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Marc Boulet (Traducteur)
EAN : 9782351788455
416 pages
Gallmeister (01/06/2023)
3.75/5   52 notes
Résumé :
Texas 1868. La famille d'Aaron Edwards est décimée par une bande de Comanches qui attaquent son ranch et enlèvent ses deux fillettes. Ethan, le frère d'Aaron, découvre le drame et se lance sur les traces des ravisseurs avec deux autres compagnons.
Basé sur un fait réel, ce célèbre roman de l'Ouest met en avant les terribles oppositions raciales et militaires entre Indiens et Blancs durant la période la plus violente des guerres indiennes de la seconde moitié... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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La prisonnière du désert est un classique dans les romans western et dans les films.

Moi qui adore les westerns, je ne l'avais pas encore lu, ni même vu le film avec John Wayne. Shame on me, une fois de plus…

Ce western vient d'être réédité par les éditions Gallmeister, avec une nouvelle traduction, c'est donc celle-là que j'ai choisie.

L'autre édition, chez Télémaque, possède une longue préface qui parle du roman et surtout du film de John Ford, avec John Wayne. Préface qui divulgâche un décès, donc, il vaut mieux la lire après avoir fini la lecture du roman, si vous voulez garder votre virginité sur l'histoire (j'en ai fait les frais en la feuilletant).

Ce western ne perd pas de temps et il plante tout de suite le décor : le Texas, ses vastes plaines, son herbe, ses troupeaux et les colons qui y vivent depuis des années, la peur au ventre à cause des raids des Comanches et des Kiowas.

Une troupe d'homme est à la poursuite d'une bande qui a volé des bêtes et pendant ce temps-là, de l'autre côté, c'est l'enfer et la mort qui vont s'inviter dans la petite famille d'Henry Edwards…

Nous ne saurons rien de ce qu'il s'est passé entre le moment où la famille est planquée dans la maison, face au danger des Indiens et celui où Amos Edwards retrouvera la famille massacrée. Mais ça a dû être terriblement violent. Les deux filles, Lucy et Debbie, ont été enlevées par les Indiens.

Ce western, c'est le récit d'une traque pour retrouver les deux gamines de Henry Edwards, le frère d'Amos, enlevées par la bande de razzieurs Comanches.

Aidé au départ par d'autres personnes, après une terrible confrontation, Amos continuera avec Martin Pauley, un jeune garçon, élevé par les Edwards après le massacre de sa propre famille.

Ceci n'est pas un western trépidant, la traque va s'étaler sur plusieurs années, les deux hommes vivant dehors, sillonnant le Texas et les états limitrophes, afin de retrouver la bande de Comanches qui a enlevé les deux gamines.

Ce sera une vie de privation, de froid, de chaleur, de chevaux que l'on perd, de difficultés. Avare de mots, Amos est tenaillé par la haine des Comanches, quant à Martin, il veut retrouver la petite Debbie parce qu'il ne lui a pas témoigné beaucoup d'attention avant et il s'en veut. Au point de tout laisser tomber, même la fille qu'il aime.

Le titre en français a été mal choisi, pour moi et celui en V.O est plus parlant : The Searchers = les chercheurs. La prisonnière ne vit pas dans le désert et le désert ne sera présent que sur le final, autrement dit, très peu.

Dans ce roman, plus psychologique qu'autre chose, nous n'aurons que le point de vue des Blancs, jamais celui des Indiens. le racisme envers les Indiens est prégnant dans tout le roman, ce qui est réaliste, parce qu'à cette époque, au Texas, on vivait la peur au ventre de se faire assassiner par des bandes d'Indiens.

Je ne jugerai ni l'un, ni l'autre. Les colons ont pris les terres, terres que le gouvernement leur disait qu'ils pouvaient prendre (puisque pas de propriétaires, de papiers…), puisque pour tout le monde, les Indiens étaient de la vermine qu'il fallait éliminer ou parquer dans des réserves. La politique fait souvent du tort partout où elle passe. Mais personne ne s'est jamais demandé pourquoi les Indiens réagissaient de la sorte ? Non ? Ils auraient dû…

Les personnages sont taiseux et pourtant, je n'ai pas ressenti d'ennui durant ma lecture, tant leurs portraits étaient intéressants, notamment celui de Martin, qui va changer, durant ces années de recherches, lancés sur des pistes qui font pchiiiittttt. Martin, lui, a gardé espoir, lui n'a pas la haine et lui ne veut pas arriver à devoir faire ce qu'Amos veut faire, quand ils retrouveront Debbie… La colère ne l'a pas aveuglé, lui.

