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sur 357 notes
"Une éducation libertine" est un formidable roman d'initiation dans le Paris de la fin XVIII°, une fresque en couleurs et en odeurs qui évoque "Le parfum" de Süskind.
Pour un premier roman, Jean-Baptiste del Amo montre une maîtrise éblouissante de son histoire et de ses personnages. On se laisse embarquer dans ce voyage dans le temps, enivré par les plaisirs raffinés des libertins ou révulsé par la fange glauque dans laquelle il nous fait patauger. A lire absolument !
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Ce livre a été publié en 2008 et a obtenu, entre autres, le prix Goncourt du Premier Roman et le prix François Mauriac de l'Académie française.
Un récit historique écrit dans le style du XVIIIème siècle.
Nous sommes en 1760. le jeune Gaspard quitte sans regret sa ville natale de Quimper et laisse derrière lui une famille peu aimante et un univers de misère et de violences familiales. Il arrive à Paris, prêt à tout pour se faire une place au soleil. Son ambition est sans limite et il excelle dans la manipulation des gens de son entourage, à l'instar d'un "Bel-Ami" De Maupassant.
Son arrivée dans Paris et les premiers mois qu'il y passe sont très difficiles. le héros doit trouver sa place dans les bas-fonds de Paris, dont la description nous fait penser au "Parfum" de Patrick Süskind.
Il va grimper un à un les échelons de la hiérarchie sociale, passant du nettoyage de la Seine à un emploi chez un perruquier en passant par le bordel..
Un parcours semé d'embûches et qui nous permet de revivre le Paris coloré de la deuxième moitié du XVIII ème siècle, avec sa saleté, sa misère, ses inégalités...
Un très beau roman, difficile parfois en raison du sujet traité mais avec un style très recherché.
Un personnage intéressant, même s'il n'apparaît pas toujours sous un jour sympathique..
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Une éducation libertine
Histoire : Gaspard, un jeune paysan breton monte à Paris pour "réussir" et changer de vie. Récit d'un parcours entre errances, montée sociale et révélations humaines dans le Paris poisseux et populaire des dernières heures avant la révolution...
Style : Très travaillé et de loin l'un des meilleurs atouts de ce texte. Au risque cependant de l'inondation ... "une éducation", un livre trop stylé?
Oui : Très belle description de Paris au 18° siècle, de sa biologie, de son souffle et de ses remugles. Une écriture biologique bien trop rare (à mon gout!) dans la production actuelle.
Non: Dans ce beau texte plusieurs problèmes se posent toutefois:
- Problème du narrateur : On ne sait pas qui parle et du coup l'édifice bouge en entier sur son socle. Si le narrateur vit au 21 ° siècle, comment connait-il aussi bien les odeurs de Paris au 18°?; Si le narrateur est sur l'épaule de Gaspard comment peut-il parler de ciel "impressionniste" et faire autant de faute de chronologie dans le choix du champs lexical ? Mystère...
- Problème de la narration : L'histoire de Gaspard apparait comme un prétexte pour permettre à l'auteur de parler de son vrai sujet: le corps, la proximité, la crasse, les odeurs et la biologie. du coup cette pauvre histoire (déjà assez squelettique et peu fouillée) est un peu traitée à coup de hache et la narration chibre complètement toute notion d'écoulement du temps et de rythme: on saute, on avance, on stagne sans logique précise ni cohérence...
-Problème du champ lexical: On est chez Gallimard et le champ lexical choisi est csp+++... Soit. Sauf que l'emploi de ce champs là ne se justifie pas outre mesure pour raconter l'histoire d'un paysan de basse Bretagne au 18 ° siècle, il me semble même carrément incongruent. En plus il n'est pas parfaitement maitrisé ( "méconial" s'applique-t-il pour décrire un vieillard ?) voire tombe carrément à coté de la plaque (ils "rirent de conserve", franchement, chez Gallimard...). A l'arrivée cela me donne l'impression un peu plane de lire de la littérature bien peignée, bien dégagée autour des oreilles d'un étudiant en lettres fraichement sorti de la Sorbonne... Ceci en décalage total (voire opposition !) avec le sujet... L'impression enfin que JBDA veut parler de quelque chose... mais qu'il n'ose pas et tourne autour en se cachant derrière des mots chics et une histoire "trop bien construite pour être honnête".
Conclusion: "Une éducation libertine" est un des meilleurs livres sorti récemment que j'ai lu ces derniers temps. Le, sujet, l'envie de se frotter à la biologie et au corps me semblent prometteurs... Quand on sait en outre que c'est un premier roman, malgré ses (gros) défauts je me dis que je vais certainement suivre attentivement JBDA.
Oui ou non: Oui. Mais sans l'espoir de lire un chef d'oeuvre... Ce n'est pour moi qu'un premier roman très prometteur (ce qui, certes, est déjà beaucoup...;) ).


