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De l'Oulipo et la chandelle verte
Résumé :
«Du début à la fin, toute la poésie de Jacques Bens dit "je", ne dit presque que "je". Elle met en scène quelqu'un qui parle à la première personne. Il parle en vers. Il se raconte. L'opus bensi, comme il dit, est monomaniaque de la narration de soi. Je ne dis pas cela de manière critique. Un des "pronunciamento" les plus stupides est, si on l'applique à la poésie : "Le moi est haïssable." De quel "moi", d'ailleurs, s'agit-il ? D'un "autre" ? qui serait "mon semblab... >Voir plus