Le final est énorme, rempli de suspense et de violences. Pas un happy end, vu tous les morts sur le champ de bataille. Mais au moins, il y a de l'espoir pour deux personnages. Ce ne sera pas facile, ce sera un combat de tous les jours, surtout quand le cerveau a été lavé et on termine le roman avec un sourire sur les lèvres.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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L'esprit grande prairie
Comment résister à la superbe couverture de la collection Totem de Gallmeister ? Ces deux cavaliers chevauchant au milieu de Monument Valley… Mythique.
L'intrigue prend place dans un contexte historique particulier : la guerre de Sécession a pris fin quelques années plus tôt. Les colons s'installent dans l'immense Texas, s'emparant des terres des indiens qui les harcèlent périodiquement. La famille Edwards y a un ranch presque prospère mais n'est pas à l'abri des raids des voleurs de chevaux. Amos, le frère aîné du chef de famille, part à la poursuite de ces indiens, espérant reprendre leur butin. A son retour, le ranch est dévasté, tous les membres de la famille massacrés, à l'exception des deux filles, enlevées par les Comanches. Dès lors, Amos n'aura plus de repos tant qu'il n'aura pas retrouvé ses nièces… L'aînée n'a pas survécu mais la plus jeune, la petite Debbie, serait cachée dans la tribu du chef Cicatrice. Amos, un veteran de la guerre de Sécession, et son neveu Martin, vont, durant des années, fouiller chaque coin et recoin du Texas et du Nouveau Mexique, espérant sauver Debbie…
Disons le tout net, Amos n'est pas un personnage sympathique. Il éprouve à l'égard des indiens une haine farouche et sa quête pour retrouver Debbie se transforme vite en expédition vengeresse. Il y a beaucoup de violence dans ce personnage… Celui de Mart est plus contrasté, sa psychologie moins manichéenne…
Mon avis sera malgré tout mitigé : si j'ai bien aimé cette chevauchée dans les grands espaces de l'ouest américain, j'ai été gênée par le racisme anti-indien dont tout le roman est imprégné, bien qu'ayant fait l'effort de le situer dans le contexte historique et sans faire d'angélisme.
Quant au film de John Ford avec John Wayne et Nathalie Wood qui est librement adapté du roman, je l'ai vu il y a très longtemps… C'est dommage, il n'y a plus « La dernière séance » pour passer des westerns à la télé…
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Difficile d'avoir un jugement critique du film après avoir lu le livre The Searchers ! John Ford a certainement donné avec L'Homme qui tua Liberty Valance (1961) à et La Chevauchée Fantastique (1939) à John Wayne ses trois plus beaux rôles. Pourtant le film n'aurait jamais existé sans le bouquin d'Alan May paru en 1954, de même le bouquin d'où sort The Searchers n'aurait jamais été connu sans ce western réalisé en 1956 par John Ford.
Pour des raisons dont j'ignore, Ford change le nom du personnage principal du film Ethan Edwards à celui secondaire du roman Amos Edward. Toutefois, le personnage Ethan existe bien dans le roman, mais en filigrane, car c'est le frère aîné d'Amos et de Henry, autrement dit, le père de "Martin Pawley"marié à une squaw, tués et scalpés par une tribu de sauvage belliqueux.
Dans le film, Ethan Edwards revient comme dans le roman (Amos) de la guerre de Sécession vers le reste de sa famille…
Dans le western de John Ford, Martin Pawley (Jeffrey Hunter) est un personnage secondaire récupéré bébé pat Ethan dans une famille massacrée par les Peaux-Rouges, dont la mère fut scalpée par leur chef, prenant son scalp par orgueil, et l'affichait comme un trophée au bout de sa lance… Ethan reconnu dans la tribu de chef belliqueux le scalp de la mère de Mart Pawley… Dans ce western bien filmé, une fin poétique dont la porte se ferme derrière le personnage principal ne meurt pas dont l'horizon est un désert. Mais que reste-t-il du roman ?
La trame du film par John Ford est très respectée, il s'agit bien de deux cavaliers, un jeune et un vieux à la recherche pendant des années de Déborah Edwards enlevé par des Comanches rebelles après le massacre de la famille Edwards, fouillant d'une extrémité à une autre dont le titre original porte bien son nom, Les Chercheurs où, les explorateurs. Dans le roman, le héros est Martin Pawley-Edwards qui pendant des années à cru qu'il était un enfant étranger, élevé par une famille croyante, mais c'est en fur et à mesure qu'il apprend que son véritable père était Ethan Edwards marié à une jeune princesse indienne, mais en réalité, Martin Pawley est un jeune métis et le neveu d'Amos Edward. Nous sommes plus dans un western classique comme Ford en véritable auteur apporte une nouvelle dimension du roman d'Alan le May en véritable conteur de l'ouest, autour duquel, son roman La Prisonnière de désert n'est plus classique, mais un western psychologie sur une trame de la tragédie grecque Les personnages chez Le May sortent de la tragédie Shakespearienne. Si John Wayne est remarquable dans ce vengeur raciste et obsédé prêt à en découdre avec la race des Peaux-Rouge, il faut avoir une sacrée imagination dans ce western, pour savoir quel est son but de sa vengeance ; le personnage du roman, Amos est beaucoup plus tragédien, son obsession du racisme, va jusqu'à sa folie, il devient fou prêt à tuer sa nièce devenue une jeune femme d'une tribu de Comanche, mais celle-ci fuit dans le désert, loin du génocide provoqué par les Rangers, puis la Cavalerie. Amos ne trouvant plus sa nièce lors du génocide, poursuit une Comanche croyant que c'est sa nièce (certains disent sa fille, mais dans le roman, comme le film de Ford, ce n'est pas dit) meurt par sa folie par une jeune Comanche ayant caché une arme sur elle. Si tout le roman d'Alan le May est exceptionnel, racontant les coutumes des Apaches, dont une des filiales principale est celle des Comanches, c'est la dernière partie la plus belle, Martin Pawley qui n'a pas perdu la raison, est le seul à croire que sa jeune cousine Debbie n'est pas morte après le génocide, mais elle a fui sa "tribu", car Martin Pawley, le héros du roman de le May la ramène à la raison, fuit dans le désert ; elle veut se laisser mourir, mais Mart la retrouve, raconte l'histoire de la famille de Débbie, lui dit qu'elle est la seule héritière du patrimoine Edwards (ce qui n'est pas tout à fait vrai), et lui dit vers la fin après avoir refusé l'héritage d'Amos Edwards.
- « Je te ramène chez toi, je serais là pour toi ». La fin du roman est beaucoup plus forte que celle du film plus classique, dans les deux cas, Laurie Mattison est amoureuse depuis son enfance de Martin Pawley. Dans le film de Ford, le personnage Laurie n'évolue pas, reste vers la fin chez Ford uni à Martin Pawley. Mais dans le roman, son personnage évolue, Laurie sait que Martin Pawley est top obnubilé par la recherche de sa soeur adoptive, qu'elle décida d'accepter son sort en se mariant avec un jeune officier des Rangers. Martin Pawley acceptait ce mariage sans jalousie, car pour lui sa seule obsession est de ramener Debbie chez elle. Si le western est bien réalisé par Ford, celui du roman, bien écrit est une tragédie grecque dont les deux jeunes gens sont amoureux l'un de l'autre… dans les deux cas, les deux fins sont ouvertes, mais j'ai une préférence, celle du roman est bien plus belle, plus romantique et plus poétique, un amour freudien.
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Qui ne se souvient de ce très bon western dans lequel John Wayne incarnait ce cow-boy raciste, obsédé par sa quête, rechercher sa nièce capturée par une tribu indienne après le massacre de sa famille ?

