Lois Lowry

Le passeur fait partie d'une tétralogie Il peut tout à fait être lu seul, mais prend plus d'ampleur en lisant les autres opus.

Il est cependant le meilleur des 4. Un meilleur des mondes tout public sous la forme d'un conte philosophique plein de mystère et de poésie, écrit dans un style minimaliste, feutré, qui laisse de l'espace à l'intuition et l'imagination du lecteur.

Je ne saurais dire si j’ai aimé ou non ce livre . La langue est un peu lourde mais le style est très agréable. L’histoire en elle même est sympathique mais on répète assez souvent (trop souvent) que c’est « vieux jeux », « comme dans les histoires d’autrefois ». Mais l’intrigue est sympa et bien développée. Vraiment à la fin de ma lecture, je ne sais quoi en penser…

J'avais adoré Le passeur, et quand j'ai vu ce livre dans une boite à livre, je l'ai pris sans même en lire le résumé.



Cette histoire a réussi à m'émouvoir. Le thème est traité légèrement, alors que les situations par lesquelles passent les personnages sont tout de même empreintes de tristesse et de violence.



La réponse apportée à "comment se forment les rêves" est très belle et fait... rêver.



On pourrait creuser davantage cet univers, raconter comment les Saboteurs le deviennent et finissent pas octroyer des cauchemars plutôt que de beaux rêves bleus, mais ce n'est même pas nécessaire pour se rendre compte de toute la force que porte ce court récit. Il se suffit à lui-même et apporte un peu de douceur avant l'heure du coucher, je n'en attendais pas plus, pas moins.

Quelle belle surprise ! Je n’ai pas l’habitude de lire des dystopies et ce roman me donne envie d’en lire d’autres ! On découvre cette communauté futuriste grâce à Jonas et sa cellule familiale. Comment serait le monde sans la douleur ? A quoi ressemblerait un monde sans émotions ? Petit à petit, on comprend que cette société “parfaite” qui prône l’identique n’est pas idéale grâce au destin du jeune garçon. Il y a des sujets qui nous font vraiment réfléchir. J’ai été touchée à plusieurs reprises par certains souvenirs… Et Jonas est tellement attachant que l’on a envie de le suivre dans ses aventures et de l’aider. J’ai hâte de continuer ma découverte de cette tétralogie qui comprend également L'élue, Messager et Le fils.


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Je me rappelle encore la première fois que j'ai lu ce livre. J'étais très jeune (dizaine d'années) et pourtant ce livre m'a profondément marqué.



Plusieurs années plus tard, quand je l'ai relu, je l'ai redécouvert avec le même plaisir.



Si vous êtes une personne assez sensible, alors il est possible que comme moi, ce livre vous touche au fond de votre coeur. Il pousse à se remettre en question, à analyser le monde et la vie qui nous entoure. C'est une remise en question de notre fonctionnement, de la morale et de nos idéaux.

Claire est une jeune fille "réceptacle" : elle a un rôle de reproductrice au sein de la Communauté. En tant que mère porteuse, elle doit fabriquer entre 2 et 3 enfants avant de changer d'attribution. Mais la première naissance se déroule mal et elle est réaffectée à l'Alevinière. Elle parvient à enfreindre les règles pour aller à la rencontre du fils auquel elle a donné la vie. Ce dernier, temporairement baptisé Trente-Six, semble subir un retard de croissance...

Quelques années plus tard, Claire est secourue par une communauté de pêcheurs. Amnésique, elle essaie de réapprendre à vivre dans ce village aux moeurs et à l'environnement si différents de sa communauté originelle.



