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EAN : 9782374480237
455 pages
XO Editions (26/10/2017)
3.36/5   18 notes
Résumé :
Un grand roman épique L'histoire passionnante d'un animal devenu une légende « Vous le connaissez tous, avec sa splendide livrée noir et blanc, son air bonhomme, son appétit insatiable et sa démarche rigolote? le panda ! L'ami des enfants et le symbole de la préservation de la nature? Ce que vous ignorez peut-être, c'est qu'un missionnaire français, le père Armand David, en 1869, est à l'origine de sa découverte. Sans lui, le panda aurait été décimé par la chasse et... >Voir plus
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Allez, hop ! On prend un peu de temps et on se flanque un coup de pied aux fesses pour taper cette chronique, sinon, j'y serai encore dans trois mois !

Le Père David, l'Impératrice et le Panda nous embarque auprès du Père David (on s'en serait douté), missionnaire lazariste qui va partir en Chine. Ce prêtre, qui rêve depuis sa jeunesse de voyager, est aussi un grand naturaliste qui rêve de découvrir de nouvelles espèces. C'est au cours de son séjour en Chine qu'il découvrira l'existence du panda, cet animal si mignon que nous connaissons tous aujourd'hui, mais qui à l'époque n'était connu que d'une poignée de gens ! Mais pour permettre à cette espèce de survivre, le Père David devra aller de rebondissements en rebondissements… et si le panda était appelé à devenir bien plus qu'une découverte scientifique ?

Je ne sais pas vous, mais déjà, je trouve cette couverture juste trop mignonne. En même temps, il y a des pandas juste tellement chous, dessus, il était difficile de ne pas la trouver mignonne. La thématique du roman est plutôt rare, de même que le contexte historique. Comme je suis curieuse, je me suis dit : « pourquoi pas ? ». La découverte que j'ai faite était effectivement intéressante, et j'en ai appris pas mal, même si côté plaisir de lecture, je n'en ai pas autant ressenti que je l'espérais. Je vais vous expliquer tout ça.

José Frèches est un spécialiste de la Chine, et ça se sent dans sa narration : il profite de plusieurs points pour glisser des détails sur la vie dans ce grand pays, sur les coutumes dont, nous, Occidentaux, ne savons rien, et sur encore bien des éléments. Ainsi, le lecteur fait face à une grosse poignée d'éléments qui sont enrichissants, mais qu'il faut savoir coordonner entre elles. La présence de personnages de fiction et d'autres historiques rend le tout encore un petit peu plus compliqué, parce qu'il faut tout resituer. Après, José Frèches possède heureusement une plume fluide et précise, il semble jouer avec son lecteur, ce qui rend le tout moins pesant, il faut l'admettre. Mais c'est dense quand même. J'ai appris beaucoup de choses sur ce contexte, cela dit !

Concernant l'intrigue, elle met du temps à se mettre en place, à proprement dit. Je dirais qu'une grosse partie du roman nous invite à suivre le Père David dans sa mission et dans ses débuts en tant qu'étranger en Chine. C'est romancé, et ça nous prépare à la suite, qui arrive dans la deuxième partie du roman. le panda n'arrive que bien plus tard, et l'Impératrice prend sa place surtout dans la dernière partie du roman. Tout se coordonne ainsi plus tard, ce qui n'est pas non plus évident pour le lecteur. Mais c'est intéressant, encore une fois ! Pour celui qui se laisse distancer, il faut s'accrocher. J'ai mis du temps, à lire ce roman, mais j'ai fait une balade intéressante et originale, dans une intrigue réfléchie, renseignée et construite.

