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La passe-miroir tome 4 sur 5
EAN : 9782075093866
576 pages
Gallimard Jeunesse (28/11/2019)
4/5   4979 notes
Résumé :
Les effondrements se multiplient, de plus en plus impressionnants: Babel, le Pôle, Anima... aucune arche n'est épargnée. Pour éviter l'anéantissement total il faut trouver le responsable. Trouver l'Autre. Mais comment faire sans même savoir à quoi il ressemble ? Plus unis que jamais, Ophélie et Thorn s'engagent sur des chemins inconnus où les échos du passé et du présent les mèneront vers la clef de toutes les énigmes.
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Critiques, Analyses et Avis (616) Voir plus Ajouter une critique
4

sur 4979 notes
Je reste dubitative face a ce dernier tome, autant j'ai dévoré les trois premiers , autant j'ai eu un mal fou a finir celui-ci.

Ce dernier opus est très dense en révélations. Mais surtout je l'ai trouvé très brouillon de ce fait, ça part un peu dans tous les sens et du coup ça a rendu ma lecture très chaotique. J'ai mis un temps fou pour arriver au bout.
certains chapitres étaient addictifs et d'autres ennuyants à mourir..

J'ai aussi mis un temps incroyable a venir mettre mon avis. Très déçue par ce roman tant attendu, et je reste un peu sans voix.
L'écriture de l'auteur est toujours agréable et fluide , mais j'ai perdu cette magie des premiers tomes. Sans doute parce que l'auteur ne m'a pas emmenée la ou j'aurais voulu… dommage que cette saga finisse par une déception.

Je pense que je n'ai pas lu ce dernier roman au bon moment… c'est la seule explication que je puisse trouver.
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Comme beaucoup d'entre vous, je pense, j'avais de grandes attentes pour ce dernier tome de cette saga que j'adore. Il est toujours difficile de finir une histoire, et surtout, on ne peut pas contenter tout le monde. Malgré tout, je me suis plongée dans La tempête des échos en gardant espoir.

Je pense que le fait que La tempête des échos n'ait pas été un coup de coeur réside dans les sentiments que j'ai pu avoir durant une grande partie de ma lecture (et de la fin, mais j'y reviendrais). En un sens, ce n'est pas un défaut car c'est la preuve que Christelle Dabos a su me faire ressentir quelque chose d'assez puissant pour me marquer. Même si cela a été négatif. Ophélie, durant son séjour à l'Observatoire des Déviations subi des choses inhumaines. Certes, elle était prête à assumer et accepter tout cela, mais il n'en reste pas moins, que pour moi, cela a été plus que douloureux à découvrir. En littérature, il y a plusieurs choses que je déteste "lire" et en particulier : le fanatisme religieux et la dérive scientifique. Ici, à une certaine échelle, j'ai eu cet écho de voir retranscrit des expériences telles que certains barbares pouvaient pratiquer durant la seconde guerre mondiale. Sous la couverture de la science et du progrès, nous voyons notre héroïne réduite à un objet sur lequel on peut tout expérimenter. J'en suis venue à haïr cette société, et cette négativité ne m'a pas quitté durant toute ma lecture. Oppressante, cette sensation d'injustice avait quelque chose de révoltant qui ne faisait que croître au fur et à mesure.

Au contraire d'Ophélie, qui pour se protéger, garde en elle tous ses sentiments et semble être en mode guerrière, j'avais l'impression de trop ressentir. Encore une fois, c'est une bonne chose même si j'ai été parasitée par cette rancoeur. J'étais tellement plongée dans ma lecture que je n'ai pas vu les pages défiler. Ce dernier tome est prenant du début à la fin. Et même si parfois, le mode offensif d'Ophélie mettait trop en avant cette détermination aveugle d'expier ses fautes, j'ai gardé cette envie de la protéger et de voir sa relation avec Thorn s'épanouir et devenir encore plus forte. Etre épargnée. D'ailleurs, les rares instants où nous pouvons les voir ensemble étaient extrêmement réussis. Il y avait cette douceur et ce respect avec leurs maladresses respectives qui faisaient que leur relation était sublimée. Quand je repense à leurs débuts... Ils sont les personnages les plus aboutis et réussis que j'ai pu voir. Leur amour est vraiment magnifique, à leur façon.

