AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782344039670
292 pages
Glénat Manga (19/02/2020)
2.5/5   6 notes
Résumé :
Douze grands auteurs se sont rassemblés pour créer cette anthologie officielle autour de l'œuvre culte Parasite.

Suite, spin-off, mélange d'univers, aspects non évoqués dans le manga... Chaque auteur a rendu hommage au manga de Iwaaki à sa façon : réflexion sur l'humanité par Moto Hagio, combats militaires par Ryoji Minagawa, parodie érotique par Akira Hiramoto ("Prison School"), ou improbable fusion de Lucy et Miggy par Hiro Mashima ("Fairy Tail")...... >Voir plus
Que lire après Neo ParasiteVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Nous sommes en face d'un recueil de 12 récits qui sont censément être autant d'hommages au manga "Kiseiju" / "Parasite", édité en France pour la réédition du manga "Kiseiju" / "Parasite" (ceci expliquant cela). Il y a tellement de choses à dire avec ces 12 récits que ce n'est pas ici que je vais vous présenter la série "Kiseiju" / "Parasite" (ne vous inquiétez pas cela ne va pas trop tarder, du moins je l'espère car elle m'a frappé du Syndrome de Stendhal). Disons que dans les années 1970 un certain Go Nagai a traumatisé à jamais toute la Planète Mange avec un certain "Devilman" (les vrais savent), et qu'à ce jour je suis persuadé qu'il n'y a que deux mangas qui aient réussi à aller aussi loin que lui : face au nihilisme (oui parce que "Devilman" ça ne finit pas bien, mais alors pas bien du tout !), Hitoshi Iwaaki a choisi résolument lui la voie de l'optimiste, tandis que fidèle à lui-même Kentaro Miriua a passé plus de 30 ans de sa vie à semer des petits cailloux blancs dans les deux directions à la fois… (et je pourrais vous vendre la série rien qu'en vous disant que James Cameron en a repris plusieurs éléments et passages pour réaliser son "Terminator 2")
Dans un recueil il y a toujours du bon et du moins bon, mais là le bon est très bon et le mauvais est très mauvais donc on a une liste d'auteurs à découvrir et une liste d'auteurs à fuir !


Moto Hagio, "Sur l'Estier de l'Yura" : 4/5
Yura n'est pas une enfant comme les autres. Sa mère est morte sans lui avoir donner de nom, et personne ne veut lui dire qui elle était et comment elle est morte. Et Yura dispose également d'une mémoire totale qui augmente terriblement son Quotient Intellectuel mais qui diminue fortement son Quotient Émotionnel. Mais surtout elle entend depuis toujours des voix qui dans sa tête qui lui disent constamment deux choses : « tais-toi », et « tue-les »…
Adoptée par sa tante et son oncle avant de déménager dans une région littorale restée plutôt rurale, Yura n'est pas expressive voire carrément neurasthénique (est-ce que l'auteur a voulu aborder le problème de l'autisme ?). Pourtant elle se lie profondément d'amitié avec son camarade Ju qui est son opposé en tout : il est expansif, elle est taciturne, il est écorché vif, elle ne ressent rien ou presque, il déteste la violence, elle s'en moque, il veut sauver le monde entier, elle n'en a que faire. Mais ce qui les rapproche, c'est qu'ils ont tous les deux perdus leurs parents, que tous les deux ne savent pas pourquoi, qu'ils sont tous les deux élevés par leur tante, et qu'ils se posent tous les deux les mêmes questions : Qui suis-je ? d'où viens-je ? Que veux-je ? Où vais-je ?
Yura ressent d'étranges émotions durant la danse de l'Acte de la Perle lors d'une représentation théâtrale, et en apprenant le nô les voix dans sa tête se taisent. Quand le maître choisit Ju pour ses sentiments plutôt qu'elle et son talent, elle ne ressent rien ou presque et continue son chemin avec ses questions sans cesser d'être ami avec Ju… Mais personne n'échappe à son destin !
Je ne connaissais Moto Hagio que pour sa réputation de révolutionnaire du shojo dans les années 1970 et pour son influence sur le travail de Riyoko Ikeda l'auteure de "La Rose de Versailles" / "Lady Oscar". Force est de constater que sa réputation n'est pas usurpée : elle s'empare de univers d'Histoshi Iwaaki pour le marier à son imaginaire, et c'est un tour de force que d'offrir autant d'émotion avec un personnage qui en ressent aussi peu. Car ce n'est pas le passé et le secret de Yura qui est le moteur de l'action, puisque tout est spoilé dès le départ (et si à la fin Shinichi ne lui dit qu'une toute petite partie de la vérité elle est suffisamment intelligente et intuitive pour tout découvrir par elle-même). Non, le moteur de l'action, c'est le passé et le secret de Ju ! Et il y a bien un monstre, mais celui-ci est humain ou en tout cas prétend l'être...