Au final, si vous cherchez un roman addictif et prenant, ce n'est pas forcément le bouquin qu'il vous faut. En revanche, si vous cherchez un livre qui va vous apprendre des trucs et qui essaie de romancer quelque chose qui s'est passé (pas forcément comme ça, mais dans le style d'une fable), c'est le bon roman ! Les personnages sont travaillés, et si j'ai eu du mal à m'attacher à eux du fait qu'on les suit trop sporadiquement (il y a de grosses ellipses pour favoriser la vue d'ensemble de l'intrigue), j'ai aimé les côtoyer. Ils sont réalistes, nous offrant sourires et malaises, comme des personnes normales le feraient.

Comme j'ai déjà parlé de la plume plus haut, je vais passer directement aux valeurs. José Frèches élève plusieurs fois le débat dans le roman à propos de la vision du missionnaire et de la transmission de la foi, de la complexité de l'évangélisation dans des contrées qui ne croient pas. J'ai aimé voir les doutes et les réflexions, la remise en question du Père David et de ses compagnons. Tout comme j'ai apprécié le recul que le lazariste prend entre son devoir de missionnaire et son côté naturaliste, scientifique. C'était assez justement amené, sans pour autant pousser le lecteur à choisir un camp. de fait, le roman peut nous inviter à considérer nos principes et à nous y accrocher, parce que c'est ce que font beaucoup de personnages. Ils suivent leur conscience avant tout. Je pourrais aussi parler de manipulations, du pouvoir de la drogue, parce qu'avec tout ce que José Frèches a présenté dans son intrigue, on pourrait y passer un long moment. Il y a plusieurs personnages emblématiques qui amènent tous une problématique qui fait réfléchir. Enrichissant, j'ai dit, non ? Je répète et j'insiste !

En fin de compte, le Père David, l'Impératrice et le Panda a été un roman intéressant, enrichissant et dépaysant pour moi. J'ai appris de nombreuses choses, côtoyé des personnages travaillés et réalistes, et bien que je ne me sois pas attachée à eux, j'ai apprécié voyager à leurs côtés. L'intrigue n'est pas addictive, prenante au possible, mais elle nous invite à faire un tour dans une Chine que nous connaissons peu en Occident, auprès de ce prêtre qui ignore le retentissement de la découverte qu'il fera. José Frèches a le sens du détail, parfois même un peu trop, même s'il garde une plume relativement fluide, et qu'il parvient à créer un lien avec son lecteur, une connivence assez notable. Bref, c'était quand même une bonne lecture, juste différente de ce à quoi je suis habituée ! En conséquent, ce sera un 15/20 pour moi et je vous le recommande !
Lien : http://leden-des-reves.blogs..
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Encore un livre déniché dans une gare lors d'un déplacement. Ce sont des moments décidément propices à la lecture. le titre m'a accroché tout de suite, faisant référence à une petite famille que je connais bien même si je suis pas bien sûre de pouvoir qualifier la Maman de Panda... ;-) Et la couverture avec les deux pandas a terminé le boulot, j'ai craqué !

Le panda, ou ''xiong mao'' en chinois (littéralement ours-chat), il est question justement de sa découverte tout au long du livre.
En 1869, le Père David missionné en Chine pour étudier la faune finira par tomber sur cet étrange animal, qui n'était connu à l'époque que dans la région où il prospérait mais où il été également très chassé pour sa fourrure. vivant exclusivement dans des zones reculées de la Chine (Sichuan), il deviendra néanmoins ainsi un bel ambassadeur de ce grand pays et échappera à l'extinction qui était inévitable, même s'il est encore aujourd'hui une espèce très menacée.

Plus que la narration de l'histoire en elle-même inspirée de la vie d'Armand David, j'ai surtout aimé dans ce livre les descriptions de la Chine d'alors, la vie là-bas à cette époque, leur perception des Occidentaux venus coloniser ce grand pays et réciproquement, le monstrueux trafic d'opium, les lazaristes, la Cité Interdite, la vie pèpère tranquille du panda et enfin les découvertes naturalistes dans des conditions vraiment aventurières à une époque où il y avait encore tant à trouver. Si la flore finissait dans un herbier, les animaux eux terminaient invariablement empaillés... Ce côté explorateur en Asie me rappelle un peu l'histoire d'Alexander Yersin dans La Peste et le Choléra de Patrick Deville.
Le tout est sans fard, sans filtre, parfois un peu rude d'un point de vue éthique, animale comme humaine, mais c'était la réalité de cette époque. Pas sûre que nous fassions beaucoup mieux aujourd'hui...
À ce sujet, le postface sur la vie, non romancée cette fois-ci, du Père Armand David est vraiment très intéressante, notamment ses écrits qui relatent ses interrogations sur ses missions de lazariste et de naturaliste.

