Doté d'une sagesse exemplaire, le chanteur Étienne Drapeau a voulu, dans son livre, transmettre sa façon de concevoir la vie.
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Quoi qu'il en soit, si vous souhaitez voguer vers une vie plus agréable, vous devriez laisser filer dans l'oubli les événements douloureux, les souvenirs tristes, les lieux quittés, les illusions perdues, les difficultés révolues, bref le passé pesant. D'antan, ne gardons que le bon. Le culte du passé n'a de sens que s'il génère un agréable sentiment. S'il est malheureux, tirons-en les leçons et passons notre chemin! (p. 120)
Le bonheur, c’est ce que chacun en pense, pour lui-même ! Notre bonheur exprime jusqu’à quel point nous aimons la vie que nous menons, tout simplement.
Je ne vous expliquerai pas comment vous devez vivre pour être plus heureux, mais je vous donnerai des moyens pour construire ce que vous voulez vivre. Je ne vous dirai pas quelles décisions prendre parce que mes critères de bonheur ne sont pas les vôtres, mais je ne m’empêcherai pas de partager mon expérience et ma vision du bon sens. Je ne connais ni vos rêves ni vos ressources, mais je peux vous aider à développer une bonne « caisse-à-outils » pour apprendre à être heureux, dans laquelle vous puiserez ce qu’il vous conviendra : explications théoriques, décodages, suggestions et pistes à explorer, ainsi que de multiples exemples.
C’est grâce à mes patients que j’écris ce livre.
Grâce à la confiance qu’ils me font chaque jour, en partageant leurs doutes et leurs souhaits, en déposant leurs hontes et leurs secrets et en me faisant témoin de leurs efforts créatifs pour se libérer de trop de frustrations ou de souffrances. En travaillant avec eux, j’ai observé une multitude de petites enjambées prudentes, de succès surprenants ou de décisions volontaires, et constitué un réservoir d’idées qui ont enrichi ma pratique. Ensemble, nous avons ri de leurs mésaventures, ils ont pleuré sur leurs blessures et nous nous sommes réjouis de leurs progrès. Je les vois abandonner leurs anciens mécanismes d’échecs, lâcher de vieux griefs, clarifier leurs choix, se redresser et développer le goût de vivre. Ils se libèrent de relations toxiques, posent des actes qui les engagent vers un avenir choisi et accomplissent ce qu’ils n’avaient jamais osé faire. Ils modifient légèrement ou profondément leur existence, apprennent à s’aimer et se tournent amicalement vers les autres. J’ai été témoin de leur retour vers la lumière et je connais leur volonté.
Il n’y a pas de norme de bonheur, bien que certaines conditions de bon sens conviennent à la majorité. La plupart des gens préfèrent éviter la pauvreté, l’isolement et la maladie, cela va de soi, mais chacun a du bonheur une conception particulière et susceptible d’évoluer. Distancions-nous des clichés les plus véhiculés ! Pour se sentir heureux, il n’est pas indispensable d’avoir un amoureux qui fête la Saint-Valentin, un travail bien rémunéré, de sympathiques amis autour d’une jolie table et un labrador en bonne santé qui gambade au jardin !
Les médias et les réseaux sociaux, dans leur versant léger, nous livrent une vision du monde standardisée, qui culpabilise parfois plus qu’elle n’encourage. On se sent hors norme, un peu trop seul, un peu trop gros, un peu trop ridé, pas assez dégourdi, moins riche, moins beau ou moins doué que les autres. On imagine qu’ils se débrouillent mieux, ils ont l’air de s’amuser, d’avoir un but dans la vie, une existence légère, sans crainte ni incertitude.
C’est grâce à mes patients que j’écris ce livre.
Grâce à la confiance qu’ils me font chaque jour, en partageant leurs doutes et leurs souhaits, en déposant leurs hontes et leurs secrets et en me faisant témoin de leurs efforts créatifs pour se libérer de trop de frustrations ou de souffrances. En travaillant avec eux, j’ai observé une multitude de petites enjambées prudentes, de succès surprenants ou de décisions volontaires, et constitué un réservoir d’idées qui ont enrichi ma pratique. Ensemble, nous avons ri de leurs mésaventures, ils ont pleuré sur leurs blessures et nous nous sommes réjouis de leurs progrès. Je les vois abandonner leurs anciens mécanismes d’échecs, lâcher de vieux griefs, clarifier leurs choix, se redresser et développer le goût de vivre. Ils se libèrent de relations toxiques, posent des actes qui les engagent vers un avenir choisi et accomplissent ce qu’ils n’avaient jamais osé faire. Ils modifient légèrement ou profondément leur existence, apprennent à s’aimer et se tournent amicalement vers les autres. J’ai été témoin de leur retour vers la lumière et je connais leur volonté.
Les petits garçons aiment les camions et les petites filles préfèrent les poupées ? Les hommes viendraient de Mars et les femmes de Vénus ? le sexe et le genre coïncident d?emblée ? La construction de l?identité sexuelle serait naturelle ?
Stop aux idées reçues et aux stéréotypes ! Toutes ces affirmations largement admises n?ont absolument rien de scientifique. Les différences psychologiques et sociales entre les hommes et les femmes sont uniquement culturelles. Bon sexe, bon genre, le prochain livre de Marie Andersen à paraître chez Ixelles éditions en septembre 2015.