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Jean-Yves Delitte (Autre)Jean-Yves Delitte (Autre)Marco Bianchini (Autre)
EAN : 9782344043080
56 pages
Glénat (16/03/2022)
3.75/5   8 notes
Résumé :
La dernière armada du XXe siècle pour la reconquête d’un archipel perdu.

En 1981, une nouvelle junte militaire succède à une précédente en Argentine sous fond de crise financière. Une junte qui dès lors est confrontée au mécontentement et au risque évident d’une insurrection. C’est alors qu’un archipel situé à 200 milles nautiques des côtes revient en mémoire. Les Falklands, un territoire anglais de quelques kilomètres carrés peuplé de 700 000 moutons... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Un chien on le dresse avec le bâton, pas avec des caresses.
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Ce tome est le dix-huitième de la série Les grandes batailles navales, écrite par Jean-Yves Delitte qui en a également dessiné huit. Chaque tome est indépendant de tous les autres. La première édition date de 2022. Ce tome comporte quarante-six pages, dessinés par Mario Bianchini assisté de Francesco Mercoldi, et mises en couleurs par Douchka Delitte. Il comprend un dossier historique de sept pages, illustré par des photographies d'époque, rédigé par Jean-Yves Delitte. Les autres albums de la série sont consacrés soit à une bataille, soit à un navire : Jutland, Trafalgar, Chesapeake, Lépante, Tsushima, Stamford Bridge, Hampton Roads, Midway, Texel, Salamine, No Ryang, le Bismarck, Actium, La Hougue, Gondelour, Gravelines, Leyte. Il commence par une préface d'une demi-page en petits caractères, rédigée par Denis-Michel Boëll, conservateur général du patrimoine, sur les enjeux des batailles navales, et le principe de les raconter par le prisme de personnages embarqués dans ces aventures, sur la base d'une enquête documentaire rigoureuse.

L'archipel des Falkland perdu dans l'Atlantique sud rentre dans l'Histoire avec les grandes découvertes de la fin du XVIe siècle. Anglais, Espagnols, Français, Argentins, vont alternativement exprimer des prétentions territoriales sur ces quelques kilomètres carrés de terres arides, balayés par des vents glacials. En 1981, une nouvelle junte militaire accède au pouvoir en Argentine, avec à sa tête le général Leopoldo Galtieri, proche du tristement célèbre Jorge Rafael Videla. le pays est alors confronté à une situation financière catastrophique où l'inflation explose. Pour les généraux argentins, il faut trouver une parade au risque de voir le mécontentement se généraliser et tourner au pugilat public, pour ne pas dire à l'insurrection. C'est alors que l'archipel revient à la mémoire de la junte argentine. Les quelques kilomètres carrés de terre, peuplés de 700.000 moutons et d'un millier d'âmes selon les imaginaires, deviennent subitement une cause nationale. le premier avril 1982, l'Argentine, pays refuge pour les nazis et dictature militaire sans honneur, avait envahi des terres anglaises perdues dans le Pacifique sud. le 2 mai 1982, le sous-marin anglais HMS Conqueror répondait à l'acte insensé des Argentins en coulant le croiseur Ara General Belgrano. La guerre que d'aucuns tentaient encore d'éviter était devenue une réalité.

La flottille anglaise file paisiblement vers les Falkland. À bord du HMS Sheffield, dans l'antre du navire, l'officier radar écoute avec nonchalance de la musique à la radio, tandis que l'officier de surveillance aérienne tout comme son suppléant ont quitté leur poste. Cerise sur le gâteau, les défenses rapprochées ne sont pas approvisionnées en munition et n'ont aucun serveur. La suite est dès lors un enchaînement implacable. Deux pilotes argentins se rapprochent à basse altitude. Puis, suivant une procédure parfaitement maîtrisée, ils reprennent de l'altitude, allument leur radar d'approche, arment leurs missiles – Exocet de type AM39 air-mer – avant de presser la détente de tir et de virer pour rejoindre leur base.

