Teckelogie de la Bêtise

Un livre dérangeant et un auteur qui ne ménage pas le lecteur !
Violent, vulgaire, à vomir (bon, j'exagère peut-être un peu ? C'est ma faute j'étais prévenue)
Teckelogie de la Bêtise est mon premier roman de Joseph Kochmann.
Un univers étrange, des voyages dans le temps, 3 ères ; Blind, Deaf et Mute mais bien d'autres. Après un teckel Chloé Barkouaf (l'auteur a le sens de l'humour avec les prénoms), des humains, des homards géants, des monstres, des robots…
Tout ce petit monde vit des aventures incroyables d'une ère à l'autre.
Mais j'ai eu l'outrecuidance de voir et de croire comprendre une critique de nos petits travers et désirs d'améliorer le monde :
Une histoire de réincarnation tout le monde change de sexe, de nom, mais pas d'âme à chaque nouvel univers.
L'enfer est un Lycée. Pourquoi ne suis-je pas surprise ?
Orshen est une ville-prison qui permet aux adultes d'avoir une vie de famille mais qu'ont fait les enfants pour mériter ça ?
L'audimat est le maître de tous les univers avec un jeu de la vérité cruel. Les spectateurs veulent du sang et pas que celui des joueurs, la roue tourne.
Il y a aussi les élections plutôt spéciales de Joe Sobarf, candidat sénile, un délice !
Un livre qui se lit jusqu'à la fin parce que nous sommes tous un peu des voyeurs mais aussi des curieux ou des c… comme le dit si bien Joseph Kochmann lorsqu'il se manifeste car bien évidemment ses pauvres personnages lui demandent des comptes face à une telle maltraitance. Quant à moi je me suis sentie prise à partie par l'auteur, dans un sens il a raison mais s'il n'y avait pas des lecteurs ou lectrices comme moi (attention au manque de commentaires).
Ensuite la fin est digne d'un cartoon où l'auteur gomme, et moi, je m'efface en vous conseillant de le lire et d'y trouver votre histoire…
Merci pour ce SP via Simplementpro.

Eh bien, quel morceau !

Fidèle au poste, je savoure avec un immense plaisir chaque nouvelle parution de Joseph Kochmann, et il était évident que je serais à nouveau au rendez-vous pour celui-là. A la fois un tome 3, ou un tome 4, ou peut-être un tome 7, selon comment on décide de regrouper cette vaste fresque, ce roman peut presque être lu de manière indépendante, ce qui est un sacré tour de force en soi. Mais soyons clairs, je pense qu'il gagne clairement en saveur et en ampleur quand on a déjà voyagé dans son univers.

Plus les romans se succèdent, plus il devient évident qu'on est sur un projet totalement barré, très personnel et à la fois très accessible, incroyablement structuré, bourré de second degré et d'auto-critique, de plus en plus assumé dans son abandon du quatrième mur, foisonnant de références et de symboliques (parfois de notoriété publique, parfois propre à la vie de l'auteur.e), empreint d'émotions intenses et contrastées, bref un immense terrain de jeu qui ne recule devant rien, même quand la direction semble très personnelle, ou trash, ou contraire aux codes traditionnels de la narration. Un genre de liberté totale, en somme, qui trouve toujours un moyen de te prendre par la main pour que tu apprécies le voyage et que tu ne te sentes pas largué.e.

Teckelogie de la Bêtise, c'est la quintessence de tout ça : on pousse les curseurs au maximum, on récupère tous les personnages de toutes les oeuvres précédentes, on trouve le moyen de relier toutes les histoires, on se livre plus que jamais, on détruit l'intrigue quand elle ne nous plaît plus, on monte d'un cran dans le sombre, le gore, le gratuit, on insulte même son lectorat, on tempête, on renie... il y a un côté "fury room", coup de pied dans l'énorme construction en lego, frustration ou fatigue de cette oeuvre tentaculaire qui doit demander un tel effort pour tenir droit, besoin d'exploser, de tout sortir, de choquer, d'exprimer ce raz-de-marée de souffrance, de colère et d'incompréhension...

