AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Michel Schneider (84)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Comme une ombre

Trente ans après la mort de son frère Bernard, Michel Forger reçoit une lettre qui le ramène brutalement en arrière. Vers ce frère qui ne voulait pas se laisser aimer et se rendait détestable. Cette missive, écrite par la maîtresse de Bernard, fait ressurgir tous les souvenirs partagés, et toutes les questions restées en suspens et qui le resteront, puisque Bernard a choisi de mettre fin à ses jours sans la moindre explication. La seule certitude pour Michel, c’est que la guerre d’Algérie aura achevé la destruction d’un homme déjà fragile et inapte au bonheur. Un homme qui ne trouvait pas les mots pour parler, et ne s’exprimait que par la violence. Un homme qui ne trouvait le calme et le repos que dans la musique.



La suite sur mon blog...
Lien : http://tassedethe.unblog.fr/..
Commenter  J’apprécie          10
Comme une ombre

Critique de Philippe Rolland pour le Magazine Littéraire



Michel Schneider consacre un roman à son frère aîné, mort en 1976, qui ne se remit pas de la guerre d’Algérie. Comme une ombre de Michel Schneider est, à plus d’un titre, un roman d’outre-tombe : une «note de l’éditeur» nous apprend d’entrée que Michel Forger, «l’auteur» qui pensait qu’un auteur n’écrit que des livres posthumes, est mort, et le lecteur découvre au fil des pages un récit peuplé de fantômes, d’êtres qui ne sont plus que les ombres d’eux-mêmes, de regards et de mots qui auraient dû être échangés, de regrets irréparables. Un texte qui ne s’adresse plus à personne. Ce sont quelques souvenirs désordonnés qui reviennent de manière obsessionnelle, pour mieux suggérer que le passé est introuvable mais ne veut pourtant pas passer, que les blessures les plus intimes ne cicatrisent jamais, que plus on s’acharne à faire le «travail de deuil» et plus ce travail paraît dérisoire.

Deux récits composent – ou plutôt décomposent – ce roman : dans l’un, Forger raconte à la première personne comment il part à la recherche de son frère aîné, Bernard, mort trente ans plus tôt ; dans l’autre est évoquée à la troisième personne l’existence des deux frères : leur enfance à Melun, leur famille à la généalogie « tordue », la guerre d’Algérie, que Bernard fait dans un régiment de parachutistes... Et ces deux récits sont comme les deux frères : chacun est le miroir et l’ombre de l’autre. Le roman se dédouble comme son narrateur, puisque celui-ci est à la poursuite de son double, c’est-à-dire autant à la poursuite de son frère qu’à la poursuite de lui-même. De ce dédoublement naît le roman dans lequel Michel Forger, ne sait pas s’il est le personnage ou le narrateur. Quant à son frère, «séduisant et vulgaire», violent et tendre, inquiétant et joueur, il lui sert à la fois de modèle et de repoussoir, et ne serait sans doute pas si proche de lui s’il n’était pas aussi son contraire : Bernard s’est battu pour l’Algérie française, a du mal avec les mots, finit en clochard alcoolique tandis que Michel a milité pour l’indépendance algérienne, devient écrivain, réussit socialement. Mais Michel se garde bien de juger Bernard, et toutes ses questions demeureront sans réponse : Lequel a trahi l’autre ? Se sont-ils détestés autant qu’ils se sont aimés ? Qui est le plus menteur ? Le plus lâche ? Lequel a tué l’autre ?

Ce qui les a unis les a aussi séparés : leur père, qu’ils n’ont jamais connu, la musique, la guerre, les femmes surtout - en particulier L. Cette femme superbe, dont la vie aura été une tragédie, qui a été le grand amour de Bernard et que Michel vient interroger trente ans après la mort de son aîné, forme avec les deux frères un bien étrange trio. Comme Michel, elle raconte autant qu’elle est racontée ; sans être écrivain, elle est autant narratrice que personnage.