J'ai quand même trouvé les dessins très inégaux et/ou hétérogènes. La mangaka a désormais plus de 70 ans et elle n'a plus la fougue de ses vingt ans, mais surtout elle incarne tellement bien une époque que soit son travail a beaucoup vieillit soit il ne vieillit plus du tout. Et là j'ai trouvé qu'on était un peu entre l'un et l'autre...



Moare Ohta, "Eat It" : 4/5
Le récit est consacré à un alien anthropophage qui est finalement devenu vegan et animaliste. Nitaro Yamawaki est un parasite âgé de 140 ans qui revient sur son existence. Rescapé de la purge anti-parasite, il a épousé sa collègue de bureau pour pouvoir la dévorer plus discrètement. Mais il n'a pu se passer de sa cuisine, et s'est ainsi qu'il a renoncé à l'anthropophagie pour devenir père, grand-père et arrière-grand-père. Mais depuis la mort de son épouse il n'a jamais retrouvé la cuisine qui l'a fait changer d'avis sur les humains. Il est sur le point de céder à ses vieux démons en dévorant l'un des ses descendants, quand un événement imprévu lui rappelle que finalement à force d'imiter les humains lui aussi en est devenu un...
Moare Ohta reprend toutes les thématiques d'Hitoshi Iwaaki en reprenant le style de la série d'origine tout en le modernisant. En voilà un qui a tout compris, et je vais me pencher sur sa bibliographie !


Takayuki Takeya, "Les Regrets de mémé" : 1,5/5
L'auteur est modéliste donc je ne sais si son travail est graphique ou plastique. Dans tous les cas je n'ai pas du tout aimé son histoire de grand-père parasitée dans un trou paumé attaqué par un ours...


Yasushi Nirasawa, "Paragant" : 2,5/5
Le défunt Yashushi Nirasawa designer pour le monde de la télévision et du jeu vidéo raconte en quelques pages une histoire d'oppression, de résistance et de quête de liberté sur une planète alien en rendant hommage à "Hidden" son film préféré. Je n'ai pas accroché, mais il avait eu une belle idée quand même...


Hiro Mashima, "Lucy et Migy" : 3/5
Qu'est-ce qu'il est maladroit mais qu'est-ce qu'il est sympa ce Hiro Mashima ! Il s'amuse à condenser les premiers chapitres de la série avec Lucy à la place de Shinichi et le chat Happy parasité à la place du chien lovecraftien. Je ne sait pas si cela sert à quelque chose de réaliser la version comique d'une grande tragédie, mais j'ai bien ri quand même...


Peach-It, L"es Leçons du Professeur Ryoko Tamiya" : 1,5/5
Une parodie shojo et ecchi de la série d'origine où tout tourne autour du cul. C'était ridicule !


