Tsugumi Ohba

Je découvre petit pas après petit pas le genre manga avec cette série.



Le thème est très intéressant. On retrouve Light, acculé, des enquêteurs à ses trousses, l'étau qui se resserre. Ainsi, notre justicier se sent obligé de monter d'un cran et ses victimes ne sont plus les criminels. Le dilemme moral du premier tome se pose de moins en moins et laisse place à un adolescent très intelligent et orgueilleux, en lutte avec L, tout aussi intelligent et orgueilleux. Un duel d'intellect qui n'est pas sans cause de nombreuses victimes collatérales.



L'histoire est captivante et se lit très rapidement. On a plaisir à tourner les pages même si il faut que je m'habitude à changer totalement de sens de lecture^^. Sans aucune longueur, on se demande comment il peut y avoir une dizaine de tomes. Et pourtant, l'action n'est pas artificiel. Chapeau bas aux auteurs et leur travail d'imagination!



Challenge Multi-défis 2021

Challenge Séries 2021

Une chose est sûr, j'adore ce manga! Dans ce tome 2, on commence à connaître un peu mieux le personnage de L que j'aime beaucoup grâce à sa personnalité singulière. On se rend compte que le combat est rude entre Kira et L car les 2 on eu intelligence hors du commun. Death note est un manga-thriller-fantastique époustouflant.

Un duel au sommet brillamment mis en scène autant par les graphismes que la narration. Deux intelligences sont mises à l'épreuve, deux visions de la justice, deux idées du monde qui ne s'opposent pas dans l'absolu.

Chacun veut gagner la partie et déploie des trésors de méfiance, de contrôle et de manipulation. L'intensité de l'affrontement est aussi explosive que maîtrisée et pousse irrémédiablement à poursuivre la série. Un régal !

Je continu ma lecture de cette série mais j'avoue que de mon côté je n'ai pas l'envie de poursuivre cette série, je n'aime pas tellement les dessins et sur un manga cela me semble compliqué de poursuivre ma lecture avec ce gros point qui me bloque.



De plus au niveau de l'histoire ici je n'ai pas été plus que cela dans celle-ci nous continuons de suivre L qui continu d'apprendre à utiliser son death note et il va ici être confronté à la femme d'un agent du FBI décédé récemment.



Les deux vont jouer au chat et à la souris car cette femme semble esquivé ce qui devrait arrivé avec le Death Note, je n'ai pas trouvé plus de rythme que cela dans ce récit et j'avoue m'être plus ennuyé qu'avec le tome 1.



Une histoire que j'oublierai bien vite, j'en attendais beaucoup plus de cette série.

Le duel continue entre L et Kira, les joutes verbales, les faux semblants persistent pour que chacun puisse mener sa barque de son côté. Quelques fois, j'avoue que les raisonnements me paraissent un peu capillotractés.



A ce duel s'ajoute un élément qui bouleverse tous les plans de Kira : un 2e Kira en la personne de Misa Amane, jeune mannequin adulée par les jeunes, un peu fleur bleue et gothique, éprise de Kira. La qualité du discours est moins bonne dans leurs échanges. On sent un aspect très jeunesse qu'on perçoit moins dans le reste du manga.



Ce 4e tome reste très plaisant avec son lot de rebondissements. L'histoire ne s'enlise pas et nous offre une fin toute en surprises. Plus qu'à lire le tome 5!

Première immersion dans un manga et je n'ai pas été déçue. Sur les conseils de mes élèves du club de lecture, j'ai emprunté Death Note au CDI.

Que dire? Déjà c'est un manga très inspiré. L'histoire est vraiment originale et complexe, bien travaillée dans la narration. Entre Light, un justicier, et L, l'enquêteur mystérieux, un bras de fer s'opère pour découvrir mutuellement leurs identités. Un bras de fer distrayant sans longueurs.

A cela s'ajoute le questionnement moral de ce fameux cahier.



Un tome donc très divertissant. J'espère que le CDI de mon collège a la suite...

