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Magic Charly tome 3 sur 3
EAN : 9782075138383
544 pages
Gallimard Jeunesse (03/11/2022)
4.52/5   259 notes
Résumé :
Charly a retrouvé sa grand-mère Dame Mélisse et apprend à développer sa magie intuitive sous le regard de la puissante Dame Carasse. A Thadam, Sapotine, June et Cesaria sont mortes d'inquiétude et tentent de déjouer les plans machiavéliques du juge Dendelion. Les pannes de magie se multiplient et de plus en plus de gens disparaissent ou perdent mystérieusement la mémoire.
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Critiques, Analyses et Avis (53) Voir plus Ajouter une critique
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Un tome 3 dans le même esprit que les deux précédents et qui offre une conclusion des plus satisfaisantes.

La couverture est déjà une belle promesse de ce récit, une invitation dans ce monde ensorcelant dans lequel Audrey Alwett sait jouer avec art avec notre belle langue française.

Nous retrouvons Thadam et nos protagonistes menacé de près par la tyrannie du juge Dendelion. Ce tome nous offre réponses et conclusions, tout en parvenant à faire de la fin une fin à la fois positive et crédible.

Tout jeunesse qu'il soit, on sent Audrey Alwett très attachée à certaines valeurs, à commencer par celle du consentement qui se trouve dès les prémices d'une relation adolescente. Les mots sont justes et ne peuvent que permettre à la jeune génération de s'approprier cette notion ô combien importante. de même, c'est un récit plein de bons sentiments, avec un protagoniste principal aux valeurs et aux mérites en grande quantité, vis-à-vis duquel on ne peut que s'attacher.

La plume est pleine d'humour et dispose d'un registre excellent tout en restant accessible pour les jeunes adolescents. On a un vocabulaire étoffé, mais pas ampoulé.

Pour ce qui est du scénario, on est sur un récit avec beaucoup d'actions, notamment le dernier chapitre que je trouve particulièrement réussi. Tout en étant sur un registre jeunesse, on ne s'ennuie pas. Peut-être certaines actions semblent-elles un peu "grosses" mais cela tient du registre choisi et donc cadre parfaitement.

C'est donc une trilogie que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir. Je ne la relirai pas mais en garderai cependant un excellent souvenir et c'est une lecture que je ne peux que conseiller aux petits comme aux grands!
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Ma critique portera sur les 3 tomes de magic Charly, car je les ai dévoré en 3 jours et que je n'ai pas eu le temps d'écrire une critique entre chaque (oui j'ai le temps de lire une saga mais pas d'écrire une critique, le temps est une notion aléatoire chez moi).

J'ai tout simplement adoré l'entièreté de la saga. Je ne sais pas trop par où commencer et je m'excuse pour l'aspect brouillon de la critique.

Tout d'abord, j'étais très septique car ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman jeunesse (dans le sens où je lis beaucoup de romans ados mais pas tellement ceux que j'aurais pu lire à 9/10 ans). J'avais un peu peur de m'ennuyer, de tout deviner à l'avance mais finalement ma lecture s'est très bien passée. Certes, j'ai souvent deviné ce qui allait se passer, mais ce n'est pas quelque chose qui m'a gêné. C'était même agréable et reposant d'être dans un livre sans énorme retournement de situation toutes les 15 pages. Cela laisse le temps à l'intrigue pour s'installer, intrigue très bien amenée et riche en rebondissements sans en faire trop.

Au-delà de l'intrigue, ce sont les personnages qui m'ont particulièrement plu. le premier exploit est de m'avoir faire aimer le personnage principal autant que des personnages secondaires. Ce n'est pas quelque chose qui m'arrive beaucoup, je ne suis pas fan de Harry de Harry Potter par exemple, ou de Fitz de l'assassin royal. Mais Charlie est un personnage qu'il est très dur de ne pas apprécier, avec sa gentillesse, son humour et toute sa façon d'être. J'aime beaucoup la façon dont il apprend à se remettre en question, ou à parler de ses émotions.

Pour la remise en question il y a notamment ce passage:

Panus était torse nu et mains bandées, occupé à boxer un gigantesque sac en toile de jute. Ses muscles jouaient sous sa sueur et, à leur vue, Charly ne put s'empêcher de carrer les épaules. Un réflexe viril qu'il jugea tout de suite ridicule. Il se hâta de lancer un salut amical.

Et pour la gestion des émotions:
L'ambiance était étouffante dans la pièce. On ne respirait plus et Charly ne savait plus bien si c'était à cause des bougies, du mimosa ou de l'émotion. Il eut le réflexe d'écraser cette dernière dans son poing, mais se retint à temps. L'émotion, comme la magie, devait circuler. Dame Carasse le lui avait assez répété.

