À l’instar de la physique à l’époque de Newton, il estime que les sciences sociales n’en sont aujourd’hui qu’à leurs prémices. Leur vocation est de contribuer à l’établissement d’une science du social plus rigoureuse, plus objective et contraignante, et rien n’empêche qu’elles y parviennent par la recherche et l’établissement de lois. Elles ont, comme les sciences dites « dures » ou « exactes », à « expliquer le connu par l’inconnu ».