... Et malgré tout ça, et pendant tout ça, on te guide, on te raconte, on structure, on garde un cap. On autorise ce glitch immense, et on raccroche les wagons, on refuse de partir comme ça. On rappuie sur play, on laisse tout le monde boucler l'intrigue, et mieux encore, on annonce un ultime tome. Quelle résilience, quelles montagnes russes, quel soulagement c'est de sentir un certain retour d'organisation après tout ça. de la même manière que le jeu "Celeste" utilisait avec brio le game design pour faire ressentir la difficulté du combat contre la dépression, j'ai l'impression que dans Teckelogie de la Bêtise c'est le style, la narration, la structure qui se mettent au service d'un sentiment plus vaste, qui permettent de sentir aussi fort ce trop-plein, cette rage, ces pulsions destructrices. C'est pointu, c'est audacieux, je ne peux que saluer tout ça.

Je mets des "on" partout parce que je parle de mon ressenti de lectrice, et évidemment pas des intentions de l'auteur.e qui lui appartiennent. Mais de mon côté, j'ai le sentiment que ce tome était un passage important, dans l'ensemble de la saga, comme une émotion qui montait, montait depuis le début et dont on est soulagé qu'elle sorte enfin, dans l'espoir qu'elle laisse la place à une forme d'apaisement. C'est aussi pour ça que, de mon point de vue, ça vaut la peine de le lire en dernier, pour sentir cette progression et mieux recevoir ce climax. Bien sûr que si je voulais le chroniquer comme n'importe quel roman, je pourrais parler du plaisir de revoir les anciens personnages, de ce fil rouge des Trois Astres qui m'a happée d'emblée et qui m'a tenue en haleine jusqu'au bout, des pointes d'humour (Renard Actus, j'ai beaucoup aimé :D), du style maîtrisé, bref, de tout ce que j'ai déjà pu dire dans les tomes précédents. Mais là, en moi, c'est autre chose qui s'est joué, et c'est là-dessus que j'avais envie d'insister. Sacré voyage, sensations folles, je me demande bien vers quoi tout ça convergera, et je serai évidemment de la partie pour le grand acte final.

Je voudrais tout d'abord commencer par remercier Joseph Kochmann pour m'avoir à nouveau fait confiance et proposé son dernier livre en SP via le site SimPlement.

Concernant la couverture, elle ne dénote pas de ses prédécesseures niveau graphisme et présentation des personnages principaux. Je suis toujours autant fan.

Concernant la plume de Joseph Kochmann, j'ai pris beaucoup de plaisir à la retrouver après une pause de deux ans depuis ma dernière lecture du T3 - Chien Chaud, Quatre Saisons. Son style est vraiment unique, avec son mélange des genres, son humour noir tirant sur le satirique, ses jeux de mots et son côté décalé qui semble partir dans tous les sens mais où chaque détail a finalement son importance. Il nous donne aussi de nombreux sujets d'actualité auxquels réfléchir. Je ne sais pas si le nombre de pages est intentionnel, mais cela m'a fait sourire.
Il reste néanmoins pas mal de coquilles, mais je les ai signalées à l'auteur. Nul doute que ce souci sera bientôt réglé. ;-)

Je le dis presque à chaque chronique, mais c'est toujours un aussi gros défi que d'en réaliser une sur les livres de Joseph Kochmann. Pourquoi ? Parce que ceux-ci sont emprunts de différents genres, de différents thèmes et d'une apparente simplicité destructurée cachant en fin de compte un récit hyper structuré et complexe. Ce faisant, il faut arriver à en dire assez pour bien rendre son ressenti et vous donner envie, tout en préservant une part de mystère qui vous donnera aussi envie d'aller découvrir ce qui se cache entre ses pages. Encore une fois, je vais tenter de mener à bien cette périlleuse expérience.