Le titre de la collection est explicite et fait office de promesse : raconter une grande bataille navale. En fonction de son inclination et de sa connaissance préalable de ce conflit, le lecteur peut choisir de commencer par la bande dessinée elle-même, et voir s'il lui reste assez de curiosité pour lire le dossier en fin de tome, ou s'il préfère l'inverse pour avoir un aperçu du conflit et des détails techniques avant. Quoi qu'il en soit, son horizon d'attente comprend le fait que cette bande dessinée se présente comme une oeuvre d'Histoire. La couverture peut l'étonner car elle met au premier plan un avion, mais le dossier explicite le fait que les batailles navales impliquent l'aviation qui y joue un rôle prépondérant depuis le vingtième siècle. La couverture a été réalisée par Delitte et elle s'étend sur la première et la quatrième de couverture mettant en valeur le vol de ces chasseurs, avec l'océan en arrière-plan et une petite portion de terre derrière les nuages. le lecteur découvre ensuite les dessins de Francesco Mercoldi : ils s'inscrivent bien sûr dans un registre réaliste et descriptif pour réaliser une reconstitution historique fidèle et précise. Bien évidemment le lecteur guette de grandes cases mettant en valeur les navires et les avions de chasse. Ça commence avec une case de la largeur de la page montrant des torpilles filant silencieusement sous l'eau. Ça continue avec le vaisseau HMS Sheffield fendant les flots. Page neuf, le lecteur découvre une partie de la flottille britannique dans une case occupant les deux tiers de la planche. Planche onze, un avion décolle depuis le pont d'un porte-avions. Page suivante, deux avions argentins volent juste au-dessus des flots. Par la suite, le lecteur peut admirer un combat aéronaval pages vingt et vingt-et-un, puis un combat aérien, avec des tirs de canons terrestres, un vol d'hélicoptères, l'avancée d'une colonne chars.

De manière inattendue, l'artiste ne cherche pas à magnifier la puissance de feu des avions, des navires, ou des véhicules militaires, ni même leur capacité de destruction. À les voir évoluer, le lecteur se retrouve surtout impressionné par leur allure qui atteste de la réussite technologique qu'ils constituent. Ce n'est pas une forme de majesté qui impose le respect, c'est l'évidence de voir évoluer des engins fiables et robustes, capables de tenir leur place sur un océan agité, ou de fendre les airs en toute sécurité pour les êtres humains à l'abri à l'intérieur. le dessinateur s'inspire bien sûr d'images militaires, mais sans exagérer les angles de prises de vue ou les prouesses d'évolution. de même, la coloriste reste dans un registre naturaliste, et même volontairement terne. Ce ne sont pas des engins rutilants pour en mettre plein la vue comme à la parade, mais des outils robustes à l'efficacité éprouvée. Il en va de même pour la représentation des militaires : pas de rodomontades, de lunettes de soleil avec reflet esthétique, ou de muscles gonflés et huilés, ni même d'hommes avançant contre les éléments dans des tenues déchirées. Il s'agit d'individus bien différenciés, et pas d'une masse d'hommes interchangeables, certains avec un uniforme argentin, d'autres avec un uniforme britannique : ils ont tous un visage unique et une morphologie avec quelques détails même si ces derniers sont peu nombreux car gommés par les uniformes. Pour autant le lecteur reconnaît au premier coup d'oeil Augustin Tosco Valdès, soldat argentin.

Le lecteur prend vite conscience qu'il évolue dans un monde d'hommes, sans aucune femme. Il voit également que les auteurs respectent la ligne éditoriale de cette collection : raconter la guerre à hauteur d'homme. Il voit donc des soldats britanniques comme argentins, quelques officiers, un conseiller militaire ex-nazi. Ces personnages discutent, commentent la situation, donnent parfois leur avis en prenant du recul. Il n'y a que Augustin Tosco Valdès dont l'histoire personnelle soit un peu développée. D'un côté, ces êtres humains font exister ce conflit, lui donnent un peu de chair ; d'un autre côté, sans être interchangeable, ils ne deviennent pas familiers au lecteur. D'un côté, les auteurs atteignent l'objectif de montrer que la guerre est faite par des êtres de chair et de sang, sans jugement de valeur autre qu'il s'agit de bons professionnels qui ne sont ni sanguinaires ni des extrémistes patriotiques. de l'autre côté, ils n'ont pas de point de vue sur leur métier, ou sur le conflit. Il n'y a qu'Augustin qui évoque l'injustice de la junte argentine et ses exactions, et qui manifeste son opposition à la présence d'ex-nazis en tant que conseillers de l'armée. Il en découle un patriotisme très ténu et générique qui n'a rien de militant : la condamnation d'un régime dictatorial par rapport à une démocratie, mais sans entrer dans le détail.

En termes de narration de la guerre, le lecteur apprécie donc la qualité de la reconstitution historique visuelle, le soin apporté aux éléments militaires, les prises de vue des batailles. Il se rend compte que le scénariste fait l'effort de faire respirer son récit, avec quelques pages comportant des informations, contrebalancées par d'autres focalisées sur l'action, et même huit pages dépourvues de phylactères et de cartouches de texte, sans aucun mot. La contrepartie de ce mode narratif implique une place limitée pour intégrer les informations historiques. de fait, l'auteur ne place pas de date pour chaque séquence, ce qui est assez surprenant pour une reconstitution historique. le choix de raconter la guerre à hauteur d'homme induit également que le lecteur n'assiste pas aux réunions d'état-major, aux prises de décision stratégiques, ou encore aux répercussions médiatiques des affrontements, que ce soit du côté argentin, du côté britannique, ou à l'échelle de l'opinion mondiale. de ce point de vue, s'il n'est pas familier avec les différentes phases de ce conflit, il a tout intérêt à commencer par la lecture du dossier en fin d'ouvrage, pour pouvoir mieux saisir l'ampleur de certaines ellipses.