Et bien c'est un roman qui est à l'origine de ce film. The searchers a été publié en 1954 et deux ans plus tard, John Ford s'en emparait pour réaliser le film que l'on connaît.

Amos Edwards, vétéran de la guerre de Sécession, vit non loin de la famille de son frère, un éleveur qui a quatre enfants. Un jour, pendant qu'Amos est à la recherche de voleurs de bétail, les Comanches attaquent le ranch familial. Seules les deux petites filles, Lucy et Debbie sont épargnées mais enlevées par la tribu.

Pour Amos, et son neveu Martin Pauley, commence une traque de plusieurs années pour retrouver les disparues.

Parlons clairement, c'est un roman qui traite du racisme envers les Indiens. Amos est habité par une haine farouche dès lors que sa famille a été massacrée. Il ne rêve que vengeance, tuerie et représailles. le jeune Mart n'est pas loin d'avoir la même opinion, mais malgré tout, son principal souci, c'est de retrouver les jeunes filles.

Oui, les Indiens tuaient les ranchers, et oui, les soldats et Texas rangers massacraient en retour. Personne pour se demander pourquoi les Indiens étaient amenés à tuer, pas un pour se repentir de s'installer sur les terres indiennes. La résistance à l'ennemi blanc c'était la guerilla. Pas joli mais il fallait bien mener la lutte.