Ce que je peux déjà vous dire, c'est que si certains tomes de Joseph Kochmann, pouvaient être lus dans le désordre, ce n'est pas le cas de celui-ci. Pour moi, il vous faut vraiment avoir lu la saga des Singes de la bêtise (Mute, Blind et Deaf) ainsi que les tomes précédents des Chroniques d'Inspiterre (T1, T2 et T3). Pourquoi ? Tout simplement parce que sinon vous allez passez à côté de certaines choses, que vous risquez d'être un peu perdus ainsi que de vous spoiler si vous lisez les autres tomes après.
Si vous décidez cependant de passer outre ce conseil, vous pourrez tout de même savourez ce T4, découvrant les autres univers et personnages de l'auteur en même temps que Chloé, ne vous inquiétez pas.

Alors, par où commencer ?

Déjà que le roman se passe sur deux niveaux. D'un côté, nous retrouvons Chloé, notre ex-inspectrice teckel préférée pour une nouvelle mission, le tout agrémenté d'autres points de vue ; de l'autre, nous nous retrouvons avec les employés d'une entreprise qui semble se passer à notre époque. Ces derniers vont être embarqués dans un jeu morbide. Cette partie m'a beaucoup intriguée et m'a donné l'impression de lire deux livres en un (ce qui n'est pas une critique, au contraire). Quel est le lien entre les deux, parce qu'il en a forcément un, non ? Je vous laisserai le soin de le découvrir. ;-)

Je disais donc que Chloé est embrigadée pour une nouvelle mission. C'est ainsi qu'elle se retrouve dans les locaux de Teckelogie de la Bêtise, l'unique agence temporelle d'Inspirerre. Elle y fait la connaissance de Deskri Pssion, une podenco complètement loufoque et qui semble peu fiable, voire folle (cousine de deux personnages que nous avons croisés dans les tomes précédents). Cette dernière lui demande de se lancer à la poursuite de 4, le gorille blanc au masque à gaz, qui a volé une de leurs montres permettant de voyager dans le temps.

Plus que suspicieuse, Chloé ne va pas vraiment avoir le choix et va se retrouver ballottée entre les mondes de Mute, Blind et Deaf. Elle y rencontrera des personnages que nous, lecteur, avons déjà croisés, et qui deviendront ses compagnons de route, à savoir Josie, Johan et Manon, tous trois avec des personnalités bien différentes.

J'ai vraiment aimé replonger dans cette saga des Singes de la bêtise, même si d'une autre façon, et aux côtés de Chloé, ce qui nous permet de voir les choses d'une autre façon et de nous en remémorer d'autres. Heureusement que l'auteur présente bien les lieux, les personnages ainsi que les grandes lignes, parce que j'avoue que mes souvenirs en étaient un peu limités, ma lecture des trois tomes remontant à 2018... ^^' J'ai néanmoins pas mal de détails qui me sont revenus en mémoire au fil des pages.

Si dans le T1 Joseph Kochmann nous avait servi une magnifique satire du monde de l'édition, ici il s'attaque plus aux lecteurs ainsi qu'au fanservice. C'est aussi pour ça que je vous conseille d'avoir lu ses précédents ouvrages, pour connaître et vous imprégner de son style et de sa façon de procéder. Il se pourrait sinon que vous soyez potentiellement choqués par ses propos et en preniez ombrage.

Encore une fois, je pense que c'est un tome très personnel.
Vous voyez le principe de la cocotte-minute qui doit laisser s'échapper la vapeur pour ne pas imploser ? J'ai eu un peu le même ressenti ici, comme si Joseph Kochmann laissait la pression accumulée sortir d'un coup, pour se soulager d'un poids. Après, c'est un ressenti tout à fait personnel et non une confession faite par l'auteur.

Honnêtement, je trouve Joseph Kochmann très impressionnant dans son travail. Vous le verrez dans ce tome, mais chacun d'entre eux est relié d'un façon ou d'une autre, les détails de l'un influent sur l'autre... Tout ce qui vous semblait partir dans tous les sens, tout ce qui vous semblait illogique... avec ce tome, vous verrez que l'auteur suit un plan très précis et ordonné. Je me répète, mais je trouve cela vraiment très impressionnant. On dit que le Diable se cache dans les détails mais je pense que cette expression devrait être modifiée. C'est Joseph Kochmann qui se cache dans les détails, qui les organise de façon précise et qui joue avec eux comme avec nous comme il l'entend, avec brio et talent.

