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EAN : 9782812611230
288 pages
Editions du Rouergue (05/10/2016)
3.33/5   3 notes
Résumé :
Jean Pelous , éleveur, quarante ans, enterre sa mère Séverine. Depuis des années, ils tenaient ensemble la ferme familiale dans ce hameau de l'Aveyron que la modernité tarde à conquérir. Le rassemblement des obsèques terminé, les parents compatissants repartis, Jean se retrouve dans des lieux muets, oppressé par l'épreuve qui s'annonce : vivre seul, entouré de voisins qui lorgnent sur ses terres et n'attendent qu'une chose, qu'il renonce et quitte le village, comme ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Deçue. Rythme beaucoup trop lent au début et style trop académique pour moi. Finalement, "les pouvoirs de jean" n'ont pas beaucoup droit aux chapitres dans ce livre alors que les travaux des champs se font la part belle.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
On ne gagne jamais à sortir de la religion dominante, fût-elle celle des bovins, Jean ne l’ignorait pas, mais il s’était obstiné dans sa passion caprine, y compris contre les objurgations de Séverine. Les railleries avaient duré plusieurs saisons. Maintenant, on concédait un droit de cité aux cabres de Pelous. Lorsqu’elles pignochaient les herbes les plus délicates dans ses prés, elles ne choquaient plus les regards ; elles appartenaient désormais, du moins Jean s’en convainquait-il, au paysage ordinaire de Longcamp.
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Dans l’obscurité, une maison vide n’est pas une maison silencieuse. Des chocs infimes, imperceptibles en pleine journée, des frémissements semblent trahir des remous secrets, nés dans la profondeur des murs ou dans l’inconnu des pièces et des galetas qu’on ne fréquente que rarement.
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C’était cela s’habituer à la solitude : subir des coups d’aiguille imprévisibles, parce qu’il lui manquerait soudain une chose dérisoire, à laquelle il tenait, tel le café du lever ; mais aussi sentir le vide et l’absence ramper, autour de lui.
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Les agences matrimoniales ne sont pas ce qu’on dit et les femmes qui s’y inscrivent ne sont pas celles que vous croyez… Vous me semblez un homme sérieux. Je vois déjà deux ou trois personnes qui vous conviendraient…
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Ces piqûres d’amour-propre incessantes avaient agi comme un baume un peu irritant, qui devient calmant par un engourdissement de la sensibilité.
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