Takatoshi Kumakura, "L'Alternance" : 4/5
Comme dans "Eat It", Takatoshi Kumakura reprend les thématiques est les graphismes de la série d'origine, et tout se passe dans les dialogues… Dans la campagne, deux parasites se rencontrent une nouvelle fois : celui qui se cache dans la peau d'un bobo citadin en vacances parle avec celui qui se cache dans la peau d'un prolo campagnard au travail. le premier suspecte le deuxième d'avoir dangereusement changé, mais le deuxième explique le plus rationnellement du monde comment il est passé de prédateur à éleveur : sa famille lui sert de corps de rechange, et les clients de ses produits biologiques de nourriture. le premier n'est pas convaincu, même quand le deuxième lui indique comment se nourrir de campeurs sans laisser de traces. Pire ses doutes se renforcent quand il lui demande de ne jamais revenir chez lui…
L'avant-dernière page est pleine de non-dits pour ne pas dire de suspens hitchcockien. La dernière page apporte la même conclusion que dans "Eat It" : certains parasites ont côtoyé de trop près les humains pour ne pas le devenir à leur tour (ce qui fait écho à l'évolution de la série d'origine où les aliens unis finissaient par se diviser avant que le héros qui protégeait les humains des aliens ne se mettent à protéger les aliens des humains)… Mais c'est plus que cela en fait : tout société inégalitaire ne peut pas rester soudée et est condamnée à se séparer voire à se diviser entre conservateurs à qui la vie a souri et qui ne veulent pas que le système change, et réformateurs à qui la vie n'a pas souri et qui veulent changer le système. En parallèle de ses dialogues, le mangaka a parfaitement utilisé le droit de quota de flashbacks pour montrer que son prolo paysan en a bavé et que cela lui a fait changer d'idées tant sur la vie que sur l'humanité ! La Planète Manga a toujours compté en ses rangs un courant anti-système, mais je le dis et je le redis pour la énième fois depuis la crisesdes subprimes celui-ci est devenu plus ou moins majoritaire. Que va-t-il se passer lors de la prochaine crise que tous les spécialistes jugent imminente ? La réalité va dépasser la fiction, et d'une manière ou d'une autre on v a tous en chier... (si l'humanité peut survivre aux saute d'humeur d'un président américain disposant de plusieurs milliers de bombes nucléaires)


Ryoji Minagawa, "Perfect Soldier" : 4/5
Les Américains sont toujours à l'affût pour dénicher de nouveaux et meilleurs moyens de tuer leurs prochains. C'est ainsi que parasites ont été épargnés pour servir d'armes vivantes contre les bougnoules, les niakoué et les pédés (ne pas taper, c'est le Commandant Sylvestre qui le disait dans Les Guignols de l'Info). Max continue de se poser des questions existentielles sur lui-même, son espèce et sur l'humanité, quand il découvre que le camp adverse (un pays musulman random qui pourrait être l'Afghanistan) a eu la même que les USA : utiliser les parasites comme arme de destruction massive… S'ensuit un choc de titans où chacun s'aperçoit combien son adversaire a évolué pour être fort. Mais il ne peut avoir qu'un vainqueur : le perdant demande au gagnant de continuer à évoluer pour devenir « le soldat parfait », celui qui sera assez fort pour détruire l'humanité à lui tout-seul !
C'était court, c'était intense, c'était excellent : j'étais déjà dans l'adaptation animée tellement c'était ouf, donc je note le nom du l'auteur Ryoji Minagawa auteur du manga "Peacemaker".


Riichi Ueshiba, "Le Voyage de Migi" : 3/5
Un beau récit dans lequel je ne suis pas arrivé à rentrer. Nous visitons en compagnie de Migi sans aucun texte un univers foisonnant, fantastique, onirique voire psychédélique. Puis à la fin Migi se rend compte qu'il voyage dans son propre univers intérieur et qu'à l'extérieur les années ont passé et que Shinichi et Satomi ont fondé une famille qui s'est agrandie… Visuellement très intéressant : Riichi Ueshiba est peut-être un auteur à découvrir ?

Hiroki Endo, "Edible" : 4/5
L'humanité s'est lancé à la conquête des étoiles et elle continue à dominer et exploiter des peuples entiers (car la fin du monde interviendra avant celle de l'impérialisme stade ultime du capitalisme). Nous suivons un commando humain guidé par un éclaireur alien, ce dernier tombe sur un résistant contaminé par un parasite que dans les deux cas il ne connaît que trop bien : débute un combat de ouf, et il ne peut en rester qu'un !
Putain ça fait du bien de retrouver Hiroki Endo après tant d'années : ce grand mangaka m'a manqué, et il serait grand temps qu'un éditeur ressorte sa série Eden. Après l'auteur n'est pas satisfait de son propre travail car il explique qu'il voulait rendre hommage à "Aliens" de James Cameron et qu'au final il a réalisé un ersatz d'"Avatar" de James Cameron. Je ne sais pas comment doit le prendre James Cameron qui est fan de la série d'origine...


