Marie-Bernadette Dupuy

Un roman qui regroupe 3 nouvelles policières menée par la talentueuse Maud Delage.



J'ai trouvé l'écriture de Marie-Bernadette Dupuy très agréable, très descriptive . Mais , malheureusement le suspens est peu présent, ce qui est vraiment dommage pour un policier.

j'ai également trouvé que les personnages manquaient d'envergures et restaient distant du lecteur.





Je reste sur 3 étoiles grâce a l'écriture fluide de l'auteure, et parce que malgré tout j'ai passé un bon moment de lecture, mais il faut reconnaitre que ces nouvelles ne sont pas faites pour les grands amateurs de policiers.. peut être juste pour les novices en la matière.



Je tenais a remercier les éditions de l'archipel pour cet envoi

Derrière la porte de ma chambre, il y a une étagère posée où se trouvent ma PAL.



Depuis ces derniers jours, je profite du confinement pour l’épuiser un peu…



Aujourd’hui, mon choix s’est posé sur « le refuge aux roses » de Marie-Bernadette Dupuy. Une histoire qui se situe entre la Corrèze et la Louisiane.



J’ai donc entamé cette lecture cet après-midi. Je n’ai pas vu le temps passer, je n’ai pensé à rien, seulement aux héroïnes de cette histoire d’amour tumultueuse et aux parfums de roses qui embaumaient mon esprit, dont les caresses des pétales ont fait chavirer les cœurs de Sylvie et Jack….



Un roman couronné d’épines, parce qu’ainsi va la vie. Il faut du piquant dans l’amour…

Là, c’est le moins que l’on puisse dire, j’en ai reçu !



Si je m’embarque à vous raconter ce roman d’amour, vous n’en découvrirez pas la passion, la beauté, les tourments, les secrets jusqu’à vous en étourdir.



Isolez-vous dans le refuge aux Roses pour passer un moment étourdissant, voluptueux, dépaysant…

Fin dix-neuvième siècle en Charente, Claire Roy, notre héroïne est la fille du moulin du maître papetier.

Un soir d'hiver, elle sort car elle entend les chasseurs qui traquent les loups. Hélas, Frédéric Giraud, son futur promis tue son chien Moïse qu'il croit enragé.

Elle commence à lui vouer une haine tenace.

Elle découvre à côté du chien mort et de la louve dans le même état, un chiot issu de l'accouplement entre la louve et son chien. Elle le nommera Sauvageon qui deviendra un autre héros du livre.

Un peu plus loin, habite un vieil ami de Claire, Basile Drujon, ancien instituteur ayant participé aux révoltes de Paris avec Louise Michel. Il jouera lui aussi un rôle très important.

Claire fait la connaissance d'un bagnard évadé, Jean. Elle le protège, le cache et ils tombent amoureux. Que de complications !

Il s'en passe des évènements dans le livre, romanesques, cruels, dramatiques. Des personnages nombreux apparaissent et tiennent chacun un rôle important.

Je n'ai pas pu m'empêcher de voir le jeune forçat comme un Jean Valjean, de voir le policier Dubreuil à ses trousses comme Javert car Jean avait été condamné injustement comme le célèbre personnage de Victor Hugo et il est humainement aussi intéressant que Jean Valjean.

Marie-Bernadette Dupuy n'a pas son pareil pour ficeler tous les évènements du roman mais aussi pour ajouter un peu de sensualité dans les scènes où la jeune Claire intervient avec son amoureux. Il faut bien ajouter un peu de piment au récit.

L'auteure fait preuve de beaucoup de talent. J'apprécie de temps en temps lire un de ces romans. Il n'y a pas si longtemps que j'ai commencé à la lire.

Le troisième volet de la saga commence en juin 2021 et se termine en automne de la même année avec un épilogue qui nous ouvre des perspectives sur les années suivantes.

Nous évoluons toujours dans le village de Faymoreau, en Vendée avec la sympathique mais autoritaire Honorine Marot qui attend son sixième enfant à l'aube de ses quarante ans.

Thomas, son fils, voit son épouse retourner vers la Pologne après un évènement très cruel.

Isaure et lui sont de plus en plus amoureux.

Grâce à d'inattendues révélations sur son origine et les conséquences qui en découlent, Isaure peut envisager la fondation d'un orphelinat.

C'est sans compter sur la vengeance d'un homme, un père qu'elle a blessé dans son être et qui est habité par la haine.

On en apprend un peu plus sur la châtelaine qui s'était occupée assez méchamment d'Isaure dans son enfance .