Dans ma critique du tome précédent, le cinquième, j’écrivais que les parents des jeunes mangakas étaient peu présents. Eh bien, c’était pour me faire contredire tout de suite après. C’est que, dans ce sixième tome de la série Bakuman, Moritaka tombe malade (d’épuisement ?) et est hospitalisé. Tout le monde est là pour le lycéen, incluant sa mère. Même les responsables de la maison d’édition de mangas pour laquelle il travaille. Et pas pour annoncer une bonne nouvelle : la condition de Moritaka les inquiètent, à cet âge, il est important de ne pas se surmener pour le travail, il faut penser à la santé, aux études, etc. Il est même question de suspendre la publication de Trap. Cette décision unilatérale vient détruire tous les rêves et les espoirs de Moritaka et Akiro, et sert d’élan à la détermination des adolescents mais aussi à la solidarité des autres dessinateurs et scripteurs de la boite. J’ai déjà écrit sur les talents de l’auteur Tsugumi Ohba, et sur combien j’adore cette série. Il suffit de rappeler que c’est un manga réaliste, rempli de belles valeurs, qui ne peut que servir de modèles aux jeunes et aux moins jeunes. À lire si on aime les mangas, sinon c’est une excellente façon (pas trop dépaysante) de s’introduire dans cet univers fascinant.

On retrouve nos deux jeunes mangaka plus que jamais motivés qui décident de se rendre chez Shûeisha pour tenter de forcer le destin. Au vu de leur talent prometteur, un responsable éditorial décide de les prendre au sérieux et de les aider dans leur démarche. Pendant ce temps, un rival surdoué fait son apparition, ce qui va faire redoubler leur détermination et mettre un peu de rythme dans le récit. Personnellement, j’aime beaucoup ce nouveau personnage, et l’idée qu’il soit un rival est vraiment bien trouvé, cela va apporter de nombreuses relations intéressantes entre les trois adolescents, c’est certain.



De plus, on à la chance de se trouver dans les coulisses de l’éditeur qui sort les titres phare du moment (Naruto, Bleach, One Piece) et cela apporte une réelle immersion dans cet univers vraiment très intéressant.

Ce tome 3 m'a un peu déçu par rapport aux précédents, trop de scène ennuyeuse à mon goût mais j'aime toujours autant l'histoire qui devient de plus en plus dingue au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire. j’espère que le tome 4 sera plus mouvementé!

• Death Note, Tome 12

• Tsugumi Ohba (Scénario) & Takeshi Obata (Dessin)

• Kana



Douzième et dernier volume de la série, qui l’emportera, Kira ou Near ?

Une série que j’aurais pris plaisir à lire du début à la fin, ce thriller à suspens arrive à nous surprendre plus d’une fois.

Les personnages sont attachants, on ne sait jamais de quel côté se situer, est-ce qu’on a envie que Kira gagne ou qu’il perde ?

Même si Light devient de plus en plus antipathique au fil des tomes, c’est une question qu’on peut toujours se poser jusqu’à la fin.

Un manga que j’ai découvert sur le tard, que j’ai boudé à l’époque de son succès car je pensais qu’il ne me plairait pas, je me suis bien trompé, j’ai adoré !

Le second tome de Death Note embraye sur le même rythme que le premier. Beaucoup de suspense et de fébrilité dans lintrigue, et palpable jusque dans les dessins.



Light, surnommé Kira par la population (japonisation de l'anglais "killer"), poursuit sa tâche qu'il considère comme relevant d'une autorité supérieure aux simples instances de justice. Il utilise le cahier de la mort avec la conscience acharnée d'un justicier.

Cette activité attire l'attention des forces de police et notamment du FBI. Entre en jeux le mystérieux L. Frustration sur une partie du volume de ne pouvoir en distinguer que son ombre ou une silhouette manquant cruellement (pour le lecteur) de détails. Grâce à un esprit phénoménal et des déductions hors du commun, il tend un piège à Kira via une émission en directe à la télévision. Light, malgré son intelligence - à cause d'elle, même, puisqu'il en tire une supériorité arrogante - tombe dedans. C'est Ryuk qui s'éclate. Le gant est jeté. Le bras de fer L - Kira commence.



Les auteurs de Death Note ont soigné ce deuxième tome en introduisant divers éléments d'importance. A commencer par L, allure dégingandée, la mèche indisciplinée, et ce regard! Noir, cerné, qui semble ne jamais ciller. Pour tout dire inquiétant et qui met extrêmement mal à l'aise le lecteur.



Comme pour le tome initial, celui-ci s'achève à un moment haletant d'unf intrigue riche et foisonnante. Ce qui nous pousse automatiquement dans les bras du troisième volume.