Après son histoire avec Bernard, L. s’installe à Mortefontaine, «chanté par Gérard de Nerval»: l’auteur de Fantaisie n’est pas mentionné là par hasard. Les romantiques constituent une référence capitale dans ce livre : Bernard, guetté par la folie ou le suicide comme Nerval et Schumann, est ce «malheureux vêtu de noir» de La Nuit de décembre ; il est aussi le Manfred de Byron et de Schumann. Michel est l’homme qui a perdu son ombre de Chamisso et qui appelle Schumann «mon frère secret». Dans le roman de Schneider comme dans Les Fleurs du mal , «les pauvres morts ont de grandes douleurs», le passé est «tout un monde lointain, absent, presque défunt», et un flacon d’Old Spice en fait rejaillir le souvenir. Mais – et c’est l’un des autres grands thèmes du livre – rien n’échappe au mensonge, pas même les souvenirs. «Faux, tout est faux !», hurle Bernard, et ce cri résonne dans tout le roman : «les visages mentent», les mots plus encore et, chez L., le piano est aussi faux que ses tableaux. Sans parler du genre romanesque et du romancier lui-même. «L’écrivain le sait maintenant : son livre sera comme lui, comme son frère, un double, un faux.» Il sait aussi qu’il ne peut l’écrire que dans le noir et que s’y nichera forcément quelque chose qui ne pourra être nommé. «Il y a dans tout roman un creux entre les mots qu’aucune image ni aucune histoire inventée ne pourra effacer ou remplir. Un roman, c’est comme la bouche d’un fusil : un trou avec quelque chose autour.» Âpre et triste, étouffant et hanté, mélange d’extrême sophistication et de sensibilité d’écorché vif, Comme une ombre est de ces livres magnifiques dont on sent qu’ils ont été écrits sous l’impulsion d’une nécessité impérieuse, par un auteur dont le coeur est «d’un blanc de papier» et ne bat plus «que par transfusion de mots, ce qui s’appelle écrire».
Commenter  J’apprécie          10
Glenn Gould piano solo

Voilà un livre magnifique, un portrait tout en délicatesse et en pudeur, un très bel hommage, un très beau manteau de papier offert à cet homme qui avait toujours froid et ne rêvait que de grand nord.

Tout le monde connaît Glenn Gould, sans nécessairement le connaître, pour son talent, son génie (qui irrite ou emporte), pour ses excentricités, aussi…

Il y a beaucoup de tendresse et de respect dans le portrait que nous donne à voir et à entendre, Michel Schneider. Pas évident pourtant de cerner un homme qui était toujours dans l’évitement, au « dehors ». Et pourtant, le résultat est stupéfiant, bouleversant plutôt.

Il fallait beaucoup d’amour et d’admiration pour écrire ce livre-là, sans pour autant tomber dans la bête hagiographie. Le pari est réussi, la manteau est magnifique de souplesse, léger et chaud tout à la fois, Gould pourra partir un peu plus loin vers le grand Nord...

Autiste Asperger (mots que pas une seule fois, Michel Schneider n'évoque), excentrique ? Après tout, et même s’il est facile de cumuler les indices, ceci appartenait à l’artiste. Alors bien sûr, il est évident que cette profonde différence imprima de son empreinte toute l’œuvre du pianiste, au point justement de nous la rendre si unique, si étrange, si « hors du temps. ». Les deux sont liés, indubitablement, mais le terme précis non seulement n’est pas nécessaire, mais également par trop réducteur.

Gould était résolument ailleurs, DANS la musique.