Lien : http://xannadu.canalblog.com
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Gaspard, issu de parents paysans pauvres connaît en Bretagne la médiocrité de la misère. Son père et sa mère meurent de façon pathétique. Frustre mais sachant lire et ayant écouté les histoires de mère, le jeune Gaspard tente sa chance à Paris où l 'assaillent d'abord la masse des miséreux et l'accumulation des immondices. Il semble bien que sorti de la fange, Gaspard y retourne et les débuts sont difficiles jusqu'à ce qu'il rencontre un perruquier. Chez lui, il rencontre le crépusculaire Étienne de V qui le prend en main et le façonne. C'est que l'éphébe Gaspard peut compter que son physique et son pouvoir de séduction pour réussir. Certes il faut passer par le bordel puis par la séduction de deux nobles âgés mais l 'ascension sociale est certaine et elle se fait avec le secours discret du comte Étienne de V. Parallèlement, Gaspard ne cesse jamais d'être hanté par la fange et la mort et sa fin est inéluctable.
C'est un roman crépusculaire et foisonnant écrit dans une langue souvent savante et riche en références multiples. L'atmosphère y est particulière et délétère. Gaspard, sombre héros prisonnier de lui même semble être ce veuf, cet inconsolé dont le luth constellé évoque la mélancolie chez Nerval. Mais il y a Baudelaire aussi et Edgar Poe et le Huysmans de A rebours...
Un livre surprenant, un livre de lettré. Je l'ai aimé mais je comprends qu'on puisse s'en détourner.
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Gaspard, fils de porchers, débarque dans le Paris de Louis XV. le jeune homme est ambitieux mais ne connait rien au monde et à la vie. Il est pris en charge par Lucas qui l'initie au métier de flotteur, ce qui lui évite de mourir de faim mais ne le sort pas de la misère. Puis il se fait embaucher par le perruquier Billod, qui le fera rencontrer Etienne de V., un comte qui l'initiera à la vie et à la sexualité. Retour à la rue, rencontre de la prostituée Emma et passage dans un hôtel de passe où il accueille de nombreux clients avant de retourner dans le monde aristocratique pour devenir le gigolo de certains messieurs. Rôle qui lui permettra enfin d'aboutir à ses ambitions.
Mais à quel prix ? Méprisé par Etienne de V., traité comme de la chair à plaisirs par ses clients, puis ses amants, le jeune homme apprend à oublier tout sentiment pour réussir à renverser le rapport de force dans les liens qui l'unissent aux autres. Une attitude qui va vite l'emmener vers une attitude autodestructrice.
Et puis surtout, dans ce roman, il y a l'odeur. Et l'auteur semble se complaire dans les pires odeurs qui soient (heureusement que le livre n'est pas fournir avec une carte à gratter en odorama).
Certes, le XVIIIe n'était sûrement pas le siècle de l'hygiène, mais ici tout est crasse, pourriture, corps qui se putréfient, les gens pataugent dans leur déjection, les rues sont des décharges à ciel ouvert, la Seine un égout en plein air. Une puanteur qui semble avoir gangrené les cerveaux : tout y est rapport de force, humiliation, cupidité, avidité et obscénité. le personnage principal est loin d'être sympathique. Gaspard est traité pire qu'une bête de somme avant de faire subir le même sort aux autres. Quant à ceux, modestes, qui lui tendront la main, il n'aura de cesse de les fuir et de les maudire.
Un roman qui met mal à l'aise, entre nihilisme et misanthropie, une vision sombre voire malsaine de l'humanité.
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Certains passages ont été survolés. Des pages entières ont été lues en diagonale...je n'ai eu aucune peine à le laisser. Pas envie de le reprendre. Je me suis ennuyée pendant cette lecture malgré certains paragraphes intéressants...Que dire sur ce roman ? Bah ! rien de plus...il me laisse froid... Très bien écrit mais je n'ai pas accroché...Je le reprendrai peut-être un jour mais sans aucun désir pour l'instant....
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Le roman est glauque, ça oui. le roman est osé, c'est vrai. Quant à savoir s'il est cru ou non… Je dirai plutôt que tout est une question de dose dans le style. Soyons clair : Maylis de Kerangal ou Nancy Huston, ça c'est cru oui. Jean-Baptiste del Amo parle en effet de la sexualité, de l'homosexualité et de vices liés à l'ascencion sociale d'un paysan sous diverses formes. Mais le style est aérien, on flotte au-dessus des événements. L'auteur réussit à nous faire accepter la cruauté comme par enchantement (seule la fin du roman m'a écoeurée). Donc, à ceux qui ont lu le Livre des Choses perdues (Connolly), Lolita ou Ada (Nabokov), Infrarouge ou tout autre Nancy Huston, le Parfum (Süskind) ou bien quelques petites histoires du marquis de Sade, vous pouvez vous plonger dans ce roman sans être horrifié. Donc peut-être que quelques petites âmes innocentes se sont égarées dans le rayon Littérature française de leur librairie (bien qu'avec un titre pareil, il faut vraiment le vouloir), mais sinon le livre est loin d'être très choquant.
Une autre critique mais cette fois-ci sur le titre. le roman devait s'appeler initialement « Fressures ». Les lecteurs et éditeurs de Gallimard n'ayant pas trouvé ça assez percutant ont changé par Une éducation libertine. Que ceux (et celles) qui cherchaient à lire un petit roman croustillant passent leur chemin. La première scène érotique est vers page 300 et il y en a encore trois ou quatre après cela. Dans les deux cas, les titres ont été mal choisi : celui de del Amo était bien vu mais on ne rentrait pas assez dans le contexte de 1760, alors que celui de Gallimard fait un peu publicité mensongère.
Lien : http://biblio.anassete.org/?..
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Gaspard est un jeune breton débarquant dans la capitale en quête d'aventure et de considération, ce qu'il n'avait pas chez ses paysans de parents.
Le roman commence par une longue (trop?) description de Paris à cette époque. Ça aurait vraiment pu être intéressant mais j'ai l'impression que l'auteur a voulu trop bien faire. Oui le lecteur a compris que Paris était une ville puante à cette époque, que la sueur côtoyaient les excréments et la pourriture. Il l'avait compris au bout de trois pages alors pourquoi insister lourdement pendant 50 pages?