J’ai vraiment accroché à ce manga, Bakuman, écrit par le mystérieux Tsugumi Ohba (un nom de plume). J’ai dévoré, tel un rat de bibliothèque, les quatre premiers tomes. Et je viens de terminer le cinquième. J’y ai retrouvé avec plaisir Moritaka Mashiro et Akito Takagi, deux lycéens dont le rêve était d’écrire un manga. Et ils y sont parvenus ! Je suis enseignant alors voir des jeunes, des adolescents, bûcher fort pour réaliser des buts qu’ils se sont fixés, j’ai un petit faible pour ça.



Les dessins de Tsugumi Ohba sont toujours aussi incroyables. Réalistes à souhait, avec quelques touches de fantaisie selon les circonstances. Ce que j’aime bien, aussi, c’est qu’on arrive à en saisir la personnalité ou les émotions des personnages rien qu’en voyant leur tronche. Fort !



Dans ce cinquième tome, on plonge davantage dans le monde de l’édition, un monde régit par le corporatisme. Cela est synonyme de changements. Exit le responsable M. Hattori, qui les avait soutenus à leurs débuts et leur avait donné de si bons conseils, et bienvenue M. Gorô Miura et les asistants-dessinateurs. Pour avancer à rythme respectable, les garçons doivent apprendre à déléguer. Et ils doivent aussi faire du marketing (assister à des soirées corporatives), se lier avec des auteurs, etc. Ouf ! Tout un monde à découvrir ! Devenir mangaka, ce n’est pas que faire des dessins et raconter de belles histoires ! Le mystérieux auteur de Bakuman en sait beaucoup sur le sujet…



Petit point négatif : dans tout ça, on voit quelques fois Moritaka et Akiro à l’école, avec leurs copines (ou presque, dans le cas du premier), mais jamais à la maison. Leurs parents sont disparus ? Ils ont beau avoir dix-sept ans et être accaparés par leur nouveau travail, il me semble qu’une présence parentale minimale soit requise…

Après la tragique fin du deuxième tome, j’avais hâte de lire le troisième pour voir comment nos héros allaient se débrouiller, et surtout en savoir plus sur le mystérieux nouveau personnage qui était apparu dans la dernière page.





Et autant dire que je n’ai pas été déçu ! Ce nouveau personnage apporte plus de profondeur à l’histoire, déjà ce n’est pas un adolescent mais un adulte, et son histoire (que je ne vous dévoilerai pas) est très touchante et cela tranche un peu par rapport aux autres persos.





Ensuite, nous rencontrons un autre nouveau personnage agissant pour le compte de Métropoliman, décidément très machiavélique. Mais ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est de tomber sur quelque chose d’aussi crash, aussi sanglant. On a clairement passé un cap dans ce troisième tome, et ça rend le titre encore plus fort ! Le final est explosif et on en prends plein les yeux. Les dessins sont comme toujours parfaitement maitrisés et c’est vraiment un régal.





Si les deux auteurs ne font pas l’erreur qu’ils ont fait avec Death Note (pour moi la série n’a plus eu aucun intérêt après la mort d’un certain personnage) ils risquent de faire de Platinum End, leur meilleur titre.





Bon par contre, maintenant, il va falloir patienter jusqu’au mois de Mars pour lire le tome suivant, ça va faire long mais c’est pas grave, je pourrais toujours relire les trois tomes d’une traite sans soucis.

Mention spéciale pour Kazé éditions qui ont eu une très bonne idée avec leur couverture pailletée. C’est magnifique et ça colle parfaitement bien à l’esthétique de la série !




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Dans ce manga on n'est pas du tout au pays de Candy. L'ambiance est très sombre et plutôt pessimiste. Que feriez-vous si vous aviez le pouvoir de vie et de mort sur les autres êtres humains ? Light, lycéen de 17 ans, ne s'est pas posé la question pendant très longtemps. Il a essayé le Death note, sans trop se poser de question. Son objectif : créer un nouveau monde en éliminant les criminels. Il s'octroie donc le rôle de juge et de bourreau. Et rien ne l'en empêchera, même pas les innocents. Etait-il mauvais au départ? Ou bien est-ce l'influence du Death note et du dieu de la mort qui l'accompagne? L'auteur le parti pris de l'humain et de son ambition. de quoi alimenter de nombreuses réflexions.