Bref, même si le style d'écriture ne m'a pas accroché plus que ça, c'est un bouquin très intéressant, original et où l'on apprend plein de choses sur des sujets très variés !
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J'ai retrouvé ce livre dans ma PAL avant les vacances. J'avoue ne pas me rappeler de quelle manière il a atterri là ; un cadeau, certainement. J'ai trouvé le titre évocateur (disons qu'il promettait un mix sympathique de spiritualité, de zoologie et d'Histoire). Les deux adorables espiègles de la couverture, même si leur regard est tourné vers le festin de bambou qui les attend, m'ont fait de l'oeil. Et me voilà partie à lire 450 pages sur la Chine du XIX° siècle décrite par un occidental du XXI° siècle. Bon. J'ai terminé le livre.

Je le connaissais de nom, José Frèsches, mais je ne le situais pas sur l'échiquier littéraire. Je suis allée fouiller dans sa biographie assez rapidement après avoir attaqué le pavé, car le style pompeux sur un sujet fort bien documenté m'a intriguée. Ah oui, bien sûr, c'est l'homme de la privatisation de TF1. Je me rappelle maintenant. Heureusement, il ne peut être résumé à ça : son parcours universitaire et professionnel légitiment son écriture d'un roman sur la Chine. C'est loin d‘être son premier, d'ailleurs, puisque Babelio référence 38 livres de José Frèsches. Jade, Impératrice, Bouddha, Opium… la grande majorité de ses ouvrages depuis 2002 sont consacrés à la Chine. Vraiment pas surprenant et amplement justifié.

Revenons à notre panda. J'ai terminé le livre et hélas, ma prouesse a été grande. Mon voyage à Pékin en décembre dernier a été le véritable moteur de ma persévérance : il y a en effet dans le roman de nombreuses références à la deuxième guerre de l'opium (1856-1860), que le statut touristique du Palais d'été de l'Impératrice Cixi d'aujourd'hui dénonce à coup d'affichettes dans toutes les allées reconstruites à l'identique après leur incendie par les forces franco-anglaises en 1860.

Nous voilà donc plongés dans l'intrigue. L'Impératrice de José Frèsches n'est autre que Cixi. le Père David, un ecclésiastique français passionné de naturalisme. Et le Panda, le premier panda capturé dans les forêts du Sichuan et ramené dans le jardin exotique de la Cité Interdite en 1869. Voilà l'histoire. J'ai spoilé les 450 pages du roman de José Frèsches. Oups.

