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EAN : 9782709671309
384 pages
J.-C. Lattès (23/08/2023)
4.25/5   104 notes
Résumé :
Librement inspiré de la photographie représentant une femme tondue tenant un nourrisson dans ses bras, prise par Robert Capa le 16 août 1944 à Chartres au moment de l'épuration sauvage menée par la population française après la Libération, ce roman met en scène Simone, une femme libre et passionnée qui ne compte pas se laisser abattre par ce déchaînement de haine. Premier roman.
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Critiques, Analyses et Avis (37) Voir plus Ajouter une critique
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Elle a choisi son camp. En 1943, Simone travaille pour les allemands. Sans avoir vraiment toutes les données en main, malgré les souvenirs douloureux du père qui a vécu la première guerre contre les boches, et sans tenir compte des craintes de Colette, son amie. Elle se range du côté des vainqueurs, bien décidée à ne pas subir les difficultés du quotidien quand on ne ne bénéficie pas de passe-droit. Pour parachever le tableau, elle s'éprend du bel Otto, officier de la Wehrmacht.
Pourtant on le sait dès le début, la libération est aussi une période où l'épuration ne pardonne rien. Simone en fera les frais.

Elle est intelligente , ses résultats scolaires la promettent à un avenir brillant, et pourtant elle se laisse guider par des motivations vénales sans chercher à connaître réellement ce qui se passe. Sans être anti-sémite, elle se laisse porter par le discours ambiant, et en arrive à considérer qu'identifier les commerces juifs, c'est savoir à qui l'on a affaire. La disparition de Colette, c'est la trahison d'une amie, rien de plus. Les camps de travail en Allemagne, une bonne chose. D'ailleurs, on constate la grandeur de ce pays vainqueur sur les films de propagande. On voit à quel point elle se fourvoie dans ses raisonnements peu étayés.

Malgré son comportement peu responsable, le personnage n'est pas antipathique. Elle représente bien sûr cette majorité silencieuse et mal informée, que de tous temps a finalement pesé lourd dans la destinée politique du pays.

La seule circonstance où sa sincérité est claire, c'est l'amour qu'elle éprouve pour l'officier allemand. Un amour qui rend son jugement encore plus aveugle.

Avec une prose réaliste, un style quasiment oral, qui témoigne de l'inculture de Simone, le roman vous emporte dans un tourbillon de réflexions sur les choix, sur l'opportunisme, sur la facilité de juger et la violence contenue qui peut éclater à tout moment. Un brillant premier roman.

380 pages Lattès 23 août 2023

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Un premier roman impressionnant de maîtrise et d'intensité qui va illuminer la rentrée littéraire.
Avec la citation de Claudel, Julie Héraclès annonce la couleur : « les salauds, les saints, j'en n'ai jamais vus. Rien n'est ni tout noir, ni tout blanc, c'est le gris qui gagne… Les hommes et leur âme, c'est pareil… »
Simone s'est faite embochée - odieux terme pour insulter la petite amie de l'occupant. Incarnation de la disgrâce ? Vous ne savez rien de Simone, de son enfance, de sa souffrance, de son béguin pour Otto Weiss, l'allemand lettré qui honnit la guerre. Simone ressent, et cherche à comprendre. La brutalité et la bêtise des prétendus héros, la douceur et la grandeur des soi-disant monstres.
Julie Héraclès ne tombe jamais dans le piège d'un manichéisme outrancier. Son héroïne, Simone, aimait la langue de Goethe. Elle a cru, un temps, à cette nation fière et forte que promettait le führer (p178). Il n'y a pas de fumée sans feu. Il a pris lentement, une étincelle a suffi. Elle couvait sous les cendres de ses premiers émois corrompus, de ses espoirs fracassés, de toutes les humiliations subites. Pourquoi lui en vouloir ? La grande histoire s'est écrite à l'encre des vainqueurs, a posteriori, sans les précautions d'usage, au détriment des malchanceux et de ceux, le coeur et la morale engourdis, qu'elle a abandonnés à la croisée des chemins.
Un roman puissant dans le fond et dans la forme. Des phrases courtes qui rendent le récit plus alerte, tendu vers l'essentiel. Un bon usage de l'alternance des époques qui donne du relief aux personnages. Des dialogues réalistes qui insufflent à cette histoire tragique sa dimension romanesque.
D'une photo, Julie Héraclès a fait un très beau livre. Si « le baiser » de Robert Doisneau l'inspire, qu'elle n'hésite pas !
Bilan : 🌹🌹🌹
PS : ceci n'est pas un SP mais un prêt de ma libraire. Fidèle à mes principes, je rachèterai le roman au moment de sa sortie officielle.
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Elle est dans les livres d'Histoire, chapitre “Seconde Guerre Mondiale”. Elle est le symbole d'une honte nationale. Elle représente toutes celles qui ont pactisé avec l'ennemi et qui méritent donc d'être humiliées, torturées, violées voire même tuées pour cela… La femme sur la photo c'est elle: Simone Touseau, “la Tondue de Chartres”, immortalisée par Robert Capa le 16 Août 1944, alors que le vent de la Libération souffle dans les rues de France et que l'on fait la chasse aux collabos, aux traitres, aux “putes à boches”, aux “embochées”.

