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EAN : 9782374280356
130 pages
Atelier de l'Agneau (15/01/2020)
3.2/5   5 notes
Résumé :
Deux apprentis : Francis Bonenfant (Charles Dickens l’hyper actif) et Thomas Loisif (Wilkie Collins, le nonchalant) voyagent dans le Nord de l’Angleterre. Leur récit en 5 épisodes parut entre le 3 et le 31 octobre 1857 parut dans le magazine Household Words. Une envolée dans l’imaginaire : voyage mouvementé en train de Londres à Carlisle, randonnée catastrophe au Mont Carrock, presque-repos gourmand en bord de mer à Allonby, fantomatique rencontre autour du Château ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
The lazy tour : Les pérégrinations de deux apprentis oisifs est un livre écrit à quatre mains par Charles Dickens et Wilkie Collins. Il a initialement été écrit sous forme de feuilleton. Ayant adoré Charles Dickens plus jeune, j'avais lu Oliver Twist, David Copperfield, Les grandes espérances à l'affilée, j'étais contente de le retrouver avec ce court roman en cinq chapitres.
Même s'il ne fait qu'une centaine de pages, je l'ai trouvé un peu long. Les aventures de Francis et Thomas (les avatars des deux auteurs) ne sont pas tellement développées et comme un comique de répétition, on y retrouve souvent les adjectifs oisifs et paresseux. Quelques histoires à tiroirs qui ressemblent à celles qu'on peut retrouver dans leurs oeuvres. Exemple, celle du fils batard du docteur qui rencontre son demi-frère, ressemble un peu aux romans de Charles Dickens (mais racontée par Wilkie Collins). J'ai aimé apprendre cette époque que j'avais un peu oublié entre-temps mais sinon je ne retiendrai pas grand chose de ce livre (même si j'ai apprécié le détail des annotations).
Merci aux éditions Atelier de l'Agneau et à Masse Critique pour cette lecture.
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Charles Dickens et Wilkie Collins ont écrit ensemble cinq articles dans un magazine anglais en 1857.
Ces articles sont regroupés dans ce petit volume d'une centaine de pages.
Les deux écrivains narrent leurs "pérégrinations " sur des sites anglais.
Ces deux voix, joyeusement sarcastiques, s'accordent à merveille dans ces petits récits reproduits dans cinq chapitres.
On retrouve toute la force de la plume de ces deux géants de la littérature anglaise, et la polyphonie permet d'ajouter encore à l'ironie grâce au décalage produit. La moindre petite aventure est tournée en dérision et fait l'objet d'une narration épique.
J'ai beaucoup apprécié ce volume et je le recommande à toute personne désirant passer un moment amusant en compagnie de ces auteurs.
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Ces récits ont été écrits et publiés dans un journal anglais en 1857. Leurs deux auteurs ont choisi de raconter comment ils s'exercent à l'oisiveté. Pour ce faire, ils partent dans le Cumberland, comté à la frontière de l'Ecosse. L'ennui n'est malheureusement pas loin pour le lecteur quand les dialogues relatés dans ces articles n'ont ni queue ni tête.
Un épisode est digne d'une nouvelle De Maupassant mais c'est trop peu pour l'emporter sur le reste. Ces articles devaient régaler un public averti sans doute, appréciant sans réserves les deux compères, déjà très célèbres. Ils ne se cachent pas de leur qualité « paresseuse ». de plus, il faudrait lire ces articles comme tels, parmi d'autres articles, et espacés dans le temps, plutôt comme un livre. Ainsi, l'ennui serait peut-être moindre.
J'ai été tentée par dans le cadre de l'opération Masse Critique parce qu'il s'agissait de Dickens. Merci à Babelio tout de même.
Lien : http://objectif-livre.over-b..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
L'allusion aux Courses de Doncaster par le médecin de Cumberland inspira à Mr Francis Bonenfant l'idée de descendre à Doncaster et d'assister aux courses. Doncaster étant fort éloigné et tout à fait hors de l'itinéraire des Apprentifs Oisifs (comme si quoi que ce soit pouvait être hors itinéraire pour qui n'en avait pas). Il s'ensuivit forcément que Francis perçut Doncaster et sa Semaine de Courses comme étant, parmi toutes les possibilités d'oisiveté, celle qui le satisferait le plus complètement.
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Vidéo de Charles Dickens
"Une des plus grandes auteures américaine actuelle qui revient avec un chef d'oeuvre ! Une transposition de David Copperfield dans les Appalaches digne de Charles Dickens ! " - Jean-Edgar Casel.
Demon Copperhead réimagine le roman de Dickens dans une Amérique rurale moderne confrontée à la pauvreté et à la crise des opioïdes ... le roman de Kingsolver vous emporte avec autant de force que l'original.
À retrouver en librairie et sur lagriffenoire.com https://lagriffenoire.com/on-m-appelle-demon-copperhead.html
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