C'est rare de lire un western avec une psychologie aussi fouillée, aussi intéressante. Bien que l'on commence l'histoire avec le point de vue des Blancs, Alan le May nous montre également le quotidien des Indiens, et dépeint les rapports pour le moins houleux qui existaient entre colons et autochtones à cette époque. Chez les deux protagonistes principaux, les changements qui s'opèrent en eux au fil des années en font des personnages complexes. Ma préférence est allée, naturellement, à Mart Pauley, dont l'évolution de caractère est particulièrement intéressante à suivre. Et la fin est tellement émouvante, tellement touchante... Ce n'est pas un happy end, ce sont pas les gentils cow-boys contre les méchants indiens, c'est bien plus riche que tous ces clichés.

Je crains hélas que ce roman (édité par les éditions du Rocher, collection Nuage Rouge) ne soit épuisé aujourd'hui. Pour les plus courageux, lire en v.o. peut être la solution idéale pour découvrir ce bon bouquin.


Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
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Western écrit en 1954, La Prisonnière du Désert retrace la quête de deux hommes dans l'Ouest Américain à la fin du XIX siècle pour retrouver une jeune fille enlevée par des Comanches. Histoire plus connue pour son adaptation rapide au cinéma par John Ford, elle est inspirée d'une véritable anecdote.

C'est en lisant l'éloge de Quentin Tarantino dans Cinéma Spéculation qui fait un aller-retour entre le livre et le film qu'est venue l'idée de me plonger dans un genre aussi éculé que le Western. Eculé ? erreur. C'est un ouvrage nerveux, précis, un thriller authentique, dans la lignée du nature writing qui est la touche originale des Editions Gallmeister.

On y retrouve l'âpreté de l'Ouest qui est transcendée par son style chez Cormac McCarty dans Méridien de Sang et le choc frontal des migrants (les fermiers) avec les autochtones (les indiens) dont les massacres successifs plongent le Texas dans le chaos, les commerces qui se nouent entre les deux, les conflits entre rangers et cavalerie.

Au-delà de la dimension épique qu'offre inévitablement l'Ouest américain, c'est un drame antique qui se noue. Amos et Martin sont les jouets d'un destin dont les fils apparaissent progressivement au fil du récit.

Une excellente histoire, un texte sérieux et bien traduit.

Thomas Sandorf
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Ou peut-être existait-il encore, tout au fond de son esprit, des blessures presque aussi vielles que lui, recouvertes depuis longtemps par tout ce qui s'était passé entre temps. Le ciel parut s'obscurcir, tandis qu'une sorte de bourdonnement résonnait à ses oreilles. Le ciel obscurcit se mit à rougir d'un reflet sanglant. (...)
Derrière le bruit qui remplissait ses oreilles commença de s'élever le hurlement surnaturel de son cauchemar : non pas qu'il l'entendît, ni même qu'il s'en souvînt. cela lui parvenait comme la prise de conscience de quelque chose qui se passait dans quelque dimension inconnue, en dehors du monde vivant. (...)
Il tourna la tête, pour retrouver sous ses yeux le monde réel qui l'entourait. Puis, à travers une brèche dans les buissons, par laquelle on voyait le bord de la rivière, il vit l'arbre mort.

Chapitre XXI
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Il y a des Indiens qui vivent dans un monde poétique, à demi spirituel, mais les Commanches constituaient un peuple pratique, d'esprits forts qui se moquaient des cérémonies religieuses d'autres tribus et les traitaient d'enfantillages d'Indiens un peu fous. Ils n'avaient ni sorciers officiels, ni panthéon de dieux, ni théologie bien définie. Ils étaient cependant très proches des choses de la terre qui les entouraient. Pourtant, ils percevaient dans les rochers, dans les vents, dans les rivières, des esprits aussi vivants que les leurs. Ils considéraient qu'ils ne faisaient qu'un avec un univers où il n'était rien qui ne contînt un esprit.

Chapitre XVIII
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" Ces gens-là avaient cette forme de courage, qui, peut-être, est le plus précieux don de l'être humain : le courage de ceux qui simplement persévèrent, passent à l'épreuve suivante, au-delà de toute endurance raisonnable, pensant rarement à eux-mêmes comme à des victimes, et surtout ne se prenant jamais pour des héros."
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-Tu te trouves parfois en présence d'un esprit sous la forme d'un arbre mort, dit-il. Il est noirci, il ressemble à un corps desséché qui ferait des efforts pour se libérer de la terre.

Chapitre XVIII
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Il arrivait souvent que les Comanches soignent et élèvent des enfants blancs prisonniers, épousant les filles quand elles étaient grandes et adoptant les jeunes gens comme des frères. Mais les femmes blanches adultes étaient violées sans trêve par chaque ravisseur jusqu'à ce que la mort s'ensuivît ou que, rassasiés, on les " jetât " pour les laisser mourir.

Chapitre VII
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