Au mal une fois fait, il n'est pas de remède

CAPTIVANT


C'est dans une atmosphère suffocante que Stéphane Jordans nous embarque dans ce thriller psychologique inspiré de faits réels.

Sur fond historique de 2ème guerre mondiale, l'auteur mêle en effet finement fiction et réalité dans cette intrigue mettant en scène des personnages sur trois générations.

Tout commence lorsqu'une directrice d'école s'immole devant ses élèves. Puis d'autres cadavres disparaissent laissant le commandant di Venice dans le flou le plus total.
Mais ces morts ne seraient-elles pas la conséquence du harcèlement scolaire que subissait une jeune fille?...

Malgré le grand nombre de protagonistes qui peut déstabiliser au début, cette intrigue nous tient en haleine tout du long.

Très bien ficelée et haletante, elle met en valeur des personnages accrocheurs et il nous est impossible de la lâcher.

J'ai trouvé cette histoire très prenante, menée avec justesse et intéressante de part ces allers retours passé/présent et les thèmes qui y sont abordés : vengeance, harcèlement scolaire, le Lebensborn (ces maternités créées sous le 3ème Reich dans le but d'accélérer la création et le développement de la race Aryenne) et bien d'autres que je peux spoiler...

Ce titre, inspiré de la citation d'Homère : "au mal une fois fait, il n'est pas de remède" nous montre que toute mauvaise action n'est pas réparable et que la vengeance, si elle apporte le soulagement et atténue la peine, n'arrive pas à réparer ni effacer le mal déjà commis... je vous laisse méditer...

Merci donc Stéphane Jordans pour cette découverte et cette lecture captivante.

Votre plume addictive favorise un véritable page turner

Bravo à vous !

Bonsoir amis lecteurs,
Je remercie chaleureusement Stéphane Jordans pour l'envoi de son livre en service presse : « Au mal une fois fait, il n'est pas de remède » format Kindle. J'ai adoré ce thriller psychologique qui bien qu'inspiré de faits réels est une fiction. L'intrigue est haletante, captivante et bouleversante; elle aborde sur fond historique de Lebensborn le sujet du harcèlement scolaire, tristement d'actualité. L'auteure nous emmène dans un voyage qui fait la part belle aux retours dans le passé sur trois générations.
J'ai beaucoup aimé la plume voyageuse, percutante et visuelle, trempée dans l'encre de l'Histoire. Les personnages sont attachants et on les imagine aisément. Un livre très dur, que je n'ai pu lâcher avant la dernière page et qui m'a passionnée !

♠ « Commandant di Venice, tome 3 : Au mal une fois fait, il n'est pas de remède » - Stéphane Jordans ♠

J'ai eu l'immense plaisir de découvrir la plume de cette auteure franco-suisse via la plateforme d'échange Simplement Pro. Je la remercie d'ailleurs encore chaleureusement pour l'envoi de ce superbe livre en service presse et sa confiance dans mon travail. PS.: ce roman constitue le troisième tome d'une série, pensez-y !
Lorsque deux suicides plus qu'étranges surviennent à Paris, le commandant di Venice et le capitaine Farrel se retrouvent au coeur d'une enquête totalement inédite mêlant d'anciennes expériences nazies aux affres du harcèlement scolaire. Face à l'expansion de cette vague de décès et la disparition de cadavres de la morgue locale, le 36, quai des Orfèvres semble en ébullition.
ATTENTION SPOILER : qui est réellement le premier suicidé de cette lignée macabre ? et qui est prêt, cinq ans plus tard, à se/le venger ?
La structure du récit permet réellement de faciliter la compréhension et la lecture : chapitres courts, souvent avec dates et lieux, italique et narrateur externe. Pour le fond, j'ai vraiment été touchée par les thèmes abordés, à savoir le harcèlement scolaire d'un côté et les Lebensborn de l'autre. J'ai aussi beaucoup apprécié la démultiplication des coupables potentiels et les notes explicatives en fin d'ouvrage. Je suis en revanche un peu restée sur ma faim quant à la sous-exploitation de certains thèmes et mon manque de connaissances des tomes précédents.
En conclusion, j'ai adoré cette lecture où se glissaient parfois des erreurs orthographiques/grammaticales, même si je vous conseille vivement de commencer par le premier tome : "Happy House".

Pour plus d'informations et de chroniques :

Lien : https://www.shanaslibrary.co..