Le titre est à lui seul, très explicite, « Glenn Gould, piano solo », et non pas « AU piano, Glenn Gould » comme il se dit dans les concerts. Gould après neuf années à sillonner le monde, a décidé, un dimanche de Pâques et à l'âge de 32 ans, de toute arrêter, définitivement, pour ne plus s’adonner qu’à des enregistrements, protégé, à l’abri, seul dans un studio et « sa sécurité matricielle », au plus proche de la musique. Piano solo, seul, avec ce piano qu’il transcende et dont la matérialité finalement n’a plus tant d’importance… Seule la musique, dépouillée, travaillée et retravaillée, parfois sans instrument aucun, la musique immatérielle et intemporelle.
Lien : http://lily-et-ses-livres.bl..
Commenter  J’apprécie          10
Marilyn : Dernières séances

Que voilà un livre un livre j'avais envie de lire ! Et comme j'ai été impatiente qu'il sorte en poche ! Ce qui fut fait ces dernières semaines : http://macuisinerouge.canalblog.com/archives/2008/04/30/8987993.html
Commenter  J’apprécie          10
Marilyn, les amours de sa vie

Marilyn, les amours de sa vie



J'ai découvert cet ouvrage de Michel Schneider aux éditions Nami et je l'ai adoré.



Marilyn est une icône du cinéma, elle est aussi connue pour l'une de ses chansons et pour son physique qui faisait tourner des têtes.



Mais qui se cache derrière cette apparence.



Grâce à un abécédaire bien construit, riche en témoignages de personnes qui l'ont réellement connues et à l'aide de photos, découvrez Norma Jeane Mortenson.



Une femme touchante, vulnérable et parfois en souffrance.

Partez à la rencontre de ses amours, ses amis, sa vraie vie, loin des paillettes.



Personnellement, j'ai appris plein de choses et j'ai été touché par ce que j'ai découvert et par le femme qu'elle était.



L'objet livre est très beau, sa couverture hardback est un plus très appréciable, tout comme la qualité épaisse du papier.



Voilà un ouvrage aussi beau à l'extérieur qu'à l'intérieur, à offrir ou à s'offrir.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          00
Des livres et des femmes

L’écrivain et psychanalyste nous entraîne dans un labyrinthe intime et signe un autoportrait singulier en interrogeant ce qu’il a cru être des remparts à l’angoisse et au manque.




Lien : https://www.sudouest.fr/cult..
Commenter  J’apprécie          00
Des livres et des femmes

Des livres et des femmes, quel ouvrage se cache derrière ce titre, qu’on peut juger cavalier? Réponse: l’une des plus singulières autobiographies qu’on ait lues.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
Commenter  J’apprécie          00
Des livres et des femmes

Dans cet essai foisonnant, Michel Schneider poursuit une réflexion sur le sens de l’existence à travers une histoire de sa vie, des mutations de la société et des grands textes intemporels
Lien : https://www.la-croix.com/Cul..
Commenter  J’apprécie          00
Glenn Gould piano solo

Oeuvre cérébrale, comme la relation de Gould au piano; ça manque un peu de chair, dommage!
Commenter  J’apprécie          00
Miroirs des princes : Narcissisme et politi..

Avec une plume élégante, mais trempée dans le vitriol, Michel Schneider, analyse l'attitude de notre élite politique et médiatique. Il les étrille avec brio, évoquant une multitude de références littéraires choisies avec intelligence et culture. Écrit après l'affaire Cahuzac, ce brillant exposé de 140 pages n'a rien perdu de sa pertinence et de son actualité. Le narcissisme exhibitionniste a encore de beaux jours devant lui.
Commenter  J’apprécie          00
Morts imaginaires

Ecrire, raconter, imaginer parfois les morts d’écrivains célèbres, de poètes maudits ou non. Que se passe-t-il lorsque le rideau tombe ?

Ce sont les morts dont Michel Schneider nous fait le récit sous un angle particulier, un point de vue bien à lui.

C’est la réalité et en grande partie la vérité mais l’auteur nous les développe de façon très personnelle.

C’est un livre surprenant, que je lis pour la seconde fois pour vous en parler et je l’ai fait sans une once d’ennui, avec le même grand plaisir qu'à la première lecture de retrouver ces moments de vie ou plutôt de mort où poésie et réflexion s’invitent.

« Je tiens ici le registre des morts imaginaires d'écrivains réels. J'ouvre le rideau au moment où La commedia è finita »

Certains ont eu une mort douce, d’autres tragique, certaines sont un rien ridicules.