(...)
Lien : http://www.leslecturesdemari..

Mon fils de 13 ans qui adore les mangas, m'a incité à lire celui-ci étant donné que j'aime les thrillers, et il a eu entièrement raison puisque j'ai passé un excellent moment de lecture avec ce livre.

Nous suivons Light, jeune lycéen japonais, excellent élève et qui s'ennuie dans la vie de tous les jours, un jour, il trouve un carnet au sol, le ramasse, l'ouvre et découvre que celui-ci à des pouvoirs extraordinaires, puisqu'il suffit d'inscrire le nom d'une personne dans ce carnet et celle-ci meurt.

Light décide tout d'abord d'exterminer tous les criminels, mais cela n'est pas au goût de la police japonaise et du FBI, il est donc vite rechercher par la police comme étant l'ennemi juré numéro 1.

Pas de temps morts dans ce livre, l'histoire se lit d'une traite et c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu ce livre.

Je recommanderais donc ce manga aux amateurs de ce genre de livre comme aux amateurs de thrillers car l'histoire est vraiment plaisante et un suspense continu est présent tout au long de la lecture.

Je suis complètement passée à côté de ce second opus qui, à mes yeux, n’a que pour atout des dessins travaillés et réussis ! On reconnaît bien la patte des deux auteurs de la saga Death Note. Les personnages sont expressifs, reconnaissables, bien dessinés et avec un design parfois original. Les décors sont également de qualité, ce qui permet de prendre du plaisir durant sa lecture… Du moins, graphiquement parlant ! Le tournant qu’a pris l’histoire m’a ennuyée… En effet, à ma grande surprise, la moitié du manga met en avant une scène où Metropoliman décide de faire avancer la compétition entre les différents candidats. Surviennent plusieurs concurrents vêtus tels des super-héros aux allures de méchas… Même si une certaine pression se dégage des pages et malgré le fait que certains personnages innocents perdent la vie, j’ai trouvé l’ensemble sans intérêt. On bascule complètement dans quelque chose de manichéen et on met trop de côté l’idée des anges. Je n’ai pas non plus aimé toute la phase où le héros n’est pas lui-même en raison de ce qu’il s’est passé à la fin du premier tome…



Un récit qui peine à décoller, des moments trèèèès longs, du suspense malgré tout et un beau coup de crayon, … C’est ce que je retiendrais de ce second opus. Je ne sais pas si je continuerai la découverte de cette série, car je suis vraiment descendue de mon petit nuage ! Cette aventure qui met en avant des anges et une compétition acharnée n’a pas su répondre à mes attentes. Avec un très bon premier opus, j’espérais vraiment accrocher aux suivants… Peut-être le feuilletterai-je en librairie si j’en ai l’occasion mais, pour l’heure, je ne compte pas continuer cette lecture. Déçue !
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Ce huitième tome est, à mon avis, un des meilleurs de la série Bakuman. On y trouve de tout (action, amitié, romance, déceptions, travail acharné, etc.), sauf peut-être de l’action. Quoique… Kô Aoki a la main qui vole rapidement… Mais allons à l’essnetiel : Moritaka Mashiro et Akito Takagi (surnommés Saiko et Shûjin) continuent à plancher sur leur nouvelle série de manga, espérant qu’elle connaisse du succès. C’est toujours plaisant de voir de jeunes gens (ils sont rendus à dix-huit ans, je crois) travailler fort pour décrocher leur rêve. Mais l’intrigue de ce tome se divise en plusieurs mini-intrigues qui, si elles ont des liens entre elles et le duo de lycéens, concernent toute un foule de personnages qui gravitent autour d’eux.



D’abord, Aiko Iwase refait surface. On se rappellera qu’elle était la petite amie potentielle de Shûjin mais qu’elle l’avait plaquée là parce qu’elle trouvait que son rêve de devenir mangaka manquait de sérieux. Elle s’est plutôt dirigée vers la littérature mais, en voyant le succès qu’il commence à obtenir, devient jalouse et espère le battre à son propre jeu… ou à son propre métier. Cette rencontre entre les deux est apprise par l’actuelle petite amie de Shûjin, Kaya Miyoshi, qui cherche le réconfort auprès de Miho Azuki, la « promise » de Saiko, et déblatère tellement qu’elle lâche un secret de ce dernier, mettant la jeune fille en colère. Bref, tout le monde a des problèmes de couple. C’était intéressant de voir l’histoire déborder un peu des coulisses de l’édition des manges.