[Je déconseille vivement de commencer par cet opus pour découvrir le Quatuore ! Il peut difficilement être lu séparément vu l'importance et les implications des précédents tomes dans cette histoire]

Après un long détour par les communautés de L'Élue (https://www.babelio.com/livres/Lowry-Llue/17165) et du Messager (https://www.babelio.com/livres/Lowry-Messager/36704), on retrouve avec intérêt la communauté du Passeur (https://www.babelio.com/livres/Lowry-Le-passeur/3102) avec ses règles si strictes, son absence d'émotions et de couleurs. le roman démarre un peu avant l'intronisation de Jonas en tant que Dépositaire. La Cérémonie durant laquelle il est nommé Passeur est d'ailleurs retranscrite dans les cent premières pages, racontée par les collègues de Claire à l'Alevinière. Ce passage a fait remonter en moi d'excellents souvenirs de lecture du Passeur, je me suis remémoré avec plaisir l'histoire de Jonas (voir commentaire : https://www.babelio.com/livres/Lowry-Le-passeur/3102/critiques/3333656). On retrouve aussi le père de Jonas, nourricier toujours plein de bienveillance envers les "nouveaux-venus". Visiblement, Claire quittera sa communauté originelle peu après Jonas et "le petit".

La deuxième partie nous entraîne dans une nouvelle communauté, beaucoup plus bienveillante. La pauvre Claire s'y retrouve amnésique à la suite d'une terrible tempête. Elle réapprend à vivre, ressentir, s'approprier son nouvel environnement auprès d'Alys et d'Einar. Retrouvant la mémoire, elle n'aura plus qu'un espoir : retrouver son enfant, quels que soient les sacrifices à endurer. Au fil des pages, cette partie intermédiaire se rapproche de plus en plus du livre d'aventures...

La dernière partie se déroule dans la communauté du Messager, où nous retrouvons les personnages des précédents opus (Jonas et Kira, en première ligne). Un sombre danger menace le village : Jonas et Gabriel réussiront-ils à mettre fin aux nuisances du Commissaire troqueur, enfin ?



Ce roman, beaucoup plus long que les précédents, clos parfaitement le cycle du Quatuore. Lois Lowry nous propose une histoire plus aboutie, plus approfondie, plus longue et plus complexe, aussi. Clairement nourrit des romans précédents et de leurs personnages charismatiques, curieux et courageux, le personnage de Claire m'a immédiatement séduite et je suis rentrée dans l'histoire en quelques lignes. En revanche, j'ai eu un peu plus de mal avec la deuxième partie, plus floue et plus redondante, assez proche du roman d'aventures. Heureusement, la dernière partie, beaucoup plus sombre, a tellement relancé mon intérêt que je l'ai lue quasiment d'une traite !

L'autrice parvient à nouveau à nous immerger complètement dans son univers dystopique où se mêlent le bien et le mal, l'ombre et la lumière, l'indifférence et l'exaltation. Son style est toujours aussi imagé, clair, agréable et très immersif. Lois Lowry reprend les thèmes précédents (en les approfondissant ou pas, selon le cas) et y ajoute des réflexions autour de la famille, des liens qui unissent les êtres, de la maternité et de la parentalité.

Voici un livre que je n'aurais pas entamé il y a quelques temps mais prêté par un membre de ma famille j'ai sauté le pas...

Et vraiment j'ai bien fait!

Sans raconter l'histoire, je vais pour une fois juste parler de la plume de ce livre qui est juste magnifique et totalement addictive.

A lire vraiment

Ah que voilà une belle surprise. Je me suis prêtée au jeu dans un challenge de lecture : un autre lecteur a pioché un roman dans ma pile à lire. Et je me suis vue attribuer le Passeur.

La preuve renouvelée que la littérature jeunesse recelle de belles pépites.

Un grand merci donc à @Fleurdesiles97120 pour ce choix.

