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EAN : 9782266295628
264 pages
Pocket (19/09/2019)
4.18/5   56 notes
Résumé :
D'août 2016 à fin février 2017, Christian Clot a parcouru en solitaire les quatre milieux les plus extrêmes de la planète. Trente jours pour chaque expédition avec quinze jours entre chacune d'elles. Du désert du Dasht-e Lut, en Iran, aux monts de Verkhoïansk, en Iakoutie, des canaux marins de la Patagonie à la forêt tropicale du Brésil, il est passé de + 60 à – 60 °C et de 2 à 100 % d'humidité, dans des conditions particulièrement hostiles.
Une aventure jam... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Christian Clot relate dans ce livre quatre expéditions d'un mois, chacune étant séparée d'un intervalle d'une quinzaine, dans des milieux parmi les plus hostiles de la planète: désert du Dasht-e Lut en Iran, canaux de Patagonie vers le détroit de Magellan, forêt amazonienne au Brésil, monts de Verkhoïansk en Iakoutie.

Son récit de ces quatre périples, réalisés dans des conditions extrêmes, livre quelques aspects de ses expéditions, à la fois sous l'angle de la survie et celui des données scientifiques collectées quant aux modifications cérébrales et métaboliques de l'auteur. Il développe également de manière très intéressantes l'aventure humaine qu'il a vécu, le dépassement de soi, la volonté d'atteinte du but et les leurres des préoccupations routinières.
Quelques belles références littéraires émaillent le texte comme celle au livre de Jean Raspail sur les "hommes" en Patagonie.

Il laisse, à mon goût, trop peu de place à la nature, même si de rares descriptions permettent de mesurer la dimension grandiose des cadres naturels extraordinaires dans lesquels il s'est aventuré. Je suis resté un peu sur ma faim sur ce point, peut-être non développé pour prioriser l'aspect scientifique.

Cela reste un livre intéressant pour tous les amateurs d'aventures extrêmes, de milieux naturels encore préservés, grâce à leur côté sauvage.
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L'auteur souhaite étudier les réactions de l'être humain confronté au stress et aux dangers en milieu hostile, sur les plans physiologique et psychologique.
A cet effet, il organise l'opération "Adaptation" : 4 voyages de 30 jours chacun dans des milieux 'extrêmes' du fait des conditions climatiques et environnementales qui y règnent, à savoir, dans l'ordre :
- au Dash-e-Lut, désert aride et sec en Iran, à pied en remorquant l'équipement de survie (dont nourriture & eau) ;
- sur les Canaux marins de Patagonie, environnement aquatique froid, humide et venteux, en canoé ;
- dans la forêt tropicale du Brésil, chaude et humide, à pied avec sac à dos, et en raft ;
- en Iakoutie, où la température nocturne descend sous – 55° C.

Deux semaines séparent chaque voyage. A chaque fois, une règle de base est appliquée : voyager seul, sans liaison possible avec d'autres humains en cas de nécessité.

La démarche, annoncée en 4ème de couverture, m'a paru très intéressante, et sauf empêchement incontournable, l'auteur a respecté son programme.

Dans le désert iranien les journées étaient trop chaudes pour se déplacer, il attendait le soir à l'abri d'une toile tendue au-dessus de lui. En Patagonie, ce sont les tempêtes et les courants marins qui constituaient le principal danger. Dans la forêt Brésilienne, les petits animaux (venimeux, ou parasites véhiculés par l'eau) étaient plus dangereux que les jaguars, mais ce sont surtout les arbres qu'il fallait craindre puisque leurs chutes ou celles de leurs branches mortes peuvent être fatales. Enfin, en Sibérie, il convenait surtout d'éviter de suer (la sueur pouvant ensuite geler très rapidement) et de tomber à l'eau (risques de rupture de la glace en marchant dessus).

Son récit s'apparente parfois au scénario d'un film catastrophe, avec des scènes d'action fortes mais un dénouement connu d'avance. Ces passages m'ont parfois agacé, même si je peux comprendre l'importance de tels moments pour l'auteur et son expérience.

Christian Clot décrit l'altération de son discernement due à la fatigue et les risques en résultant. Il nomme « effet tunnel » son incapacité à percevoir et analyser des éléments de son environnement pendant certains laps de temps. Une technique simple lui permettait de vérifier ponctuellement le fonctionnement correct de son cerveau : rester capable d'additionner 3 chiffres !