Ensuite, le livre m'attirait par son titre et sa quatrième de couverture qui promettaient un parcours initiatique, une ascension dans les milieux non-autorisés du XVIII° siècle et là aussi: quelle déception! Mais je sais pourquoi... Quelquechose me titillait au fur et à mesure que j'avançais dans ma lecture et je n'ai pu m'empêcher de penser au "Parfum" de Patrick Sünslind que j'avais adoré! Mais un sous-Sünskind. Là où l'auteur allemand avait su recréer une ambiance certes nauséabonde mais crédible et délicate, del Amo n'arrive qu'à lasser son lecteur.

Parlons maintenant du "parcours initiatique" promis : Gaspard commence par trouver un emploi des bas-fonds: plonger dans la Seine. Mais le plus invraisemblable est qu'il arrive ensuite à devenir garçon perruquier, emploi bourgeois au service de l'Aristocratie qui nécessitait des recommandations. Bon admettons...
Mais voilà que notre garçon porcher de Quimper réfléchit beaucoup et sait lire... comme par magie. Trop c'est trop!
La relation qu'il entretiendra avec son mentor n'est pas digne du titre de libertinage tant elle est traitée superficiellement.

Peut-être suis-je trop exigeante. J'en attendais beaucoup de ce jeune auteur et je suis déçue. Espérons que ses prochains romans seront plus intéressants que celui-ci...

Lien : http://lectrissima.blogspot...
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Les Infortunes de Gaspard.

1760. Sous la canicule d'août, Gaspard fils de rien entre dans Paris pour faire fortune. La fange et la misère lui ouvrent tout grand les bras, sous la tutelle matriarche de la Seine, gorge noire de Paris qui draine sur ses rives comme sous ses eaux toute la crapule et la misère. L'héroïne c'est elle, divinité des miséreux et maquerelle des morts. C'est elle qui porte et assume la noirceur du siècle. Car l'originalité de ce roman picaresque tient en ce qu'il va à l'encontre de l'image positive des Lumières que nous avons. Ici, l'ascension ne se fait pas par la raison et l'Esprit. Depuis un siècle déjà que Dieu a déserté, on s'épanouit par les Enfers. On s'envoie en l'air avec la turpitude piétinée des corps. On gravit par les turbulences hasardeuses de la Fortune. Bref, on triomphe par le cynisme. Telle est la manière de bien former les hommes.

A travers le parcours initiatique de son jeune héros, Une éducation libertine nous tend un miroir crasseux et puant de la fin du siècle. Tantôt Charon du Fleuve Cruel, chargé d'exhumer les cadavres que charrie la misère, tantôt apprenti perruquier, amant d'infortune ou giton de coussins, croupissant sous les séries de corps gras et bleus, Gaspard nous promène sur les deux rives de la Seine à la rencontre de ces clandestins sans papiers de la grande Histoire : les prostituées, les invertis et tous les métiers de l'ombre, des équarrisseurs aux vendeurs de chanson en passant par les farines de la noblesse invertie. Grimé, violent, chaque personnage est olfactif et pictural, comme découpé dans un tableau de Goya. Chacun est un enfant de Saturne dévorant ses enfants. Saturne c'est la Seine, bien sûr, avec cette langue rouge et noire qui jouit des créatures qu'elle engendre et déchire.

