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Pour dissiper tout malentendu, je tiens à préciser que j'ai lu et relu la série culte "City Hunter" dans l'édition Panini, parce qu'il y a a toujours des tâcherons pour associer dans les bases de données l'édition simple de J'ai lu en 36 tomes et l'édition deluxe de Panini en 32 tomes ^^ Ce tome 3 débute par le nouveau caprice de Sakaya qui s'invite dans l'immeuble du City Hunter (schéma que l'auteur va reprendre moult fois) parce qu'elle est tombé amoureuse malgré elle de Ryo Saeba (schéma que l'auteur va reprendre moult fois). le nettoyeur le plus redouté de Shinjuku se retrouve donc avec deux assistantes quand il prend contact avec Naoyuki Hagio : pour retrouver sa fille ce dernier lui demande de simuler sa mort pour échapper au chantage de Sôzô Amachi l'immonde politicien (pléonasme ?) appartenant aux élites corrompues (pléonasme ?) qui lui a fait porter le chapeau de l'accident mortel qu'il a réalisé en état d'ivresse. Ryo prend donc la place d'un proto Umibozu pour accomplir la volonté d'un père éploré, mais il se fait quand même des sueurs froides quand Kaori et Sakaya se tirent dans les pattes : un client masculin, donc aucun gag mokkori et c'est tant mieux ! Par contre le départ de la lycéenne délinquante de la Team City Hunter est précipité et non expliqué, et c'est une grosse facilité pour retrouver la configuration d'un sérial (schéma que l'auteur va reprendre moult fois)... Nouveau récit donc nouveau contrat : pour la protéger d'un mystérieux assassin Ryo Saeba devient le manager de la célèbre Yumiko Satô dite « l'actrice aux pieds nus »… Et l'étalon de Shinjuku découvre une femme neurasthénique et se moque de vivre ou de mourir. En l'absence de Kaori Il met un bazar pas possible sur les plateaux de tournage, et quand il découvre la vérité il se retrouve devant un sacré : comment protéger quelqu'un qui veut mourir ? Pour sauver définitivement sa client il va devoir lui redonner envie de vivre ! Personnellement je trouve que c'est un des meilleurs récits de la série, d'autant plus que les gags mokkori sont très réduits et l'auteur développe une ambiance de polar hongkongais de bon aloi dans laquelle Ryo et Umibozu s'affrontent dans des situations que n'auraient pas renié John Woo (toutefois la fin faussement ouverte est une nouvelle grosse facilité pour retrouver sans trop se fouler la configuration d'un serial)... + Lire la suite |