Décidément, c'est bien vrai que plus une personne souffre intérieurement, plus elle fait souffrir les autres.

Après de nombreuses aventures pas aussi passionnantes que dans les premiers tomes, l'aventure se termine au bout de trois gros pavés dans lesquels je m'étais laissée emporter avec beaucoup de plaisir de lecture.

De temps à autre, j'aime me plonger dans une lecture prenante et fluide avec un petit bémol. J'ai refermé les portes pendant quelques temps sur d'autres lectures .

Et oui, j'ai lu à fond, je vivais avec les personnages sauf pour le troisième opus que j'ai lu plus légèrement vers la fin.

le roman débute en 1878, en Ariège, à Saint-Lizier.

Angélina Loubet accouche seule dans une grotte avec beaucoup de dignité et de savoir-faire.

Et pour cause, elle a assisté plusieurs fois sa mère Adrienne, décédée accidentellement. Elle était sage-femme et très appréciée dans la région.

Elle dépose son nouveau-né chez une nourrice que sa maman connaissait et revient au village comme si de rien n'était. Elle avait réussi à dissimuler sa grossesse sous de larges robes.

Elle nous décrit l'amour qu'elle a connu avec Guilhem Lesage, un fils de riches qui ne la voudront pas comme belle-fille car elle vient d'un milieu aimant mais modeste.

Angélina est protégée par Gersande, une dame du village pour qui elle coud de jolies robes. Néanmoins, la jeune fille veut obtenir son diplôme de sage-femme et doit effectuer des études qui durent un an.

Elle est admise à Toulouse, à l'Hôtel Dieu Saint-Jacques où la discipline se révèle implacable.

le docteur Coste, obstétricien de 40 ans, célibataire, fortuné, remarque sa beauté et ses yeux couleur lavande.

Il tombe amoureux et la demande en mariage. Angélina veut poursuivre son but de devenir sage-femme.

Le roman, long de 800 pages est riche en rebondissements, en faits de toutes sortes qui nous font vraiment vivre l'époque avec des personnages authentiques.

Angélina est une jeune femme honnête, aimante avec son enfant et sensuelle. C'est une héroïne très attachante.

Je découvre Marie-Bernadette Dupuy dans ce genre de roman et sa plume est formidable. J'apprécie beaucoup ces récits où l'écriture est tellement belle, les faits tellement intéressants qu'on ne fait jamais de lecture rapide.

J'ai donc pris le temps pour le lire et je commence le deuxième tome.

J’ai toujours été intéressée par la naissance, par ce monde où souffrances, angoisses et bonheur intense se mêlent.

J’ai toujours été scandalisée par le mépris que pouvaient témoigner certaines personnes vis-à-vis de cette faculté des femmes à donner la vie.

J’ai toujours été reconnaissante aux sages-femmes qui vouent leur vie à alléger les douleurs et à soutenir les mères.



C’est donc avec grand intérêt que j’ai eu connaissance de ce roman qui relate l’histoire d’une jeune fille, Angélina Loubet, fille de sage-femme à la fin du 19e siècle et voulant faire comme sa maman, décédée peu avant le début de l’histoire. C’est avec une volonté de fer qu’elle suivra sa route, aidée par l’aristocrate Gersande de Besnac et sa domestique Octavie. C’est sans compter sur les hommes qui traverseront cette route…A commencer par celui dont elle est folle amoureuse, le beau Guilhem et dont elle tombera enceinte. Il faut dire que c’est une beauté, cette Angélina, et l’auteure ne se prive pas de le rappeler à chaque page.



Histoire d’amours au pluriel, de meurtres précédés de viols, de naissances aussi, avec force récits d’accouchements, « Angélina, les mains de la vie » est le premier tome d’une histoire de femmes, essentiellement. Les hommes n’y ont pas la part belle, loin s’en faut.

J’ai pris plaisir à suivre les aventures d’Angélina au caractère fort, tout en m’irritant des nombreuses descriptions répétitives de sa beauté, de certaines incohérences de son caractère et du style passe-partout.



Une petite précision : la 4e de couverture n’est pas du tout fiable, au point que je me pose la question si la personne ayant rédigé le résumé a lu le livre !



Roman à lire si vous désirez vous documenter sur la façon de vivre de cette époque, principalement sur la façon de commencer cette vie.

Ce deuxième tome se déroule entre le 27 décembre 1920 et le 4 mai 1921.

En 800 pages, il s'en passe des évènements, pas le temps de s'ennuyer.