Comme de coutume, je ne vais pas vous raconter l'histoire, car il n'y aurait alors plus d'intérêt à ce que vous le lisiez. Et je vous recommande sa lecture de 10 à 100 ans. Car il interroge sur la liberté de ressentir. Si l'on escamote la douleur et les émotions négatives, que reste-t-il des émotions positives ? S'il n'y a plus d'ombre, comment distinguer la lumière ? S'il n'y a plus de silence, comment apprécier la musique ? Ce roman s'attaque à ces questions au travers de l'histoire de Jonas et sa communauté, ultra lissée. Pas de mort, pas de douleur, pas de chômage, pas de faim, pas de choix. Mais alors pas de passion ? Pas d'envie ? Une vie terne et tellement uniformisée qu'elle en devient sans intérêt. Alors quand Jonas sort de sa caverne, qu'il découvre en pleine lumière toute ce qui a été estompé, gommé, au nom du bien-être mais au mépris du libre-arbitre le plus basique, il…Non je ne dirai rien. Pour savoir il vous faudra lire ce roman. L'écriture est claire, fluide, nette et sans chichi.

Donc à la question faut-il le lire ? Evidement je réponds oui. La bonne nouvelle est qu'il fait partie d'une tétralogie. Vous aurez donc le loisir de lire également l'Elue et le Fils et Messager si celui-ci vous plait. Vérifiez l'ordre recommandé pour la lecture sur babelio.

Si vous aimez les dystopies de mondes parfaits, je vous recommande également Un bonheur insoutenable de Ira Levin. Et au passage, petite page de réclame : je vous recommande les challenges de lecteurs qui sont de formidables réservoirs d'inspirations et de découvertes. Je fréquente assidument le Challenge Multi-defis de l'année en cours.

J'ai découvert, comme beaucoup je pense, cette pépite au collège, puisqu'il figurait au programme de lecture en Français. Presque 20 ans plus tard, j'ai encore certains passages en tête, c'est un ouvrage qui m'a marqué à vie ! Si vous êtes passés à côté, n'hésitez pas à vous le procurer : ça se lit tout seul et c'est absolument captivant.

Un livre magnifique qui nous présente un monde utopique, peut-être pas si utopique et qui permettra peut-être d'apprécier notre monde et ses imperfections à leur juste valeur.

Le personnage de Jonas est très attachant et permet de s'interroger sur la valeur des choses.

Je pense que ce livre est plutôt bon mais que je l'ai lu bien trop tard dans ma vie, lorsque les interrogations qu'il soulève ne sont plus assez pertinente.



Ce livre est plutôt destiné aux adolescents et je le recommanderais d'ailleurs volontiers pour cette tranche d'âge, où l'on apprend que le monde et la vie peuvent être bien différent de ce qu'on connait. Une bonne idée, mais dont la réalisation me semble limité pour des plus gros lecteurs. Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié ma lecture mais j'ai rapidement senti que la fin ne me satisferait pas. Et en effet, j'ai trouvé que c'était très rapide dans l'exécution de celle-ci et les questions qui sont soulevés tout au long de l'œuvre n'ont pas vraiment de réponses. Ce qui est bien pour des jeunes, avec une simple présentation d'univers différent et ce qui est soulevé comme questionnement avec.

Malheureusement, je suis assez difficile désormais avec un ouvrage de ce genre, puisque plusieurs lectures m'ont déjà fait me poser des questions sur ce genre de société et que j'aurais voulu plus. Plus de réponses, plus de mises en perspectives sur les différences entre cette société et la notre, la question de faire autrement, de ce que cette société apporte réellement, etc … Ce genre de questions doivent être traités pour un développement plus approfondi, puisque les réponses seront assez différentes.



Je parais critique envers le livre, mais je suis sur ma faim malgré les qualités que je vois dans le livre (et d'ailleurs ma note le reflète) qui vise un public plus jeune. C'est que pour des personnes cherchant plus de réflexions et de questionnement, je trouve que l'ouvrage reste en surface. Je pense qu'aujourd'hui, je suis un lecteur trop exigeant pour ce genre de livres. Par contre, il est très bon pour la tranche d'âge visé, aucun doute dessus !

En plein milieu de la série des Guilhem d'Ussel, il faut reconnaitre que lire "Le passeur", ça fait un choc !