Sous la plume de Julie Héraclès, cette femme serrant fort son nourrisson dans ses bras, devient Simone Grivise, une jeune adolescente à l'esprit revanchard. Cette fille de prolétaires, élevée dans la rancoeur d'une mère rendue aigrie par ses propres échecs et dans l'absence d'un père effacé et soumis, n'est ni meilleure, ni plus mauvaise qu'une autre. Elle a seulement décidé de prendre en main son destin afin de s'élever de sa condition sociale.
Élève brillante, passionnée par la langue allemande, la jeune fille est aveuglée, comme tant d'autres, par le prestige d'une nation unie par un même credo. Elle va tracer son chemin, comme elle le peut, jusqu'à sa rencontre avec Otto Weiss, chef de la propagande allemande à Chartres, fermement opposé à la guerre… Cette rencontre va progressivement faire naître chez Simone une prise de conscience de l'Histoire qui se joue sous ses yeux et à laquelle elle participe elle aussi…

Et bien, pour un premier roman, je dois dire que je l'ai trouvé bluffant de maîtrise! Julie Héraclès a assurément su donner une voix, un ton, à son personnage, donnant vie et corps à cet être de papier glacé. Avec sa narration à la première personne, elle fait de Simone une héroïne vibrante, exaltée mais aussi égoïste et égocentrique, qui tour à tour, nous émeut ou nous indigne.

Le langage, avec son phrasé court, est vif et familier. On est entraîné par ce flot rapide des mots qui s'enchaînent et des émotions qui se déchaînent. C'est vivant, fluide et addictif. le jeu sur la temporalité avec des allers-retours entre le jour où la photo a été prise par Robert Capa et la jeunesse de Simone, crée une dynamique intéressante qui rend le roman difficile à lâcher! On voit ainsi grandir Simone, avec la rage chevillée au corps, presque indépendamment de l'Histoire en marche.

Sous couvert de nous offrir une lecture d'un pan de l'Histoire de France, l'autrice nous livre surtout un portrait éblouissant de l'adolescence et du passage, parfois difficile, à l'âge adulte. Portrait qui m'a saisie par sa justesse et son réalisme et que j'ai trouvé passionnant de voir évoluer au fil des pages… Simone se construit au gré de ses expériences, laissant peu à peu derrière elle la haine et la rancoeur qui l'habitent pour laisser place à l'amour. D'inconséquente, la jeune femme s'éveille, trop tard peut-être, mais assez tout de même pour rester touchante.

