Et puis il y avait autre chose : depuis des années que nous sillonnions le sud du pays au sein des compagnies de mercenaires, assiégeant des châteaux pour le compte de tel ou tel seigneur, rançonnant les puissants pour le compte de tel ou tel autre, dont nous venions d’ailleurs parfois d’assiéger le château, le temps était venu pour nous de ralentir le rythme des tueries. Car il y a un temps pour tout. Un temps pour les massacres, et un temps pour l’oubli. Un temps ... >Voir plus