Livre recommandé par une professeur de français rencontrée dans le cadre d'une formation, elle m'expliquait qu'elle utilisait ce roman pour sensibiliser les jeunes au volontariat.

Chouette porte d'entrée mais "Le Passeur" ce n'est pas que ça !

Quelle société étrange, sans couleur, sans choix et sans risque de se tromper.

Au final, au fil des aventures de Jonas, on confirme ce qu'on sait déjà en tant qu'adulte... Aucune solution n'est parfaite.

C'est un roman du style "1984", qui peut être dérangeant par certains aspects mais qui a le mérite d'être bien écrit, intéressant, et qui suscitera beaucoup de sujets de débat.

Il s'agit ici, d'un livre jeunesse et on suit le personnage principal, Jonas à un moment crucial de sa vie. A seulement 12 ans, il va faire face à son destin, mais il va surtout devoir grandir, vite, et comprendre le monde qui l'entoure. Cette évolution est très bien amenée et j'ai aimé suivre Jonas pendant son apprentissage.

Le monde dans lequel vit Jonas pourrait être décrit comme "parfait". Pas de guerre, pas de pauvreté, pas d'inégalités... Mais comme toute dystopie, rien n'est parfait.

Je pense que ce livre est une super idée cadeau pour une découverte du genre à de jeunes ados (12-13 ans) et même aux plus grands.
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Nous entrons pas ce roman jeunesse utopique dans une communauté où les individus sont formatés,où la douleur,les conflits et la faim n'existent pas.

Une société où les émotions de chacun sont inhibées et où des règles strictes sont à respecter pour le bien commun de tous.

A chaque âge sa cérémonie, jusqu'à l'âge de 12 ans où les jeunes gens se voient attribué leur futur métier dans la communauté.



Mais est-ce que ce monde parfait vaut vraiment la peine si tout ce qui fait de nous un être humain est mis sous cloche ?

Ce roman met en avant l'aliénation de la liberté, ses mécanismes et remet en question certains fonctionnements de notre propre société. Notamment lors de la crise sanitaire du Covid-19 où tous nos droits fondamentaux ont été bafoués avec une facilité déconcertante.

Cette utopie nous rappele que la limite peut-être vite franchie et l'endoctrinement facile, sous couvert de la protection d'autrui.

Il me semble que j'avais déjà lu au moins un roman dont Anastasia est l'héroïne. J'ai aimé découvrir la source de ces récits au personnage original et très attachant.

Anastasia aime faire des listes, apprendre de nouveaux mots, prendre des décisions existentielles radicales et les annoncer très sérieusement à ses parents stoïques.

L'annonce de l'arrivée d'un petit-frère la contrarie énormément mais son quotidien est toujours émaillé d'anecdotes savoureuses car la fillette a un regard assez décapant sur la société.

L'adaptation cinématographique de ce livre m'avait emportée, totalement enthousiasmée. Je ne suis pas une grande friande de dystopie, mais le film m'avait vraiment plu. Je devais donc lire le livre, et je ne suis pas déçue.



Cette société sans sentiments, sans erreurs, sans couleurs... Et puis Jonas, intelligent et pourtant bien ancré dans la communauté, qui découvre le fardeau qu'est celui de porter des souvenirs colorés, mais qui peuvent être destructeurs ; comme ceux de la douleur, de la guerre, du sang.



J'ai vraiment aimé ce livre qui est adapté à tous les âges et tous les goûts. Lois Lowry, à travers son roman, nous fait comprendre l'importance des sentiments, de la réflexion et de la chance que nous avons de voir les couleurs. La beauté des petites choses. Je le recommande vraiment à tout le monde.

Matty est un jeune garçon du Village, une communauté où règne la bienveillance, contrairement aux communautés environnantes. Il vit avec Visionnaire, un aveugle plein de sagesse et de savoir qui a recueilli le jeune intrépide. Matty est un des rares habitants du Village à se promener dans l'inquiétante Forêt, et lors d'une de ses balades, il se découvre un étrange et puissant don de guérisseur...



