Regard oblique, du même auteur. Les chapitres sont courts, succincts, ils n’excèdent pas quatre à cinq pages pour les plus longs et sont réparties en cinq grandes parties. Autant vous dire qu’il m’était quasiment impossible de lâcher ce livre. Les pages défilaient à un rythme fou, la tension était à son maximum, j’avais envie d’en savoir toujours davantage.



Dean Koontz nous place face à un scénario futuriste terrifiant. Sans trop vouloir vous dévoiler des éléments clés de l’intrigue, sachez que l’histoire, qui semble surnaturelle, est glaçante de réalisme. À plusieurs reprises, je me suis surprise à penser que, peut-être, dans un avenir plus ou moins proche, les expériences et situations décrites dans ce récit, pourraient potentiellement devenir réelles. Sait-on jamais, le progrès n’a pas de limite, comme on dit, mais quand on voit de la façon dont les méchants de ce livre utilisent ces inventions, on ne peut qu’être effrayé de la manière dont les choses pourraient tourner dans le monde futur. Par contre, le titre donné au livre, à savoir Dark Web, ne reflète pas du tout l’histoire : moi qui pensais découvrir une enquête sur l’internet clandestin et illégal, je suis un peu déçue…



De plus, j’ai remarqué quelques longueurs dans l’histoire, qui ne m’ont pas empêché de l’apprécier. L’enquête principale est bien ficelée, quoiqu’un peut compliquée à comprendre par moment : elle aurait sans doute méritée plus de développement et des explications plus poussées.



Quant au dénouement, il laisse supposer une suite prochaine. Malheureusement, après plusieurs recherches, je n’ai trouvé aucune mention précise et concrète d’un tome deux.



Un thriller rythmé, au scénario bien ficelé, qui, malgré quelques longueurs, m'a fait passer un bon moment de lecture. Dark Web vous immergera dans un futur technologique glaçant.
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La nuit des cafards

Bon ! Je suis un peu déçue par ce thriller. Ayant été emballée par "La chambre des murmures" qui m'a fait découvrir cet auteur, je m'attendais à beaucoup mieux.



A Los Angeles, Hilary Thomas, jeune femme de 29 ans, est agressée chez elle par Bruno Frye, un homme qu'elle a rencontré quelque temps auparavant. Elle arrive à se défendre et prendre le dessus, le faisant fuir. J'ai trouvé cette scène trop longue et peu crédible sur certains aspects.

On suit également 2 flics, Franck Howard et Tony Clemenza, 2 inspecteurs très différents (le gentil et le méchant) qui enquêtent sur un violeur/tueur récidiviste quand ils sont appelés pour se rendre au domicile d'Hilary. Elle leur raconte son agression, Tony la croit, Franck non.

Frye, son agresseur, est persuadé qu'Hilary n'est autre que la réincarnation de Katherine, sa mère, qu'il a déjà tué maintes fois mais qui revient systématiquement d'entre les morts sous une nouvelle identité. Il tentera donc à nouveau de la tuer.



Au début, je me suis dit, les morts qui reviennent à la vie, les morts vivants contre les vampires, le style roman d'épouvante, très peu pour moi. Mais non, ouf ! C'est bien un thriller, mais je n'ai pas été emballée. D'abord je l'ai trouvé trop long, d'autant plus que ce n'est pas justifié, le livre de poche fait plus de 600 pages. Il y a trop de détails inutiles et je me suis ennuyée par moment car ça manquait de rythme. Il y a 2 parties, quasiment pas de chapitre. Il est dommage que le texte n'ait pas été plus aéré. L'histoire n'est pas très originale, elle est assez prévisible ce qui enlève le suspense, et est parfois un peu tirée par les cheveux, il est vrai que l'auteur l'a écrite en 1979 et que depuis on a fait mieux dans le genre. Malgré cela, je l'ai lu assez vite car c'est plutôt bien écrit. Au final une lecture pas désagréable mais pas indispensable non plus. Merci aux éditions de l'Archipel.
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La chambre des murmures

Merci à Babelio pour la sélection et aux Editions Archipel pour l'envoi de ce livre qui m' a vraiment séduite autant par la narration que par l'histoire.