Ses réflexions sur la manière dont l'humain perçoit l'écoulement du temps selon les contextes sont très intéressantes.
L'impact de la perception du temps sur notre manière de gérer l'effort physique m'amène d'ailleurs parfois à courir 👟👟 sur des itinéraires dont je ne connais pas la longueur sans prendre de montre : plaisir et (bonne) surprise à l'arrivée (vous constaterez avoir couru plus longtemps que vous ne le pensiez) sont garantis. Joggers, j'en profite pour vous recommander cette pratique, plutôt que de vous encombrer d'un matériel censé aider à gérer vos efforts en comptant vos pulsations cardiaques...

L'auteur présente la peur comme un mécanisme primordial de protection (« J'aime mes peurs. Jusqu'à un certain point, c'est grâce à elles que je suis encore de ce monde. »), comme une force lorsque l'on en connaît la source. Savoir accepter certaines situations pénibles inévitables plutôt que perdre de l'énergie à les déplorer est aussi essentiel, de même que l'espoir.

Un livre intéressant, mais je reste sur ma faim concernant les résultats de ces expériences, l'auteur attendant l'épilogue pour indiquer que les mesures qu'il a faites sont en cours d'étude…
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J'ai choisi ce livre lors de la dernière masse critique Babelio, son titre, sa couverture, et le sous-titre surtout m'intriguaient. Ce n'est pourtant pas mon genre de lecture habituelle, mais j'avais un pressentiment. Envie de savoir ! Merci aux Editions Robert Laffont et à Babelio pour cet envoi.

Et quelle bonne intuition ! Ce livre a été une très belle découverte. Christian Clot y raconte son expérience de manière très humble. Il mêle éléments scientifiques et impressions personnelles aux descriptions de la nature et de son expédition.

D'août 2016 à février 2017, Christian Clot a enchaîné quatre expéditions de trente jours, en solitaire dans les milieux les plus extrêmes et hostiles de la planète. Une aventure sans balise, sans moyen de communication, avec juste son matériel et surtout en tête-à-tête avec lui-même. le tout dans le but d'étudier les réactions humaines face à une situation extrême. du désert d'Iran, au froid sibérien, en passant par l'Amazonie et la Patagonie, Christian Clot nous emmène avec lui à bord de son kayak, ou en tirant son chariot. Il nous entraîne à sa suite et nous confie toutes ses pensées lors cette cette aventure solitaire.

"Le principe est de traverser successivement quatre des milieux les plus extrêmes de la planète, de par leur climat et leur variabilité, durant la saison la plus violente, ce qui représente un défi inédit. Mais c'est justement ce qui va m'obliger à me pousser dans mes retranchements, à chercher des solutions que je ne connais pas encore, à prendre des décisions nouvelles, à mettre à l'épreuve ma motivation."

Moi qui n'ai pas du tout l'âme scientifique, j'ai beaucoup aimé les explications de l'auteur quant aux capacités d'adaptation de l'Homme face à l'extrême. J'ai aussi énormément apprécié ses réflexions personnelles, il nous raconte ses moindres pensées, des plus pessimistes aux plus positives et encourageantes. Je retiens notamment le passage où face à la solitude, il se met à se parler à lui-même à haute voix ! Un véritable coup de boost que d'entendre même sa propre voix.

"J'ai toujours agi ainsi lors de mes expéditions solitaires. Je parle et je parle encore, j'exprime mes joies, mes peines, je m'insurge, je me questionne, comme si les éléments allaient me répondre. D'ailleurs, ils le font, en silence, et je l'interprète comme je veux."

Le mental joue beaucoup dans la solitude et même en étant préparé, Christian Clot a dû affronter sa propre personnalité. Allant jusqu'à souhaiter renoncer à certains moments, mais retrouvant la motivation dans des choses qui au premier abord peuvent sembler insignifiantes. Ainsi, une fois, c'est la vision d'un oiseau qui l'émerveillera et lui redonnera la force et la motivation pour continuer à avancer. L'Homme a besoin de s'émerveiller pour trouver le positif de la situation et se surpasser. Et la perception du temps a aussi une grande place dans le comportement de l'Homme.

"Vingt-deux minutes. Si peu dans une vie. Incroyablement long lorsqu'on se débat pour la garder."

Christian Clot nous raconte aussi toutes les difficultés rencontrées, et notamment toutes les fois où il est tombé à l'eau, avec son kayak, ou en Sibérie quand la glace a cédé sous son passage. Des situations dans lesquelles il ne faut pas paniquer, réfléchir, peser le pour et le contre de chaque solution éventuelle et surtout n'imaginer que s'en sortir est la seule issue ! Seul face aux éléments, chaque geste doit être réfléchi. Et la peur, celle-là même qui nous pousse d'abord à renoncer, puis à nous surpasser, à nous adapter pour aller de l'avant. Les peurs nous en apprennent beaucoup sur nous-même. Christian Clot, toujours très humblement partage ses doutes, ses peurs, ses envies de parfois tout laisser tomber, mais surtout il nous explique le cheminement de son raisonnement pour finalement aller au bout de son expérience.