À part Charlie, j'ai adoré Sapotille, qui a beaucoup évolué au cours de la saga. Elle s'autorise petit à petit à être elle-même, à faire des choses qu'elle n'a pas l'habitude de faire et c'est très agréable à lire. le personnage de maître Lin était absolument incroyable et j'aurais aimé en savoir plus sur lui.

En parlant de maître Lin, je vais encore râler un peu mais on va faire une petite interlude consentement. Dans toute la saga, le consentement est très bien abordé, notamment avec la métaphore du grimoire faisant clairement référence aux violences sexuelles.
Ici petit spoil donc ne lisez pas si vous ne voulez pas être spoilés, cela dit ce n'est vraiment pas une info importante.
Alors pourquoi ce consentement n'est-il pas respecté quand il s'agit de maître Lin ? Quand Dodeline révèle l'intersexuation de Lin à Charly, c'est clairement de l'outing et personne n'a le droit de faire ça. Outing: fait de faire le coming out de quelqu'un sans son consentement, ce qui peut mener à des discriminations. Et en l'occurrence, on sait que les personnes intersexes sont discriminées puisque les parents de Dodeline ont refusé leur mariage, par exemple. Bref, à ne pas refaire dans votre vie quotidienne, la sexualité/l'identité de genre/l'intersexuation/bref plein de trucs queers ne vous regardent pas et ce ne sont pas des choses qu'on répète à n'importe qui, n'oubliez pas qu'en temps que personnes queers on est encore en danger, allez faire un tour sur le rapport des lgbtphobies de sos homophobie si vous l'osez.



Fin du spoil et du râlage.

Ensuite, j'ai adoré la joie de vivre de June, la malice de Crépine, la dévotion de dame Mélice, l'excentricité de Célestin et tant d'autres choses.

Les personnages antagonistes sont complexes, surtout Thibald, qui m'a un peu rappelé Drago Malfoy avec la relation qu'il entretient avec son père.

D'ailleurs, il y a plein de trucs qui m'ont rappelé d'autres sagas, et j'ai trouvé ça trop cool! Comme le pacte de sang qui rappelle un peu le serment inviolable de Harry Potter (même si en vrai y en a dans beaucoup de sagas), ou la péniche avec la figure de proue parlante qui rappelle un peu les aventuriers de la mer.

Les valeurs transmises dans la saga sont très belles. On nous parle donc beaucoup de consentement, en y incluant aussi des notions de slut shaming (fait de se moquer de quelqu'un, souvent une femme, pour son activité sexuelle). On nous parle aussi beaucoup de gestion des émotions, du fait que c'est important de laisser ses émotions sortir, et j'ai trouvé que c'était un beau message. J'aurais adoré lire cette saga plus jeune, sincèrement.

C'était donc une très bonne lecture. Ma seule déception est qu'il n'y ait pas plus de tomes, je suis perdu maintenant je sais pas quoi lire ma vie n'a plus de sens (oui l'exagération est aussi une notion aléatoire).

Bref lisez Magic Charly.
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En début d'année, j'ai inscrit mes séries en cours sur Livr'Addict qui propose un outil utile pour suivre l'avancée (ou pas) des sagas qu'on lit. Autant dire que le chiffre commençait à me faire pâlir, au point de doucement penser à ajouter un objectif à mon challenge de cette année : finir ou rattraper la sortie d'un max de série. C'est dans cet état d'esprit que je me suis emparée du dernier tome de Magic Charly. Comme d'habitude, ne lisez pas mon avis sans avoir parcouru les précédents tomes. Étant un livre jeunesse, je vais entrer dans les détails pour expliquer pourquoi on devrait le mettre entre les mains de nos ados et enfants.

Disparu de Thadam, Charly doit retrouver le chemin vers son monde. En parallèle, Sapotille, Césaria et June se préparent à combattre le Juge Dendelion qui profite des pannes de magie pour abuser de son pouvoir. Une course contre la montre commence pour sauver la magie et les magiciens.

Ce tome clôture une série jeunesse intéressante par les thématiques abordées ou incarnées par les personnages. de mon point de vue, je préfère largement le premier opus qui nous fait entrer dans ce monde à la fois merveilleux et impitoyable imaginé par Audrey Alwett. En effet, le récit du troisième tome se déroule selon un rythme similaire au second livre : lent la majeure partie du bouquin avec une accélération du tempo vers la fin. Je n'ai pas ressenti de suspenses intense ni vécu de rebondissements incroyables. L'histoire suit son cours comme un fleuve sans trop de remous jusqu'à l'embouchure vers la mer.

Pourtant, il est primordial de glisser cette série entre les mains des jeunes en raison des sujets bienveillants, dénonciateurs et tolérants dont elle regorge. Jusqu'à présent, je n'en avais jamais lu qui intégrait autant d'aspects défendus dans notre société de façon entière. Souvent, je rencontre seulement un ou deux thèmes exploités en profondeur. Faisons-en le tour !