Loin de se poser en juge, Julie Héraclès ne cherche pas à donner une vision moralisatrice de cette époque et de ces femmes. Rien n'est toujours tout noir ou tout blanc, comme c'est très justement rappelé dans la citation de Claudel, en préambule au roman. Tout n'est que nuances et la question n'est pas de condamner ou de disculper tel ou tel choix, seulement de rendre leur humanité à des femmes qui ont pu aimer la bonne personne dans le mauvais contexte. Un roman doux-amer, à la fois touchant et sensible, que j'ai trouvé captivant. Assurément une belle découverte de cette rentrée littéraire!
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Je ne sais que penser de ce roman, ni sûre de comprendre les intentions de l'auteure.
Voulait-elle procéder à une réhabilitation ? Finalement cela aurait été plus simple si cela avait été pure fiction. Mais voila, on connait tous cette photo terrible de Capa ; cette femme tondue, conspuée, huée par la foule.
Alors, je vais faire comme si Simone était un personnage de roman.
On suit cette enfant, puis adolescente et enfin jeune femme ; brillante par ses études mais médiocre, incapable de s'intéresser à ce qui se passe autour d'elle et à faire preuve d'empathie.
Indifférente, autocentrée mais aussi harcelée, victime du regard et de la violence des hommes ; son père est indifférent, peu courageux et sa mère sombre dans alcoolisme.
Et puis, il y a Madeleine, sa soeur lumineuse et aimante.
Comme beaucoup, elle ne fera pas preuve de courage ni de discernement pendant la guerre, mais elle ne peut être réduite à ses mauvais choix ; elle sera ambivalente et bourrée de contradictions.
On suit les pensées de Simone, son phrasé populaire ; sans l'excuser, on ne peut la détester.
L'écriture est ciselée et les chapitre s'enchainent en alternant les époques.
Ce roman va faire polémique car cette femme a existé mais nous sommes ici dans un roman et c'est un sacré premier roman.
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Julie Heraclès donne une autre voix à la jeune femme photographiée par Robert Capa, le 16 juin 1944, que l'on nomme la “Tondue de Chartres”. En alternant les chapitres qui enchevêtrent le présent de l'arrestation et son passé, une Simone Grivise se raconte et se dévoile, différente de la femme photographiée, dans ce premier roman.

Brins d'histoire

Dans la ville de Chartres, son enfance est assez choyée dans un foyer de commerçants. Sa mère est aigrie par les faillites successives et se réfugie facilement dans l'alcool. Son mari est toujours effacé et subit les invectives incessantes de sa femme. Néanmoins, assez rapidement, Simone découvre que cet homme n'est certainement pas son père. Madeleine, sa soeur, devenue institutrice, est considérée depuis toujours comme la bonne à tout faire de la maison.

Mais la petite Simone bénéficie d'un statut privilégié en intégrant des écoles privées tenues par des religieuses. Pourtant, elle se vit comme une victime, harcelée et dévalorisée. C'est en priant Sainte Bernadette qu'elle découvre la force de se battre. Simone garde une propension à se sentir victime, rejetée, incomprise et toujours mise à l'index.

D'ailleurs lorsque son amie Colette Klein est obligée de fuir les violences antisémites, Simone est incapable d'empathie et vit son départ comme un abandon et même une désertion !

Puis, vint l'adolescence où va s'accélérer toute son histoire!

Simone Grivise très différente de la vraie “Tondue”

Outre que la Simone de Julie Héraclès a une fâcheuse tendance à parler comme une jeune femme d'aujourd'hui, ce n'est pas ce qui m'a le plus dérangée dans ce roman. Néanmoins, dès le début, il est difficile d'adhérer à son propos tant le décalage est prégnant.

L'histoire de Simone Touseau, la vraie “Tondue” de Chartres, a été racontée par des historiens à partir de documents d'archives et de la rencontre des survivants.

Julie Heraclès transforme Simone Touseau, aux positions notoirement fascistes en une Simone Grivise, toujours déçue par les autres, son amour avec Otto, soldat allemand, l'apaisant d'un traumatisme.

Mais, dès 1935, la vraie “Tondue” de Chartres dessine sur des cahiers des svastika (croix gammées). Et, son adhésion au PPF (seul et unique parti nazi français) signifie sa véritable approbation aux valeurs fascistes nazies, et non un compagnonnage de proximité, comme le laisse sous-entendre Julie Héraclès.

Est-ce vraiment important ?

La photo de Robert Capa illustre dans notre inconscient collectif la période trouble de l'épuration à la Libération, ressentie pas l'Extrême droite de l'époque comme une véritable humiliation. Gommer les encagements connus, volontaires et assumés, de Simone Touseau pour servir une Simone Grivise, aigrie, ayant épousé les thèses nazies juste par opportunité et par attirance amoureuse me déplaît fortement !

Et, mettre en avant cette Simone Grivise, c'est à mon sens, estomper pour rendre plus acceptable le parcours de Simone Touseau pour tenter d'effacer les valeurs qu'elle a défendues, revendiquées et mises en pratique dans sa propre ville, selon les recherches des historiens.

C'est aussi mettre en avant, dans notre société du buzz permanent, la Collaboration qui a sévi à une certaine époque. D'ailleurs, en ce sens, le titre est très réussi ! Et comme, l'histoire de Simone Grivise épouse fortement les thèmes actuels (le traumatisme sexuel, le harcèlement, l'abandon, etc.), il est aisé de s'identifier et d'en comprendre son succès.