Bon, pas exactement, heureusement. le lecteur va suivre le père David dans ses missions de sauveur des âmes égarées (les méthodes du XIX° siècle ne valent pas les bonnes vieilles croisades et leurs cruautés, croyez-moi). Il va aussi découvrir les fumeries d'opium (c'est vraiment horrible), les racines de l'éthique animale actuelle (les descriptions des tortures animales sont insoutenables), les méthodes punitives du pouvoir impérial (beurk, vraiment). le tout dans un style médiocre où les digressions sont de mises, sans les parenthèses multiples de Philippe Jaenada dont ce style fait la saveur, mais avec l'ennui des boîtes qui s'ouvrent dans des boîtes et des boîtes, avec lourdeur et inintérêt. Un exemple ? « C'était une pièce exiguë, identique aux autres bureaux des professeurs. Charles Rohault de Fleury, l'architecte du Muséum, à la tête du réaménagement du vieux château acheté par Louis XIII en 1833 dans le dessin de créer dans son parc le jardin des plantes médicinales, avait consacré l'essentiel de l'espace aux galeries d'exposition, auxquelles le public avait accès sur rendez-vous, ainsi qu'aux réserves, où s'entassaient les collections constituées par plusieurs générations de naturalistes et provenant des quatre coins de la planète. Celles-ci rengorgeaient de minéraux, fossiles, plantes séchées, squelettes et animaux de toutes sortes – les uns empaillés, d'autres conservés dans des bocaux emplis de la solution de Ruysch –, ainsi que des insectes, simplement placés dans des boîtes ou collés sur les planches. Pincus était en nage lorsque, à peine entré, il ouvrit les deux battants de l'unique fenêtre qui donnait sur le Jardin des Plantes, afin de dissiper l'odeur de médicament de la pièce. » (Moi aussi, tellement José Frèsches m'a perdue avec ses descriptions qui s'éternisent).

Vous l'aurez compris, le contenu est certes instructif, mais j'ai dû m'asseoir sur le style qui manque de fluidité et de charme. Dans un mois, j'aurai oublié le livre.
Lien : https://akarinthi.com
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José Frèches, je le suis depuis que j'ai découvert les séries : le disque de Jade et l'Impératrice de la soie. J'ai tout de suite adhéré à son style : conteur hors pair qui sait faire vivre ses personnages, nous captiver avec les légendes, et, en même temps, prof intarissable sur la Chine. Alors, lorsque je l'ai entendu à la radio pour la sortie de son nouveau livre, ni une ni deux me voilà partie le chercher.
Au vue des critiques postées ici et là, j'avoue que mon enthousiasme s'est retrouvé douché. Mais bon, je me suis lancée et... Et bien, j'ai été vraiment déçue. Je n'ai pas pas retrouvé l'auteur qui m'avait fait rêvée à une Chine toute puissante, qui s'ouvre au monde tout en conservant son identité. J'ai eu l'impression de me retrouver dans une classe avec un professeur d'histoire qui débitait son cours sur la Chine.
En fin de compte nous ne passons pas beaucoup de temps avec le Père David, qui semble pourtant avoir eu une vie palpitante. Et nous passons encore moins de temps avec l'Impératrice Cixi et surtout avec celui qui me semblait être un personnage important du récit LE PANDA.
Beaucoup, beaucoup de descriptions, d'explications historiques qui cassent l'histoire, qui nous perdent dans les méandres du futile. Ce n'est pas que les descriptions du mode de vie, des paysages, de la politique de cette époque ne servent à rien. Non, mais c'est trop long, ça casse le rythme si bien que je me suis surprise à plusieurs reprises à survoler ces passages. J'aurais préféré passer plus de temps avec le Père David, avec Fleur de sang et ses amis les pandas. J'aurais voulu approfondir les déboires qu'a dû surmonter le Père David, notamment lors de sa traversé de la Mongolie au lieu de me retrouver face aux pandas sans trop savoir comment il est arrivé là. Et que dire de la traversée des caisses : on le retrouve en train de préparer ses animaux et la page d'après les voilà au Muséum à Paris. Cela devait être une sacré aventure de faire passer ces monumentales caisses à la douane chinoise corrompue, charger cela sur un navire... Et puis, on rencontre beaucoup de personnages qui semblent important dans la vie du Père David, mais nous survolons sans trop comprendre le rôle qu'ils ont tenus dans cette découverte. Et surtout, très grosse déception : la rencontre entre l'Impératrice et le Père David bâclée en même pas dix pages. Ce ne devait par être tous les jours qu'un européen pouvait se trouver face à l'Impératrice, particulièrement celle là qui était une femme à forte personnalité. D'autant plus, qu'à cette époque, la Cité Interdite portait bien son nom puisqu'elle était interdite au monde extérieur.
Bon seul point positif ; on comprend parfaitement que sans cette triple rencontre, le Panda n'existerait plus ce qui aurait vraiment été dommage car c'est réellement un très bel animal. Pour le reste, j'attendais beaucoup mieux de José Frèches.
Lien : https://jelisquoi.blogspot.f..
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C'est l'histoire émouvante qui aurait pu être tragique d'un animal attendrissant. C'est l'histoire d'aventures trépidantes autour d'un animal aux gestes lents. C'est l'histoire vraie de celles et ceux qui ont sauvé de l'extinction un animal innocent.

