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EAN : 9782723489461
96 pages
Glénat (04/09/2013)
3.53/5   72 notes
Résumé :
"Tu vois la rambarde, là, qui forme une ligne ? Ça, mon pote, c'est la deadline ! Le doigt de Dieu..."»

Camp d'Anderson, Georgie, août 1864. Dans cette gigantesque prison à ciel ouvert, alors que la guerre de Sécession fait rage, le monde se divise en deux catégories : les geôliers sudistes et les captifs nordistes. Entre les deux, la deadline. Le prisonnier qui franchit cette ligne gagne un aller simple pour l'enfer. Parmi eux, un soldat noir au calm... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Décembre 1901, le loup solitaire Louis Paugham assassine John C. Lester, co-fondateur du Ku Klux Klan…
Août 1864, la jeune recrue sudiste Louis Paugham est gardien dans un camp où s'entassent les prisonniers nordistes…
1855, l'enfant Louis Paugham assiste au meurtre de ses parents par des bandits noirs avant d'être recueilli et élevé par un érudit prêchant l'abolition de l'esclavage…
Cette bande dessinée de 82 pages jouent sur les allers-retours entre le présent et le passé pour nous conter comment l'orphelin est devenu soldat et comment le soldat est devenu déserteur avant de devenir meurtrier, mais elle aussi centrée sur la Guerre de Sécession qui opposa mortellement une oligarchie industrielle exploitant un prolétariat immigré et une oligarchie agricole exploitant des esclaves importés (plus les choses changent et plus elles restent les mêmes : class warfare of course… MDM). Tout est allégorie, un peu trop d'ailleurs, autour de la deadline séparant :
- la paix de la guerre
- les Blancs des Noirs
- les bourreaux des victimes
- les gardiens des prisonniers
- la civilisation de la barbarie
- les hétérosexuels des homosexuels
- les gens jugés « normaux » des gens jugés « anormaux »
C'est à la fin de son parcours que Louis Paugham franchit enfin les lignes imaginaires dressées par les crevards qui ont toujours voulu diviser pour mieux régner : il s'accepte enfin et accepte enfin le monde qui l'entoure avant de quitter la puanteur mixophobe du Vieux Sud pour gagner en paix l'usine à rêves californienne…

La belle histoire de Laurent-Frédéric Bollée reprend les thèmes engagés, un peu trop d'ailleurs, des westerns des années 1970 avec les méthodes de narration du western sergioleornien des années 1960. Pour ne rien gâcher, on reconnaît bien le talent de Christian Rossi qui ici associe joliment dessins presque photoréalistes et couleurs délavées (reste juste quelques cases où le recours au DAO est un peu trop visible dans le détourage, car ne j'ose parler d'encrage…). 4,5 étoiles et merci bien messieurs les artistes !


PS : par contre les BD éditées par Glénat continuent à mettre dans les phylactères absolument toutes les majuscules en gras et c’est désagréable voir pénible à la lecture…
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Ça commence par un meurtre. En 1901. Un meurtre commis de sang froid sur un vieillard. Pas d'autres explications avant un bond dans le temps. Des années en arrière. En pleine guerre de sécession. Petit à petit on va remonter le fil de cette pelote et comprendre le pourquoi du comment. Pourquoi ce meurtre, pourquoi cette victime. L'histoire est celle du meurtrier, un gamin enrôlé de force dans l'armée sudiste. Un gamin qui va tomber amoureux d'un prisonnier. Noir. Un gamin qui va découvrir l'horreur de la guerre et garder chevillé au corps le souvenir de ce prisonnier et une rancoeur, une haine même. Tenace. Impossible à évacuer…

Un western sans cowboys et sans indiens mais un western quand même. Tendu, nerveux, crépusculaire. Beaucoup de flash-backs qui demandent au lecteur une certaine attention pour ne pas se perdre en route mais le récit est tricoté au cordeau et chaque élément trouve sa place naturellement.

Après on peut trouver que la barque de Louis Paugham, le personnage principal, est un peu chargée. Orphelin très jeune suite à l'assassinat de ses parents, il voit mourir son père adoptif sous ses yeux à l'adolescence. Homo refoulé qui a le coup de foudre pour un noir alors qu'il vient d'être enrôlé dans l'armée sudiste, il va enchaîner les désillusions et les tragédies… tout ça fait peut-être un peu beaucoup. Mais son terrible destin permet de mettre en lumière cette période complexe de l'après-guerre de sécession aux États-Unis. Sa vie d'errance et de solitude est confrontée au racisme prégnant malgré la victoire nordiste, à un idéalisme qui restait souvent de façade et une homosexualité inacceptable pour la société de l'époque.