Yukari Takinami, "Notre Edoka, Parasitée !" : 1/5
Shinichi avait vu son bras droit parasité par Migy, Edoka voit sa foune parasitée par Fouffy, d'où une suite de gags manga en 4 cases où tout tourne autour du cul. C'était ridicule !


Akira Hiramoto, "Moi et Gen le Goitreux, parasites" : 1/5
Kenji et Gen sont deux parasites recueillis par une grand-mère. Ils passent leur temps à boire, à manger, ainisi qu'à la harceler et à l'agresser sexuellement. Quand elle arrive enfin à s'en débarrasser en les jetant à la porte, ils reviennent rapidement par la fenêtre… C'était ridicule ! (sans parler des situations malsaines, car on est à la limite de l'enlèvement, la séquestration et le viol de ménagères de plus de 50 ans) !
Lien : http://www.portesdumultivers..
Commenter  J’apprécie          440
Avec la réédition de cette série culte qu'est Parasite, Glénat a eu l'idée de sortir une anthologie qui est un recueil de nouvelles hommages à Parasite écrites par 12 mangakas parfois très connus en France, parfois méconnus. Mais tous se sont prêté à l'exercice d'imaginer une histoire dans l'univers de cette belle série de science-fiction horrifique.

Nous nous retrouvons ainsi avec un objet assez conséquent de près de 300 pages, au format seinen, où l'on retrouve 12 histoires de longueurs assez différentes les unes des autres avec parfois des pages couleurs, pour un peu moins de 11€ (un poil cher à mon avis quand on compare le format des titres disponibles à ce prix là habituellement...). Chaque histoire se passe dans l'univers de Parasite et à la fin de chacune, on retrouve une page présentant brièvement la relation du mangaka à l'oeuvre et pourquoi il a fait un tel récit, ainsi qu'une courte bibliographie,  ce qui était vraiment bienvenue.

Les histoires sont plutôt inégales aussi bien dans le fond que dans la forme. J'ai adoré les plus sérieuses d'entre elles, tandis que d'autres plus légères ou expérimentales m'ont semblé assez oubliables. Leurs auteurs se sont toutefois bien prêtés à l'exercice puisque chacune d'elle fait appel à un élément de la série d'origine, personnages, ambiance, thème des parasites. Il vaut donc mieux avoir lu celle-ci pour s'y retrouver et ne pas risquer d'être spoiler comme ce fut mon cas malheureusement... du coup, je me demande s'il n'aurait pas été plus judicieux de la part de l'éditeur de sortir ce tome avec le dernier de la réédition de Parasite plutôt qu'avec le premier...

Pour en venir aux histoires maintenant, mes préfères sont largement celles des auteurs que je connaissais et appréciais, c'est-à-dire celles de Moto Hagio (Le Coeur de Thomas) et Hiroki Endo (Eden), mais j'ai également beaucoup aimé celles de Moare Hota, Takatoshi Kumakura (Mokke) et Ryoji Minagawa (Peacemaker). J'ai trouvé celle d'Hiro Mashima trop légère malheureusement et les autres m'ont tour à tour dérangée, mise mal à l'aise ou semblé transparentes. On y retrouve les thèmes de la coexistence parasites-hôtes, mais aussi la perpétuation de la race, la famille et l'héritage, l'amour, et le développement de leurs capacités. J'ai également apprécié le très poétique chapitre de Riichi Ueshiba, qui repose sur son dessin fourmillant car il n'y a presque pas de texte, mais comme je n'ai pas lu toute la série, j'ai l'impression d'être passée à côté de pas mal de choses...

J'ai été fascinée par les univers de SF militaire d'Hiroki Endo (dont j'aime d'amour l'excellent Eden - It's an Endless World) et de Ryoji Minagawa (auteur de Peacemaker entre autre autre qu'il faut que je lise !) qui sont en plus des dessinateurs hors pair pour des récits violents et percutants.

J'ai aimé la SF plus douce, un brin mélancolique et plus sociale de Moto Hagio, Moare Hota et Takatoshi Kumakura, qui parlent tous trois de famille, de transmission, d'héritage. J'ai surtout été ravie de pouvoir lire à nouveau la première en français et j'ai retrouvé dans sa nouvelle, la plus longue du recueil, un peu de l'ambiance de son Otherworld Barbara.