Michel Schneider nous offre ainsi les heures dernières de trente-six écrivains, mais la cérémonie n’est pas macabre du tout.

Il utilise les biographies, les correspondances, les bons mots de la fin restés célèbres de ces hommes et femmes à qui il offre ainsi un beau monument funéraire.

Certains derniers moments sont très révélateurs, d’autres totalement incompréhensibles, certains sont choquants d’autres risibles. Parfois l’on prend une leçon de courage et de dignité.



Je vous propose d’aller vous recueillir sur quelques tombes célèbres et de répondre à l’invitation de Michel Schneider, après avoir déposé vos fleurs il sera tant d’ouvrir les oeuvres.

Prenez Nabokov pense-t-il à sa Russie natale ? Pas le moins du monde, Nabokov dit « un certain papillon est déjà en vol » joli dernier rêve non ?

Montaigne qui souhaite mourir à cheval mais qui s’éteint parmi les siens lui qui disait avoir « continuellement la mort en bouche »

Tchékhov qui « était un médecin. Il savait un peu ce qu’était la mort » et réclame un peu de champagne.

Lev Nicolaïevitch Tolstoï en gare d’Astaopovo, fuyant sa femme, sa maison « fuir…fuir »



Robert Walser à la mort « malicieusement tragique » qui trouve la mort en promenade « D’un pas frêle mais assuré, il est parti sur la page du jour. »

Vous trouverez aussi Pascal, la belle marquise de Sévigné, Goethe ou Pouchkine, Kant et Flaubert, Rilke ou Zweig.






Lien : http://asautsetagambades.hau..
Commenter  J’apprécie          00
Amour suite et fins

Dans la seule critique que j'ai trouvée sur Babelio, lilylitblog écrit que ce livre tient presque plus de l'essai que du roman. Je suis tout à fait d'accord. Et je crois que l'auteur aurait mieux fait d'écrire un véritable essai comparant les sentiments amoureux aux lois de la physique quantique, deux domaines qui défient totalement la rationalité de l'esprit humain. Cela aurait pu être intéressant, voire amusant: un essai peut être rédigé avec humour.

Michel Schneider a choisi plutôt de nous livrer ses réflexions sous forme de roman, par l'intermédiaire de deux personnages: lui est professeur de littérature, elle est une spécialiste de la physique quantique. Ils se quittent et se retrouvent mille et une fois, ou plus exactement se quittent sans vraiment se séparer, se retrouvent sans vraiment se lier.

Le roman est constitué principalement de leurs multiples dialogues, face à face, par téléphone ou par mail. Tous sonnent incroyablement faux. Ils dissertent à longueur de pages sur leurs sentiments, de façon très théorique, chacun en se référant à sa profession. On n' a jamais l'impression qu'ils parlent des vrais sentiments que tout être humain peut ressentir. De plus, le style est lourd, fait de longues phrases abusant de mots "savants" (de la langue française, pas du langage scientifique), mélangeant dans les mêmes phrases des considérations intéressantes sur les lois de la physique quantique et des jeux de mots pas toujours évidents.

En voulant mélanger les genres, Michel Schneider a écrit un bouquin ennuyeux et pédant. Bref, comme dirait Bibendum, ne vaut pas le détour!

Commenter  J’apprécie          00
Écrit dans le noir

Michel Schneider se promène et se raconte à travers treize écrivains majeurs – Kafka, Flaubert, Malraux et quelques autres. C'est brillant, émouvant, savant puisque Schneider, grand mélomane, maîtrise toutes les octaves de l'écriture.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..
Commenter  J’apprécie          00
Marilyn : Dernières séances

Pour qui souhaite découvrir la femme derrière l'icône cinématographique. Attachant.
Commenter  J’apprécie          00
Marilyn : Dernières séances

Marilyn Monroe est devenu un mythe qui hante encore nos imaginaires, en raison de son "sex appeal", de sa filmographie (elle a tourné avec les plus grands), de sa vie glorieuse et chaotique, mais surtout à cause de son suicide qui a frappé de stupeur ses innombrables admirateurs.