Isaure, notre héroïne a réussi a se dégager de son impossible amour Thomas grâce au séduisant inspecteur Justin Devers, éperdument amoureux d'elle.

Un contretemps très malheureux viendra entraver leur route au sens propre comme au sens figuré.

Grâce à lui, Isaure sort de sa pauvreté mais garde ses valeurs de générosité.

Toujours tiraillée entre le milieu des mineurs de Faymoreau et son nouveau milieu, nous retrouvons Isaure ainsi que la famille très attachante des Marot avec leur peine d'avoir perdu la petite Anna de la tuberculose, le travail très pénible dans la mine avec un nouveau directeur.

Thomas,l'impossible amour d'Isaure est marié à Jolenta qui attend un heureux évènement. Celle-ci est jalouse et non sans raison.

Faymoreau souffre toujours des suites du crime qui a eu lieu dans le tome 1.

Le tome 2 se termine sur un nouveau drame et un évènement inattendu de la part de Jolenta.

L'auteure passe du milieu des mineurs au milieu d'Isaure avec un lien entre les deux car ils sont amenés à se rencontrer. Elle structure très bien son récit lorsqu'elle passe d'un lieu à l'autre.

Marie-Bernadette Dupuy sait amener du suspense en fin de partie ou de chapitre en nous suggérant qu'il va se passer quelque chose d'important pour le personnage qui ignore tout de ce qui l'attend bien sûr.

Ici, je m'accroche et vais commencer le dernier tome avec beaucoup d'intérêt.

Et pourtant, il m'est arrivé d'abandonner une saga de l'auteure après un premier tome car elle reprenait les filons des livres précédents mais ici c'est une autre affaire.

J'ai vu , en m'intéressant à M-B Dupuy qu'elle avait d'abord été connue au Canada où j'ai pu assister à une rencontre très sympathique entre elle et ses lectrices sur You tube.

Une écrivaine qui connaît les tréfonds de l'âme humaine, ses bons et ses mauvais côtés.

Ça vit à fond dans ce livre !

Pour me changer les idées, et après avoir entendu/lu quelques bonnes critiques, je me suis dit : « go ».

Certes, un roman à l’eau de rose, traitant de l’adultère mais néanmoins tiré d’un fait divers : tout pour attirer le.a lecteur.trice y ajoutant les mœurs de l’époque (1849, la bourgeoisie, l’église, …).

Réellement addictive cette histoire, je vous invite à la découvrir tout comme la vie des « amants maudits ».

Un soir d'hiver de 1916, une religieuse découvre un bébé emmitouflé dans des fourrures : sans doute une fillette de trappeur.

Le bébé est accueilli avec beaucoup d'affection par le couvent école du village de Val- Jalbert près du lac Saint- Jean au Québec.

La petite Marie-Hermine va grandir sans qu'on vienne la réclamer. La fermeture de l'usine de pâte à papier va empêcher la famille Marois de l'adopter alors qu'une réelle affection les unit.

L'auteur arrive à nous plonger dans l'ambiance du Québec avec un petit défaut. On sent très fort qu'elle n'est pas originaire du Québec même si elle respecte les faits historiques. Il manque le côté couleur locale des personnages tellement intéressant pour nous, de l'autre côté de l'océan. Je pense à la merveilleuse saga de Marie Laberge .

J'ai été étonnée par la lenteur des faits alors que dans la saga d'Angelina, il se passait sans cesse de nouveaux évènements.

Pour tout avouer, j'ai un peu bâclé la fin de ce roman plein de bons sentiments que j'avais commencé en me réjouissant de retrouver l'auteure.

Cela ne m'empêchera pas de lire d'autres romans de Marie-Bernadette Dupuy de temps en temps.

Dans le deuxième tome, on retrouve Angélina en 1880, fraîchement diplômée sage-femme.

Elle revient dans son village de Saint-Lizier pour y exercer son métier.

Elle a beaucoup de mal à faire accepter à ses prétendants le fait qu'elle a eu une aventure hors mariage. L'orgueil mâle de l'époque n'acceptait pas cette situation.

On retrouve les mêmes personnages de base que dans le premier tome et ce ne serait pas correct de révéler les faits qui s'y déroulent.

Marie-Bernadette Dupuy a l'art de faire rebondir les évènements et de les varier. J'ai pensé plusieurs fois que ses trois tomes se retrouveraient aisément dans une série.

Dommage qu'en lisant, je devinais trop ce qui allait se passer.