Mais il faut y revenir, malgré tout. En fait, Aiko Iwase est entrée à nouveau en contact avec Shûjin grâce à Kô Aoki, cette scénariste de mangas qui cherchait de l’aide pour mieux dessiner. Insatisfaite, elle essaiera de renouer professionnellement avec Takurô Nakai (qui a beaucoup changé), puis Kazuya Hiramaru (en panne d’inspiration) puis finalement Shinta Fukuda. Entretemps, les responsables éditoriaux se débattent pour essayer de faire ressortir le meilleur de leurs mangakas. C’est ainsi que Akira Hattori a l’idée de faire travailler ensemble Aiko Iwase avec Eiji Niizuma, le jeune génie.



J’ai pris quelques raccourics mais, en gros, c’est un peu ça l’histoire. Comme je l’écrivais plus haut, je trouve particulièrement intéressant que toutes ces intrigues mineures se rejoignent, s’entremêlent pour ne former qu’une belle et grande intrigue. Tout est interdépendant. C’est là qu’on voit l’immense talent d’un auteur, peu importe qui se cache derrière le nom de plume de Tsugumi Ohba.



Ce tome est aussi une leçon pour les Saiko et Shûjin. D’abord, les démêlés des autres mangakas avec leurs responsables éditoriaux les amènent à comprendre que la production d’un manga ne dépend pas que de bons scénarios et de bons dessins. Il y a plus et une bonne collaboration à tous les niveaux, ça fait partie de la recette du succès. Ensuite, les déboires de Takurô Nakai, qui abandonne le métier, sont à donner des frissons. Il a atteint finalement la réussite qu’il recherchait mais il s’est pris trop au sérieux, s’est enflé la tête, s’est cru au-dessus de tout et a tout perdu. Dure leçon…



Enfin, jusqu’à maintenant, les différents mangakas du magazine se livraient une compétition amicale au sein du magazine Jump, en fait, ils se tenaient les coudes plus qu’autre chose et faisaient preuve de solidarité les uns envers les autres. Toutefois, l’arrivée de Aiko Iwase change complètement la donne. Elle est là pour vaincre Shûjin. Ça promet !

Ultime tome de l'excellente série Death Note...enfin « tome », je devrais plutôt parler d'"épisode style bonus de DVD avec making off et scènes coupées"...

Il faut bien le dire, pour tous fans de Death Note, ce tome-bonus est hyper intéressant et riche en compléments...



Peut être trop.


Alors c'est vrai que beaucoup d'informations font doublons avec nos connaissances.



Pour que ma chronique soit complète, je vais présenter point par point ce volume.





Donc on a le droit à : un beau livre, épais avec une très belle couverture et une carte collector sous forme de carte de tarot en "bonus du bonus" avec dessus le vrai nom de L.





Des dossiers ultra complets et très voir trop documentés (c'est vrai qu'il y a énormément de textes sur une page ce qui est parfois indigeste à la lecture) traitant de tous les points de la série, avec ou sans humour (dossiers sur : les personnages, les dieux de la mort, la chronologie du récit, les règles du Death note, le monde des humains vu par Ryuk...)





Des entrevues avec les auteurs (longues interviews des deux auteurs, éclaircissement de mystères et explication de titres par Tsugumi OHBA, design des personnage par Takeshi OBATA, confrontation entre les deux auteurs...)

Et pour finir, du vrai bonus par rapport au récit du Death note : des gags sous forme de strips avec nos personnage préférés, et l'épisode "0" de death note (ou prototype de death note) ; le one shot qui est parus dans Jump avant le récit original.




Quel plaisir de se replonger dans cet univers sombre, original, effrayant, déjanté, jouissif et attrayant à la fois, que j'ai adoré, même si ce n'est que pour 5O pages, et même si plus tard il aura assez changé.




Le tout, illustré (avec génie) encore et toujours par les excellents dessins de M. OBATA (même si certaines cases, pour illustrer les dossiers, ne sont pas de très bonne qualité).

Alors on a un tome avec quelques défauts (et c'est vrai qu'il y a presque trop d'informations et trop de textes et que cela reste indigeste) mais c'est un album indispensable pour tous fans de Death note.