Graphiquement c'est beau, très beau. Christian Rossi s'était déjà frotté au western en reprenant la série Jim Cutlass scénarisée par Jean Giraud et surtout avec l'inclassable W.E.S.T qui, elle aussi, se déroule aux USA dans les années 1900. Ici, il alterne entre l'acrylique et l'aquarelle et son travail sur la lumière et les couleurs est magnifique. Sans compter que son découpage très cinématographique sied parfaitement à un récit de ce genre.

Si je devais souligner un bémol c'est que le héros subit trop les événements et n'est pas assez charismatique. Pas qu'il soit transparent mais il lui manque un petit quelque chose pour endosser l'image d'écorché vif à laquelle il était en droit d'aspirer. Disons qu'il avait tout pour être inoubliable et malheureusement ce n'est pas tout à fait le cas.

J'ai quand même passé un bon moment avec ce one shot qui sort un peu des sentiers battus. Et je félicite au passage l'éditeur pour ne pas avoir cédé à la tentation d'en faire un diptyque plus intéressant commercialement mais beaucoup moins cohérent d'un point de vue narratif. Ça devient tellement rare de penser au lecteur avant de penser à la rentabilité…

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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L'histoire débute en 1901... par une vengeance. Une invasion de papillons, un soleil de plomb, un gars qui marche en rue, se dirige vers une maison, évite d'attrirer l'attention, cogne la servante et abat le Capitaine Lester, vieillard retraité de l'armée confédérée. Membre fondateur du KKK.

Cela pourrait faire une pu... de BD. D'ailleurs, l'instant d'après on plonge dans un feedback, un camp de prisonniers tenu par les sudistes. On retrouve Louis Paugham, le meurtrier de la scène d'intro, il a 17 ans. Il est bleusaille, chargé de surveiller les prisonniers. Il ne doivent pas traverser la deadline, limite de l'enclos où sont parqués les prisonniers.

Et un feedback pour expliquer pourquoi Louis Paugham est là. Il n'en a rien à faire de la guerre. Il a perdu ses parents 10 ans plus tôt, des pionniers abattus par des esclaves noirs, et il a été recueilli par un libre-penseur abolitionniste.

On va suivre la vie de Louis Paugham dans ses périgrinations. Il est homosexuel, et il est tombé amoureux d'un prisonnier noir lors de son enrôlement forcé dans les troupes confédérées. Toute sa vie va consister à essayer de vivre "normalement" si c'est possible (mais non...) et d'honorer la mémoire de ce prisonier, exécuté par le Capitaine Lester et ses sbires, dans une sorte de rituel infâmant qui consistait à tracer une croix au coutelas sur le torse du noir.

Western atypique, montrant une face cachée de la conquête de l'Ouest et de la guerre civile, teinté de désespoir et de fureur à peine contenue. Les auteurs tenaient un bon sujet, à mon avis, mais ils ont voulu tout traiter. Et il y a des éléments qui coincent et ne s'emboîtent pas (sans mauvais jeu de mots sur l'homosexualité de Louis Paugham). La création du KKK, les pratiques de la guerre en matière de prisonniers et la désertion de Louis Paugham, cela me semblait déjà rentrer dans un tome et faire un tout cohérent. Au final, on a un sentiment de déjà-vu et les éléments nouveaux ne m'ont pas convaincu.

Par contre, au niveau graphique, c'est de la BD réaliste de très haut vol.
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La quatrième de couverture nous offre les mots suivants : « Août 1864. La Guerre de Sécession. Une garde de nuit. Un soldat, des prisonniers. Entre eux, une ligne. Une simple ligne. Une ligne de mort… qui change une vie. »

Deadline est un one shot. Il permet donc de découvrir de nouveaux personnages et de nouveaux lieux. Cette plongée dans l'inconnu est agréable au premier abord. Cette période de l'Histoire américaine m'intrigue et j'étais donc curieux de savoir où tout cela allait me mener. L'album s'adresse à un public adulte du fait de son ton et de sa thématique. Christian Rossi avait déjà travaillé dans le même type d'univers graphique dans W.E.S.T. J'étais donc assez impatience de découvrir une nouvelle facette de son talent de dessinateur.