En résumé

Le roman, Vous ne connaissez rien de moi, est une fiction librement inspirée de la photographie de Robert Capa. Il n'a rien à voir avec la véritable histoire de Simone Touseau, la femme appelée depuis “La Tondue de Chartres”.

Julie Héraclès présente une forme édulcorée, certes bien écrite, même si la manière de raconter sa Simone semble peu crédible. Seulement, son parti pris, en donnant à l'héroïne une nouvelle vie romancée, banalise le vécu des collaborationnistes de la seconde guerre mondiale, c

https://vagabondageautourdesoi.com/2023/08/31/julie-heracles/
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critiques presse (3)
LeFigaro
11 septembre 2023
Écrit à la première personne du singulier, dans une langue populaire et ancrée dans la France des années 40, le lecteur est transporté dans la psyché de Simone Touseau.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeFigaro
07 septembre 2023
La romancière s’inspire de la vie de Simone Touseau pour écrire un roman perturbant où la «Tondue de Chartres» devient une collabo revancharde et opportuniste.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
MadmoizellePresse
06 septembre 2023
Un fantastique page-turne, exempt de tout manichéisme.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Dans trois jours, j'aurai vingt-trois ans. Je vais mourir avant. Ils ne me louperont pas. Une balle dans la tête. Le sang gicle comme un geyser et me barbouille les yeux. Le monde devient cramoisi, puis tout noir. Je m'écroule, la gueule fracassée sur le pavé. Petit tas inerte qu'il faudra charrier dans la fosse commune.
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Chartres, 16 août 1944, à l’aube

Dans trois jours, j’aurai vingt-trois ans. Je vais mourir avant. Ils ne me louperont pas. Une balle dans la tête. Le sang gicle comme un geyser et me barbouille les yeux. Le monde devient cramoisi, puis tout noir. Je m’écroule, la gueule fracassée sur le pavé. Petit tas inerte qu’il faudra charrier dans la fosse commune.
Ces visions m’assaillent depuis des jours. Elles dansent la gigue dans mon cerveau, elles me trouent les entrailles. Il n’y aura pas de pitié pour moi. La pitié n’existe pas. La vengeance, oui. Les Allemands ont fusillé ceux de Chavannes comme des chiens en 42. Aujourd’hui, les vainqueurs ont changé de camp. Je n’aurai droit à aucune clémence. La pute du Boche va être butée.
 
Ça me fait du bien d’imaginer le pire. L’imaginer, c’est comme l’empêcher d’exister. Je me tiens bien droite, assise sur le banc de la table de la cuisine. Il fait sombre. L’électricité a été coupée et le soleil a toujours du mal à pénétrer la pièce. Je les attends. C’est pour ce matin. Plus rien ne les retient. Les Amerloques se sont pointés hier soir. Aucun doute là-dessus, c’est Madeleine qui me l’a dit. Elle sait tout, elle entend tout, Madeleine. « Reste tranquille, tout ira bien, ils vont juste faire déguerpir les derniers Allemands. Tu n’as rien à craindre, ma Simone. » Elle est gentille, ma frangine. Mais je n’écoute jamais ses conseils.
Hier, avant le couvre-feu, des clameurs ont retenti. Elles venaient de la basse-ville. Cris de joie ou cris de peur : j’ai eu envie de savoir. Moi qui me calfeutre depuis des mois, qui prends garde à ne pas respirer trop fort, j’ai déraillé. J’ai collé Françoise dans les bras de Maman et je suis sortie en trombe. Fallait que je respire. Fallait que je voie. C’était peut-être la dernière fois que j’étais libre dans ma ville.

(INCIPIT)
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Ce qu'il ne sait pas, c'est que pour moi, embochée, ce n'est pas une injure. Il y a eu un moment , dans ma vie, où je me suis sentie plus allemande que française. Il y a même un jour où j'ai vibré en voyant le peuple allemand acclamer son Führer. L'Allemagne allait engendrer un monde nouveau, j'en suis persuadée.Tout ça c'est vrai. Tout ça, j'y ai cru. Même si c'est loin, maintenant. Je ne suis plus la même. À présent, j'ai trouvé d'autres raisons de vivre.
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Ça me fait du bien d'imaginer le pire. L'imaginer, c'est comme l'empêcher d'exister.
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