Ce second tome de l'histoire l'Aube de la nuit, et le second et dernier tome de Rupture dans le réel répond à toutes mes promesses.
Fini le temps des grandes découvertes, place à l'action sous toutes ses formes.
Je trouve ce space-opéra vraiment jouissif. Que ce soit dans sa construction, dans le traitement des personnages (masculins et féminins, humains et un peu moins xénomorphes), des planètes, des sentiments, de l'action ; tout est immersif.
On attend page après page la suite de l'histoire en ce demandant ce qui pourra bien arrivé à chaque membre d'équipe, s'attendant à la mort de l'un(e) à chaque paragraphe.
Je suis resté scotcher à ma lecture de bout en bout de cette histoire (premier et second tome). J'ai hâte de lire la suite de ce roman qui s'annonce de plus en plus passionnant.
Le réel est disruptif, l'Alchimiste du neutronium va entrer en vigueur.
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Le Tome 2 de la saga tient toute ses promesses, un climat angoissant et beaucoup de révélations sur les mystères de la première partie.
Excellent livre d'aventures avec un univers d'une richesse incroyable !
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- Joshua est bien plus qu’un capitaine d’exception. Durant toutes mes années d’existence, je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme lui. SA conduite est exécrable quand il est question de femmes, d’argent et même parfois de ses amis. Toutefois, si vous voulez bien excuser cette image maladroite, il est en phase avec l’univers. Il sait reconnaître la vérité. J’ai foi en Joshua, depuis le jour où je me suis engagé à bord du Lady Macbeth, et je continuerai à avoir foi en lui.
- Je veux réparer mes torts, dit Laton. Au moins en partie. Je doute qu’on m’accorde jamais le plein pardon dans cet univers, pas pour le crime que j’ai commis. Car c’était un crime, j’en conviens aujourd’hui. Tu vois, j’ai appris de toi combien j’étais jadis dans l’erreur. L’immortalité est une abstraction que nous cherchons tous à atteindre, car nous sentons qu’il y a une continuité au-delà de la mort. Nous en avons une idée imparfaite parce qu’il n’y a pas fusion complète entre ce continuum et l’état de vide qui le suit. Pour une large part, notre incompréhension de l’existence vient de là, toutes ces occasions gaspillées, tout ce baratin religieux qui nous encombre. Je me trompais complètement en voulant opérer un prolongement de l’existence physique, alors que celle-ci n’est que le point de départ. Je n’étais pas meilleur qu’un singe essayant de saisir l’image holographique d’une banane.
Vidéo de Peter F. Hamilton