Cette reconstitution de la guerre des Malouines se montre intéressante par ses représentations visuelles, et par son approche très professionnelle de l'armée. Elle peut s'avérer un peu frustrante par le manque d'épaisseur des hommes en uniforme dont les propos sont exempts de tout point de vue, ou par la faible teneur en exposé de faits historiques, en analyse stratégique ou géopolitique.
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En avril 1982, la junte argentine tente un coup de poker en détournant l'attention de ses citoyens, des réalités économiques, en envahissant les Malouines.
Ces îles, pourtant sous pavillon anglais ne représentent que peu d'intérêt, et pour les généraux argentins, cette prise symbolique sera sans conséquences diplomatiques, mais d'une aide précieuse sur le plan national.
C'était sans bien connaître les anglais, qui se présenteront un mois plus tard avec une Royal Navy suréquippée au large des îles.
En un peu plus de deux mois, soit 72 jours, la cause est entendue. Les anglais infligent des pertes énormes aux argentins qui se voient contraints de demander l'arrêt des combats.
Ils voulaient la gloire, la fierté nationale, ils ont trouvé plus fort qu'eux et la honte de la défaite.

Un excellent album, un de plus, qui nous replonge au coeur de cet enjeu diplomatique et d'une guerre, que personne n'a vu venir, mais qui démontre à quel point l'Angleterre entend défendre ses territoires sans la moindre concession.
Un dossier très intéressant est également ajouté à la fin de l'album.
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Dernier album paru de la série les grandes batailles navales. Alors que je m'attendais aux habituelles qualités et défauts de cette série, j'ai été agréablement surpris par la qualité du dessin des personnages souvent bâclés dans la majorité des autres albums. le scénario est bon.
J'ai bien aimé les deux histoires parallèles, surtout celle du soldat argentin. Un bon cru, toujours bien servi par un dossier historique en final d'album.
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critiques presse (1)
LigneClaire
20 juillet 2022
Un album très intéressant qui remet bien cette guerre dans son contexte et un cahier historique complet à la fin.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
L’archipel des Falkland perdu dans l’Atlantique sud rentre dans l’Histoire avec les grandes découvertes de la fin du XVIe siècle. Anglais, Espagnols, Français, Argentins, vont alternativement exprimer des prétentions territoriales sur ces quelques kilomètres carrés de terres arides, balayés par des vents glacials. Mais les revendications territoriales seront toujours modérées et sans grande conviction. Elles deviendront même inexistantes avec le percement du canal de Panama qui fait perdre à ces terres reculées davantage d’intérêt. Arrivent alors les années 1970. L’Argentine est, depuis son indépendance, un état qui n’a cessé de vaciller entre une apparente démocratie et une féroce dictature. En 1981, une nouvelle junte militaire accède au pouvoir avec à sa tête le général Leopoldo Galtieri, proche du tristement célèbre Jorge Rafael Videla. L’Argentine est alors confrontée à une situation financière catastrophique où l’inflation explose. Pour les généraux argentins, il faut trouver une parade au risque de voir le mécontentement se généraliser et tourner au pugilat public, pour ne pas dire à l’insurrection. C’est alors que l’archipel revient à la mémoire de la junte argentine. Les quelques kilomètres carrés de terre, peuplés de 700.000 moutons et d’un millier d’âmes selon les imaginaires, deviennent subitement une cause nationale. Dans les écoles, des cours aux relents nationalistes sont diffusés à travers des démonstrations fumeuses et prétendument scientifiques, on s’acharne à convaincre ces terres éloignées du bien-fondé de la souveraineté argentine. L’Argentine conteste la souveraineté des Falkland depuis de nombreuses années. Les Nations Unies ont d’ailleurs acté le fait qu’il y a déjà eu quelques menaces, des mots plus forts que les autres. Dès lors, pourquoi pas, finalement, prendre par la force ce qu’on considère comme sien ? C’est à l’amiral Jorge Isaac Anya que revient la tâche d’élaborer le plan d’invasion. Il fait partie du trio qui gouverne d’une main autoritaire l’Argentine, et il n’a jamais caché sa profonde aversion pour les Anglais : tuer des soldats de sa majesté Elizabeth II est un geste salvateur à ses yeux. […] Le premier avril 1982, l’Argentine, pays refuge pour les nazis et dictature militaire sans honneur, avait envahi des terres anglaises perdues dans le Pacifique sud. Le 2 mai 1982, le sous-marin anglais HMS Conqueror répondait à l’acte insensé des Argentins en coulant le croiseur Ara General Belgrano. La guerre que d’aucuns tentaient encore d’éviter était devenue une réalité.
