L'extase amoureuse selon Pasolini.....
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Livre peu intéressant. Le sujet est passionnant mais le livre le rend ennuyeux. Il est facile à lire, prend peu de temps mais d'autres écrits sur Œdipe valent beaucoup plus le coup que ce livre là. Même pour l'étudier lors de la scolarité, il ne fait pas son travail. Ce livre est mauvais.
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Peut-être en lisant quelques interviews de Pasolini, j’ai eu l’idée d’un certain snobisme de l’auteur, qui me semblait un peu hors de l’époque. Mais j’ai adoré le livre. Chacun des personnages, leurs gestes, les situations et les environnements sont décrits de manière magistrale. Je pense que c’est la plus grande richesse du livre, la façon dont Pasolini imaginait et voyait son œuvre. Une merveille, j’espère maintenant voir le film!
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Bien sur pour aborder cet ouvrage, il faut être un peu beaucoup fondu de Pasolini... Les garçons frustres des Borgate y voisinent avec des métaphores toute en délicatesse de couleurs et de sens. Ce sont essentiellement des courtes nouvelles écrites au début des années 50 quand PPP venait de débarquer à Rome avec sa mère, "pauvre comme un chat du colisée". Il y évoque un quartier, une rue, une heure, un instant de saison du petit peuple des ragazzi qu'il aimait tant.
J'ai lu ce livre à Rome cet été chaque matin devant mon cappuccino, et c'était un panard d'assaisonner de sa sagacité poétique les visites du Trastevere, du Campo dei fiori, du Testaccio, d'Ostie, de l'acqua Sante, de Pignatelli... Si vous êtes là-bas et amoureux de Paso, emportez ce livre pour approfondir l'âme de Rome.
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J'ai abordé cette lecture avec de grands espoirs tant le personnage de Pasolini est intriguant...et je dois bien avouer que j'ai été déçu. La langue est touffue, de nouveaux personnages interviennent sans être présentés et perdent le lecteur ; bref malgré des formules bien senties, j'ai eu du mal à avancer dans ce livre. L'histoire ne m'a pas vraiment pris, on a l'impression de tourner en rond sans espoir de rédemption. Cela me laisse un goût d'inachevé dans la bouche, peut-être est-ce voulu par l'auteur ou plutôt dû à la traduction. Si quelqu'un a la réponse !
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J’ai découvert avec délectation le cinéma de Pasolini cet été. Curieuse, j’ai voulu en venir à ses romans. Que n’ai-je été déçue par Théorème ! J’insiste avec une vie violente, et me voilà conquise. La première partie est un peu longue : le personnage de Tommaso ne s’y distingue pas très clairement de ses congénères, jeunes malfrats des environs de Rome mais Pasolini nous plonge dans un univers bordélique et violent, dans le quotidien de pauvres jeunes qui luttent et enchaînent les larcins pour se procurer trois sous. On retrouve là ses voyous préférés aux portraits tirés dans le film Mamma Roma. La deuxième partie est bien plus aboutie que la première. Tomasso, épris d’Irène fait son bout de chemin et emporte le lecteur avec lui dans les bas-fonds de Rome jusqu’à un final épique. Le roman est un bel exemple de baroque : l’auteur prend dans la main le lecteur pour l’emmener dans un bordel en mouvement perpétuel mais comme dans son cinéma, Pasolini alterne avec des plans plus statiques, peintures enchantées de la lumière et des paysages entourant le héros qui reposent du vagabondage ! À lire avec un peu de patience au départ, et beaucoup d’ouverture d’esprit pour entrer dans les décors de ce génie du XXe siècle.
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Sorti en 1963, La Rage (La Rabbia) est un film en deux parties dont la première est réalisée par Pier Paolo Pasolini. Il s’agit d’un montage d’images d’archives d’actualités cinématographiques de 1945 à 1962, confiées au cinéaste par le producteur Gastone Ferranti. Trouvant le film de Pasolini trop à gauche, le producteur confie le second volet à Giovanni Guareschi, un écrivain satiriste de droite. Un procédé que récusera Pasolini, accusant le producteur d’avoir dénaturé son œuvre. Pour accompagner ces images de guerre, de violences et de révoltes partout dans le monde, Pasolini écrit un long monologue poétique qu’il lit en voix off. Il y témoigne de sa foi dans la révolution des peuples et de la certitude qu’il n’y aura pas de paix tant que des hommes exerceront sur d’autres leur domination. On retrouve, dans cette édition intégrale du texte, le mélange de lyrisme et de radicalité caractéristique de Pasolini.
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L’œuvre de Pier Paolo Pasolini a également pris la forme de l’écriture journaliste. Il a notamment beaucoup écrit sur le foot, l’une de ses passions depuis le plus jeune âge, et le sport en général. À travers une série d’interviews, de poèmes et d’articles regroupés dans ce livre, il donne à voir une autre facette de l’homme. À la manière d’un Roland Barthes, il étudie le foot comme un phénomène de société, un spectacle, un substitut aux rituels collectifs, mais aussi comme un langage. « Je ne vois pas d’opposition entre le langage littéraire et le langage sportif », écrit-il. Le langage des joueurs de foot, athlétique, stylistique, technique, forme ainsi un ensemble de signes et constitue, pour lui, un véritable moment de poésie.
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Quoi dire de ce roman?
L'impression d'être passée à coté. C'est un roman qui sort de l'ordinaire.
On est en Italie chez une famille de la haute bourgeoisie. Un couple, deux enfants.
Un invité, dont on ne sait rien, va débarquer et tout chambouler. Il va avoir des relations très particulières avec les différents membres de la famille ainsi que la bonne. La famille se disloque. L'invité disparait et les personnes deviennent plus ou moins folles. L'invité est entre le messie et le jeune de bonne famille diabolique.
C'est une écriture très spéciale. Les personnages sont marquants. Il y a des apartés poétiques.
J'ai lu ce livre il y plusieurs mois et je me souviens du sort des personnages, ce qui est loin d'être le cas de la plupart des livres lus en 2012. Un livre est tiré de ce film. Je serais curieuse de voir ce que cela donne.
Bref un livre à lire si vous cherchez quelque chose de diffèrent.
"Les premières données de cette histoire, nous sont fournies, tout simplement, par l'évocation d'une vie familiale."
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Bien écrit, mais à force de descriptions, quelques fois assez simplistes,et très longues,pas forcément bien traduit de l'italien, on ressent une certaine lassitude, reste des moments très bien rendu par Pasolini
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ensemble de textes sans grand interet a par les deux derniers décu
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Immersion complète dans ce pays aux milles et une traditions
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