La Justice

Indiquée dans le titre de ce troisième tome, la Justice est questionnée sous le personnage du Juge Dendelion devenu l'Allégorie de la Justice et les actions que nos jeunes amis vont devoir poser pour sauver le monde. Je salue l'effort d'Audrey Alwett de proposer une réponse à ce concept abstrait caractérisé par des cas particuliers. L'exercice est déjà difficile pour les adultes, alors l'expliquer aux enfants relève presque de l'exploit, d'autant plus que notre subjectivité et notre éducation entrent toujours en compte. J'ai apprécié la solution qu'elle a trouvée ainsi que son réalisme qui évite une fin à la Bisounours.

Sapotille et la métaphore du viol

Oui, vous avez bien lu. Dans Bienvenue à Saint-Fouettard, le Juge avait agressé Sapotille en arrachant les pages de son grimoire. Pour rappel, le grimoire n'est pas qu'un simple outil où s'inscrivent les connaissances dela magicien.ne, c'est une part d'iel. Y toucher, c'est pénétrer son intimité. Si le sujet avait été traité en surface dans le précédent tome, l'autrice lui rend justice ici avec la reconstruction de Sapotille. Celle-ci est déstabilisée. Elle ne sait plus ce qu'elle veut, car elle subit la pression de la société patriarcale et des idées reçues que l'acte du Juge a engendrées. J'ai ressenti un grand malaise en lisant les passages où Panus la domine et se permet de la toucher et de l'embrasser sous couvert qu'elle serait une fille facile et qu'elle ne dit pas non avec autorité, alors que son comportement indique clairement qu'elle n'est pas consentante.

Le consentement

Le paragraphe précédent est relié à celui-ci. June va aider Sapotille à dire non et à retrouver le chemin de son coeur et de sa détermination. Elles vont imprimer chez Panus le non= non. Rien absolument rien, aucun signe tacite n'existe derrière le non exprimé par une fille, même si elle le dit à voix basse. La question du consentement est également incarnée par Charly qui n'impose pas sa volonté hormonale à Sapotille. le respect relationnel entre ces deux-là devrait se retrouver dans toutes les histoires destinées aux jeunes.

La tyrannie d'un système

Dans ce tome, nous explorons l'époque du Détournement de la magie après laquelle l'Académie naquit. Dans une métaphore liée à la magie, Audrey Alwett oppose la magie runique, codifiée par le pouvoir en place, à la magie intuitive, qui relève de la marginalité. On la vu, Charly doit cacher ses capacités pour éviter la condamnation par une société alors que ses règles font courir le peuple à sa perte. Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler, mais le dénouement relatif aux pannes de magie s'intègre parfaitement dans ce questionnement entre des lois figées dans le temps et l'évolution que toute civilisation devrait connaître.

Le poids de la masse

Nous l'avons vécu, il y a peu avec la pandémie, le peuple se révolte peu devant des restrictions de plus en plus lourdes. D'autant plus quand seule une portion de la population la subit alors que les hautes instances semblent y échapper. Les pannes de magie entraînent des prises de décision qui limitent les libertés et le pouvoir des plus pauvres.

Invisibilisation des femmes

Oui, on en parle. Avec des personnages aussi emblématiques que Sapotille, June, Dame Mélisse, Dame Carasse et le retour de Césaria ! La romancière remet en équilibre la balance qui penchait en faveur des hommes. C'est ce que j'apprécie grandement avec cette série. Elle a beau avoir pour protagoniste un adolescent, les femmes y jouent un rôle important. En fait, aucun personnage ne fait office de potiche dans la résolution de l'intrigue. Pour en revenir, à l'invisibilisation des femmes, Audrey Alwett reprend ce que la majorité des civilisations ont fait en écrivant leur histoire : effacer celles sans qui peu ou rien ne serait arrivé tout en astiquant l'ego des mâles.

Encore bien d'autres

Je viens de faire le tour des thématiques essentielles (selon moi) de cette série riche prônant la tolérance et la construction d'une société meilleure. D'autres sujets ont également leur part du gâteau avec la tombée des préjugés vis-à-vis des Fouetteux, le poids du regard sur les personnes différentes, l'importance des liens familiaux de sang ou non, des liens amicaux, la manipulation de l'opinion par les grands de ce monde, l'importance de vivre ses émotions et la puissance des plus petits, car nous ne devons pas oublier…Pépouze ! Notre super serpillière. Oui, Audrey Alwett a le super pouvoir de nous rendre adorable une serpillière !