Je ne pensais pas lire cette série, dont j'avais vu le film il y a quelques années et que je n'avais pas du tout aimé. Mais comme une amie me les a prêté, je m'y suis mise.



Light est un lycéen en dernière année. Il découvre un jour un cahier bien étrange : le Death Note. Si on écrit le nom d'une personne dedans en pensant à son visage, elle mourra quelques minutes plus tard. Des tas de règles se rajoutent au fur et à mesure de l'histoire rendant le jeu plus intéressant et augmentant les possibilités. Ainsi il est possible de pouvoir voir le nom d'une personne rien qu'en voyant son visage, ce qui est un avantage indéniable, mais en contre partie il faudra abandonner la moitié du reste de sa durée de vie.



La personne qui possède le Death Note est tout le temps accompagné d'un shinigami, un dieu de la mort, à qui appartient le Death Note. Le shinigami du Death Note de Light s'appelle Ryuk et adore manger des pommes. Il est le seul à le voir ... tant que personne d'autre ne porte la main au Death Note.



Light décide, après quelques essais, de ne s'en prendre qu'aux criminels : il les fait mourir d'une crise cardiaque. Ceci ne manque pas d'attirer l'attention des autorités qui devient vite convaincue qu'elles ont à faire avec un nouvelle sorte de meurtrier. La police décide donc de faire appel à L, une sorte de génie dont personne ne connait l'identité et de monter une cellule d'enquête pour pister celui que tout le monde appelle désormais Kira.



Ce que j'ai vraiment aimé dans la série, ce sont les jeux entre L et Kira. C'est une véritable partie de jeu d'échec qui se joue-là : chacun essaie d'anticiper les coups de l'autre et de prévoir ce que l'autre pense de ce qu'il pense penser. C'est très chouette mais assez répétitif donc on finit par s'en lasser.



Un autre point intéressant, ce sont les réflexions autour de la question de la justice et du Bien et du Mal. Plein de questions sont posées sur la conception de la justice des uns et des autres : Kira qui tue des criminels dans le but de rendre le monde meilleur, mais ça le rend fort orgueilleux, désirant égaler voire dépasser les dieux de la mort. L est contre les agissements de Kira : un meurtre reste un meurtre même si la victime est lui même un meurtrier, mais à côté de ça, il n'hésite pas à transgresser des lois pour attraper Kira et on a le sentiment que s'il veut l'attraper c'est davantage pour gagner la partie d'échec que pour sauver l'humanité d'un dangereux criminel. Les deux personnages principaux sont donc en niveau de gris, même si on ne peut leur dénier un manque total d'empathie.



J'ai dévoré les trois premiers volumes. Mon intérêt a été diminuant entre le 4ème et la moitié du 6ème puis est remonté jusqu'au 3/4 du 7ème tome pour de nouveau redescendre. Je ne suis vraiment pas sûre que je lirai la suite. La mort d'un des personnages intéressants dans le 7, la lassitude quant à la répétition des jeux de "c'est qui qui sera le plus malin entre L et Kira" et l'impression d'avoir fait le tour des possibilités offertes par le Death Note me font dire qu'il vaux mieux arrêter sur une note positive que de forcer la lecture pour connaître à toute force le destin final de Kira.



A noter que je me suis retrouvée à lire les tomes 4 à 7 ... en anglais. Lire les trois premiers tomes d'une série en français, ouvrir le quatrième et se rendre compte qu'il est anglais : un excellent moyen de se mettre à la lecture en anglais ! Bref, j'ai continué, sans aucun problème, le niveau de vocabulaire n'est vraiment pas difficile, les phrases sont courtes et les images aident à contextualiser.
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Ce manga a la particularité d’avoir un côté plus policier et mystérieux que les autres que j’ai déjà pu lire.

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Nous partons à la rencontre de Light, un jeune étudiant introverti, intelligent et curieux. Sa vie va être chamboulée par l’apparition mystérieuse d’un carnet de notes. Apprenti justicier, Light va se laisser prendre au jeu, à ses risques et périls… 😱

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J’ai bien aimé l’intrigue de ce manga, malgré le fait que je l’ai trouvée super longue en même temps. 🥲

Les dessins sont assez bien faits, le Dieu de la Mort est horriblement moche 😭

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Enfin bref, si vous aimez les mangas dans le style thriller et gore, vous pouvez foncer !! 😅

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