Si tout le monde est coupable, alors personne ne l'est

Je remercie l'auteur pour l'envoie de ce service presse.

Ce roman est une fiction inspirée de faits réels.

Donc, dans cette histoire, nous avons une double enquête qui finalement n'en sera qu'une qui liras le passé avec le présent. Tout commence à Palerme en 1980 ou il eut un massacre un jour de mariage, vous serez tout de suite dans l'ambiance. N'oubliez pas ce passage pour la suite de l'histoire.

Anaïs Derieux est la tante par alliance et associée de Laurent Samson, elle a un fils Anthony 17 ans, mais fond parties d'une même famille, celle du cirque Samder qui se trouve être l'antichambre de la secte « La Congrégation de la Zénitude Terrestre » qui prône le bien-être spirituel entre autres, dirigé d'une main de maître par le mystérieux et mystique Father. Mais qui est-il ?

Cette congrégation se compose de millier d'adeptes entre les Etats-Unis et la France qui sont prêts à se ruiner pour leurs croyances. Pour la plupart, c'est fait de mentalisme, d'emprise mentale, de chimie et de magie. La secte vie grâce aux représentations du cirque qui lui reverse une somme, de dons et certains héritages.

Une petite fille Cindy se fait kidnapper en 1990, puis en 2019 une jeune femme disparaît à son tour alors qu'elle commencé ses débuts au cirque. le commandant di Venice va alors malgré lui plonger dans le passé pour pouvoir démêler le faux du vrai, de ce qui ressemble à un véritable puzzle.

J'ai vraiment adoré cette histoire qui m'a tenu en haleine pendant 2 jours. Je me suis posé des questions, essayer de comprendre le pourquoi du comment. À qui profite le crime ? Pourquoi ? Quel est le lien ? Je me suis posé plein de questions.

Quel est le lien entre la mafia des années 80 et la secte de 2019 ? Et les personnages qui sont visiblement liés les uns aux autres, mais pas pour les mêmes raisons.

Autant vous le dire tout de suite, j'ai A-DO-RE !! Mafia, secte, secrets, meurtres, enquêtes avec des aller-retour passé présent ou l'on ne se perds pas, les chapitres sont courts, tout était réuni pour me plaire. C'est un tome 3, mais honnêtement, je ne le savais pas, mais cela ne m'a pas gêné. Il y aura 4 parties avec un titre qui correspond à un moment de l'histoire.

Parfois, j'avais envie de secouer certains personnages, de leur montrer les indices qui sont sous leurs nez, mais qu'il ne voit pas. Je me suis régalé à me casser la tête à chercher de qui a fait quoi, parfois, je suis tombée juste et parfois non, c'est le jeu. 😊

On ressent parfaitement les émotions des parents qui perdent pied ou fous après la disparition de leurs filles, de ne pas savoir si elle est toujours en vie ou pas.

On voie l'emprise psychique qu'un gourou peut avoir sur ses adeptes qui souvent sont des personnes en souffrances qui se laisse abuser par des paroles réconfortantes.

Lorsque je lis le résumé d'un thriller je suis toujours très attirée par l'histoire, pourtant je mets toujours du temps avant de réussir à le sortir de ma pile à lire. J'ai toujours peur d'être déçue, que l'histoire soit trop simple, trop prévisible. Ce titre n'a pas fait exception pourtant il aurait mérité d'être lu bien plus tôt !

L'histoire se met en place très rapidement, nous comprenons vite la façon dont les choses vont se dérouler. Beaucoup de personnages sont introduits mais c'est suffisamment bien écrit pour que l'on ne soit pas perdu, j'ai facilement identifié chaque personnage.
De la même façon que nous ne sommes pas perturbés par les différentes temporalités, les indications sont suffisamment claires pour que l'on comprenne l'histoire.

D'ailleurs l'histoire est brillamment menée ! Ce récit est dense, il y a des nombreux rebondissements, pas mal de descriptions. On pourrait avoir peur de s'ennuyer mais la pression, l'intensité de ce récit ne retombe jamais, quand on pense avoir toutes les clés un niveau rebondissement arrive pour nous faire douter. L'auteur arrive même à nous surprendre avec la toute dernière partie ! Je me suis bien fait avoir, c'est exactement ce que je recherche avec ce genre de récit.
Le tout dans l'univers merveilleux du cirque, je suis fan de ce décor. Cela m'a permis d'entrer d'autant plus simplement dans cette histoire.

Du côté des personnages j'ai adoré faire leur connaissance, j'ai particulièrement apprécié Hélène qui est touchante et attachante ! Mais sincèrement j'ai aimé suivre les histoires de chacun, ils sont tous une part d'ombre. Surtout leurs histoires sont suffisamment réfléchis pour qu'ils aient tous un réel passif, ils ne sont pas là juste pour faire de la figuration. Chaque personne que l'on croise a un rôle dans l'histoire.

Je précise également que l'auteur s'est inspiré de faits réels pour construire son récit, on sent qu'il y a de nombreuses recherches derrière cette histoire. Nous trouvons d'ailleurs régulièrement au cours du récit des notes pour préciser d'où vient l'inspiration, cela nous permet de savoir ce qui est réel. Je trouve que c'est quelque chose d'appréciable.

Si vous aimez ce type de lecture foncez, j'ai été captivée du début à la fin du récit. J'ai eu du mal à le lâcher tellement je voulais avoir le fin mot de cette histoire ! C'est réellement un excellent thriller.