Les créations d'Hiro Mashima (Fairy Tail), Peach-Pit (Shugo Chara) et Yukari Takinami sont très orientés humour et apportent peu à l'imaginaire de la série. C'est plus du comique de situation parfois répétitif, qu'une réflexion à partir des thématiques de la série comme ont pu faire les autres. J'ai en plus été assez mal à l'aise face à l'aspect sexuel qu'introduisent les deux derniers et qui n'a pas lieu d'être ici pour moi.

Reste les propositions de Takayuki Takeya et Yasushi Nirasawa (Kamen Rider), tout en couleur, mais trop expérimentales pour moi, à côté desquels je suis complètement passée.

Ce fut donc une lecture assez particulière. Je n'avais jamais lu ce type d'ouvrage où les mangaka s'emparent d'une série, de ses personnages et de ses thèmes pour leur rendre hommage. En plus, je n'ai lu que le premier tome de Parasite alors je suis sûrement passée à côté de certaines références, de certains clins d'oeil. Cependant, j'ai trouvé l'ensemble inégal avec des histoires vraiment prometteuses, qui donnent envie de retrouver les auteurs sur des titres plus longs, et d'autres complètement anecdotiques où on sent juste que les mangaka se sont bien amusés. Je ne suis donc pas 100% convaincue de la pertinence de ce genre de titre ^^!
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          40
On a ici affaire à une déception. Niveau manga, je dois avouer que ça ne m'arrive que très rarement. Mais là, ça ne l'a pas fait avec moi. J'avais vu des avis négatifs, vraiment peu de positifs du coup j'avais un peu peur de me lancer dedans. Puis je me suis dis qu'il fallait que je me fasse mon propre avis et je pourrais jugé par moi même! Puis comme je venais de lire Parasite et que j'avais vraiment beaucoup aimé je me suis dis que ça ne devait pas être si terrible que ce que les gens disaient.

Bah finalement je rejoins l'avis des gens. Je pense que c'est surtout le fait que ce soit plein de petites histoires et comme elles ne durent pas vraiment longtemps, on a pas vraiment le temps de comprendre réellement. Sincèrement, sur certaines petites histoires, il y e na certaines je n'ai à aucun moment compris l'intérêt réel.. Par contre certaines m'ont beaucoup plus. du moins ce sont uniquement celle de Parasite avec Miggy et Shinichi, qui donne vraiment une suite à l'histoire. J'ai beaucoup aimé également celle de Fairy Tail, ce fut tout de même assez drôle de découvrir Miggy cloué à la main de Lucy. Retrouver l'univers de Fairy Tail même pour quelques pages fut un vrai plaisir. Cependant les autres histoires, je n'ai clairement pas aimé ni accroché. J'ai même été contente lorsque je l'ai fini.

Bon, je pense qu'il n'a pas vraiment besoin de s'étendre plus sur le sujet, mais vous l'aurez compris que je n'ai pas aimé ce recueil d'anthologie. Alors oui c'est une façon de rendre hommage à l'oeuvre original Parasite, mais sincèrement je n'ai pas trouvé l'utilité réel de cet oeuvre. Peut être que je suis passé à côté de certaines références, clin d'oeil et compagnie Mais je n'ai pas été convaincue du tout bien que j'ai beaucoup apprécié retrouver la suite de Miggy et Shinichi!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
Commenter  J’apprécie          20

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Les guerres vont continuer tant qu’il y aura des pontes avec des armes à écouler...
Commenter  J’apprécie          171

Lire un extrait
Videos de Hitoshi Iwaaki (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Hitoshi Iwaaki
Parasyte: The Grey | Official Trailer | Netflix
autres livres classés : mangaVoir plus
Les plus populaires : Manga Voir plus


Lecteurs (18) Voir plus



Quiz Voir plus

Le manga en quelques mots (facile)

Quel est le pays d'origine du manga ?

La Chine
Le Laos
Le Vietnam
Le Japon

5 questions
1462 lecteurs ont répondu
Thèmes : manga , mangakaCréer un quiz sur ce livre

{* *}