Jean-Yves Le Naour/5
7 notes
Résumé :
1943, château d'Achnacarry, Ecosse.Ils sont 177 hommes venus des quatre coins de la France pour intégrer les prestigieux commandos britanniques qui vont ouvrir la voie au débarquement de Normandie.Parmi eux, des croyants et des athées, des hommes de gauche et d'autres de droite, des ouvriers et des bourgeois.Tous différents, ils sont pourtant mus par un même idéal : vaincre l'Allemagne nazie et libérer leur patrie.
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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L'histoire de ces hommes du commando Kieffer, si célèbre, mais ...avant le débarquement. Leur recrutement, leur entraînement, leurs querelles, etc ...
Mais je dois avouer que j'ai eu du mal à discerner le récit historique du roman historique.
et puis, on ne sait pas ce qu'il est advenu de ses membres par la suite, ce qui aurait pu être intéressant..
Honnêtement je m'attendais à plus long, car abandonner les soldats au moment du débarquement sans que l'on ne sache la suite, ça me chagrine un peu.
Mais je dois avouer que j'ai eu du mal à discerner le récit historique du roman historique.
et puis, on ne sait pas ce qu'il est advenu de ses membres par la suite, ce qui aurait pu être intéressant..
Honnêtement je m'attendais à plus long, car abandonner les soldats au moment du débarquement sans que l'on ne sache la suite, ça me chagrine un peu.
ces courageux hommes qui se sont entrainés pour libérer la France le jour j.
j apprecie beaucoup l historien, mais desole , decu par le romancier.
Citations et extraits (6)
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On n'avait rien vu venir. En six semaines à peine, du 10 mai au 22 juin 1940, malgré la mort de 120 000 soldats qu'on accuserait plus tard de ne pas s'être battus avec assez de conviction, le pays fut envahi et vaincu. Une véritable déculottée. Plus encore, une débâcle.Celle d'une armée désemparée, menée par des chefs sans stratégie. Celle d'un pays désuni qui se délita et se déversa tout entier sur les routes.
L'autorité est souvent moins une question de personnalité que de circonstances.
Enez Sun. C'était le nom de l'île de Sein en breton. Un bout de roche perdu au large du Finistère, une vigie du continent battue par les vents et les flots de l'Atlantique. Mais, en ce 24 juin 1940, c'était l'un des derniers bastions libres du pays.
Pour ces gamins de 17 ans, quitter le cocon familial était à la fois la réalisation d’un rêve et une épouvante. Faire la guerre, cela ne les effrayait pas plus que cela, et pour cause : ils ne savaient pas ce que c’était. D’ailleurs, le combat, même fantasmé, demeurait une perspective lointaine.
Quand on venait contracter un engagement chez les Français libres, on n’y restait jamais très longtemps. Ils furent donc bientôt élargis, mais le hasard de leurs affectations les sépara.
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