En bref, Magic Charly est une série jeunesse que l'on devrait placer entre les mains de tous les enfants pour les thèmes importants qu'elle exploite en profondeur. Sa lecture permettra sans aucun doute de vivre dans un monde où la tolérance et le respect de tout.es.x seront des comportements naturels.
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Si comme moi vous aimez les histoires hautement loufoques et inventives qui, derrière un vernis de légèreté, dénoncent les travers de notre société, je ne peux que vous recommander Magic Charly.

Sans pouvoir trop en dévoiler, puisqu'il s'agit du troisième tome, j'ai retrouvé avec joie nos jeunes magiciers, Charly bien sûr, Sapotille - qui est définitivement mon personnage préféré -, et June. Et aussi tous les personnages croisés au fil de cette trilogie. Dans ce dernier tome, deux missions : trouver pourquoi la magie ne fonctionne plus très bien à Thadam, et lutter contre le grand méchant, aka le juge Dendelion.

Le rythme est toujours aussi enlevé, la langue travaillée et riche sans être trop complexe pour un jeune lectorat. C'est drôle, triste aussi, émouvant. La tonalité s'assombrit au fil de l'intrigue, tout en gardant cet esprit foufou que j'apprécie énormément.

De l'imagination, des rebondissements imprévus, un zeste de folie et de tension, beaucoup de tendresse. Et surtout, des personnages hauts en couleur, qui sont extrêmement touchants (Pépouze 💙).

Sous des abords légers et entraînants, cette trilogie aborde une myriade de thématiques sérieuses : après le racisme et les discriminations, ce tome est plus centré sur le consentement, la justice, le despotisme, l'égalité et le partage des ressources. Justice soit faite nous parle aussi beaucoup de gestion des émotions. de l'importance de les laisser sortir, de ne pas les retenir.

C'est toujours un crève-coeur d'achever une saga, de dire au revoir à un univers qu'on apprécie. Reste le bonheur de les retrouver à l'occasion d'une relecture !
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Dernier tome des aventures de Charly, Sapotille et June.

Du très bon et du un un peu moins palpitant pour cette clôture.

Audrey Alwett voit encore plus grand en envoyant Charly dans un autre monde. Et c'est un véritable plaisir d'en découvrir les étranges coutumes et personnages qui le peuplent. L'univers de Thadam en prend une sacrée épaisseur ! Et de nombreuses choses s'expliquent sur l'utilisation de la magie.

Le point négatif est le côté très moralisateur de ce tome. Il en faut dans un roman jeunesse, mais pas trop non plus ! Si Sapotille dit non, c'est non, on l'aura compris. le côté fleur bleue m'a également un peu lassée.

Outre ces deux points, c'est un final attendu et maîtrisé.
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
- Cet endroit est trop cool ! s’écria June
Elle s’était agenouillée sur le sol et en grattait le dallage, fait de carreaux de chocolat noir et blanc.
- June ne mange pas ça ! Je te rappelle que les gens mettent leurs pieds dessus.
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- T’es la petite sœur de la Mort, alors, dit-elle d’un ton d’évidence. Cool, ça. C’est le genre de relation qui peut servir. Écoute, Charly doit pas être loin. Y a du monde partout. Faut juste attendre que ça se calme.
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L’endroit lui ressemblait, un joyeux désordre de souvenirs colorés et d’inventions à moitié bricolées. Le papier peint était un gigantesque plan de travail qui aurait débordé de partout. Les murs étaient recouverts d’idées écrites à la craie, de morceaux de tissus et de cartes postales épinglées. Le plafond était quant à lui une verrière. Célestin s’endormait en regardant les étoiles. Sur le lit, autour du corps, il y avait des peluches, que Dame Mélisse et Maître Lin n’avaient pas osé enlever : une licorne, un dragon, un hippogriffe et un ouroboros tout duveteux.
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- Ce que je veux dire, c'est que quand une justice est personnelle, c'est le plus souvent de la vengeance domestiquée.
Et là, il avait vu Dame Carasse le saluer d'un hochement de tête. à compter de cet instant, il avait su que c'était gagné.
-Bah c'est pas trop tôt! S'était-elle exclamée. Retiens bien ça, gamin: une bonne justice est impersonnelle, désintéressée, proportionnée et cohérente. répète!
- Une bonne justice est impersonnelle, désintéréssée, proportionnée et... cohérente.
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Professeur Lothaire Galbinus, je sers à l'Académie depuis déjà vingt ans. J'ai passé mon grade de Magister à trente et un ans à peine. Les aînés de l'assistance connaissent certainement mon oncle Silvio Galbinus, autrefois capitaine de la milice, et ma mère, la merveilleuse chanteuse Lulla Bougainville - paix à son âme -, qui fut la vedette de notre Petit Théâtre durant plus d'un quart de siècle. Mon père, quant à lui, le magicologue Bruno Galbinus... Mais ne parlons pas de Bruno.
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