Bon, on va pas se mentir... Grosse baston, punchlines, un royaume à défendre... Les autres diront que c'est sauvé par l'humour...
À vrai dire, pour ce premier tome où Kiriku apparaît, j'avais tout de même pris du temps à me rendre compte de sa relation amour/haine avec Makumo. Donc, peut-être que pour une fois, il n'y en avait pas tant que ça. En parlant de lui, l'épisode bonus (dont j'avais parlé dans la critique du tome 1) en fait un psychopathe armé du même caractère et de la même intelligence, ce qui donne un avant-goût du glauque que vont caractériser petit à petit les tomes suivants. (Voilà pourquoi à mon sens, Artelier n'est pas un manga juste pour les 6-8 ans. Parce que bon, entre nous, une organisation spécialisée dans le meurtre en masse... ).
Non, avant tout, comme d'habitude, j'ai l'impression que c'est l'originalité du métier qu'exerce le masterpiece et la manière dont il est exploité qui confère à la série toute sa sève, car Kiriku est... confiseur. On le voit mal dans une bagarre, ET POURTANT ÇA MARCHE. Après bon... C'est pas de la hard-SF non plus...
Mais voilà : l'essentiel est que désormais nous avons une intrigue qui se poursuit d'épisode en épisode. Et ça manquait beaucoup, foutre diantre ! Une bonne motivation pour lire la suite, qui elle aussi aura ses hauts et ses bas mais restera malgré tout de plus haut niveau...
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Ce deuxième tome est assez semblable au premier. Toute l'histoire est basée sur l'humour. Makumo est un anti-héros et il est en concurrence avec un autre jeune homme, Kiriku.(Matcha : n'est pas grand, mais il est vaillant...) Ces deux personnages sont antagonistes. L'action est présente, mais l'intrigue se fait attendre. Je commence à croire que ce manga est fait pour des enfants de 6 à 8 ans. Je vais lire le tome trois pour me faire une réelle opinion de cette série.
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De quel droit tu te permets de tuer des innocents ?!
Dans la foule, il y avait des enfants ! Et mon amie qui se remet à peine d'une longue maladie !
Dis-moi, pourquoi...