Le roman de Michel Schneider donne un éclairage très détaillé sur la personnalité de l’actrice, telle qu’elle s’est révélée à la fin de sa vie. Comme beaucoup d’autres acteurs, Marilyn était en psychanalyse. Cela se justifiait pleinement, car sa vie personnelle était marquée par une très grave névrose qui se manifestait notamment par sa nymphomanie, son immaturité et l’abus d’alcool et de médicaments. Si étonnant que cela paraisse, malgré son apparente frivolité elle se sentait très angoissée au moment même où elle était au sommet de sa notoriété (orchestrée par Hollywood). A travers quelques épisodes de sa vie imaginés par l’auteur, notamment dans ses rapports avec son psy Ralph Greenson, on découvre l’extrême fragilité de la star, mais aussi sa sensibilité: Marilyn n’était pas une starlette sans cervelle qui avait réussi, contrairement à ce que certains ont pu croire.

Comme tout le monde, je suis sensible au mythe Marilyn mais, en fait, mon intérêt à son sujet reste limité. C’est pourquoi j’ai trouvé ce livre assez long, et même presque fastidieux vers la fin. Je n’aurais pas envie de le relire.

Commenter  J’apprécie          00
Marilyn : Dernières séances

J'ai eu un peu de difficulté au départ à rentrer dans le récit à cause de son découpage.

Ensuite j'ai plongé dans ce "roman" axé sur la relation entre Marylin et un de ces psychanalistes (elle en a eu plusieurs), le Dr Greenson, qui la suivi les 30 derniers mois de sa vie.

Marylin était véritablement accro à l'analyse, autant qu'aux médicaments et drogues qu'elle prenait en permanence pour calmer les violentes angoisses qui ne la quittaient jamais et la rendait insomniaque.

En ce qui concerne la psychanalyse, on prend conscience que quasiment tous les acteurs d'Holliwood était en psychanalyse ou bien avaient été analysés. Les psys étaient présents jusque sur les tournages et jouaient le rôle que l'on attriburait plutôt aujourd'hui à un coach !

Marylin transparait dans ce récit (mêlant subtilement réalité et fiction) telle qu'on l'imagine en tout : belle, fragile, névrosée, paumée, parfois vulgaire, très solitaire en fait (ayant du mal à créer des vraies relations), angoissée, perfectionniste, excentrique, comédienne véritablement.

Marylin Monroe son plus grand rôle composé et créé pour correspondre à ce que d'autres projetaient sur sa plastique ! mais un rôle qu'elle voulait incarner (et a incarné) à la perfection.
Commenter  J’apprécie          00
Comme une ombre

[L'auteur] prend un malin plaisir à feindre de buter sur les lapsus ou les jeux de mots involontaires, pour mieux les sonder et en extraire d'hypothétiques clefs. Celle de son oeuvre, articulée autour de l'enfance et de la mort, de la trahison et de la musique, est sans doute dans cette confession tardive, noire comme un jour sans lendemain.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00
Comme une ombre

Michel Schneider, dans ce livre à l'émotion sèche, donc terrible, et pour qui la musique est sa seule mémoire, a bousculé la chronologie, brouillé la suite des jours, interchangé les millésimes.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          00
Comme une ombre

Qu'est-ce qu'un beau livre, si ce n'est un livre habité, porté par la nécessité - nécessité dans laquelle l'auteur était de l'écrire, sans de ce geste attendre pourtant consolation. Soulagé, apaisé, Comme une ombre ne l'est pas : il y a dans ce roman autobiographique de Michel Schneider tant d'intensité, de douleur intacte, de fièvre sous-jacente.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          00
Comme une ombre

Le roman familial qu'on découvre à travers ce texte mystérieux est si incroyable qu'il ne peut qu'être vrai.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Michel Schneider (533)Voir plus

Quiz Voir plus

Le garçon en pyjama rayé

Comment s'appel le petit garçon?

Didier
Yacine
Florent
Bruno

11 questions
71 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}