L'histoire se construit autour d'un unique personnage. Il se prénomme Louis Paugham. On le suit sur presque cinquante ans de sa vie. On le découvre jeune soldat sudiste chargé d'encadrer des prisonniers yankee. Des flashbacks nous plongent dans son enfance. Les pages défilent au gré des ans. Les événements sont vécus à travers le regard du héros. Ce ton subjectif permet une immersion plus forte dans le propos. Je me suis laissé porter à suivre ses pas au gré de ses pérégrinations.

La thématique est intéressante. Louis Paugham est attiré physiquement par un prisonnier noir qu'il doit surveiller. Ce dernier se fait assassiner au cours d'une de ses gardes. Il restera hanté par ce sentiment obsédant toute sa vie. Entre l'homosexualité et la dimension raciale, l'auteur offre plusieurs pans à son intrigue. En effet, ce type de relation dans le Sud américain dans la deuxième partie du dix-neuvième siècle était bien loin d'être acceptée. Je trouve malgré tout dommage la manière avec laquelle l'auteur exploite tout cela. En effet, je trouve que les réflexions du personnage principal sont répétitives. Il évolue relativement peu. La narration s'avère un petit peu diluée à mes yeux.

Le fil conducteur se construit également autour du sentiment de vengeance de Louis à l'encontre des bourreaux de son bel ébène. Ces derniers sont des soldats confédérés fidèles au Ku Klux Klan. Cet aspect historique est intéressant. Assister aux premiers pas de cette organisation raciste qui a marqué l'Histoire des Etats-Unis. Mais là encore, le développement n'est pas aussi poussé que je l'aurais espéré. C'est dommage. de plus, cette quête du héros donne lieu à peu de rebondissements. Sa chasse est finalement assez linéaire.

Christian Rossi était le principal argument qui m'a attiré vers Deadline. Je n'ai pas été déçu sur ce plan-là. J'ai pris du plaisir à retrouver le style de W.E.S.T. La qualité graphique est une nouvelle fois au rendez-vous. Les décors et les personnages sont toujours aussi travaillés. Néanmoins, le dessin n'arrive pas à générer une atmosphère suffisante pour sublimer le scénario et lui offrir une profondeur supplémentaire. Malgré tout, les illustrations font voyager et le dépaysement existe.

Au final, mon sentiment est mitigé. Deadline offre une histoire intéressante dans un univers graphique travaillé. Les thématiques sont intéressantes et le personnage principal possède une réelle identité. Néanmoins, l'ensemble ne prend jamais réellement son envol. A défaut d'avoir été complètement conquis, j'ai pris du plaisir à savourer un moment de lecture agréable. Ce n'est déjà pas si mal…
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« Deadline » de Bollée et Rossi est une bande-dessinée de grande qualité qui a su me charmer et me toucher. J'ai longuement hésité avant de me lancer dans cette oeuvre, j'étais déchirée entre mon attirance pour sa magnifique couverture et mon indifférence face au résumé. Finalement, j'ai cédé à mon impulsion première, faisant fi de la quatrième de couverture peu tentante, et grand bien m'en a pris ! Car le scénario est à la hauteur du dessin, les deux se complètent à merveille et ont donné naissance à un très bel album.

Parlons un peu de cette histoire qui, justement, ne me tentait guère, mais s'est révélée passionnante. Elle s'attache au parcours d'un homme, Louis Paugham, et s'intéresse en particulier à trois époques différentes de sa vie. Son enfance auprès de son père adoptif, sa vie de jeune homme et de soldat lors de la Guerre de Sécession, et sa vie d'homme mûr, meurtri par son passé et habité d'une rancoeur tenace. le scénario alterne ces trois temps et nous éclaire peu à peu sur le personnage central, sur les fantômes qui le hantent, sur ses douleurs et ses envies de vengeance.

L'histoire s'ouvre en 1901, nous suivons cet homme mystérieux et errant dont on ne sait encore rien. Il semble se rendre dans un village du Tennessee afin de faire justice lui-même d'un événement grave survenu dans le passé. Mais la véritable intrigue se déroule en 1864, lors de la Guerre de Sécession. Nous retrouvons ce même homme, plus jeune, aux côtés des Sudistes, il est soldat et surveille un camp de prisonniers Nordistes. Un camp qui, devant l'approche imminente des ennemis doit être évacué d'urgence. Se met alors en marche une petite troupe composée de prisonniers et de gardiens, séparés seulement par la Deadline – une ligne dessinée sur le sol délimitant une prison imaginaire. Une ligne qui coûterait la vie au prisonnier qui tenterait de la franchir. Une ligne de mort. Et dernière cette ligne, il y a lui, cet homme Noir inaccessible, impénétrable, distant et envoûtant. Cet homme qui fascine et attire Paugham d'une manière tout à fait singulière.