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Mais l’audace va être payante. Appuyés par une stratégie militaire pertinente, les Anglais vont réussir à limiter les risques par un coup de poker en deux actes. Le premier se déroule le premier ami. Alors que la force navale anglaise arrive sur zone, que la Georgie du Sud a déjà été reprise par des commandos, des bombardiers Avro Vulcan lâchent des chapelets de bombes sur les infrastructures portuaires et aéroportuaires des falkland. Qu’importe que les bombardiers anglais soient vieillissants, leur mise en service remonte à 1956, l’effet du bombardement fait prendre conscience aux Argentins de leur vulnérabilité et ils décident de maintenir la plupart de leurs avions sur le continent. Le second acte se déroule dès le lendemain, le 2 mùai, dans les eaux froides de l’océan Atlantique Sud quand eux torpilles de type Mark 24 Tigerfish, l’une des plus récentes torpilles mises au point par la Royal Navy, munie d’un sonar d’acquisition, tirée par le SNA HMS Conqueror viennent éventrer la carène du ARA General Belgrano. De nombreux vaisseaux de guerre ont eu à affronter le choc avec une torpille depuis que l’engin est devenu une arme de guerre dans les toutes premières années du XXe siècle. Malgré les filets, le blindage, les caissons anti-torpille et les compartiments étanches, l’issue a souvent été la même : le naufrage. La liste des victimes des torpilles est longue, très longue. En ce 2 mai 1982, quelques minutes après 16h, heure locale, le croiseur ARA General Belgrano et ses 10.000 tonnes ne sera donc qu’un nom de plus sur cette liste. Certes, le navire n’est pas de première jeunesse – il avait été initialement un croiseur de l’USS Navy lancé en 1938 et appartenant à la classe Brooklyn et baptisé USS Phoenix avant d’être, comme d’autres vaisseaux, revendu à l’Argentine en 1951 puis modernisé – mais son naufrage donne des sueurs froides à l’amirauté argentine qui craint de voir d’autres de ses vaisseaux subir le même sort. L’ordre est donné aux navires argentins de rester au mouillage dans leurs ports. Le naufrage du croiseur argentin va faire la Une des tabloïds anglais, avec la légende sans équivoque : Gotcha !, voulant dire simplement On vous a eu. D’aucun aurait pu espérer, après ces deux coups d’éclat et l’insistance pressante de nombreux pays, que les deux protagonistes redeviennent raisonnables. Il n’en fut rien.
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Soldats des forces argentines, vous êtes complètement seuls. Il n’y a plus d’espoir que votre mère patrie vous vienne en aide. Vous êtes condamnés à votre triste destin sur une île éloignée de tout. Bientôt vous allez être en proie aux rigueurs du cruel et impitoyable hiver des Falkland, sans que la marine puisse vous apporter des renforts et des provisions dont vous avez désespérément besoin. Vos familles vivent dans la terreur de ne plus jamais vous revoir. Vous avez fait votre devoir. Pour quelles raisons vous trouvez-vous dans cette situation calamiteuse ? Ce sont les responsables égoïstes qui se sont nommés eux-mêmes chefs de l’Argentine, qui ont pris la parole sans considérer les souhaits du peuple argentin, qui vous ont envoyé dans cette ridicule aventure. Maintenant ces leaders regardent pour trouver une solution pour masquer leur stupide incompétence. Vous avez donné tout ce que votre pays pouvait exiger. Il n’y a que les généraux qui vous en demandent plus. Ce n’est pas juste que vous payiez e vos vies pour eux.
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J’ai pas de certificat scolaire, mais je sais encore constater que le prix du pain n’a pas cessé de grimper ! Tout comme l’essence à la pompe !
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Navire amiral ! Ce n’était qu’un vieux croiseur. Tu en as de ces mots pour parler d’une barrique de métal qui remonte à la seconde guerre mondiale et qui a évité d’être ferraillée parce que l’USS Navy l’a revendue aux Argentins.
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Vidéo de Jean-Yves Delitte
Dans le cadre du festival Etonnants Voyageurs 2017, nous avons rencontré Jean-Yves Delitte, peintre officiel de la marine de Belgique et directeur de la collection Les Grandes Batailles Navales chez Glénat. Entretien en dessin avec ce marin qui garde les pieds sur terres.
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