L'auteur reçoit en 2007, une lettre écrite par
Malaparte à son père en 1948. Cette lettre est prétexte, pour l'auteur à dresser, pour l'expéditeur un portrait de l'Italie contemporaine, sous le règne de Berlusconi. Portrait peu flatteur dont l'ébauche commencé en 1860 avec l'unité italienne de Garibaldi et
Victor Emmanuel a continué avec MUssolini pour aboutir à une situation politique désastreuse dans une Italie raciste et corrompue. L'auteur n'hésite pas à monter sa désapprobation par rapport à cette évolution. Mais au final, on finit par se perdre un peu dans cette évocation.