Du point de vue médical, il est intéressant de voir que les nouveaux diplômés comme Angélina appliquent des méthodes d'hygiène pour éviter les fameuses complications des suites de l'accouchement comme les fièvres puerpérales d'antan.

Tout aussi intéressant, l'aide que les moines apothicaires de l'abbaye voisine apportent avec leurs préparations à base de plantes.

Une période et des romans que j'ai aimés découvrir.

Novembre 1920

Un coup de grisou endeuille et blesse dans la mine de Faymoreau en Vendée.

À la grande surprise de tous, un porion est assassiné d'une balle dans le dos.

Isaure Millet, jeune fille du village, future institutrice du village à la prochaine rentrée , quitte son poste à la ville voisine pour revenir car l'homme qu'elle aime depuis son enfance est prisonnier des blocs de charbon enchevêtrés avec Piotr un jeune galibot. Ils seront sauvés mais Piotr ne s'en sortira pas indemne.

Thomas, l'amoureux d'Isaure s'est fiancé à une jeune Polonaise pendant son absence. Les rêves d'Isaure seront contrariés.

Le père d'Isaure est le métayer du château et n'a cessé de maltraiter sa fille depuis sa naissance. C'est grâce à l'attention de la châtelaine que celle-ci a pu s'instruire et étudier.

La jeune fille est très attachée à la famille de Thomas.

La vie des mineurs est rendue de façon très réelle.

L'enquête menée par l'inspecteur Justin Devers qui sera très sensible à la beauté d'Isaure.

Marie-Bernadette Dupuy aborde de nombreux thèmes :

- une enquête policière rondement menée et mystérieuse à souhait

- une histoire d'amour contrariée

- les victimes de la guerre cruellement blessés pour le restant de leurs jours

- la vie des mineurs et de leur famille

- la maladie sous la forme de tuberculose

- la condition de la femme

L'auteure m'a captivée, m'a fait participer aux évènements.

Elle sait transmettre des émotions, décrire des scènes familiales, des scènes intimes de façon intense.

C'est certain , et je l'avais déjà remarqué dans d'autres livres, Marie-Bernadette Dupuy arrive à donner vie à ses personnages.

24 décembre 1920 : fin du premier tome.

Un roman qui sonne vrai. Je vais me plonger dans le tome 2 dès ce soir.

Je referme le troisième et dernier tome des aventures d'Angélina, la costosida ( sage-femme) de la région de Saint Girons, à Saint-Lizier.

J'aime beaucoup ce récit de femme courageuse comme Angélina, au service de son métier , des femmes et contre les injustices.

Dans ce tome, elle va payer cher un acte qu'elle a commis en voulant réparer une injustice.

On vibre avec elle et tout le petit monde qui l'entoure.

Je n'ai pu qu'admirer le côté très bien documenté de Marie-Bernadette Dupuy au sujet de l'époque.

Le roman se termine en 1882.

J'ai un peu moins apprécié ce dernier volume car se promener dans la même ambiance pendant trois tomes, il faut s'accrocher bien que l'auteure a un don pour amener sans cesse de nouveaux éléments.

Un superbe roman de terroir! Une magnifique saga familiale! Deux familles sont mises en valeur: les Roy et les Giraud, deux grandes familles qui influencent la vallée des Eaux-Claires au pourtour de la Charente. Entre les deux familles vont se développer des amitiés magouillées, des arrangements machiavéliques et aussi des amours impossibles! On passe un moment agréable avec ce premier tome de Le Moulin du loup, peut-être bien un moment inoubliable, on découvre des personnages et s'attache à eux, on s'incruste astucieusement dans leur quotidien, goutant à la belle plume de Marie-Bernadette Dupuy, sans prétention mais d'une finesse inouïe, d'un naturel alléchant...comment ne pas devenir membre de la famille des Roy, habitante du moulin du loup... sympathiser par moment avec sauvageon, le chien-loup...et vibrer aux émotions qui prennent corps tout doucement jusqu'à leur éclosion. Les moments forts qui nous troublent, c'est l’histoire d'amour entre Jean et Claire...

Tome 6 de la SAGA " Le moulin des loups "

Je suis devenue ad dicte de cette saga : J'ai lu les 6 tomes à la suite et sans temps mort.... Dès le 1er tome, j'ai été "envoutée" par l'histoire de Claire et Jean... je viens de terminer le 6éme, très réussi, dans le contexte de la 2ème guerre avec de nouveaux personnages... et l'histoire devrait se poursuivre ! Combien de lectrices attendent ce 7ème tome avec impatience ?