Lois Lowry nous entraîne dans une nouvelle communauté dystopique. J'avais aimé Le passeur et L'élue, j'ai été moins captivée par le début de ce Messager. J'ai trouvé le démarrage un peu lent, mais il faut bien poser les bases de cette nouvelle dystopie. En revanche, j'ai été ravie de retrouver certains personnages de L'élue, Kira en tête ! Une fois l'univers posé, je me suis laissée emportée par cette suite et j'ai hate de retrouver certains personnages, peut-être, dans Le fils (dernier livre du Quatuore) ! La fin est moins ouverte que dans les tomes précédents, en revanche, les dernières lignes restent abruptes et tristes...



Ce troisième opus est toujours aussi bien écrit, aussi immersif et prenant. Lois Lowry commence par dépeindre le Village aux allures d'idéal, tout en maintenant la tension autour de la Forêt. Elle reprend des thèmes qui lui sont chers : importance des mots, des maux, de la vieillesse, du deuil et de l'esprit communautaire. Elle y ajoute un nouveau sujet de débat : l'immigration, nos capacités et incapacités à accueillir les personnes étrangères dans le besoin. Les facilités d'un groupe bienveillant à s'entraider, les remparts que ces mêmes personnes peuvent brandir face à la peur ou à la tristesse...

A danish girl ellen and her jewish best friend anne marie during the second world war and the nazy invasion will try to escape nazys and ellen to hide her best friend. i really appreciate this story because i love war stories and because it is a part of our history. ( thomas )

Lorsque Kira, orpheline de père, perd sa mère et que les femmes de sa communauté brûlent son kot, elle n'a nulle part où aller. Heureusement, un des membres du Conseil des Seigneurs, Jamison, propose de la recueillir dans le Palais du Conseil. Kira a le don de la broderie et en échange des bons soins prodigués par le Conseil, elle est chargée de restaurer la Robe du Grand Rassemblement. Elle renforce son amitié avec Matt, un minot, et rencontre Thomas, chargé de restaurer le bâton du Chanteur, tandis qu’Annabella lui apprend la teinture. Mais dans cette communauté archaïque, secrets, mystères et injustices affectent même les plus courageuses...



J'ai retrouvé avec plaisir la belle plume de Lois Lowry dans ce deuxième opus de sa dystopie "Quatuore". Comme dans Le Passeur, l'autrice nous plonge dans un univers fort sombre : une communauté injuste et cruelle qui broie ses membres les plus malchanceux. Lois Lowry crée des personnages attachants destinés à devenir des êtres exceptionnels. Kira n'est cependant pas le pendant féminin de Jonas et les deux histoires sont complètement indépendantes, malgré certains thèmes en commun (contrôle du peuple, mensonges, cruauté, vocations et dons humains, secrets...). En revanche, la fin est à nouveau très abrupte : je me demande si cela ne fait pas partie intégrante du style de narration de l'autrice ?

Vaut-il mieux être ignorant pour vivre heureux ? Un monde parfait est il un monde dans lequel nous n’avons plus notre libre arbitre et où tout est décidé par des « sages » afin que l’humanité soit au plus proche du bonheur. Le bonheur est il de ne pas connaitre la peur, l’angoisse, l’amour ? Ne pas connaitre l’amour afin de ne pas subir la peine de la perte ? Vivre une vie sans passion, sans couleur, sans musique, une vie passive sans différences.

Ce roman ne nous parle pas seulement de choix ou de libre arbitre, il nous parle aussi de notre élan de vie, de ce qui nous porte vers l’avant, de ce qui nous donne envie de vivre et d’aller plus loin dans notre connaissance de la vérité. Elle nous donne l’envie d’aller au-delà de notre perception des choses. Elle nous donne l’envie d’aller gratter le bitume, d’aller voir dessous, aller chercher plus loin que ce que le système nous laisse entrevoir.