Christelle Dabos nous prouve plus tard qu'à trop vouloir créer une société parfaite, on en obtient l'opposé total. Un écho déformé d'une vision utopique. Babel en est l'exemple criant, mais les autres Arches n'en sont pas moins exempt. On infantilise les hommes, on leur enlève leur passé seul témoin des erreurs qu'il ne faut pas reproduire, on les pousse à une perfection qui les rend incomplet et exacerbe leurs déviances, on ne leur laisse aucune liberté... C'est écoeurant et révoltant. Bien que cela soit partie d'un bon sentiment, je n'ai vu en Dieu qu'un enfant capricieux qui impose sa vision du monde et n'en assume pas les conséquences. Son inhumanité, qui est somme toute, la définition d'un dieu d'une certaine façon, a poussé son monde a sa propre déchéance. J'ai vraiment apprécié toute cette construction autour de l'histoire de la tempête des échos, car elle dénonce tout en mettant le doigt sur les éléments à ne pas reproduire. de plus, cela donnait vraiment une base concrète et solide sur toute la trame de la passe-miroir.

L'intrigue continue d'ailleurs de se complexifier. J'ai eu peur d'être perdue à un moment donné, mais Christelle Dabos maîtrise son univers. Elle le façonne d'un bout à l'autre avec intelligence et cohérence. J'ai beau ne pas apprécier certains de ses choix, il n'en reste pas moins qu'ils sont cohérents avec ce monde et surtout ce qu'est devenu Ophélie. Ma petite Ophélie qui se fait maltraiter à un point que cela en était douloureux. Mais elle ne lâche absolument rien, malgré les épreuves et l'espoir qui l'anime était ce qui me faisait garder la tête hors de l'eau. Même durant cet instant où mon coeur a failli s'arrêter…

Alors oui, la fin de la tempête des échos est trop ouverte à mon goût, elle ne donne pas la conclusion que méritait certains personnages, laissés de côté alors qu'on s'y était tellement attachés, ou bien disparus en un claquement de doigt sans cérémonie (autre regret pour deux d'entre eux en particulier). Mais, cette fin est, je dirais… mature à l'image d'Ophélie. Elle est grandiose et pleine d'enseignements. Elle ne renonce pas cette fin, elle laisse une porte ouverte à laquelle je ne vois qu'une issue. Et je m'accroche à cela parce que je ne vois pas comment il pourrait en être autrement. Donc merci Christelle. Pour ces quatre tomes, pour cette aventure, pour Ophélie et Thorn, pour Archibald, Berenidle, Gaëlle, Renard et Roseline qui vont me manquer, chacun à leur manière. Merci pour cette univers et cette vision pleine d'espoir sur ce que pourrait devenir notre monde.
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Je n'ai rien compris à cette histoire.
Retenu par quelques bons mots, attiré par une ou deux éclaircies entraperçues ici et là, j'ai pourtant poussé héroïquement jusqu'au milieu du livre. Mais, toujours finalement, je me suis retrouvé égaré dans ce récit abscons, énigmatique, indéchiffrable !!!! Un texte cabalistique dont il me manquait les codes pour en comprendre toute la signification…
Je préfère me souvenir de la légèreté, de l'imagination débridée et de l'effronterie des trois premiers tomes ; de la maladresse légendaire d'Ophélie, de ses lunettes rondes et de son écharpe revêche ; du désespoir de Thorn dissimulé derrière son excessive rigueur ; de la sublime Bérénilde et sa grâce de cygne ; de l'acariâtre tante Roseline, et de la mémoire défaillante de Farouk ; de tous ces mondes et personnages colorés, insolents et si drôles…
Nom d'une soupière ! Christelle Dabos a pris une autre direction en me laissant au bord du chemin…
J'ai lu ce livre, ou plutôt essayé, en compagnie de Srafina, de fifrildi, et de Nadou. Je vous invite à lire leurs billets, peut-être un peu plus enjoués ou compréhensifs.
A bientôt.
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Fin de cette saga qui m'a happée comme pas possible en cette fin d'année 2019.

Ce tome 4, ultime tome, était plein de promesses. En effet, après bien des péripéties, Ophélie et Thorn sont plus soudés que jamais, presque heureux et surtout... ensemble! Mais des bouts d'arches continuent à s'effondrer, les échos à se multiplier, etc. Nos héros, dans une Babel plus militarisée que jamais, entendent bien faire la lumière sur l'identité d'Eulalie Dilleux, de l'Autre et sur les événements pré et post-Déchirure.