Merci encore à Marie Bernadette Dupuy pour son grand talent de narratrice accomplie et ces heures de bonheur et d'évasion...

Bonjour, aujourd’hui, direction la Bretagne !



En 1927, un bébé est découvert abandonné sous un dolmen ; dix-neuf ans plus tard, on retrouve le cadavre d’une jeune fille, la gorge tranchée, sous le même dolmen.



Lara, le jour de la découverte macabre, a eu un accident de vélo ; elle est retrouvée par Erwan, un voisin et ami d’enfance qui l’amène à l’hôpital où elle se réveille quelques jours plus tard.



Lara, vit seule avec sa mère et sa petite sœur ; son père a été dénoncé à la Gestapo et n’est jamais revenu ! Comble de malheur, l’homme qu’elle aime en secret, qui a déjà une mauvaise réputation dans la région, est accusé du meurtre ; il va devoir fuir…



C’est l’inspecteur Nicolas Renan qui est chargé de l’enquête, mais il va avoir beaucoup de fil à retordre ; d’une part, parce que certains lui cachent la vérité, et que d’autre part, d’autres cadavres vont être découverts.



Lara va devoir se battre pour protéger l’homme qu’elle aime et essayer de le disculper…



Bon évidemment, l’histoire est beaucoup plus complexe que ça ; ce n’est pas qu’une histoire d’amour !



Nous sommes en pleine période d’après-guerre, et certaines personnes ont profité de ces périodes troublées pour régler des comptes, faire des associations pas très patriotiques et parfois s’enrichir !



Alors, à l’occasion de son enquête, l’inspecteur Renan va faire quelques découvertes sur le passé peu glorieux de certains personnages.



Un roman de 724 pages, qui avouons le, comporte quelques longueurs, mais qui dans l’ensemble n’est pas désagréable à lire ; je vais peut-être continuer avec le deuxième tome, car le premier laisse quelques questions sans réponses… (oh, la curieuse!)



Bref, un roman sur une enquête dans l’après-guerre, entre amours, secrets et jalousies…



À lire confortablement installé(e) dans un fauteuil (évitez les dolmens), en dégustant des galettes de sarrasin à la saucisse, accompagnées d’une bolée de cidre brut. Bonne lecture !

Dans ce tome composé de trois nouvelles policières, j'ai fait connaissance avec Maud Delage, Irwan Vernier, son collègue et amant et Xavier Boisseau, son collègue féru d'histoire de la région.

Dans "L'enfant mystère des terres confolentaises, l'équipe est confrontée à un homme, accidenté de la route blessé par balle, sa femme qui reçoit des messages de menace depuis quelques temps et leur adolescente, Raphaëlle.

L'enquête va se régler assez vite mais laissera des séquelles familiales.

La deuxième nouvelle " Maud sur les chemins de l'étrange", un homme est retrouvé poignardé dans la Dronne. Une dame contacte Maud pour ses talents de médium car elle prétend être victime de phénomènes paranormaux.

Une enquête à la rencontre d'un fantôme que Maud devine également.

La troisième et dernière nouvelle " Nuits à Hauts risques" nous entraîne dans une avalanche de meurtres du personnel soignant de la clinique des Ajassons.

La docteur Eléonore Bonnel psychiatre va être placée sous protection. Une question de jalousie vient se greffer dans cette histoire car Irwan, le collègue et amant de l'inspectrice Maud Delage semble tomber amoureux de la psychiatre. Une femme romancière apparaît dans cette enquête et signe ses romans sous les initiales M.B.D.

J'ignorais que Marie-Bernadette Dupuis écrivait des enquêtes policières d'une belle écriture, dans une région charmante. Pour ce qui est des intrigues, elles sont fort dépouillées, sans grand suspense.

Le style pour décrire la relation entre Irwan et Maud est vraiment trop banal.

Ce n'est que mon avis évidemment.



Je remercie Babelio Masse Critique et les éditions Archi A poche pour m'avoir fait découvrir ce côté de Marie-Bernadette Dupuis .

Entre l’île d’Oléron et le cirque de Gavarnie dans les Pyrénées, le destin tragique d’une fillette que la vie n’épargne pas.



Née de parents pêcheurs, tôt orpheline, expédiée à la montagne chez une tante qu’elle ne connaît pas et déracinée, Violaine va tout de même faire des rencontres heureuses qui lui permettront de survivre puis s’en sortir. Mais c’est sans compter sur son destin tragique qui lui prépare encore bien des tourments.