Cet album historique parle de la vie, de l'amour, de la justice, de la guerre et de la mort. Autant de thèmes dont on nous a déjà rebattu les oreilles maintes fois, me direz-vous. Mais ces lieux communs sont abordés ici avec beaucoup de finesse. Toute l'originalité, l'intelligence et la force de cette bande-dessinée résident en son scénario solide et audacieux, en la forme étonnante que prennent les sentiments amoureux dans cette histoire, et se manifestent dans les valeurs, peut être consensuelles mais nobles, qu'elle défend. Cette oeuvre, brutale, tragique et percutante exacerbe les émotions du lecteur, décuple ses impressions. le dessin de Rossi est superbe et illustre parfaitement les propos de Bollée. Ses traits fins, ses cases fortement colorées et lumineuses traduisent cette histoire d'amour insaisissable, mais les nombreux contres-jours et les forts contrastes auxquels a recours Rossi révèlent les difficultés et les horreurs liées à cette époque de haine, de souffrance et d'intolérance.

Pas un coup de coeur, mais une belle découverte.
Lien : http://www.livressedesmots.c..
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critiques presse (4)
BulledEncre
15 novembre 2013
Si la perfection n’existe pas, les planches de Deadline s’en approchent, le traitement graphique devrait en ravir plus d’un. Un western véhiculant des idées fortes, une bonne raison de franchir la ligne et de foncer chez son libraire.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BoDoi
08 octobre 2013
Vibrantes, vivantes, sensorielles, ses pages font naître l’émotion au détour de chaque case, de chaque posture, de chaque regard. Pour une bande dessinée de facture plutôt classique en apparence, et donc à destination de tous les publics, Deadline possède une vraie grâce.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
24 septembre 2013
Au final, Deadline se démarque de la pléthore de bandes dessinées disponibles en magasin par son dessin et sa mise en scène.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
28 août 2013
Deadline est un très beau récit que je vous recommande sans hésiter.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
- Je devine que vous vous apprêtez à faire un long voyage ?
- Exact, M’sieur ! On a envie d’aller voir à l’Ouest ! Y a des terres, là-bas, et même de l’or à ce qu’il paraît.
- L’or, toujours l’or ! Le rêve ultime des braves gens, bien sûr.
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Je compte beaucoup sur la propagation des idées, qui sont comme le chemin de fer : la marche en avant est inexorable.
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Un désastre supporté avec vaillance, puis surmonté avec honneur, n’est pas une tragédie mais un triomphe !
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Le regard des autres, les lignes impossible à franchir. Il n’était pas trop tard… il suffisait juste de faire un choix.
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C’est à cause des foutus idéalistes comme toi qu’on est dans le merdier ! Qu’est-ce que t’en as à faire des droits des esclaves ? C’est pas toi qui les porteras, les sacs de coton !
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Vidéo de Laurent-Frédéric Bollée
Dans le 168e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Bobigny, 1972 que l'on doit au scénario de Marie Bardiaux-Vaïente, au dessin de Carole Maurel et qui est édité chez Glénat. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La sortie de l’album Deux soeurs que l’on doit au scénario d’Isabelle Sivan, au dessin de Bruno Duhamel et qui est édité chez Grand angle - La sortie de l’album Les dinosaures du paradis que l’on doit à l’auteur Mazan ainsi qu’aux éditions Futuropolis - La sortie de l’album Vingt décembre, chroniques de l’abolition que l’on doit au scénario d’Appollo, au dessin de Téhem et que publient les éditions Dargaud - La sortie du cinquième et dernier tome de Saint-Elme, un titre baptisé Les thermopyles que l’on doit au scénario de Serge Lehman, au dessin de Frederik Peeters et aux éditions Delcourt - La sortie de l’album L’expert que l’on doit à l’autrice Jennifer Daniel ainsi qu’aux éditions Casterman - La réédition dans une version collector de La bombe que l’on doit aux cénario conjoint de Didier Alcante et Laurent-Frédéric Bollée, au dessin de Denis Rodier et qui est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
+ Lire la suite
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