Alors que je pensais que ce tome serait le dernier, ce n'est pas le cas. Ce sera un cinquième tome, Loveless, qui clôturera Les Chroniques d'Inspiterre. Je ne sais pas comment il sera, ni comment il terminera la saga, mais avec cet auteur, je m'attend vraiment à tout. Joseph Kochmann peut compter sur moi pour la suite de cette aventure atypique, véritable O.V.N.I. littéraire que je ne regrette pas du tout d'avoir accepté de découvrir, bien au contraire.

En résumé, j'ai apprécié me replonger dans l'univers unique, coloré, décalé, violent, horrifique et satirique de Joseph Kochmann. Entre folie, enquête, rencontres, violence, vengeance, introspection, sadisme, technologie, voyages temporels et horreur, nous sommes parfois aussi perdus que les Chloé et ses amis. Il y a cependant une logique implacable à l'oeuvre et chaque détail compte, vous vous en rendrez vite compte. Croyez-moi, vous allez en prendre plein les yeux et le cerveau !
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Je poursuis l'exploration de cette saga, qui est tout de même, hors du commun et ce quatrième tome frise la pépite. D'ailleurs, j'avais cru que ce roman allait conclure cette série avant de lire, lors de sa dernière page, qu'un cinquième et dernier tome allait terminer cette étonnante aventure. Déjà, je suis partant et j'espère que Joseph Kochmann n'hésitera pas à m'offrir la chance de le lire dans le cadre d'un service-presse. Concernant la note que je vais révéler à la fin de cette chronique, elle aura une double signification. En effet, elle récompensera ce tome mais aussi l'ensemble de la saga, jusqu'à présent. Pour moi, cette histoire restera toujours un o.v.n.i au sein du monde littéraire et je rassure sur un fait, venant de ma part, c'est un compliment. Au moins, déjà, elle a le mérite de sortir du lot de part son originalité, de sa qualité d'écriture et de ses nombreux rebondissements. Ces derniers ayant le don de perturber furieusement son lecteur. Néanmoins, cette création reste très attachante car je sais d'avance que j'aurais un petit pincement au coeur lorsque je serais en train de tourner la toute dernière page de cette histoire. En attendant, il est l'heure pour moi de passer à la rédaction de mes fameuses listes car j'ai beaucoup de choses à dire.

Point négatif :

• J'ai regretté que les passages consacrés au jeu de massacre ne soient pas plus nombreux. Pourquoi ? J'ai pris un pied à les lire et puis de toute façon, seul cet auteur sait me régaler en terme de violence et d'horreur.

Points positifs :