Avec toutes ces questions, ce tome fourmille de révélations. On en apprend une, une autre question se pose irrémédiablement. Ce qui pourrait donner une certaine dynamique à ce tome très dense. Et pourtant, ces révélations m'ont semblé souvent opaques, surtout le très long passage à l'Observatoire. Très technique, si bien qu'on s'y perd. Si tu découvres avec Ophélie et que tout semble clair sur la fin, la lecture s'accompagne tout de même de certaines longueurs qui n'étaient pas visibles dans les premiers tomes. Première déception pour moi.
Je suis tout de même ravie qu'une de mes déductions s'est avérée vraie.

L'univers reste très riche. le talent de Christelle Dabos est indéniable et sa plume parvient à nous illustrer clairement son univers. Immersion complète dans l'univers, à défaut d'être enchantée par le devenir de certains personnages.

En effet, ce tome m'a suscité d'autres déceptions que son opacité par endroit. A commencer par le rôle de Victoire et de bien d'autres personnages trop peu vus à mon goût. J'avais beaucoup aimé le personnage de Berenhilde que l'on ne voit pas du tout...
Et surtout, cette fin!!! J'enrage! Tellement bien sur certains aspects et tellement incompréhensible sur d'autres.

Je ferme donc ce livre en me disant qu'il est tout de même un cran en-dessous des trois premiers tomes, ce qui est bien frustrant pour la fin d'une saga d'une telle qualité addictive. Dans mon malheur, je suis contente d'avoir lu les 4 tomes d'une traite, de ne pas avoir attendu encore et encore ce tome, sinon la déception aurait été considérable.