Le récit s’étire de 1928 à 1945 et offre ainsi une belle peinture de ces années marquantes d’entre-deux-guerres. L’auteur prend plaisir à détailler le travail quotidien des pêcheurs, la vie au bord de l’océan puis à la montagne près des hauts sommets. On sent qu’elle aime cette région et la met en valeur, offrant au lecteur de sublimes descriptions. Les sentiments sont également très bien analysés et retranscrits, d’autant que les émotions se succèdent les unes après les autres sans trêve. L’intrigue propose de nombreux rebondissements et participe au plaisir de lecture.



Un roman dense, une écriture généreuse, pour faire revivre une tranche de vie du passé.

1er roman que je lis de cette auteure.



Il s'agit d'un premier tome d'une trilogie.

Nous suivons deux personnages féminins.

Louise vit à la fin du XIXème siècle. Elle a le don de voir certaines scènes de l'avenir. Malheureusement, elle n'est jamais crue. Et nous assistons impuissants à une terrible catastrophe naturelle qui va s'abattre sur le village de St Gervais l'été 1892. Ce drame coûte la vie à ses parents et à de nombreuses autres personnes. Louise va s'occuper de son petit frère Antoine comme de son propre fils.

Soline est une jeune femme qui a été adoptée par ses parents quand elle était petite. Beaucoup de mystères et de non dits entourent la jeune femme. Elle quitte ses parents lorsqu'elle découvre que son père a encouragé son petit ami à la laisser. Elle décide alors de réaliser ses rêves en devenant guide de haute montagne et secouriste avec son chien Neige.

Soline a le même don que Louise ce qui lui permet de sauver plusieurs personnes. Malheureusement, quelqu'un s'en prend à l'entourage de la jeune femme.

Le récit alterne entre les deux époques même si celle de Louise est moins développée ce qui est dommage car j'ai adoré cette partie avec la catastrophe naturelle et la vie de Louise. Les visions de l'une et de l'autre vont se rejoindre. Soline va a voir des visions du passé et Louise des visions du futur.

Le lecteur reste sur sa faim. Aucune question n'est réglée. le mystère est encore complet. J'ai aimé les personnages secondaires comme Viviane la grand mère de coeur de Soline et Kate sa meilleure amie.

J'ai déploré que tout le monde tombe sous le charme de Soline. Même si la jeune fille est sublime c'est quand même irréaliste que tout le monde soit amoureux d'elle.

J'ai vraiment été embarquée par l'histoire au début. Puis avec le temps, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de répétitions de situations et aussi au niveau du langage. Peut être que j'aurais du espacer ma lecture pour moins me lasser.

Je lirai malgré ces petits défauts le tome 2.

Et voilà, retour en Bretagne.

Lara et Olivier qui étaient partis au Venezuela afin d'être à l'abri des dangers qui pesaient sur Olivier, reviennent au pays. En effet, Lara a appris que son père était de retour et elle tient à le revoir après tant d'années d'absence.

Mais rien ne va se passer comme prévu ! Son père est devenu un vieil homme aigri et violent.

Dès le retour du couple, accompagné de leur petite fille de 3 ans née au Venezuela, les menaces reprennent et d'autres cadavres de jeunes filles sont découverts.

Déconcertés, Lara et Olivier en viennent à se méfier de tout le monde ! Quant à Nicolas Renan, désormais commissaire, il commence à douter de ses capacités à confondre les coupables.

Il semblerait qu'une énorme machination ait été mise en route, mais par qui et dans quel but ?

Voici le deuxième tome, dans la même veine que le premier. Il y a beaucoup de suspense et de rebondissements ; peut-être un peu trop et on perd en crédibilité pour y gagner en longueurs...

Je lirai le troisième tome pour connaître le fin mot de l'histoire, mais j'avoue que j'aurais aimé une histoire un peu plus courte...

À lire en bord de mer, loin des cairns et des menhirs, en dégustant des fruits de mer accompagnés d'un verre de vin blanc sec. Bonne lecture !

Court roman historique de 230 pages se lisant rapidement. C'est une romance ayant pour thème le deuil avec celui de la grossesse hors mariage.

Au début, nous sommes intrigués par les hôtes d'Amélia mais la fin était prévisible - trop peut être.

Heureuse de retrouver l'univers de Sissi : que ce soit les événements historiques, ou encore des petites anecdotes. Si vous connaissez l'histoire de l'Impératrice, vous n'apprendrez rien de nouveau mais c'était plaisant.