Pour ce premier roman, instruit et inspiré, littéraire avant tout, Jean Bapsiste del Amo affirme son amour particulier pour le morbide et le faisandé. Sous sa plume baroque, maniériste parfois, les corps sont enlaidis, déformés par la misère morale autant que par les ombres dévorantes du décor. le parcours picaresque est rousseauiste : par l'amoralité de ces hommes brutaux et l'obscurantisme conquérant de leurs pulsions. Bien sûr, nul recours à la justification et à la mystification littéraire qui font la parure des Confessions. Car au-delà des Lumières et de ses moralistes, Jean Baptiste del Amo a retenu la leçon moderne de Zola et des Grands romanciers du XIXème siècle. L'écriture jouit parfois jusqu'à la saturation de l'hyperbole morbide plus proche de l'exagération zolienne que de la rigueur des Classiques. Styx plus que Jourdain, la Seine, fleuve de sang, est un Destin qui prédétermine les vies. On s'en réjouit. L'histoire se dévore, le plaisir de lecture est sans pareil. On entre dans cette odyssée baroque comme un libertin au festin d'un Rastignac en gilet rose.
A lire sans modération.


Une éducation libertine, Jean-Baptiste del Amo, Gallimard, 2008, 431 pages, 19euros.

©ameleia.
ameleia.over-blog.com pour Babelio




Lien : http://ameleia.over-blog.com/
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Une éducation libertine, c'est :

L'histoire du jeune Gaspard qui quitte Quimper et sa porcherie d'enfance pour Paris et ses raffinements, sa débauche.
L'histoire d'une ascension sociale, ou tout comme.
La Seine qui revient à toutes les pages. Pour un roman qui se passe à Paris, fallait trouver l'idée.
Une métaphore filée (mais assez mal, du coup ça fait des noeuds) du Sexe sous toutes ses formes. On pourra d'ailleurs savourer Paris sous les traits d'une vulve géante et nauséabonde. le pied.
Un roman initiatique qui s'embourbe.
La référence inutile à L'Éducation sentimentale. Laissons à Flaubert ce qui est à Flaubert.

Suite à cette lecture, je sais que :

Des cheminées peuvent être arthritiques et une bouche iconoclaste (entre autres). Pourquoi pas, remarque.
Paris puait, puait, puait.
La Seine était sale, sale, sale.
Les gens étaient dégoûtants, dégoûtants, dégoûtants.
« le contact du pectoral sous [une] paume [peut inonder un] corps de concupiscence » (pour plus de détails sur cette magnifique scène de sexe, allez tout de suite à la page 213, sans passer par la case Départ).
Parler d'homosexualité, c'est bien. D'ailleurs, on n'est pas homophobes. Mais faudrait quand même pas oublier que la sodomie, c'est l'humiliation, l'asservissement, la soumission. le Mâââââl.

Suite à cette lecture, je pense que :

Quand on compare de la fumée à une haleine, qui serait aussi blanche qu'une semence (que mille semences même ! plus y en a, plus c'est blanc ?) qui serait éjaculée dans un ciel stérile, et bien ça revient à confondre la bouche et le sexe. Dans ce cas précis, je conseille : des cours d'écriture, une révision de l'anatomie, un abonnement chez le psy (c'est monsieur Freud qui s'en donnerait à coeur joie !)
Certains auteurs imaginent qu'ils sont encore payés à la ligne.
Certains auteurs imaginent que s'ils adjoignent n'importe quel adjectif à n'importe quel nom, ça aura bien du sens pour quelqu'un et puis que, finalement, même si ça n'en a pas, c'est poétique.
Certains auteurs imaginent que la finesse, c'est superflu.

Et sinon :

Jean-Baptiste del Amo est vachement en avance sur son temps : en 2008, écrire un roman qui tourne autour de l'homosexualité, c'était pas encore la mode.
Les comités des prix Goncourt du Premier Roman, Laurent Bonelli, Fénéon et François Mauriac de l'Académie française devaient se dire que c'était avant-gardiste et super politique comme ouvrage.

Je me souviens d'un cours de français où le sujet de dissertation était, en gros et à propos de Julien Sorel dans le Rouge et le Noir de Stendhal : Julien est-il un parvenu qui ne parvient à rien ? Ça avait donné lieu à un débat avec moult arguments et contre-arguments.

Ici, nous pouvons affirmer clairement que Gustave est un parvenu qui ne parvient à rien, et que c'est inintéressant au possible. Soyons fous et allons jusqu'à dire que Jean-Baptiste del Amo est un auteur qui ne parvient pas à grand-chose.
Lien : https://auxlivresdemesruches..
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