Challenge Pavés 2019 et 2020
Challenge Séries
Challenge le tour du scrabble en 80 jours (7e éd)
Challenge Mauvais Genres
Challenge Plumes féminines 2020
Challenge Déductions élémentaires
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La Passe- miroir, s'achève avec ce 4° tome, et me voilà fort dubitative..
Mais aussi perdue, déçue , et surtout l'impression d' être passée complètement à côté de ce gros pavé pour cause de bêtise crasse !
Je ne suis pas sûre d' avoir tout compris. Je suis , par contre, sûre de ne pas avoir réussi à prendre le temps de savourer chaque mot, chaque phrase. Une envie furieuse de lire en diagonale, de fuir ce roman sur lequel je peine depuis dix jours, en m'étant "enfuie" vers trois autres en plein milieu.... Sans cesse m'interrompant, ne réussissant pas à passer la barre des quinze minutes , moi qui d'habitude engloutit les livres à toute vitesse...
Déjà dans le troisième, la série devenait encore plus noire, plus hostile, et me perdait...
Je n'aurai jamais cru qu'un jour, je reprocherais à un auteur son imagination... Mais là, ce n'est plus possible : les "inventions", les "mots détournés" dans chaque phrase, me rendent la compréhension impossible. Impression de brouillon, d'opacité... Impression d'être dans une jungle et d'avancer avec un coupe-coupe, pour me tailler un chemin, dans l'histoire... Un monde trop riche qui prend toute la place au détriment de l'histoire, la vraie, celle des aventures d'Ophélie... Trop de chemins de traverse, de bifurcations...
La fin, me laisse abasourdie, j'ai dû la relire pour être sûre que...
Mais je n'abandonne pas l'auteure, je suis curieuse de voir ce qu'elle va imaginer prochainement. Une autre série? Un roman qui n'a rien à voir avec la SF ou le fantastique ? Je serai là au rendez-vous, parce qu'elle est profondément originale... Une originalité qui déborde parfois...
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critiques presse (3)
Liberation
09 décembre 2019
Les fins de série ont toujours un parfum doux-amer. On a attendu le dernier tome avec impatience, et en même temps, tout un microcosme et ses personnages vont comme s’évaporer définitivement. L’auteur referme la boîte, ce qui gèle tout un univers des possibles. Une forme de petite mort pour le lecteur cannibale de chair à papier et d’émotions fortes.
Lire la critique sur le site : Liberation
eMaginarock
06 décembre 2019
J’ai donc adoré ce quatrième et dernier volet de La passe-miroir : il est vrai que certains éléments m’ont semblé inachevés, cependant j’y ai retrouvé tout ce qui en a fait l’une de mes sagas littéraires favorites. Ce roman apporte beaucoup d’éléments de réponse.
Lire la critique sur le site : eMaginarock
LeMonde
04 décembre 2019
Christelle Dabos offre à sa saga aux 500 000 exemplaires vendus une résolution minutieuse et parvient, en quelques chapitres, à relancer une aventure dont chaque mystère se dénoue au pas cadencé – et parfois sous un jour inattendu. Avec ce quatrième volet, elle parachève une œuvre d’apprentissage qui confirme son importance dans la littérature adolescente française.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (219) Voir plus Ajouter une citation
Thorn baissa vers Ophélie son grand nez, qui portait l’empreinte de ses doigts, pour la considérer avec le plus grand sérieux.
- Si à un moment quelque chose ne te convient pas… un geste que j’ai, un mot que je n’ai pas... tu dois me le dire. Je ne veux pas avoir à me demander pourquoi je n’arrive pas à rendre ma femme heureuse.
Ophélie se mordit l’intérieur de la joue. La vérité, c’était qu’ils se situaient désormais tous les deux en terre inconnue.
- Je suis déjà heureuse. Un peu plus que cela, même.
Les lèvres sévères de Thorn furent parcourues d’un frémissement. Il se pencha sur elle, résolument cette fois, mais l’articulation de son armature de jambe se bloqua, le figeant en plein élan. Il en fut si exaspéré qu’Ophélie ne put contenir son rire plus longtemps.
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- Montez, little girl.
Ophélie fit un pas vers le dirigeable; au suivant, elle s'étala sur les pavés. Ses sandales s'étaient animées à son insu, nouant leurs lanières entre elles pour l’empêcher de partir. Elle pouvait jouer les braves, son animisme n’était pas dupe. Lady Septima émit un claquement de langue mais Ophélie eut beau se tortiller, elle ne pouvait ni défaire le nœud ni ôter ses sandales. On allait la traîner sur la passerelle à coups de baïonnette.
-Restituez ceci aux Généalogistes de ma part.
C’était la voix de Thorn. Sa voix véritable, sa voix du nord. Il avait décroché son insigne de LUX pour le remettre à Lady Septima. Puis, dans un grincement de métal, il s'agenouilla auprès d’Ophélie. Les lignes à haute tension qui électrifiaient sa figure s’étaient toutes relâchées. Il n’y avait plus de courants contradictoires, juste une seule et unique évidence qui luisait dans ses yeux au cœur de la nuit.
- Ensemble.
Il souleva maladroitement Ophélie dans ses bras et monta avec elle à bord du long-courrier.
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Thorn se dégagea à l’instant où il rencontra ses yeux, ouverts en grand sous ses lunettes déstabilisées. Il se détourna en pressant l’arête de son nez avec force. Ses oreilles étaient enflammées.
- Je n’ai pas l’habitude de ça, articula-t-il. Être regardé de cette façon.
- Quelle façon ?
Thorn se racla encore la gorge, embarrassé comme Ophélie ne l’avait jamais vu l’être. Lui qui était si éloquent quand il s’agissait de raisonnements intellectuels, il paraissait maintenant à court de mots.
- Comme si j’étais désormais incapable de commettre des erreurs. Il se trouve que j’en commets. Un peu plus que cela, même.
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- Il faudra plus que toute la bureaucratie de Babel pour m’empêcher de te rejoindre.
Les sourcils de Thorn se relâchèrent brutalement. Il contempla Ophélie d’un air dérouté, comme s’il était invraisemblable qu’elle fût toujours là, assise près de lui au bord de cet impluvium, et de son plein gré avec ça. Une succession d’expressions fulgura alors à travers sa figure, si contradictoires et si subtiles qu’elles étaient difficiles à démêler les unes des autres. Soulagement. Frustration. Gratitude. Exigence.
Il esquiva le regard qu’Ophélie posait sur lui et dut s’éclaircir la voix avant de lui répondre enfin :
- Je t’attendrai.
Il eut l’air tout à coup mal à l’aise sur cette bordure de pierre, comme étriqué dans sa propre peau, encombré de ses bras trop grands, de ses jambes trop longues et de son armature trop lourde.
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- Tu mentionnais mon aspiration à vous libérer, toi et le monde. Je n’aspire à rien du tout. J’ai besoin que tu aies besoin de moi, c’est aussi élémentaire que ça. Et je sais pertinemment que, dans ce conflit d’intérêts qui nous oppose, je suis condamné à être le perdant. Parce que je suis plus possessif que tu ne le seras jamais et parce qu’il y a des choses que je ne peux pas remplacer.
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Christelle Dabos vous présente son ouvrage "Ici et seulement ici" aux éditions Gallimard jeunesse. Entretien avec Anaïs Hurcet.
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Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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