L'histoire commence sur des "chapeaux de roues". Jane, ancienne inspectrice du FBI est pourchassée, à vouloir trop dire que la mort de son époux n'est pas un suicide, elle s'est fait beaucoup d'ennemis. Jane a commencé à mettre à jour un secret que la société nommée les Arcadiens cachent. L'implantation de nanotechnologies dans l'humain fait de lui à la fois un être docile et tueur lorsqu'il est conditionné. Dans sa quête à la vérité elle sera aidée par Luther, shériff, qui lui ne comprend pourquoi son amie de longue date Cora s'est fait explosée en tuant le gouverneur et d'autres personnes. Ils ne seront au bout de leur peine, car les Arcadiens ont décidé d'eux mêmes de réguler l'espèce humaine à leur façon.

Un rythme soutenu tant dans les actions que dans le récit.

Un roman d'anticipation qui mérite toutes les éloges.

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Chasse à mort

Ce livre ? Je l'ai lu et relu et je l'ai adoré ! à cause du chien, de ce chien merveilleux, qui, pour tous les amoureux des chiens, rend ce roman absolument inoubliable.

Une histoire haletante, sur fond de manipulations génétiques ayant abouti à la création de ce Chien, doté d'une intelligence supérieure et d'un tas de qualités que l'on aimerait rencontrer chez autrui et d'une autre créature, baptisée l'Autre, dont je vous laisse découvrir quelle fonction lui a été attribuée. Koontz en profite pour pointer du doigt les aberrations de certaines expériences scientifiques, qui hélas ne sont pas toujours fictives ! et le mépris de la vie des autres dont elles font preuve.



Le chien, ayant fui le laboratoire, suivi par l'Autre, est recueilli par Travis Cornell, un homme désenchanté et solitaire. Tous deux vont nouer une amitié indéfectible. Cornell fera tout son possible pour aider Einstein (ainsi a t-il baptisé le chien) à échapper à ceux qui le pourchassent (et ils sont nombreux). Quant à Einstein il transformera définitivement l'existence de son compagnon !



Depuis cette lecture, je regarde les chiens de manière totalement différente en souhaitant de tout coeur en rencontrer un semblable à Einstein !

Il me semble parfois que le mien .....
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Le Temps paralysé

Surprenant, mais finalement pas tellement quand on sait que ce livre fut écrit lors de l'apogée de Dean Koontz. Cet auteur me surprend de temps à autre avec son imagination pour mon plus grand bonheur. Cet avec un grand plaisir que je me suis plongé dedans, que j'ai dévoré et que j'ai adoré.

Je le conseille pour toutes les personnes qui aiment les histoires fantastiques, à la limite science-fiction et a toutes les personnes qui veulent découvrir cet auteur.
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La Maison interdite

Assurément le meilleur livre que j'ai lu de lui, voir même de tous ceux que j'ai lu. Il y a tout de réuni pour en faire un chef-d’œuvre, de l'action du début jusqu'à la fin, un méchant pour qui on pourrait s'attacher, un personnage central qui n'est pas vraiment un héros, un couple de détective attachant tout comme le frère atteint de trisomie, de l'horreur plutôt psychologique, du fantastique et surtout une fin diaboliquement inimaginable.

Il n'y a pas assez de qualificatif pour exprimer tout ce qu'a pu me procurer ce livre. Vraiment un excellent livre. Dommage que Dean Koontz n'écrit plus depuis longtemps des livres d'un tel niveau.
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Un type bien

Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas plongée dans un Dean Koontz et c'est chose fait grâce à ma 1ère participation à masse critique (un grand merci pour la sélection,merci à Babelio et aux éditions JC Lattès).

Je gardais en mémoire un excellent souvenir de Jour fatal et cette fois encore, je n'ai pas du tout été déçue.

Quasiment dès le début, on plonge dans de l'action à 150 kms/heure et je n'ai lâché ce livre que pour m'accorder quelques heures de sommeil !

Je ne vais pas vous parler de tous les personnages mais sachez déjà qu'on a :

- un grand gaillard que certains trouvent pantouflard, limite vieux jeu, que son entourage désespère de voir un jour se caser,

- un tueur à gages, particulièrement imbu de lui-même et d'une cruauté inimaginable.

Suite à 2 quiproquos qui s'enchaînent, l'action démarre sur les chapeaux de roue et on sent vite qu'on n'aura pas une minute de répit avant la fin, ce qui s'avère être le cas.

Pas facile d'en dévoiler plus quand on a affaire à un roman à suspense sans risque de gâcher le plaisir du lecteur, alors je vous laisse (en vous le conseillant sans hésitation) découvrir Un type bien (qui l'est vraiment) et vous plonger dans cette course-poursuite.

Vous m'en direz des nouvelles !
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