Une fois n'est pas coutume, j'ai commencé ma lecture par la postface, habilement construite pour attiser la curiosité et l'envi d'en savoir plus sur Armand David. C'est son histoire que nous raconte José Frèches à travers le périple romancé de David Etcheparre en Chine.

Avec lui, j'ai embarqué pour un long voyage à bord d'un voilier équipé de deux moteurs à vapeur, le Richelieu. C'est comme cela que l'on se rendait en Chine en 1865, un pays-continent où Cixi détient tous les pouvoirs, c'est la rusée mère du jeune empereur Tongzhi pour lequel elle nourrit les plus grandes ambitions.

J'ai accosté à Tianjin avant de rejoindre Pékin, la capitale bâtie autour de la Cité interdite. J'ai appris des rudiments de chinois grâce à un jeune sourd-muet. Et j'ai fait des découvertes extraordinaires. La faune et la flore sont d'une richesse exceptionnelle, pimpante comme les écus d'or de l'immortel Ginkgo biloba, mystérieuse comme toutes ces espèces animales que David est le premier occidental à observer et à décrire. C'est le cas du cerf qui a été baptisé de son nom, Elaphurus davidianus.

J'ai exploré des contrées rurales aujourd'hui oubliées ou devenues des villes-provinces surpeuplées. J'ai vécu des peurs dans un pays tour-à-tour violent ou étourdie par l'opium et partout j'ai partagé les émerveillements de David devant la nature envoutante. David utilise une modeste bible pour confectionner un herbier, la nuit il dissèque et naturalise des animaux. J'ai découvert des espèces dont le nom latin attise ma curiosité et m'incite à rechercher une photo ou un dessin pour les voir après les avoir imaginées.

J'ai visité la Tartarie, remonté le Yang-Tsé ou fleuve bleu à la recherche du dauphin rose avant de rejoindre le Sichuan. Les habitants du Sichuan pratiquent la chasse de l'ours-chat. Nous sommes en septembre 1869, déjà cette espèce est en voie d'extinction, ses gestes lents en font une proie facile, sa fourrure domino est très recherchée. Plutôt que fuir devant les dangers, imperturbable, il préfère mastiquer ses chers bambous.

La rencontre entre David et le panda est brève mais marquante. Il n'hésite pas et cède vite aux sollicitations de la jeune et belle Fleur de Sang : il faut sauver l'ours-chat. David rencontre Cixi l'impératrice douairière qui comprend vite l'intérêt de protéger cet animal attendrissant. Avec son jeune fils, elle décide que le panda sera le symbole de l'empire du Milieu. de nos jours le panda reste un trésor national pour la Chine.

José Frèches est publié par les Editions XO, voir ici http://www.xoeditions.com/
Lien : http://mille-et-une-feuilles..
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Il lui suffit de faire deux minuscules pas de côté pour se retrouver devant le meuble-lavabo où il procédait à des ablutions minimales - l'eau n'ayant jamais fait partie de ses amis intimes, surtout quand elle était froide.
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Le sage voit son devoir, le sot voit son intérêt.
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Vidéo de José Frèches
Conversation privilégie avec José Frèches | Lecteurs.com .Conversation privilégiée avec José Frèches, auteur de "Gengis Khan ; l'homme qui aimait le vent" et de "Gengis Khan ; le conquérant" (Éditions Xo)
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