• La taille aléatoire des chapitres.
• Avec ce tome, j'avais l'impression de lire plusieurs romans dans un seul. Premièrement, je pouvais suivre les nouvelles aventures de notre ancienne inspectrice, même si cela m'a perturbé de ne pas la voir accompagner de sa fidèle acolyte. Et deuxièmement, avec ce jeu mortel, d'assister à une histoire qui donnait l'impression de ne pas être concernée par la première.
• A travers ce quatrième tome, l'auteur a parfaitement exprimé l'ensemble de son génie… car pour moi, il a désormais ce statut à mes yeux. Lorsque l'on s'enfonce dans ce roman, il nous offre la possibilité d'emboîter quelques pièces de puzzle qui demeuraient en suspens dans les tomes antérieurs et à ce moment… Tout devient tellement logique. Joseph Kochmann sait parfaitement où il va, maîtrise avec brio toutes les ficelles et se montre brillant lorsqu'il doit utiliser un rebondissement. Merci pour cette intelligence car elle force vraiment le respect et l'admiration.
• Enfin, j'ai aimé l'introspection offerte à la fin de ce tome, par l'intermédiaire de l'auteur lui-même. Lorsqu'il a prit le temps de se revoir dans sa jeunesse, dans sa chambre, à écrire les premières lignes de son histoire, je me suis vu faire de même dans mon propre passé. Ce petit voyage dans ma propre histoire m'a un peu perturbé car ce n'est pas la meilleure période de mon existence. La différence entre nous deux, c'est que l'auteur a su accompagner son oeuvre jusqu'à sa parution. de mon côté, la mienne mérite une nouvelle version et cette fois définitive… mais comme j'en ai deux en cours d'écriture et de diffusion… je me dois de ronger mon frein pour le moment. Je me suis reconnu dans certains mots car si je me suis réfugier dans l'écriture, c'était pour échapper aux drames que je vivais sous le toit familial. Et à chaque fois que ma vie était bancale, la plume était là pour m'aider à tenir bon. Désormais, je l'utilise dès que j'en ai l'occasion et je tiens absolument à mourir en tant que lecteur et auteur. le fan service… Ce domaine me parle tellement. de base, je suis un auteur de fictions originales et malheureusement, nous souffrons d'un manque de visibilité. Pour tenter d'enrayer ce mal, j'ai dû devenir auteur de fanfictions pour attirer une grosse masse de lecteurs et j'ai dépensé toute mon énergie, à ce mécanisme, pendant dix longues années… Et je me suis perdu en chemin. Désormais, terminé le fan service, je me contente d'écrire ce que j'aime, ce qui me traverse la tête et si le succès n'est pas là, ce n'est pas grave, je ne vais pas en mourir.
• Enfin, le titre qu'on se doit d'écouter pour les dernières pages… Ben elle accompagne parfaitement les ultimes moments.

Quel grand plaisir de retrouver la plume incomparable de l'auteur dans le nouveau volet des « Chroniques d'Inspiterre ». Une fois de plus, il nous propose de replonger dans cet univers complètement déjanté et où rien ne se déroule de façon sensée, de quoi nous faire perdre totalement pied et ne plus trop savoir où tout cela va nous mener ! Alors si vous êtes prêts à totalement lâcher prise et à vous laisser porter par les idées de l'auteur sans trop vous poser de questions, vous allez vous régaler !

Nous allons donc retrouver Chloé qui, bien qu'elle ait rendu son insigne, va se retrouver au coeur d'une nouvelle enquête. Mais cette enquête va aller bien au-delà de ce qu'elle a pu vivre jusqu'à maintenant et la conduire à voyager à travers des vortex dans différents mondes. Pourquoi ? A vous de le découvrir, mais accrochez-vous, car plus rien ne va être sensé à partir de ce moment-là et le roman va atteindre un niveau de folie inégalé jusqu'à maintenant.

Dans ce tome, nous allons retrouver plein de personnages que nous connaissons déjà et plonger encore davantage dans l'univers de l'auteur, un univers qui va bien au-delà de ce qu'il paraissait au premier abord ! Ce tome est tout bonnement dingue ! Je n'ai rien vu venir et je suis totalement scotchée par la tournure des événements ! Qu'est-ce que ça a dû être jouissif d'écrire ce roman. Qui n'aurait pas envie de pouvoir se lâcher à ce point-là ?

De ce fait, l'histoire est la plus décousue de toutes, mais ce qui pourrait être un énorme point négatif est en fait son gros point fort. C'est ce côté totalement fou et décousu qui fait que ce tome est une merveille d'originalité, une originalité qui montre toute son ampleur une fois que LA question trouve sa réponse. Mais qu'est-ce que j'ai ri avec ce chapitre final !

Et quel plaisir de découvrir que cette série n'est pas terminée. L'épilogue nous laisse imaginer une suite qui va être toujours aussi mouvementée et décalée ! Mais attention, comme pour les autres opus, ce tome n'est pas à mettre entre toutes les mains, car il y a des scènes bien sanglantes et bien hardcore, donc âmes sensibles s'abstenir. de mon côté, j'adore toujours autant ce mélange d'horreur et d'histoire déjantée et je n'ai qu'une hâte : plonger dans le tome suivant !

En bref, comme les personnages, je n'ai pas forcément tout suivi, mais je me suis totalement régalée avec les rebondissements tous plus fous les uns que les autres. Quel régal !