Nous allons suivre Alexandre qui veut connaitre son donneur de moelle osseuse, de Tim à la recherche de son père, d'Annabelle qui essaie de comprendre ce qui se passe dans ce magasin ou il y a énormément d'âmes en peines, du commandant di Venice qui s'interroge face à tout ces suicides suspects et aux cadavres qui disparaissent. Au milieu de tout ça se trouve une jeune femme, Dominique, elle a été persécuté pendant des années, même en changeant d'établissement elle tombe malheureusement sur ses bourreaux. Elle va finir par se suicider. Les coupables de son acte désespéré mettent fin à leur vie, la directrice en s'immolant, un autre en s'étouffant avec une feuille d'or, son ancienne meilleure amie se pend et le dernier tombe dans sa piscine après avoir fait un mélange médicaments / alcool. le doute s'immisce dans toutes les têtes, et si le coupable était un de leur proche. Quelqu'un vengerait-il Dominique ? Si oui, qui ? Et pourquoi 5 ans après son suicide ?

Un thriller prenant, surprenant, intriguant, captivant, éprouvant, il est inspiré de fait réels mais reste malgré tout une fiction. Les chapitres sont courts, nous changeons de personnages à chaque fois mais aussi d'époque. Nous découvrons le passé de chaque protagoniste et leur liens. Trois enquêtes qui finalement n'en font plus qu'une, un sac de noeud à démêler. Nous souffrons avec eux et voulons connaître la vérité qui finalement nous est révélé qu'à la fin. Une très belle découverte, un livre qui ne nous laisse pas nous en sortir indemne. À la fin du livre l'auteur à mit une note pour nous expliquer ce qui est vrai et nous donner les sources qu'il a utiliser.

Au mal une fois fait, il n'est pas de remède

Stéphane Jordans

Thriller

SP Netgalley


Description

La sonnerie retentit. Elle ouvre les yeux pour les refermer aussitôt. L'adrénaline monte en elle. Les enfants sortent en trombe. D'abord, ils ne la remarquent pas. Puis certains, curieux, commencent à s'approcher d'elle.Ils ne doivent pas être trop près sinon…Elle allume son briquet.Hurle. Des hurlements de bête, déchirants, effrayants, atroces.« Au mal une fois fait, il n'y a point de remède. » Sauf peut-être la mort de ceux qui l'ont commis.Le commandant di Venice s'interroge : des cadavres disparaissent, la directrice d'une école primaire s'immole devant des élèves, un garagiste s'étouffe avec une feuille d'or. Ces morts seraient-elles liées au suicide d'une jeune fille ?


Première impression

Autant la couverture ne m'a pas séduite au premier regard, autant elle attire l'oeil donc m'a curiosité à fait le reste et le résumé lui m'a intrigué. Me voilà alors parti pour une nouvelle lecture.


Ok on stop tout

8% c'est tout ce que j'ai pu supporter, je me ferai presque honte, mais je me vois mal continuer donc ce sera un avis sur une lecture plus que partielle.



Pourquoi je n'ai pas pu continuer ?

Malgré un style et une écriture agréable, j'ai eu l'impression de me noyer dès le début, j'ai forcé un peu jusqu'à arriver à la partie qui m'avait intrigué dans le résumé : l'immolation. On fait connaissance donc avec les enquêteurs sur ce cas d'immolation publique, chacun ayant leur passé il faut croire, et on retrouve aussi le rapport avec le début de l'histoire.



Ce n'est pas que je ne saisis pas les liens entre les différentes histoires conté, mais au bout un moment, j'ai juste trouvé abusé le fait que chaque personnage ai un passé digne d'un thriller qui lui serai propre et ça c'est très lourd. Adieu personnage landa auquel on s'identifie et bonjour aux protagonistes au passé sombre, même la petite amie du copain du fils du commissaire en charge de l'enquête qui a un lien avec Alexandre dont les yeux ont la même couleur que la blonde dans les années 40 en Allemagne et qui est aussi blonde que ex-femme du même commissaire que mentionné précédemment, enceinte et morte enlevé par des néo-nazis dont le fils n'est probablement pas son fils à elle mais bien pas son fils à lui mais qu'il élève quand même …



Vous voyez où je veux en venir, ça Soule, alors oui un petit cocktail pour se désinhiber je suis partante mais me prendre la tête en lisant non merci.

Je note quand même en positif le style et « la plume » de l'auteur (je n'aime pas ce mot on devrait dire le clavier désormais) est top, mais si j'ai un conseil, autant je suis d'accord que les personnages aient tous leur passé- cela permet d'avoir des personnages bien construit- autant il faut savoir doser pour pas finir avec un Goudron* à la place du bon cocktail promis.



Au final, je n'ai plus qu'à me trouver une autre lecture pour cette semaine


C'était Anna Bell, pas assez soule pour apprécier sa lecture ! Mais pourtant bien soulé 😆 eh oui, je suis pas gentille quand je m'y mets.

PS : L'avis en image est plus sympa, je vous conseille donc d'aller sur le blog

https://deslivresetmoidannabell.wordpress.com/2022/02/15/au-mal-une-fois-fait-il-nest-pas-de-remede-de-stephane-jordans/

Lien : https://deslivresetmoidannab..