Je remercie la maison d'auto-édition Karenine pour cette belle découverte.

Ce roman noir dont le titre énigmatique est assez long ("Si tout le monde est coupable, alors personne ne l'est") ne prend pleinement son sens qu'au dénouement du roman, tout comme la page de première de couverture d'ailleurs. La structure narrative est bien maitrisée grâce aux nombreux rebondissements, ce qui permet de garder le suspense jusqu'au twist final surprenant. le thème central des dérives sectaires en lien avec la mafia sicilienne est assez original.

L'intrigue policière s'oriente vers deux enquêtes en parallèle et alterne entre deux temporalités : la première se passe en 1990 avec la disparition d'une enfant de trois ans et la seconde se déroule en 2009 avec la disparition d'une jeune stagiaire dans un cirque. Quel est le lien entre ces deux affaires ? Qui est ce mystérieux gourou appelé Father ? D'où vient-il ?

J'ai beaucoup apprécié la structure en quatre parties de ce roman plein de suspense qui est vraiment efficace car le lecteur se laisse manipuler avec plaisir tout au long de ce récit assez complexe en essayant de trouver le(s) coupable(s). En vain. le style fluide et la plume addictive de l'auteur rendent la lecture très agréable. Les personnages révèlent peu à peu leur passé trouble et leur psychologie tourmentée, ce qui les rend touchants et attachants.

Je recommande ce roman noir complexe à celles et ceux qui s'intéressent aux thèmes des sectes et de la mafia car il est assez bien documenté, ce qui le rend instructif et divertissant à la fois. Je remercie les éditions @bookelis de m'avoir permis de découvrir ce thriller très réussi.

En 1990, Cindy 3 ans est enlevée au domicile de sa maman, commandant de police. Son père, commandant lui aussi, accuse son ex-femme d'avoir tuée leur fille. Personne n'arrive à le raisonner, aveuglé par la haine, il ne cherche que cette piste là. Son meilleur ami qui connait très bien la maman, ne l'a croit pas coupable et exploite avec elle toute les pistes possibles sans succès.
En 2009, Dana a appris à sa majorité que son père n'est pas son père biologique. Sa mère étant décédée à sa naissance, personne ne peut lui donner le nom de son géniteur. Jusqu'au jour où elle reçoit une lettre anonyme avec le nom de ce dernier. Elle part donc à sa recherche.
Les deux enquêtes ne se passent pas à la même place et pourtant c'est le commandant di Venice qui s'en occupe. Au fur et à mesure qu'il avance dans la disparition de Dana, il apprend des choses qui vont l'aider pour retrouver Cindy, disparue 19 ans plus tôt.
Ces deux disparitions seraient-elles liées ? Va-t-il découvrir le fin mot de l'histoire ? Va-t-il retrouver les deux disparues ?

La très belle couverture représente deux points clés de l'affaire, la voiture qui explose pour la mafia et la disparition de Cindy, le chapeau et la baguette pour le cirque qui est le point central de l'enquête. Une fiction tirée de faits réels, où l'auteur nous indique ses sources. J'ai aimé retrouver les personnages (le commandant di Venice et le capitaine Farrel) que j'avais découvert dans " Au mal une fois fait, il n'est pas de remède". À chaque chapitre nous changeons d'époque pour découvrir les protagonistes de l'histoire. Entre secte et mafia Italienne le rythme est soutenu, pas de pause possible. Nous sommes manipulés du début à la fin du livre, quand nous pensons avoir trouvé la clé de l'énigme, nous réalisons que nous sommes très loin de la vérité et qu'un autre secret se cache derrière. L'écriture est très agréable et nous embarque totalement auprès des personnages. Un livre addictif que j'ai eu énormément de mal à poser.

Coucou tout le monde, aujourd'hui je vais vous parler de ma dernière lecture, il s'agit de "si tout le monde est coupable, alors personne ne l'est..." de Stéphane Jordans, que j'ai eus l'honneur de recevoir par l'auteur, que je remercie au passage.
Ce récit est absolument génial, je l'ai dévoré en quelques heures (c'est bien par que je suis malade et vive les insomnies 🙂).
Ce roman, nous parle de disparitions, de quête d'identité, du monde du cirque, de secte,...
Une fiction inspirée de faits réels, ce qui donne toute sa crédibilité au récit.
On alterne ici, les chapitres sur différentes temporalités, chose que j'aime beaucoup, ça donne du rythme à l'histoire.
Quant aux personnages, j'ai beaucoup aimé le Commandant di Venice et le capitaine Farrel.

Entre la secte et la mafia italienne, on ne s'ennuie pas une seconde.
L'auteur a ce don de nous manipuler, par une intrigue et une écriture ultra-addictive
Arrivé à la fin, on pense avoir à peu près compris le dénouement, mais lorsqu'on referme le livre, on se rend vite compte qu'on c'est fais balader, c'est quelque chose que j'ai beaucoup apprécié.
Un roman de grande qualité, que je ne peux que vous recommander.
Dites-moi si vous avez déjà lu cet auteur ? Ou s'il vous tente. Au plaisir d'échanger avec d'autres lecteurs.

"si tout le monde est coupable, alors personne ne l'est..."
Stéphane Jordans
440 pages
Auto-édité