"J'aime mes peurs. Jusqu'à un certain point, c'est grâce à elles que je suis encore de ce monde. J'ai appris à les écouter. Elles sont mes alertes, ma capacité à comprendre qu'un danger existe et que je dois m'y préparer. Des antennes qui accentuent ma vigilance lorsque la situation paraît anormalement risquée. Je n'ai pas souvenir qu'elles m'aient empêché d'agir. Parce que je les accepte, elles ne sont pas inhibantes. Même si j'en avais le désir, je ne pourrais de toute façon pas les supprimer totalement. La peur est une de nos émotions fondamentales « universelles » avec la colère, le dégoût, la tristesse, la surprise et la joie."

En résumé, Au coeur des extrêmes est un livre qui nous apprend beaucoup sur l'humain et ses réactions, sur le cerveau et ses répercussions sur nos actions. La peur est le propre de l'Homme et en même temps, elle est un moteur. Christian Clot nous livre ici une expérience hors du commun. En plus de nous faire voyager dans l'inconnu et l'extrême, il nous met face à la solitude, face à la nature, face aux éléments et nous montre que l'on possède de bonnes capacités d'adaptation, si tant en est que l'on ne succombe pas à ses peurs et à la panique. Une aventure captivante !

"Seul le silence me répond. Un silence chargé d'âmes."
Lien : https://ellemlireblog.wordpr..
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« Braver les milieux les plus hostiles de la planète pour éprouver les capacités humaines d'adaptation »
L'auteur est à la fois explorateur et scientifique. Il a créé le groupe de recherche HAIS (Human Adaptability In Situ) qui permet d'étudier sur le terrain et avec du matériel scientifique embarqué, nos capacités d'adaptation cognitives et physiologiques en situation extrême.
Ce récit décrit les quatre traversées extrêmes, chacune de trente jours consécutifs, effectuées aux périodes les plus difficiles.
La première nous amène dans le désert de Dasht-e Lut en Iran où les températures à l'ombre atteignent, voire dépassent les 50° et où le vent souffle en rafales de 70 km/heure. Un milieu hostile, le plus chaud de la planète. Attelé à son chariot, la progression de l'explorateur est lente et difficile. Compliqué dans ces conditions de se reposer vraiment.
La seconde expédition nous fait découvrir les canaux marins de Patagonie ou règnent la glace et les vents violents. On est impressionné par les difficultés de navigation en kayak de Christian Clot qui doit se frayer un chemin dans ce labyrinthe de fjords et chenaux.
Dans la troisième expédition, changement de décor et de températures. Bienvenue dans la forêt Amazonienne chaude et humide. Moitié à pied et moitié en raft sur les bras de rivières, Christian Clot doit se tailler un chemin dans une jungle luxuriante et hostile. le suivre dans sa lente progression est étouffant et angoissant et on craint, à chaque pas, la rencontre avec un jaguar, rencontre qui, heureusement, n'aura pas lieu.
La dernière expédition et non la moindre, nous entraine dans en Sibérie orientale. C'est dans ce décor sauvage et glacé que l'explorateur qui avance en tractant une pulka, va éprouver ce froid sibérien qui peut descendre à moins 56°. Pas question de tomber à l'eau et pourtant, Christian Clot va connaitre cette mésaventure lorsque la glace se rompt, ce qui aurait pu lui coûter la vie s'il n'avait pas su s'adapter rapidement à la situation.
Au milieu du livre, un carnet de photos a permis à la lectrice exploratrice néophyte que je suis de découvrir la beauté des paysages, les difficultés de l'expédition et le travail de l'équipe scientifique.
Tout au long de cet ouvrage, l'auteur tente de répondre aux questions qui l'assaillent : Comment réagir face à des situations inédites et pleines de risques ? Quelles sont les solutions trouvées face à ces difficultés immenses, seul en milieu hostile ?
Grâce à la volonté d'un homme obstiné, des milliers de données sont été collectées qui permettront de mieux comprendre l'adaptabilité du corps humains soumis à des conditions extrêmes.
Mis à part quelques passages un peu techniques, ce récit se lit comme un roman d'aventure et on en ressort vivifié !
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En l'espace de quelques mois, Christian Clot a enchaîné quatre expéditions à travers les climats les plus inhospitaliers de la Terre : le chaud et sec (désert de Lut en Iran), le froid et humide (canaux de Patagonie), le chaud et humide (Amazonie), pour finir avec le froid et sec (le nord de la Sibérie). L'enchaînement de ces quatre expéditions espacées chacune de quinze jours de repos doivent servir à tester la capacité d'adaptation du corps et du cerveau humain en un laps de temps très court. D'où une batterie de tests, d'examens médicaux et de protocoles mis en place par une équipe de scientifiques.
