René Fallet décrit sa prose comme irriguée principalement par deux veines : celle du Beaujolais et celle du whisky ; la première produisant des personnages et des situations hauts en couleurs, la deuxième les mêmes en plus mélancolique...
Il est incontestable que "
La grande ceinture" appartient à la veine du Beaujolais... C'en est même, à mon avis le premier chef d'oeuvre.
J'en veux pour preuve la magnifique adaptation de René clair au cinéma qui sera suivie de tant d'autres.