J'ai éprouvé un réel plaisir à lire les aventures de cet explorateur mais je n'ai pas du tout été convaincu par le protocole scientifique qui les accompagne. Chaque aventure étant unique, et l'expérience étant cette torche qui n'éclaire que le chemin parcouru, je ne crois pas que les enregistrements effectués soient de nature à aider quiconque dans l'appréhension de ces milieux extrêmes.
Les confins de la Terre ayant été désormais tous arpentés, il semble que chaque explorateur s'échine à trouver un prétexte inédit à son entreprise. Un prétexte parfois un peu vain ou fallacieux.
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
A vitesse humaine, sans créer de bruits ou si peu, je me fonds dans les paysages en les découvrant au coeur de leur réalité. J' en comprends mieux l' ampleur, les influences, les volumes. La fatigue des heures de progression efface petit à petit les pensées, les réflexions trop construites, les volontés de maîtrise. Elle autorise des perceptions qui transfigurent les lieux, où le ressenti de très nombreux sens oubliés retrouve sa place. Je ne vois plus le monde : il est devenu sensation.
Comme au sein d' un orchestre aux mille instruments, on devient capable d' isoler chacun d' entre eux et d' en saisir les subtilités. Une forme de pleine conscience qui transcende nos capacités. Je chéris ces sensations, bien que j' en connaisse les risques.
C' est l' équilibre ténu qu' il faut savoir trouver. Chercher la transfiguration sans perdre la vigilance indispensable à la sécurité, plus encore en solitaire : je suis en train d' approcher cet état dans le désert.
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Qu'est-ce que le but? Un cheminement dont l'errance orientée permet de savourer la finalité de la quête. Une raison d'être qui confine au suprême lorsque l'objectif transcende nos émotions. Un Graal peut-être jamais atteint qui conduit pourtant notre existence. Le perdre, c'est se perdre un peu.
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Qu'est-ce que le but? Un cheminement dont l'errance orientée permet de savourer la finalité de la quête. Une raison d'être qui confine au suprême lorsque l'objectif transcende nos émotions. Un Graal peut-être jamais atteint qui conduit pourtant notre existence. Le perdre, c'est se perdre un peu.
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Les périodes de la journée, les couleurs visuelles et sonores, les intensités...Toute la jungle s' est mise au diapason de l' éternel recommencement des saisons. Une fascination qui me distrait. Plus les conditions deviennent violentes, plus je dois quêter ces instants : cette magie qui surgit à tout moment mais que je ne sais pas encore toujours voir.
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Je crève d'envie de l'appeler. De pouvoir décharger un peu de ma détresse en la racontant à quelqu'un qui m'écoutera avec bienveillance. Qui me parlera. Me donnera des conseils que je connais déjà mais qui, venus d'ailleurs, auront une tout autre signification. Echanger entre humain à propos d'une situation la rend déjà différente, plus simple à vivre, même si aucun contact physique n'est envisageable. Dans les moments difficiles, cette distinction change tout.
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Videos de Christian Clot (14) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christian Clot
Une aventure totalement inédite qui interroge les capacités d'adaptation humaine.
D'août 2016 à fin février 2017, Christian Clot a parcouru en solitaire les quatre milieux les plus extrêmes de la planète. Trente jours pour chaque expédition avec quinze jours entre chacune d'elles. du désert du Dasht-e Lut, en Iran, aux monts de Verkhoïansk, en Iakoutie, des canaux marins de la Patagonie à la forêt tropicale du Brésil, il est passé de + 60 à – 60 °C et de 2 à 100 % d'humidité, dans des conditions particulièrement hostiles. Une aventure jamais réalisée auparavant, pour étudier, grâce à de nombreux protocoles scientifiques, les capacités d'adaptation humaine. Aux côtés de Christian Clot, nous pénétrons dans des territoires aussi absolus que splendides, en quête de réponses aux questions qui rythment ses pas : comment réagissons-nous face à des situations qui nous dépassent, lorsque les doutes, les peurs, les incertitudes prennent le dessus ? quelles solutions trouvons-nous lorsque nous nous sentons incapables d'agir face à l'ampleur des difficultés, de la tâche à accomplir ?
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